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Thor: L'intégrale 1966 (T08) Broché – Illustré, 4 novembre 2015
- Nombre de pages de l'édition imprimée280 pages
- LangueFrançais
- ÉditeurPanini
- Date de publication4 novembre 2015
- Dimensions17.8 x 2.3 x 26.8 cm
- ISBN-102809450609
- ISBN-13978-2809450606
Détails sur le produit
- Éditeur : Panini; Illustrated édition (4 novembre 2015)
- Langue : Français
- Broché : 280 pages
- ISBN-10 : 2809450609
- ISBN-13 : 978-2809450606
- Poids de l'article : 1,03 Kilograms
- Dimensions : 17.8 x 2.3 x 26.8 cm
- Classement des meilleures ventes d'Amazon : 1 021 168 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)
- 13 509 en BD Heroïc fantasy
- 76 863 en Comics
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On avait vu que dans l'intégrale 1965, Stan Lee avait en tout et pour utilisé une seule intrigue : Loki essayant d'éliminer son demi-frère.
En 1966, il reproduit toute l'année le même schéma : Thor doit relever un défi pour sauver au choix : la planète, Hercule (un nouvel arrivant), sa fiancée, et j'en passe.
Je ne crois pas spoiler en disant qu'à chaque fois, le blondinet s'en tire, non par son intelligence, dont on finit par douter, mais par sa force. Thor, c'est l'apologie de la brutalité enveloppée sous un vernis de générosité. On apprend ainsi au détour d'une case que les Américains ont raison d'être présents au Vietnam. Sacré Stan Lee !
On regrettera que certains concepts réellement intéressants soient noyés dans la baston et le schématisme systématique des scénarios, ce qui empêche leur développement. Parmi les belles idées effleurées : une planète-dieu qui manipule la réalité et les dimensions, un scientifique qui joue au démiurge, une colonisatrice débutante qui foire sa première mission (un épisode très drôle), etc.
Kirby, dont les crayonnés sont comme d'habitude gâchés par l'encrage de Vince Coletta, calamité vivante des dessinateurs du Silver Age qui poursuivra le King encore de nombreuses années, s'amuse quant à lui comme un fou avec le dieu asgardien, créant un univers hybride d'heroic fantasy bardé de technologie SF.
Il faut voir avec quelle délectation le grand Jack représente la puissance massive du dieu Odin (aussi peu futé et naïf que son fils, mais passons). Kirby prend par exemple un grand plaisir à changer le costume et le casque du dieu suprême à chacune de ses apparitions ce qui participe au charme de la série.
On trouve aussi de magnifiques doubles pages et un collage surréaliste, une technique que Kirby commençait à expérimenter.
Bien sûr, les épisodes en complément de Tales of Asgard où Kirby est seul aux commandes offrent bien plus d'intérêt que la série principale co-écrite avec Stan Lee.
On regrettera comme toujours les couleurs criardes de ces volumes au papier glacé pas du tout adapté. Mais heureusement, les très laides retouches au Photoshop qui avaient ruiné les volumes précédents (1964 et 1965) sont cette fois absentes. C'est tant mieux.