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BATMAN - Tome 8 Broché – Illustré, 27 mai 2016
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- Nombre de pages de l'édition imprimée184 pages
- LangueFrançais
- ÉditeurURBAN COMICS
- Date de publication27 mai 2016
- Dimensions17 x 1.7 x 26.5 cm
- ISBN-102365779085
- ISBN-13978-2365779081
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Description du produit
Quatrième de couverture
Biographie de l'auteur
Brian AZZARELLO est un scénariste de comics américain né en 1962. Il débute sa collaboration avec le dessinateur argentin Eduardo Risso en 1998 avec la mini-série Jonny Double. Cette collaboration s'avère extrêmement fructueuse puisqu'elle conduit en 1999 à la création de la série à laquelle Azzarello doit son succès principal : 100 Bullets. Il a également écrit pour les plus grands personnages du comics DC : Batman (Flashpoint : Batman, Le Chevalier Vengeur) avec Eduardo Risso, Superman avec le dessinateur Jim Lee, et actuellement Wonder Woman (Liens de Sang) avec le dessinateur Cliff Chiang. Parallèlement, il a créé la série Loveless en 2005 avec Marcelo Frusin au dessin. Il a été récompensé pour 100 Bullets par le Harvey Award du meilleur scénariste en 2002 et de la meilleure série en 2002, et de l'Eisner Award de la meilleure histoire en 2001, de la meilleure série continue en 2002 et 2004. Il participe au projet Before Watchmen s'occupant de Rorschach et du Comédien.
Artiste protéiforme né en 1972, oeuvrant autant dans le comic-book que sur la production de design de pour le cinéma (Hancock, Les Fils de l'Homme, Batman Begins), Mark Simpson, dit Jock, entame sa carrière au début des années 2000 en Angleterre dans le magazine mythique 2000AD. Il se fait remarqué sur Judge Dredd, lors de sa collaboration avec le scénariste Andy Diggle, qu'il suivra aux Etats-Unis sur Green Arrow : Year One et surtout la série Vertigo, The Losers. Il réalise également pour ce label Hellblazer : Pandemonium avec Jaimie Delano, Faker avec Mike Carey et assure entre autres la réalisation des couvertures de la série Scalped, de Jason Aaron et R.M. Guéra. Il rejoint Scott Snyder et Francesco Francavilla sur les deux derniers arcs de la série Detective Comics (#871 à #881), « The Black Mirror » et « Hungry City ». Jock a remporté en 2001 le National Comics Award dans la catégorie Meilleur Jeune Illustrateur et a été sélectionne en 2006 pour l'Eisner Award du Meilleur Illustrateur de Couverture pour la série The Losers.
Greg CAPULLO fait ses premiers pas dans le métier chez l'éditeur Marvel, où il travaille sur des séries comme Quasar ou X-Force, puis rejoint Image Comics avec les titres Spawn, Angela et The Haunt. Il développe également son premier projet creator-owned : The Creach, pour lequel il est à la fois scénariste et dessinateur. Depuis 2011, il travaille aux côtés de Scott Snyder sur la version « New 52 » de BATMAN. En dehors des comics, Greg a collaboré avec le groupe Korn et Disturbed, sur la pochette de leurs albums. Il a contribué à l'univers de World of Warcraf en réalisant plusieurs illustrations, travaillé avec Jodie FOSTER sur le design des personnages des séquences animées du flm The Dangerous Lives of Altar Boys, et sur la série animée Spawn, créée par Todd McFARLANE.
Détails sur le produit
- Éditeur : URBAN COMICS; Illustrated édition (27 mai 2016)
- Langue : Français
- Broché : 184 pages
- ISBN-10 : 2365779085
- ISBN-13 : 978-2365779081
- Poids de l'article : 638 g
- Dimensions : 17 x 1.7 x 26.5 cm
- Classement des meilleures ventes d'Amazon : 83 426 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)
- 687 en BD Heroïc fantasy
- Commentaires client :
À propos de l'auteur
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Commentaires client
- 5 étoiles4 étoiles3 étoiles2 étoiles1 étoile5 étoiles84%11%2%2%2%84%
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Les dessins sont sublimes et la qualité du papier très belle. Les couvertures sont de très bonnes factures et la collection complète est du plus bel effet dans une bibliothèque. Cadeau qui a beaucoup plu, rien à redire.
Cependant, Batman tel qu'on le connait n'est pas ici, on assiste à la tentative de remplacement de celui-ci par le biais d'une armure assistée à la Robocop. On découvre ainsi quelqu'un qui essaie tant bien que mal de penser et agir comme Batman.
Batman la relève par scott snyder et Greg Capullo
La donne à changer, batman a disparu et Gotham a besoin d'un hero , besoin d'un batman.
C'est sur ce constat simple que se base snyder pour former cet arc de sa Serie batman.
Un nouveau batman est donc instauré par les autorités Gothamienne, en la personne de .. Jim Gordon.
Métamorphosé et non fumeur ( eh oui...) il devra redoubler d'effort face à un adversaire de taille, Mr bloom.
Ce dernier est un méchant tout (beau ) tout neuf , et je dois dire qu'il est très charismatique.
Snyder a un concept et le pousse à fond, il utilise la surenchère et le grotesque pour montrer de façon subtil ou non d'ailleurs, l'absurdité de vouloir remplacer batman.
Batman avait une batmobile ? Et bien on va lui mettre un bat camion !
Batman avait un costume ? Et bien on va lui mettre une armure ! Qui au passage est une référence à kingdom comes et au run de grant Morrison
Les références sont omniprésentes , de l'armure qui change de couleur façon dark knight returns , en passant par le batman de zur en arrh, une petite punchline en référence à SPIDERMAN. Bref tout y est.
Sauf batman.
Et oui le bas blesse, l'absence du vrais batman et de bruce Wayne cynique manque à l'appel, le milliardaire est present mais il n'est que l'ombre de lui même, vraiment dommage mais la frustration est voulu j'imagine.
Inutile de rappelé que Greg Capullo au dessin fait un job de malade.
Mention spéciale au dessinateur jock qui signe le premier chapitre avec son style somptueux.
Scott Snyder nous ressert donc une énième mort de Bruce Wayne après celle qu'il avait déjà subie récemment avec Grant Morrison en 2010 dans la saga « Final Crisis », sauf qu'ici le nouveau Batman est totalement raté.
En 2005 Uderzo avait sorti le lamentable « Le ciel lui tombe sur la tête » en intégrant des robots et des personnages de mangas pour tenter de moderniser Astérix, Scott Snyder commet la même erreur en voulant faire un « Knightfall » des temps modernes mais cela tourne rapidement au sabotage en règle du mythe de Batman : le costume habituel a été remplacé par une armure ridicule dotée d'antennes en forme d'oreilles de lapin, mélange entre « Chappie », les « Mecas » des mangas et le robot de Bioman ; le choix du nouveau justicier devenu bodybuildé du jour au lendemain est aussi incompréhensible, quoique nous ayons échappé à Harvey Bullock , Alfred ou le chien Titus pour endosser l'armure; quant au vilain, sorte de plante géante, son aspect et ses pouvoirs sont en totale contradiction avec l'univers réaliste voulu depuis la relance du titre en 2011.
Ce récit aurait dû faire l'objet d'une série à part, dans le cadre d'un elseworld par exemple, car ce n'est pas une histoire de Batman qui est proposée.
Dans ce fiasco, le seul intérêt du récit réside dans le fait de savoir quelle explication alambiquée va trouver le scénariste pour faire revenir Bruce Wayne (un indice se trouve dans un tie-in de Detective Comics #27 écrit par Snyder) et mettre un terme à cette mascarade qui n'aurait jamais dû être autorisée par les pontes de DC Comics.
Les dessins de Greg Capullo sauvent le titre du naufrage, bien que la colorisation criarde de FCO Plascencia vienne gâcher le tout encore plus qu'à l'accoutumée : Gotham City n'est plus une ville sombre et poisseuse mais semble sortie tout droit d'un tableau d'Andy Warhol. Si Morris utilisait ce procédé de colorisation dans les Lucky Luke c'était pour appuyer le comique des situations, ici l'emploi de telles couleurs est hors de propos.
Une bonne nouvelle toutefois, Scott Snyder quittera le titre à l'issue du numéro 52 pour laisser la place à deux nouveaux scénaristes à partir de juillet 2016 dans le cadre du DC « Rebirth » avec une publication bimensuelle.