Brême
Brême Bremen (de) | ||
Dans le sens des aiguilles d'une montre : Bremer Marktplaz, Gare de Brême, le Werdersee et la statue des Musiciens de Brême. | ||
Armoiries |
Drapeau |
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Administration | ||
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Pays | Allemagne | |
Land | Brême | |
Arrondissement (Landkreis) |
Brême (ville-arrondissement) | |
Nombre de quartiers (Ortsteile) |
23 | |
Bourgmestre (Bürgermeister) |
Andreas Bovenschulte (SPD) | |
Partis au pouvoir | SPD, Grünen, Die Linke | |
Code postal | de 28001 à 28779 | |
Code communal (Gemeindeschlüssel) |
04 0 11 000 | |
Indicatif téléphonique | 0421 | |
Immatriculation | HB | |
Démographie | ||
Gentilé | Brêmois, Brêmoise | |
Population | 563 290 hab. (31 décembre 2021) | |
Densité | 1 770 hab./km2 | |
Géographie | ||
Coordonnées | 53° 04′ 59″ nord, 8° 48′ 00″ est | |
Altitude | 11,5 m |
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Superficie | 31 821 ha = 318,21 km2 | |
Localisation | ||
Géolocalisation sur la carte : Allemagne
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Liens | ||
Site web | www.bremen.de | |
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Brême (en allemand : Bremen /ˈbʁeːmən/ Écouter), ou en forme longue Municipalité de Brême (Stadtgemeinde Bremen), est une ville hanséatique de 563 000 habitants du Nord-Ouest de l'Allemagne autrefois membre de la Ligue hanséatique. Brême constitue l'une des deux villes enclavées dans le Land de Basse-Saxe appartenant à celui de Brême, l'autre étant Bremerhaven. En 2005, on estimait la population de l'aire métropolitaine de Brême à 1 184 407 habitants.
Géographie
[modifier | modifier le code]C'est une ville portuaire située le long du fleuve Weser, à environ 60 kilomètres au sud de son estuaire en mer du Nord.
Climat
[modifier | modifier le code]Histoire
[modifier | modifier le code]Un acte proclamant la fondation de la ville en 788 est désormais reconnu comme un faux, de sorte que la date réelle de fondation de la ville reste inconnue. Au VIIIe siècle, les troupes de Charlemagne avancent jusqu'à la Weser afin de christianiser les tribus qui y sont installées. Le viking suédois Riourik, à qui des terres avaient été données en Frise, pille la ville en 859 et, en conséquence de l'ensemble de ses offenses, est expulsé par Louis II. Brême devient un évêché. Au cours des siècles, les évêques de Brême conduisent la christianisation de la Scandinavie.
Au XIIe siècle, la puissance des évêques est concurrencée par celle de Henri le Lion. Le duc sort vainqueur et devient le suzerain de la ville, ce qui conduit à un gouvernement civil et à une perte du pouvoir clérical ; Brême devient une ville marchande, ses navires dominant les parties méridionales de la mer du Nord. Cette domination prend fin quand la ligue hanséatique, à l'origine une alliance marchande de la mer Baltique uniquement, prend position en mer du Nord. Au début du XIVe siècle, les navires de Brême agissent en pirate en abordant les nefs de la Hanse. En 1358, afin d'éviter une guerre ouverte, les conseillers municipaux de Brême se rendent au conseil de la ligue hanséatique à Lübeck et acceptent de devenir membre de la Ligue.
Brême reste un membre réticent de la Ligue hanséatique, exigeant le soutien de ses guerres contre les chefs de clan frisons qui règnent sur la région autour de la bouche de la Weser, mais rejoignant rarement les campagnes en mer Baltique. En 1425, le conflit franchit un nouveau palier quand les citoyens brûlent les documents hanséatiques sur la place du marché. Brême est expulsé de la ligue en 1427, ce qui ne reste pas sans conséquence : la perte soudaine de puissance mène à des réclamations territoriales des États voisins (par exemple l'Oldenbourg) et à des pertes territoriales significatives.
En 1620, le premier port artificiel d'Allemagne est construit à Vegesack.
Le premier débit de café allemand est créé à Brême en 1673 par un Hollandais, Jan Dantz[1].
Brême était le chef-lieu du département Bouches-du-Weser entre 1811 et 1814, faisant partie intégrante de l'Empire français.
En 1818, le Nouveau dictionnaire géographique de Jean-Baptiste Ladvocat observe que la ville, déclarée libre avec son territoire est l'entrepôt de commerce de la région et abrite une fabrique de Chicorée-café et une usine de café vert[2].
En 1827, en raison de l'ensablement progressif de la Weser, la ville fait l'acquisition de domaines à l'embouchure du fleuve, pour en faire son port avancé : Bremerhaven. 1857 voit la création de la Lloyds d'Allemagne du Nord, une importante compagnie maritime. Dans les années 1870-1880, des travaux sur la Weser améliorent la navigabilité du fleuve.
La ville profite de la révolution industrielle et du développement commercial. Le Conseil Supérieur de l'Industrie et du Commerce belge constate en 1862 que « le commerce total de Brême avec les États-Unis représente plus de 109 millions de francs belges par an » et que pour le coton, le tabac, et le café. Brême tend de plus en plus à devenir l'entrepôt du commerce du Nord avec les pays d'outre-mer. La création de la Bourse du coton de Brême en 1872 y contribue.
La population, d'environ 35 000 habitants en 1812, dépasse les 100 000 en 1875 et atteint 250 000 habitants en 1911.
En 1867, Brême devient membre de la Confédération d'Allemagne du Nord, puis en 1871 de l'Empire allemand qui vient d'être créé. Mais elle conserve une indépendance douanière, ne rejoignant qu'en 1888 l'Union douanière allemande. Le , une tentative d'assassinat a lieu à Brême contre l'empereur Guillaume II.
En 1941, 444 femmes, hommes et enfants de confession juive sont déportés de la ville de Brême à Minsk. L'immense majorité d'entre eux furent assassinés[3]. Le 19 avril 1945, Brême est occupée par le 30e corps de la IIe Armée britannique.
Après la Seconde Guerre mondiale, pendant laquelle la ville est bombardée de juin 1942 à mars 1945, Brême est d'abord occupée par les forces britanniques, qui ne tardent pas à l'évacuer à la suite du protocole du , au profit des Américains qui souhaitent disposer d'un port sur la mer du Nord et la placent donc dans leur zone d'occupation. Cette situation permet d'éviter l'absorption de Brême au sein du Land de Basse-Saxe qui se trouve alors en zone d'occupation britannique, et débouche en 1947 sur l'indépendance de la ville en tant que land autonome au sein de l'Allemagne de l'Ouest ; le port de Bremerhaven lui est également attribué, en dépit de l'absence de continuité territoriale.
Architecture
[modifier | modifier le code]- Hôtel de ville de Brême
- Gratte-ciel Aalto
- Cathédrale Saint-Pierre de Brême
- Böttcherstraße
- Schütting (de)
- Statue de Roland
Économie
[modifier | modifier le code]Brême, l'une des principales villes de la Hanse, est depuis le milieu du Moyen Âge un port important, situé sur la Weser où transitaient des marchandises variées entre l'Angleterre, les Flandres, le Danemark et la Russie. Le blé, l'orge, le vin, l'huile et les fourrures étaient les marchandises les plus fréquentes. C'est aujourd'hui le deuxième port allemand en tonnage après Hambourg, mais aussi une ville industrielle avec la construction navale (Lürssen, Abeking & Rasmussen), l'automobile (Mercedes-Benz), l'aéronautique avec Airbus Group, la sidérurgie avec ArcelorMittal, l'agroalimentaire (siège social allemand de Kellogg's, Kraft Foods), et la brasserie industrielle avec une marque de bière blonde pils diffusée dans le monde entier : Beck's. Enfin, Brême est relié nationalement et internationalement grâce à sa gare centrale (Hauptbahnhof) et son aéroport.
Démographie
[modifier | modifier le code]Monuments et lieux touristiques
[modifier | modifier le code]Les principaux monuments de Brême se situent dans l'Altstadt (Vieille ville), une zone ovale entourée par la rivière Weser, au sud-ouest, et par le Wallgraben, la ruine des anciens murs médiévaux de la ville, au nord-est. La partie la plus ancienne de l'Altstadt est sa moitié sud-est, commençant au Marktplatz et finissant au district de Schnoor.
- La place du marché (Marktplatz) est dominée par la façade de l'hôtel de ville (« Rathaus »), érigé de 1405 à 1410 en style gothique et agrémenté au XVIIe siècle par une façade dans le style Renaissance de la Weser. Il accueille de nos jours un restaurant.
- Au-devant et sur le côté de l'hôtel de ville se tiennent deux statues : la statue de Roland datant de 1404, représentant Roland protecteur de la ville portant Durandal, l'épée de justice, et un bouclier orné d'une aigle impériale en symbole de l'émancipation des Brêmois face à l'évêque et la statue des Animaux musiciens de Brême réalisée par Gerhard Marcks et érigée en 1951, qui représente l'âne, le chien, le chat et le coq les uns sur les autres, en hommage au conte éponyme des frères Grimm.
- L'ensemble architectural de l'hôtel de ville et du Roland a été classé, en 2004, dans la liste du patrimoine mondial établie par l'UNESCO.
- L'impressionnante cathédrale Saint-Pierre du XIIIe siècle, à l'est de la place du marché, comprend des sculptures représentant Moïse, David, saint Pierre, saint Paul, et Charlemagne.
- Le quartier du Schnoor est un petit quartier constitué de sinueuses ruelles et d'anciennes maisons de pêcheurs remontant jusqu'aux XVe et XVIe siècles
- L'église Notre-Dame (Liebfrauenkirche) datant du XIe siècle est la plus ancienne église de la ville. Sa crypte comprend d'importantes peintures murales du XIVe siècle. Le peintre français Alfred Manessier a créé ensemble important de vitraux qui furent installés dans l'église de 1966 à 1979.
-
Statue de Roland.
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Statue des Animaux musiciens de Brême.
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Quartier du Schnoor.
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Immeubles sur la Böttcherstrasse, une petite rue du centre.
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Le Birgittenkloster (couvent Sainte Brigitte).
Politique
[modifier | modifier le code]L'assemblée municipale (Stadtbürgerschaft) est constituée de 68 des 83 conseillers du Parlement de Brême (Bremische Bürgerschaft), qui siège à Brême (Bremerhaven possède sa propre assemblée municipale). Le conseil est élu par les citoyens de Brême tous les quatre ans[4].
Le Parlement du Land est également l'assemblée municipale de la ville et les sénateurs remplissent à la fois les fonctions de ministres du Land et d'adjoints au maire.
Un des deux maires des villes constituant le Land est élu président du Sénat de Brême qui remplit les fonctions de chef de l'exécutif du Land.
Depuis 2019, le bourgmestre et président du Sénat de Brême est Andreas Bovenschulte, membre du Parti social-démocrate (SPD).
Recherche
[modifier | modifier le code]Brême et Bremerhaven constituent avec la ville de Kiel (Schleswig-Holstein) le plus grand pôle de recherche allemand dans les domaines de la recherche marine et polaire. C'est également l’un des plus significatifs au niveau européen[réf. nécessaire]. Brême accueille aussi le Groupement industriel pour le traitement thermique et les matériaux (AWT : Arbeitsgemeinschaft Wärmebehandlung und Werkstofftechnik, plus de 275 entreprises). Du côté de la recherche sur les technologies spatiales, l’Université de Brême abrite notamment le Zentrum für angewandte Raumfahrttechnologie und Mikrogravitation (ZARM), le centre pour la technologie spatiale appliquée et la micro-gravitation doté d’une tour pour chute en apesanteur, dite tour d'impesanteur.
Par ailleurs, l’usine « Airbus Defence and Space » de Brême est le principal centre spatial d’Airbus. On y produit des pièces de haute technologie pour la fabrication de fusées et l’élaboration de modules pour stations spatiales.
Transports
[modifier | modifier le code]La ville possède un réseau de tramways qui compte 11 lignes gérées par la BSAG et de nombreux bus de ville et régionaux, gérés par le VBN. La ville possède également un réseau complet de pistes cyclables.
Enseignement supérieur
[modifier | modifier le code]Brême est une cité universitaire. On y trouve une université d'État (université de Brême), une université privée (Jacobs University Bremen), une haute école d'art (Hochschule für Künste Bremen) et de sciences appliquées (Hochschule Bremen), ainsi que de nombreux instituts comme l'Institut international d'économie maritime de logistique, l´Institut Alfred-Wegener pour la recherche polaire et marine, l'Institut Max-Planck (microbiologie marine). En tout Brême/Bremerhaven compte environ 25 000 étudiants.
Sport
[modifier | modifier le code]Club | Sport | Fondé en | Ligue | Stade | Entraîneur |
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Werder Brême | Football | 1899 | Bundesliga | Weserstadion | Ole Werner |
Spécialités culinaires
[modifier | modifier le code]Les Brêmois aiment particulièrement un plat appelé Kohl und Pinkel. Il s'agit d'un plat constitué de la Pinkelwurst, une saucisse fumée et fourrée à la farine de gruau, que l'on accompagne de toutes sortes de choux.
Une des spécialités de la ville est ses "bonbons", les "bonbons de Brême".
Prix culturels
[modifier | modifier le code](en ordre chronologique)
- La Médaille du Sénat pour l'art et la science, décernée par le Sénat de Brême depuis 1938 et à nouveau depuis 1952.
- Le prix de littérature de la ville de Brême, décerné de 1954 à 1960 par le Sénat et, depuis 1962, lorsque le Sénat a créé la Fondation Rudolf Alexander Schröder. Un prix de parrainage est décerné depuis 1977.
- Le Bremen Art Prize, décerné aux artistes des pays germanophones depuis 1955. Jusqu'en 1983, il s'appelait Böttcherstrasse Art Prize.
- Le prix Villa Ichon Culture et Paix, décerné chaque année depuis 1983 par l'Association des Amis et Mécènes de la Villa Ichon pour un travail ou une activité en tant qu'engagement pour la paix et de haut statut culturel.
- Le prix Hannah Arendt, décerné par la Fondation Heinrich Böll et le Sénat de Brême depuis 1995 aux personnes qui contribuent à la réflexion et à l'action politiques publiques.
- Le prix Kurt Hübner, décerné depuis 1996 par l'Association des amateurs de théâtre de Brême aux membres de l'ensemble du Théâtre de Brême pour une réalisation artistique extraordinaire.
- Le Bremen Music Festival Prize, décerné à des artistes musicaux exceptionnels depuis 1998. En outre, le prix Deutschlandfunk pour les jeunes artistes talentueux, décerné avec Deutschlandfunk.
- Le Bremen Film Prize, décerné par la Fondation Art et Culture de la Sparkasse Bremen depuis 1999 pour de nombreuses années au service du cinéma européen.
- Le prix Heinrich Schmidt Barrien, décerné depuis 2000 par le Bremer Kulturverein Freizeit 2000 et depuis 2007 par l'amicale Dat Huus op'n Bulten à des personnes et des institutions qui ont apporté une contribution particulière à la préservation du bas allemand.
- Le prix du crime de Radio Brême, décerné par Radio Bremen au Festival du crime depuis 2001 pour les auteurs d'œuvres qualitativement exceptionnelles dans la littérature policière.
- Dans le Mall of Fame, nom non officiel d'une zone piétonne de Brême, les empreintes de main de diverses célébrités sont admises depuis 2003.
- Le prix des musiciens de Brême, décerné depuis 2009.
Jumelages
[modifier | modifier le code]Dicton
[modifier | modifier le code]- « Hamburg ist das Tor zur Welt, Bremen hat den Schlüssel. » : « Hambourg est la porte sur le monde, Brême détient la clef. » (en référence aux armoiries des deux cités).
Personnalités liées à Brême
[modifier | modifier le code]À Brême sont nés :
- Gottfried Reinhold Treviranus (1776-1837), naturaliste ;
- Ludolph Christian Treviranus (1779-1864), naturaliste, frère de Gottfried ;
- Gustav Hartlaub (1814-1900), médecin et zoologiste ;
- Wilhelm Paul Corssen (1820-1875), latiniste et étruscologue ;
- Adolf Lüderitz (1834-1886), commerçant, fondateur de la première ville coloniale allemande du Sud-Ouest africain ;
- Eduard Sonnenburg (1848-1915), médecin et chirurgien ;
- Fritz Overbeck (1869-1909), peintre ;
- Agnes Heineken (1872-1954), pédagogue, femme politique et féministe ;
- Ludwig Roselius (1874-1943, homme d'affaires et mécène ;
- Karl Abraham (1877-1925), médecin et psychanalyste ;
- Ernst Hoppenberg (1878-1937), nageur, double champion olympique en 1900 ;
- Henrich Focke (1890-1979), pionnier de l'aéronautique (Focke-Wulf) ;
- Gertrud Staewen (1894-1987), travailleuse sociale, résistante contre le nazisme;
- Georg Wulf (1895-1927), pionnier de l'aéronautique (Focke-Wulf) ;
- Hermine Berthold (1896-1990), femme politique, députée au Parlement de Brême ;
- Elisabeth Pungs (1896-1945), résistante communiste contre le nazisme
- Alexander Gode (1906-1970), linguiste, traducteur, et principal créateur de la langue construite Interlingua ;
- Käthe Popall (1907-1984), femme politique du Parti communiste, députée au Parlement de Brême et première femme au Sénat de Brême
- Karin Magnussen (1908-1997), eugéniste allemande ;
- Karl Carstens (1914-1992), président fédéral de 1979 à 1984 ;
- Hans Joachim Bremermann (1926-1996), mathématicien et biophysicien ;
- James Last (1929-2015), compositeur et chef d'orchestre ;
- Henning Scherf (1938- ), maire et président du Sénat de Brême entre 1995 et 2005 ;
- Wolfgang Vogel (1940-1996), mathématicien ;
- Günter Meisner (1926-1994), acteur allemand ;
- Dieter Burdenski (1950-2024), footballeur ;
- Jürgen Trittin (1954- ), homme politique, ministre fédéral de l'environnement entre 1998 et 2005 ;
- Sven Regener (1961-), auteur compositeur interprète, écrivain, scénariste
- Julia Fullerton-Batten (1970- ), photographe ;
- Angelique Kerber (1988-), joueuse de tennis ;
- Jana Meyerdierks (1990-), chanteuse de schlager.
Personnalités liées à Brême :
- Adam de Brême (avant 1050-1081/1085), chroniqueur et géographe.
- Heinrich Kipping (v. 1623-1678), philologue et archéologue.
- Adolph Knigge (1752-1796), philosophe, écrivain et compositeur.
- Friedrich Adolf Krummacher (1767-1845), écrivain.
- Charles d'Arberg de Valangin (1776-1814), préfet du département des Bouches-du-Weser à Brême.
- Georg Strube (1869-1932), médecin ayant dirigé et développé l'hôpital de la Croix-Rouge de Brême.
- Friedrich Ebert, (1871-1925), premier président de la république de Weimar.
- Minna Specht, (1879-1961), pédagogue, socialiste et résistante.
- Irmgard Enderle, (1895-1985), femme politique, journaliste, syndicaliste et féministe
- Heinz Linge (1913-1980) l’officier d'ordonnance et le majordome en chef d’Adolf Hitler.
- Hans-Dietrich Genscher (1927-2016), homme politique, membre du FPD, plusieurs fois ministre et vice-chancelier allemand.
- Rudi Carrell (1934-2006), acteur, scénariste et producteur d'origine néerlandaise.
- Klaus Wedemeier (1944- ), homme politique, membre du SPD.
- Martin Heidegger philosophe à propos des Conférences de Brême 1949 et autres conférences et séminaires dans les années 1950
- Johan Micoud (1973- ) footballeur professionnel français
- Finn Lemke (1992- ), handballeur.
- Julian Brandt (1996- ), footballeur professionnel.
Références
[modifier | modifier le code]- "Le Roman du café" par Pascal Marmet.
- "Nouveau dictionnaire géographique" de Jean-Baptiste Ladvocat, page 98 [1].
- (de) « Holocaust Mahnmal in Malyj Trostenez eingeweiht | Spurensuche-Bremen », sur www.spurensuche-bremen.de (consulté le ).
- (de) Bremische Bürgerschaft.
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- (de) Site officiel
- Ressource relative au spectacle :
- Ressource relative aux beaux-arts :
- Ressource relative à la musique :
- Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :
- Informations touristiques
- (de) Site de la Böttcherstraße