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: divisions militaires, «
int pas toujours le poids
ourniture, ce n'est ps
re assez de foin dans st:

'eau coi
le-garde par des ri
par se montrer

•s les cartouches
: de s'occuper
s.

bataillon de Xireut^

! de la patrie pou«aie

Uantplus facil® q»
ientôt fondue.

Voulez-vous me permettre d'allumer mou brille-gueule'?

ur nous convenir, y mj.
iventualités de notre fit
oupable, en les prenant

qu'il suffit de faire c»
régence et de dire leste
rquises, vous me plaisez
îc ! ces airs-là ne vos
ivez tenu ce langage p«
us les aurez prises, c'est
derez pas.

"àcher; votre escadres
c'est tout ce qu'il y am

LORD COWLEY,

SCÈNES DE MŒURS.

m\x de vous y ten{eJ
»er des rhumes de J
rouillard est. si
»tit-ïhouars avait
faire de l'eau etàu^
e\er ses provisions,
co.ais doit soutînt ci i
jue d'éveiller un iQsi»
pttbilités de l'Angl^
i ne relâchez pas-, ^
rédiger ses instructif
>as que vous ajeiVi^
pendant savez-vous t
inbre de cinq lies, ton
de rades naturelles?
merveille et servirait
i Polynésie. 1

1 aristocratique est Û
oupes d'Iles qui ne à
it? Est-ce que pati-
noire colonie de

croyais l..^lais
ux badauds

[juer des soldats de
élevé des
> îles avec les
us grande et pris
gouvernement. Bref,
vous étiez Anglais!
re !...

iz des explications clairs
uestions. Si, par imposs
permis une pareilleesci
■ qu'il soit fusillé;car,
en vertu de vos inst®