La première moitié du XXe siècle est, pour toutes les locomotives Pacific des réseaux français, une période durant laquelle elles ne cessent de bénéficier de transformations plus ou moins importantes. Il faut, à la fois, augmenter la vitesse des trains tout en absorbant l'accroissement du tonnage des convois induit par l'introduction de voitures métalliques. Et ces améliorations apportées au fonctionnement des machines doivent se conjuguer avec une meilleure maitrise des coûts. On doit, tout particulièrement, prendre soin de réduire la consommation de charbon dont la France importe une partie de son approvisionnement.
La grande famille des Pacific PLM (462 unités!) illustre à merveille cette progression vers