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DEADSHOT & LES SECRET SIX - Tome 1 Broché – Illustré, 9 septembre 2016
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- Nombre de pages de l'édition imprimée264 pages
- LangueFrançais
- ÉditeurURBAN COMICS
- Date de publication9 septembre 2016
- Dimensions17.2 x 2.1 x 26.5 cm
- ISBN-102365773524
- ISBN-13978-2365773522
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Description du produit
Quatrième de couverture
Biographie de l'auteur
Détails sur le produit
- Éditeur : URBAN COMICS; Illustrated édition (9 septembre 2016)
- Langue : Français
- Broché : 264 pages
- ISBN-10 : 2365773524
- ISBN-13 : 978-2365773522
- Poids de l'article : 825 g
- Dimensions : 17.2 x 2.1 x 26.5 cm
- Classement des meilleures ventes d'Amazon : 652 114 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)
- 7 804 en BD Heroïc fantasy
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- Six degrees of devastation - La première minisérie Villains United ayant été un succès, Gail Simone ramène son équipe de vilains pour un deuxième tour. Et cette deuxième histoire s'étant avérée également une réussite, les Secret Six auront droit à leur série continue en 2008 (les premiers numéros sont réédités dans Secret Six: Unhinged).
On retrouve la majeure partie de l'équipe précédente (Deadshot, Ragdoll, Scandal Savage, Catman et Knockout) à laquelle sera adjoint pour cette histoire le Mad Hatter (méchant récurrent de Batman). L'histoire commence dans un camp de rééducation politique en Corée du Nord dans lequel est détenu Deadshot et se poursuit de part le monde. Les Secet Six sont confrontés à des tentatives d'élimination de leurs personnes et ils essayent de trouver le commanditaire avant de passer l'arme à gauche.
Comme à son habitude, Gail Simone accorde autant d'importance à l'intrigue et à l'action, qu'au développement des personnalités de ses personnages (la copine de Vandal, la fille de Deadshot...) et à leur interaction. Même le Mad Hatter devient un personnage à part entière. Il faut dire que Gail Simone est maintenant une scénariste reconnue à qui DC a confié la lourde tâche de ramener Wonder Woman sur le devant de la scène (Wonder Woman: The Circle. Elle n'oublie pas non plus de faire interagir son équipe avec l'univers DC, ce qui nous vaut ici une apparition inattendue de la Doom Patrol.
Les dessins ne sortent malheureusement pas autant du lot que le scénario. Brad Walker est un professionnel : ses dessins servent l'action et sont clairs. Mais son style graphique manque cruellement de personnalité.
Pour la deuxième fois, Gail Simone réussit le pari de rendre crédibles et intéressantes les tribulations de vilains de deuxième ordre, sans tomber dans le jeu de massacre facile, ou la décalque de scénario de superhéros. Les Secret Six ne sont pas là pour sauver le monde et leurs aventures s'adressent clairement à la tranche "jeunes adultes" ou plus.
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- Dead of winter (épisodes 104 à 109 de la série Birds of Prey ) - Katarina Armstrong impose une mission aux Birds of Prey (récupérer une arme avec fort pouvoir de destruction) en Azerbaïdjan. Malheureusement le détenteur de cette arme a décidé de louer les services des Secret Six pour se protéger. Ainsi Gail Simone va mettre face à face les 2 équipes dont elle assure les scénarios. À ma gauche, les Birds of Prey : Big Barda, Huntress, Hawkgirl, Manhunter (Kate Spencer), Spy Smasher et Misfit. À ma droite les Secet Six : Ragdoll, Catman, Knockout, Deadshot, Scandal Savage et Harley Quinn. Le résultat est parfait avec une haute teneur en action, la réapparition d'une superhéroïne décédée, une évocation de Raspoutine, les Red Rockets, et une haute teneur en développement de personnages. À ce titre, Big Barda prend une épaisseur inattendue et même Misfit a droit à une véritable personnalité, les dynamiques des 2 groupes (Birds of Prey et Secret Six) sont très bien mises en opposition pour augmenter le contraste.
Les dessins sont assurés par Nicola Scott et encrés par Doug Hazlewood. Ils font un travail satisfaisant, très facilement lisible, avec une esthétique un peu ronde et très fluide. Les illustrations présentent un niveau de détail suffisant pour une bonne immersion dans les paysages. Il s'agit d'un travail de qualité, dépourvu d'une vraie personnalité. Il convient également de mentionner les superbes couvertures réalisées par Stéphane Roux, un français.
Ce tome est également le dernier écrit par Gail Simone pour la série Birds of Prey. L'ultime épisode constitue donc son adieu à la série et il est très dense en émotion. Gail Simone part au top de sa forme sur un excellent tome.
Profitant de la vague Suicide Squad (tout le monde ou presque les connait, sauf ma grand-mère mais elle a une excuse, elle ne va jamais au cinéma) et de ses bons résultats au Box-office, Urban Comics ressort des archives les aventures d’une autre équipe de super-vilains, les Secret Six. On transforme le titre en « Deadshot et les Secret six » et on mentionne Harley Quinn, le tour est joué.
Mais qui sont vraiment les Secret Six ? Et bien c’est une équipe de mercenaires/super-vilains composée dans le désordre de: Ragdoll, Deadshot, Catman, Scandale Savage et K-O à qui se rajoutent des guest star selon les épisodes pour rester sur le chiffre six.
De plus l’histoire se déroule avant les « New 52 » mais après Infinity Crisis. Difficile donc, pour le lecteur récent, de s’y retrouver facilement. Et cerise sur le gâteau, vous n’avez pas une série unique mais une série et une partie d’une autre (centrée sur les Bird of Prey) réunies dans ce tome. De quoi dérouter le lecteur aisément.
Heureusement Urban a bien fait le travail. D’une part il vous propose un résumé des épisodes précédents (sorti chez Panini à l’époque) qui peut demander un peu de recherche. Et surtout, comme à l’accoutumée, un Who’s Who de l’équipe et de leurs principaux antagonistes (dont les Bird of Prey) qui aide vraiment à cerner les personnages.
« Six degrés de dévastation, c’est pas une repompe de Fifty Shade par hasard ? »
Trêve de plaisanteries (oui elle n’est pas terrible mais j’y ai pensé quand j’ai lu le titre et je voulais partager) et entrons dans le vif du sujet.
La première partie fait la part belle à une mission de routine des Secret (un gars à buter en plein milieu d’une prison en Corée du nord) et des conséquences de leurs actes précédents (le résumé d’Urban en début de livre qui vous explique que l’entièreté des super-vilains s’étaient alliés contre la Justice League sous la bannière d’Alex Luthor, sauf nos Secrets, et que du coup ils se sont fait pas mal d’ennemis) orchestré par le Docteur Psycho.
Chaque membre de l’équipe est mis en avant et aisément caractérisé ainsi que les relations entre eux et on se laisse porter par l’histoire. Certes ce n’est pas du drame shakespirien mais c’est ça se laisse bien lire avec ces moments wtf qui viennent jalonner le récit (le guest star de l’équipe c’est quand même le Chapelier fou). Sincèrement c’est relativement dense et on ne peut pas dire qu’il y ait beaucoup de scènes qui meublent. Un bon gros récit donc, une pincée de cynisme de vilains, du plaisir quoi ! (et il y a une blague graveleuse sur Power Girl, remplissant le quota des références faciles de DC).
La seconde partie est tirée de Birds of Prey, pas de doute d’ailleurs puisqu’on commence le récit par elles. Ça peut perturber du coup mais ce n’est pas rédhibitoire. C’est l’occasion de voir une seconde équipe qui même si pas autant décrite que les Secret a quand même son lot de propre soucis (bon alors par contre, c’est vraiment pointu comme soucis et ça n’impacte pas le titre principal, les Secret mais ça ne gâche pas pour autant le récit, je rassure). Ici on est dans une histoire d’armure soviétique que les deux groupes convoitent et d’une conspiration occulte avec une pincée de Raspoutine.
L’histoire est plus une excuse au combat entre les deux équipes, ça frappe dans tous les sens, c’est relativement violent et le twist final les met tous à genoux. On en a pour son content d’action dans tous les sens et de héros/vilains costumés, sympathiques comme tout. La guest star de cette partie est Harley Quinn mais que les fans de Quinzel soient prévenus, elle n’y apparaît que quelques pages et d’ailleurs n’est pas spécialement mise en valeur.
L’histoire finit sur un épilogue, quelques semaines plus tard, avec son dernier coup de théâtre, introduisant les enjeux des Neo Dieux. Un « A suivre » clôture le tome, nous invitant à prendre notre mal en patience.
« Cher monsieur boulette de viande… »
En résumé, même si le côté marketing (que je comprends d’un point de vue commercial) post Suicide Squad m’a relativement fatigué, pour une fois je n’irai pas le reprocher. Sinon on aurait sans doute pas eu l’occasion de croiser les aventures de cette équipe de super-vilains méconnue et ça aurait été dommage.
Certes c’est relativement loin des comics qui sortent maintenant (on est en New 52 et pré Rebirth alors que là on parle d’événements antérieurs) mais ça n’a pas trop vieilli. Les enjeux peuvent dépasser le lecteur mais l’histoire se laisse néanmoins lire et puis la plume de Simone a su me rendre sympathique les différents membres des Secret. Une bonne découverte donc, à lire si on a envie de se changer un peu les idées et que sa liste de comics à acheter est déjà bouclée. Et surtout une bonne alternative à Suicide Squad, le comics, pour ceux qui veulent lire du méchant plutôt que des bons sentiments.