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Le Projet Marvels : La naissance des super-héros Relié – Illustré, 4 mars 2020
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- Nombre de pages de l'édition imprimée224 pages
- LangueFrançais
- ÉditeurPanini
- Date de publication4 mars 2020
- Dimensions15.1 x 3.2 x 23 cm
- ISBN-102809486573
- ISBN-13978-2809486575
Description du produit
Biographie de l'auteur
Dessinateur de bandes dessinées.
Détails sur le produit
- Éditeur : Panini; Illustrated édition (4 mars 2020)
- Langue : Français
- Relié : 224 pages
- ISBN-10 : 2809486573
- ISBN-13 : 978-2809486575
- Poids de l'article : 846 g
- Dimensions : 15.1 x 3.2 x 23 cm
- Classement des meilleures ventes d'Amazon : 1 068 997 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)
- 14 333 en BD Heroïc fantasy
- 80 343 en Comics
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À propos de l'auteur
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Il faut en effet séparer le puriste, pour qui le produit originel est le seul valable, du lecteur lambda qui appréciera les relectures. Car c'est bien de relecture qu'il s'agit ici.
La présente histoire nous conte les origines des tout premiers super-héros Marvel, à savoir les deux premières torches humaines (rien à voir avec les "Fantastic four"), Namor et Captain America pour les plus connus ; l'Ange et une ribambelle d'autres types en slip pour les oubliés de l'âge d'or de "timely comics" (puisque c'est comme ça que Marvel s'appelait au départ...).
Le puriste vous dira que toutes ces relectures, c'est de la m..., et que seuls les comics d'origine valent le coup. Mais les autres, ayant jeté un œil sur les œuvres d'antan, auront pu être effrayés à la lecture d'un matériau ayant extrêmement mal vieilli. Car n'en déplaise aux puristes en question, les comics de l'âge d'or et de l'âge d'argent (des années 30 aux années 70), conçus à l'époque pour un très jeune public, sont incommensurablement naïfs et il faut aujourd'hui faire un bel effort de distanciation pour passer outre la laideur de l'ensemble (les techniques rudimentaires de l'imprimerie de l'époque) et la niaiserie absolue des intrigues et des dialogues. Ces mêmes puristes se révèlent en général assez agressifs sur cette question des relectures. Pourtant, au cinéma, la pratique du "remake" a lieu depuis des lustres sans que personne ne crie à l'assassin...
Comprenons-nous bien : Je ne cherche pas à houspiller les talents de l'époque. Stan Lee était un visionnaire et Jack Kirby un génie. Mais c'est une lecture différente, certes historique, densément mythologique sur le fond, mais infantile dans la forme.
"Le Projet Marvels" s'adresse donc aux lecteurs ne souhaitant pas relire les créations "old school" de l'époque.
La 1° partie est assez réussie. Ed Brubaker et Steve Epting, respectivement scénariste et dessinateur de l'actuelle (et brillante) série dédiée à Captain America, nous racontent tout ça comme un vieux polar, utilisant un des super-héros oubliés (l'Ange) pour commenter le tout en voix off. On assiste donc à la naissance des premiers héros en direct, dans une ambiance de vieux film noir assez jubilatoire. L'univers Marvel se pose alors comme une uchronie "science-fictionnelle" de notre histoire récente et c'est raconté dans un style rétro naïf (mais pas niais...) très appréciable. Le visuel graphique est joliment connoté et cite, entre autres, les œuvres d'Edward Hopper (qui fut un des artistes majeurs du mouvement Réaliste Américain entre 1925 et 1945). On se dit alors que c'est une bien belle réussite.
Hélas, la seconde partie se contente d'enchaîner les moments clés comme un simple documentaire. On suit le tout dans l'ennui et la frustration, car on assiste de très loin à des événements que l'on préfèrerait vivre de l'intérieur. On a envie d'être immergés de façon beaucoup plus profonde et viscérale dans toutes ces aventures qui défilent platement comme un résumé assez désincarné.
Cette lecture m'a rappelé celle de "Marvels", minisérie conçue dans les années 90 par Kurt Busiek et Alex Ross, qui racontait également les débuts de l'âge d'or des super-héros à travers le regard de l'homme de la rue. Dans les deux cas, je me suis finalement assez ennuyé. Car jamais je n'ai eu l'impression d'être au cœur de l'histoire.
Tout ceci est certes très instructif, mais bien peu passionnant entant que lecture à proprement parler.
Dans un esprit de relecture, préférez les œuvres de Tim Sale et Jeff Loeb, gorgées d'émotion...
*(8 épisodes réunis en un seul recueil par les éditions Panini, ce qui est EXTREMEMENT rare de leur part, car ils préfèrent en général fractionner les TPB en deux pour multiplier les gains...)
En 1938, dans un hôpital de New York, un vieil homme meurt. Juste avant il prédit à son médecin l'avènement de nombreux héros costumés et il lui lègue les 2 pistolets et le masque qu'il utilisait lorsqu'il se faisait appeler Two-Gun Kid. En 1939, FD Roosevelt prend connaissance de l'avancement de la création d'un soldat synthétique : l'opération est un échec car la créature prend feu au contact de l'air. Les allemands chassent l'atlante pour recueillir et disséquer leurs cadavres, et tenter de créer un surhomme pour leur armée. Cette démarche n'est pas pour faire plaisir au monarque des atlantes. Un jeune homme chétif rêve de s'engager dans l'armée pour combattre les nazis mais les recruteurs le recalent à chaque fois. Dans un bar, Nick Fury papote avec un camarade aux cheveux roux avant d'être recrutés par les services secrets pour exfiltrer un scientifique allemand.
Inspiré par Human Torch, le médecin décide de revêtir un masque et un costume coloré pour contribuer à la lutte contre le crime et contre les espions du troisième Reich, sous le nom de Angel. Bientôt d'autres individus suivent cette même voie : Fiery Mask, Phantom Bullet, Mister E, Monako the Great, Electro, etc. Mais les agissements de la cinquième colonne sur le sol des États-Unis met en péril la démocratie. La course au super-soldat a commencé entre l'Amérique et l'Allemagne. John Steele (un surhomme de la guerre de 14-18) réapparait en territoire occupé. Il se heurte au Red Skull. Le chemin est encore long avant que Captain America, Namor, Human Torch et Toro ne prennent conscience de leurs intérêts communs et qu'ils ne forment les Invaders.
Les noms figurant sur la couverture font saliver : Ed Brubaker et Steve Epting, ceux qui ont fait de la série Captain America l'une des meilleures de Marvel (à commencer par Winter Soldier , en anglais). En plus, le metteur en couleurs n'est autre que Dave Stewart, l'un des meilleurs de sa profession comme il le démontre, tome après tome, dans les aventures du BPRD (par exemple BPRD 8 ).
À la lecture, on déchante rapidement. Ed Brubaker remplit parfaitement la mission qui lui a été assignée : réécrire la naissance du Golden Age des superhéros Marvel. Mais il se contente de mettre à la suite les séquences attendues (implication de Namor avec les êtres de la surface, création du sérum utilisé sur Steve Rogers, etc.) sans réussir à faire naître d'émotions. Il accroche son récit sur la perception de Angel des événements, tout en multipliant les personnages et les points de vue sur les événements se déroulant hors de la sphère d'activité de ce héros (en Allemagne ou en France occupée par exemple). Effectivement, chaque événement finit par s'imbriquer parfaitement dans l'aperçu final de cette concomitance de faits qui convergent pour l'avènement de l'âge des superhéros, mais le lecteur a le sentiment de parcourir un livre d'histoire un peu froid et dénué de véritable enjeu.
De son coté, Steve Epting a choisi un mode d'illustrations un peu paresseux. N'espérez pas retrouver les décors richement détaillés et savamment agencés des premiers tomes de Captain America. Epting se concentre essentiellement sur les visages qui finissent par tous avoir la même expression dessinée à la hâte. Les combats se succèdent sans saveur particulière, sans mise en scène qui distingue la mise à mal d'une troupe de soldats nazis, de celle d'un gang d'espions sur le sol américain. Même Dave Stewart semble se lasser au fur et à mesure des pages d'essayer de mettre en valeur des dessins de plus en plus quelconques.
Donc le lecteur apprécie la belle construction scénaristique qui permet de lier le destin de plusieurs héros et des scientifiques qui ont participé à leur émergence, mais il a du mal à éprouver de l'empathie pour ces personnages qui restent très superficiels. Si l'on compare les scènes dédiées à Human Torch dans ce tome à celle écrite par Kurt Busiek et illustrées par Alex Ross dans Marvels , le manque de chaleur humaine est criant.