Le nouvel album de Clavicule, Incoming Blaze, reste comme ses prédécesseurs un mélange énergique et brutal de garage rock et de punk, parfois sous influences psychédéliques. Il marque toutefois une évolution du groupe rennais vers un style plus léger et des mélodies plus accrocheuses…
Ils seront le 16 décembre au Point Ephémère, et pour mieux profiter de la mini-tornade que les Anglais d’October Drift organisent généralement sur scène, il vaut mieux écouter et réécouter leur troisième album, Blame The Young, à côté duquel nous étions passés en septembre dernier.
Manning Fireworks, c’est pour MJ Lenderman l’album studio d’après le succès critique américain de Boat Songs. Mais aussi un album de Country Rock classique ne sentant pas la naphtaline.
Le groupe australien Bananagun a trouvé dans sa musique svelte, une inspiration qui semble renouveler la capacité du quatuor à toujours nous surprendre. Un disque qui revigore et redonne de l’espace (vital) dans ce monde étriqué.
Rétrospective des années 60 vues par le petit bout de la lorgnette, c’est-à-dire nos goûts personnels plutôt que les impositions de « l’Histoire » : pour finir, Let It Bleed, l’album des Stones qui les établit comme le plus grand groupe de Rock de leur époque.
Quatrième album de Warhaus, le projet solo de Maarten Devoldere, de Balthazar. Si l’ombre du groupe belge plane toujours, logiquement, ce nouveau disque s’avère plus ambitieux, plus profond aussi, et au fil des écoutes, gagne en beauté.
Dans un mois de novembre particulièrement dense, la rédaction a essayé de couvrir un maximum d’albums par nos chroniques habituelles. Si d’autres n’ont malheureusement pas eu ce soin, ils ne manquent cependant pas de qualités et les voici réunis.
222 est un album qu’on commence à écouter sans faire attention, et qui finit par vous envoûter… Beau et triste à la fois, un rêve pop-folk avec des touches blues-rock, une petite perle, une pépite addictive.
Le groupe Helvète Coilguns a trouvé dans sa musique svelte, une inspiration qui semble renouveler la capacité du quatuor à toujours nous surprendre. Un disque qui revigore et redonne de l’espace (vital) dans ce monde étriqué.
Rétrospective des années 60 vues par le petit bout de la lorgnette, c’est-à-dire nos goûts personnels plutôt que les impositions de « l’Histoire ». Aujourd’hui : Scott 4, l’album avec lequel Scott Walker, le crooner venu de Mars, enterre définitivement son passé de chanteur à succès.
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