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Amazing Spider-Man T02 : Amis et ennemis Broché – Illustré, 28 octobre 2020
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- Nombre de pages de l'édition imprimée112 pages
- LangueFrançais
- ÉditeurPanini
- Date de publication28 octobre 2020
- Dimensions17.5 x 1.3 x 26.8 cm
- ISBN-102809489254
- ISBN-13978-2809489255
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Description du produit
Biographie de l'auteur
Dessinateur de bandes dessinées.
Détails sur le produit
- Éditeur : Panini; Illustrated édition (28 octobre 2020)
- Langue : Français
- Broché : 112 pages
- ISBN-10 : 2809489254
- ISBN-13 : 978-2809489255
- Poids de l'article : 508 g
- Dimensions : 17.5 x 1.3 x 26.8 cm
- Classement des meilleures ventes d'Amazon : 160 279 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)
- 1 567 en BD Heroïc fantasy
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À New York, Dougie, un jeune homme, conduit à toute allure dans une voiture décapotable, essayant d'échapper à son poursuivant. Il est quand même rattrapé par Vulture (Adrian Toomes) qui l'enlève de son siège et l'emmène dans les airs. Vulture entend une petite voix lui parler, et il se rend compte qu'elle provient de la tache de sauce sur le teeshirt de Dougie. Il en lâche le pauvre Dougie qui va s'écraser plusieurs étages plus bas. En fait, il s'agit de Black Ant (Eric O'Grady) qui neutralise Vulture, et qui est rejoint par Taskmaster (Tony Masters). Les 2 supercriminels prennent le corps inconscient de Vulture pour le ramener à leur employeur. Sur le canapé de son appartement en colocation, Peter Parker est allongé en train de conter fleurette à Mary Jane Watson, quand Fred Myers (qui sous-loue une chambre dans l'appartement) arrive et tape l'incruste sans gêne. Il se met même à passer le balai. Mary Jane a l'air de le trouver sympathique, malgré la moue de Peter excédé. Le soir, Spider-Man suit Boomerang (Fred Myers) qui se rend à un entrepôt désaffecté. Depuis un vasistas, Spider-Man observe la scène en-dessous de lui : Fred Myers en costume de Boomerang est en train de taper le carton avec ses anciens associés des Foes of Spider-Man : Shocker, Speed Demon. Beetle et Overdrive arrivent sur ces entrefaites. La conviction de Spider-Man est faite : Myers a repris ses activités criminelles.
Le lendemain, Peter Parker essaye de se faire comprendre de Randy Robertson concernant les activités de Myers, mais Randy ne le croit pas et Myers arrive avec une anecdote inventée de toute pièce sur Spider-Man. Peter Parker rétablit la vérité, et Randy évoque qu'il a longtemps été le photographe de Spider-Man ce fait qui qu'il connaît sa carrière sur le bout des doigts. Myers est tout de suite très intéressé et il propose à Peter de l'accompagner pour une sortie le soir. Boomerang fait pénétrer Peter dans le Bar sans Nom, le rendez-vous de tous les supercriminels. Ces derniers voient d'un mauvais œil l'intrusion d'un civil qu'ils ne connaissent pas. Parker déclare s'appeler le Menteur (Liar), nom dérivé de son prétendu superpouvoir. Peu de temps après, un animateur intervient au micro. Il indique qu'il s'appelle The Answer et qu'il est assisté d'un robot appelé Living Brain. Le temps est venu du grand jeu de la soirée : le quizz sur Spider-Man, sachant que Living Brain détient toutes les réponses aux questions. Peter se rend compte qu'il se prend au jeu.
Même si le premier tome de cette série de 2018 ramenait Peter Parker à un statut désargenté et solitaire, Nick Spencer avait introduit assez d'éléments pour que le lecteur ait quelque chose à se mettre sous la dent et commence à s'habituer à sa narration, après les 8 ans d'écriture solo du titre par Dan Slott. Ce deuxième tome comprend 2 histoires successives : la première se focalise sur la situation de Freddie Myers, la seconde sur la résurgence de la Guilde des Voleurs (avec à sa tête Odessa Drake) et le retour de Black Cat (Felicia Hardy). Bien évidemment dans la première partie, le lecteur a l'impression que Nick Spencer se fait plaisir en donnant une suite officieuse à une autre série qu'il avait écrite : The superior foes of Spider-Man (2013/2014). Cette impression est encore renforcée par les 3 pages dessinées par Steve Lieber dans l'épisode 6, et les 3 autres dans le 7, puisqu'il était le dessinateur attitré de ladite série. Le lecteur retrouve donc ses dessins un peu secs, aux traits un peu cassants, mais transcrivant bien la forme de familiarité moqueuse qui règne entre les Ennemis Supérieurs de Spider-Man. Il accepte donc de se laisser entraîner dans une histoire qui semble n'être qu'un prétexte à une suite de blagues entre potes. Il retrouve également dessins très enjoués d'Humberto Ramos, avec des contours un peu anguleux, et des visages aux expressions exagérées, marqués par des tics graphiques de type manga. Il est impressionné par l'abattage du dessinateur qui doit représenter une palanquée de supercriminels plus ou moins connus, en respectant leur costume, en faisant en sorte qu'ils ne se marchent pas sur les pieds, et qu'ils soient aisément reconnaissables. En outre, le scénariste a mis le paquet puisque le lecteur peut (essayer de) reconnaître : Brothers Grimm (Percy & Barton Grimes), Looter (Norton Fester), Kangaroo (Brian Hibbs), Squid (Donald Callahan), Spot (Johnny Ohnn), 8-Ball, Mirage (Desmond Charne), Scorcher (Steven Hudak), Killer Shrike, Melter, Man-Bull (William Taurens), Cyclone (Pierre Fresson), Trapster, White Rabbit (Lorina Dodson)… et encore quelques autres.
Le lecteur accepte de passer cette soirée entre potes, en essayant de répondre aux questions de The Answer sur les aventures de Spider-Man (niveau expert), en souriant quand Peter Parker s'invente un nom de supercriminel (Le Menteur), et en n'étant guère surpris quand la soirée dégénère en bagarre générale dont Myers et Parker sont la cible. Il ne s'attend pas forcément à la fin, encore moins à ce que Nick Spencer fasse évoluer la relation entre Myers et Parker sur la base de leur personnalité réciproque, lors d'une scène émouvante mettant en lumière une caractéristique des valeurs de Peter. Ainsi agréablement surpris par la capacité de l'auteur à raconter une histoire divertissante et autonome tout en la nourrissant du personnage principal, le lecteur passe confiant à la deuxième intrigue qui met en scène la Guilde des Voleurs. Là encore, le point de départ donne l'impression que Spencer pioche dans la foisonnante richesse de l'univers partagé Marvel par facilité pour avoir un ennemi du mois contre lequel va se battre Spider-Man. Des vols touchant directement la communauté des superhéros ont eu lieu et Stark demande à Spider-Man d'intervenir. Il s'en suit une enquête assez basique, amenant Spider-Man à faire équipe avec Black Cat, jusqu'à une résolution où tout rentre dans l'ordre… ou presque.
Cette fois-ci, le lecteur sait que l'intérêt du récit ne réside pas uniquement dans l'aventure et les affrontements physiques. Il n'en reste pas moins que les pages de Ramos sont toujours aussi dynamiques et que le lecteur prend un grand plaisir à voir Spider-Man se balançant de gratte-ciel en gratte-ciel, un monsieur se faire coincer par la foule dans une discothèque, Mary Jane évoquer ses emplois passés, une armée de voleurs habillés de rouge aller dérober des objets improbables (l'exagération de Ramos vient accompagner le comique du choix des objets dérobés, pauvre Robbie Reyes), Black Cat en train d'en retourner une bien sentie à Spider-Man (ça doit faire mal), l'étrange réconfort des participants à un groupe de parole, l'entrain de Miss Marvel localisant son téléphone. Bien sûr, Humberto Ramos utilise les trucs et astuces pour dessiner plus vite, à commencer par ne plus représenter les arrière-plans dès qu'il y a un affrontement physique, et ses personnages semblent tous frappés d'un jeunisme systématique. Mais dans le même temps, ces choix graphiques sont cohérents avec la nature du récit (une aventure de superhéros évitant le pathos, avec des réparties comiques qui font mouche) et ils apportent une dynamique en phase avec le héros bondissant et avec la dimension spectaculaire et haute en couleurs de ses aventures.
Même si la première partie a augmenté le niveau de confiance qu'il accorde au scénariste, le lecteur ne peut pas s'empêcher de remarquer que Spencer met en scène des situations déjà utilisées : Black Cat pas contente après Spider-Man, des superhéros qui interviennent en paquet de douze pour clore l'intrigue, etc. Pour autant, il détecte des variations qui rendent cette histoire originale. De la même manière que la relation entre Myers et Parker évolue de manière inattendue, sur la base de leur personnalité, celle entre Felicia et Peter fait de même, avec à nouveau un moment d'émotion en fin d'histoire, inattendu, original, et engendré par leur personnalité. Alors même que la Guilde des Voleurs fournit des adversaires bon marché et interchangeables, le scénariste fait en sorte que cette histoire apporte quelque chose de plus à la mythologie et au statut de la Guilde. Alors même que le lecteur s'attend à ce que Spencer intègre des réparties comiques, il est surpris par la densité de la narration, le nombre de réparties, et leur qualité. En plus de tout ça, il découvre ce groupe de paroles d'une nature inattendue, au bénéfice d'un personnage qu'il n'aurait pas deviné, avec une sensibilité émotionnelle qui lui fait se demander si Spencer lui-même n'a pas eu recours à ce genre d'aide. Du coup, il accepte bien volontiers le retour de Carlie Cooper, étant confiant que Nick Spencer saura en tirer le meilleur parti.
Le premier tome semblait un peu anecdotique en ce qui concerne les intrigues et peut-être un peu forcé par moment en ce qui concerne les interactions entre les personnages. Ce deuxième tome commence par dégager une sorte de familiarité telle que le lecteur se dit que le scénariste se contente de resservir des situations déjà vues plusieurs fois. Il se laisse quand même emmener par la fougue visuelle et l'entrain communicatif de la narration visuelle d'Humberto Ramos. Il se rend compte que Nick Spencer fait bien plus que de réchauffer du déjà-vu, qu'il a une excellente compréhension de la personnalité de Peter Parker et de ce qui le rend unique, et qu'il mêle aux aventures une dimension de comédie dramatique fine et juste.