Voir la source de Bataille de Revigny

{{Ébauche|bataille|Première Guerre mondiale|Meuse}}
{{Infobox Conflit militaire
|conflit           = Bataille de Revigny
|guerre            = [[Première Guerre mondiale]]
|image             = 
|légende           = 
|date              = du {{date|6 septembre 1914}} au {{date|12 septembre 1914}}
|lieu              = [[Revigny-sur-Ornain]], [[France]]
|casus             =
|territoires       =
|issue             = Victoire tactique et stratégique française
|combattants1      = {{France (1870-1940)}}
|combattants2      = {{Empire allemand}}
|commandant1       = [[Maurice Sarrail|Sarrail]]<br />[[Fernand de Langle de Cary|Langle de Cary]]
|commandant2       = [[Guillaume de Prusse|Kronprinz]]<br />[[Albert de Wurtemberg]]
|forces1           = '''[[3e armée (France)|{{3e|armée}} française]]'''<br />[[5e corps d'armée (France)|{{5e|corps}} d'armée]] renforcé par le [[15e corps d'armée (France)|{{15e|corps}} d'armée]]<br />[[6e corps d'armée (France)|{{6e|corps}} d'armée]]<br />'''[[4e armée (France)|{{4e|armée}} française]]'''
|forces2           = '''[[5e armée (Allemagne)|{{Ve}} armée allemande]]'''<br />'''[[4e armée (Allemagne)|{{IVe}} armée allemande]]'''
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|pertes2           =
|batailles         = {{Front de l'Ouest (Première Guerre mondiale)}}
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|géolocalisation      = France/Grand Est/Meuse
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}}
La '''bataille de [[Revigny-sur-Ornain|Revigny]]''' est une bataille de la [[Première Guerre mondiale]] se déroulant du {{date|6 septembre-|1914-}} au {{date|10 septembre 1914}} au cours de la [[bataille de la Marne (1914)|bataille de la Marne]]. Elle oppose les troupes de la {{Ve}} armée allemande commandée par le Kronprinz Guillaume, secondée par des troupes de la {{IVe}} armée allemande aux troupes de la [[3e armée (France)|{{3e|armée}} française]] du général [[Maurice Sarrail|Sarrail]] renforcée d'éléments de la [[4e armée (France)|{{4e|armée}} française]]. Les troupes allemandes tentent lors de cette bataille de rompre le front défendu par la {{3e|armée}} française. Après plusieurs jours de luttes sanglantes et incertaines, les troupes allemandes sont contraintes au repli devant le recul général des armées allemandes.

== Contexte ==
{{...}}

== Description du champ de bataille ==
{{...}}

== Forces en présence ==
=== Organisation et objectifs des forces françaises ===
Le 5 septembre en fin de journée, la [[3e armée (France)|{{3e|armée}} française]] dispose du [[5e corps d'armée (France)|{{5e|corps}} d'armée]] dont les arrière-gardes sont à [[Noyers-Auzécourt|Noyers]], [[Laheycourt]] et [[Pretz-en-Argonne]] et du [[6e corps d'armée (France)|{{6e|corps}} d'armée]] à [[Beausite|Beauzée]] et [[Amblaincourt]]. Trois divisions de réserve ont franchi la Meuse, la [[67e division d'infanterie (France)|{{67e|division}} de réserve]] atteint [[Courouvre]], la [[75e division d'infanterie (France)|{{75e|division}} de réserve]] parvient à [[Rupt-devant-Saint-Mihiel]] et la [[65e division d'infanterie (France)|{{65e|division}} de réserve]] [[Courcelles-aux-Bois]]. Le [[15e corps d'armée (France)|{{15e|corps}} d'armée]] est rattaché à la [[3e armée (France)|{{3e|armée}}]], mais ne pourra entrer en ligne que le {{date-|7 septembre 1914-}}.

Le général [[Maurice Sarrail|Sarrail]] a reçu l'ordre du général [[Joseph Joffre|Joffre]] d'attaquer vers l'ouest par la trouée de Revigny les troupes allemandes qui longent la forêt de l'Argonne tout en se protégeant au nord. Il organise alors son armée en plaçant une brigade de la [[10e division d'infanterie (France)|{{10e|division}} d'infanterie]] formé du [[89e régiment d'infanterie|{{89e|régiment}} d'infanterie]] autour de [[Noyers-Auzécourt|Noyers]] et du [[46e régiment d'infanterie|{{46e|régiment}} d'infanterie]] autour de [[Brabant-le-Roi]], renforcée par trois groupes d'artillerie, le génie divisionnaire et le génie du corps d'armée face à l'ouest dans la trouée de Revigny. En seconde ligne, les [[31e régiment d'infanterie (France)|{{31e}}]] et [[331e régiment d'infanterie|{{331e|régiments}} d'infanterie]] sont stationnés entre [[Villers-aux-Vents]] et [[Laimont]]{{sfn|AFGG |1931 |loc=tome 1, volume 3|p=553|id=AFGG_1_3 }}. Le reste de son armée, à savoir une brigade du {{5e|corps}} d'armée, le {{6e|corps}} d'armée et les trois divisions de réserve, est orienté vers le nord pour lutter contre les troupes allemandes qui débouchent directement de la forêt d'Argonne.

La [[7e division de cavalerie (France)|{{7e|division}} de cavalerie]] couvre l'aile gauche du dispositif vers [[Revigny-sur-Ornain]], [[Contrisson]] et [[Mognéville]] et doit se lier avec le [[2e corps d'armée (France)|{{2e|corps}} d'armée]] de la [[4e armée (France)|{{4e|armée}} française]].

=== Organisation et objectifs des forces allemandes ===
Le Kronprinz dispose le {{VIe|corps}} d'armée sur son aile droite en face de Revigny-sur-Ornain en liaison avec la {{IVe|armée}} allemande, son aile droite fait face à la place forte de Verdun, il doit stationner des troupes pour éviter d'être attaqué sur ses arrières, le {{VIe|corps}} de réserve entre Saint-André et Avocourt et entre Avocourt et Consenvoye
{{sfn|Hanotaux |1922 |loc=tome 1|p=184|id=Hanotaux }}
== La bataille ==
=== 6 septembre : arrivée des troupes allemandes ===
==== {{5e|corps}} d'armée ====
Le déploiement des troupes françaises autour de [[Noyers-Auzécourt|Noyers]] et de [[Brabant-le-Roi]] ne peut s'effectuer à temps. Dès {{heure|5|30}}, l'artillerie allemande bombarde [[Sommeilles]], [[Nettancourt]] puis Noyers et Auzécourt. Les avant-postes français se replient et les troupes allemandes progressent, elles capturent Sommeilles et s'infiltrent au nord de Laheycourt. Devant la progression des troupes allemandes, une contre-attaque est déclenchée, renforcée par des détachements de la brigade de réserve de la {{10e|division}} et des groupes d'artillerie du corps d'armée vers le bois des Argonnelles et vers Auzécourt. Une partie de la {{18e|brigade}} est chargée d'occuper [[Louppy-le-Château]].

L'infanterie allemande continue sa progression à partir des bois entre Sommeilles et Laheycourt, la ligne de défense entre Noyers et Brabant cède. Les troupes allemandes atteignent Laheycourt et surprennent le poste de commandement du général [[Charles Auguste Henri Roques|Roques]] qui est [[Liste des généraux français tués pendant la Première Guerre mondiale|mortellement blessé]]. Vers 10h, une contre-attaque d'un bataillon du {{46e}} régiment d'infanterie permet de repousser les troupes allemandes et de maintenir une ligne d'infanterie à {{unité|1200|m}} au nord-ouest de Villers-aux-Vents. Vers midi, l'artillerie allemande entreprend un bombardement violent qui entraîne des pertes sensibles dans la {{19e|brigade}} d'infanterie. L'artillerie française se replie en arrière de Laimont{{sfn|AFGG |1931 |loc=tome 1, volume 3|p=555|id=AFGG_1_3 }}.

Au début de l'après-midi, les attaques allemandes se font plus pressantes et entraînent l'abandon de Brabant et de Revigny. Le général Gossart qui a pris le commandement de la {{10e|division}} d'infanterie, établit, en soirée, une ligne de défense passant par Neuville-sur-Ornain, Laimont et Fotenoy. Laimont est finalement évacué devant une attaque allemande.

Sur l'aile gauche du {{5e|corps}} d'armée, la cavalerie occupe Revigny tandis que des unités du {{2e|corps}} d'armée sont placées à Contrisson et sur les ponts sur le canal entre Pargny et Revigny. Le bombardement allemand suivi d'une attaque d'infanterie entraîne l'ouverture d'une brèche entre les deux armées françaises. À la fin de la journée, le {{5e|corps}} d'armée occupe Vassincourt et Neuville-sur-Ornain{{sfn|AFGG |1931 |loc=tome 1, volume 3|p=557|id=AFGG_1_3 }}.

==== {{6e|corps}} d'armée ====
Le général [[Martial Justin Verraux|Verraux]], commandant le {{6e|corps}} d'armée prescrit au détachement du {{5e|corps}} d'armée sous ses ordres de tenir à tout prix les débouchés de [[Pretz-en-Argonne]], de [[Vaubecourt]]. La [[12e division d'infanterie (France)|{{12e|division}} d'infanterie]] doit maintenir ses positions sur une ligne entre [[Sommaisne]], la papeterie et bois de Renonlieu, la {{24e|brigade}} avec l'artillerie du corps d'armée doit se diriger vers la station au nord ouest de la ferme de Vaux-Marie pour soutenir la ligne de défense en cas d'attaque. La [[40e division d'infanterie (France)|{{40e|division}} d'infanterie]] se concentre dans la région de [[Seraucourt]], [[Rignaucourt]] et doit entamer un mouvement vers le nord sur la rive droite de l'Aire pour menacer la gauche de l'armée allemande. L'artillerie lourde de la {{3e|armée}} est stationnée au signal d'[[Érize-la-Petite]]. Le général dispose d'un bataillon de chasseurs de la {{40e|division}} d'infanterie et de la {{107e|brigade}} d'infanterie comme réserve{{sfn|AFGG |1931 |loc=tome 1, volume 3|p=558|id=AFGG_1_3 }}.

En début de journée, le front de la {{12e|division}} d'infanterie est bombardé par l'artillerie allemande sans avoir de contact direct avec l'infanterie allemande. Des observations font état d'un glissement vers l'ouest des colonnes d'infanterie allemande qui entrainent la réorientation du front du corps d'armée vers l'ouest et le mouvement de deux des régiments placés en réserve pour surveiller les débouchés de [[Lisle-en-Barrois]]. Au cours de l'après-midi, la {{24e|brigade}} formée des [[106e régiment d'infanterie|{{106e}}]] et [[132e régiment d'infanterie|{{132e|régiments}} d'infanterie]] progresse en direction de [[Pretz-en-Argonne]] qu'elle occupe ainsi que les crêtes au nord. La {{17e|brigade}} de la [[9e division d'infanterie (France)|{{9e|division}} d'infanterie]] tiennent les débouchés des bois au nord-ouest de Vaubecourt. Devant la pression des troupes allemandes les unités se replient au sud au-delà de Vaubecourt{{sfn|AFGG |1931 |loc=tome 1, volume 3|p=563|id=AFGG_1_3 }}.

La {{40e|division}} d'infanterie stationnée vers [[Seraucourt]] et [[Rignaucourt]] se déplace vers l'ouest par [[Deuxnouds-devant-Beauzée]]. En début d'après-midi, les [[154e régiment d'infanterie|{{154e}}]] et [[155e régiment d'infanterie|{{155e|régiments}} d'infanterie]] tentent d'atteindre, sans succès, [[Bulainville]] sous des feux d'artillerie et d'infanterie allemande. Les [[25e bataillon de chasseurs alpins|{{25e}}]], {{26e}} et [[29e bataillon de chasseurs à pied|{{29e|bataillons}} de chasseurs]] en flanc garde sur la droite de la {{40e|division}} d'infanterie sont pris à partie dans les bois d'Ahaye, de Moinville par une attaque allemande en provenance d'[[Ippécourt]].

==== Groupe de divisions de réserve ====
Le général Durand, commandant des divisions de réserve, place les [[67e division d'infanterie (France)|{{67e}}]] et [[75e division d'infanterie (France)|{{75e|divisions}} d'infanterie]] en retrait d'[[Issoncourt]] et de [[Rambluzin-et-Benoite-Vaux|Rambluzin]], tandis que la [[65e division d'infanterie (France)|{{65e|division}} d'infanterie]] est placée en réserve de l'armée vers [[Heippes]]. Au cours de la matinée, ces divisions progressent en direction des villages de [[Fleury-sur-Aire]] et de [[Waly (France)|Waly]].

=== Du 7 au 12 septembre la victoire de Revigny-Vassincourt remportée par ceux du {{15e}} corps ===
Avec l'arrivée des {{nombre|40000|survivants}} du [[15e corps d'armée (France)|{{15e}} corps d'armée]] de Marseille qui ont déjà remporté les 25 et 26 août - avec ceux du [[16e corps d'armée (France)|{{16e}} corps d'armée]] de Montpellier - les victoires décisives de [[Rozelieures]] et de [[Xermaménil]] qui ont totalement enrayé l'offensive de la {{VIe}} armée allemande dans la nasse de [[Lunéville]] conçue par le [[Édouard de Castelnau|général de Castelnau]] commandant la [[2e armée (France)|{{2e}} armée]] française. Après trois jours de marches forcées de jour et de nuit sur plus de {{unité|100|km}}, les {{nombre|40000|survivants}} sont intégrés - à droite de la [[4e armée (France)|{{4e}} armée]] commandée par le [[Fernand de Langle de Cary|général Langle de Cary]] - sur l'aile gauche<ref>JMO 114/1 du {{5e}} corps de la {{3e}} armée.</ref> de la [[3e armée (France)]] commandée par le [[Maurice Sarrail|général Sarrail]]<ref>JMO 114/1 (en date du 8 septembre) du {{5e}} corps transcrivant ainsi la décision du général Sarrail : « Les troupes établies au sud de l'Ornain 
''[NDA : soit tout le secteur Andernay-Vassincourt-Revigny]'' pasent aux ordres du {{15e}} corps » du général Espinasse.</ref>. Après cinq jours de combats acharnés<ref>JMO 817/10 (en date du 8 septembre) du {{6e}} BCA de Nice du {{15e}} corps du général Espinasse : ceux du « {{6e}} BCA reçoivent la mission de tenir jusqu'au sacrifice. »</ref>, ils arrivent à arrêter l'offensive de la [[5e armée (Allemagne)|{{Ve}} armée allemande]], à la vaincre en remportant la victoire de Revigny-Vassincourt<ref>JMO 817/10 (en date du 11 septembre) du {{6e}} BCA entrant dans Vassincourt : « spectacle d'inoubliable horreur. Le tir de la batterie de 75 a été terrible... tranchées allemandes comblées de cadavres... »</ref> puis à la poursuivre sur {{unité|45|km}} du 13 au 15 septembre jusqu'au nord-ouest de [[Verdun]] dans le secteur de [[Cumières-le-Mort-Homme|Cumières]] et des cotes [[Monument de la cote 304|304]] et [[Cumières-le-Mort-Homme|Mort-Homme]] face à l'ennemi qui s'est arrêté et s'est retranché sur le front Montblainville-Malancourt-Béthincourt-Forges<ref>Pages 408 à 412 dans * {{ouvrage |auteur=André Payan-Passeron |titre=La bataille de Lorraine d'août et septembre 1914 |sous-titre=analyse stratégique et détaillée |lieu=Paris |éditeur=Éditions L'Harmattan |mois= décembre |année=2021 |pages totales=424 |format livre={{Dunité|21|30|cm}}, de la stratégie défensive à la doctrine de l'offensive à outrance avec l'analyse croisée des stratégies internes et externes françaises et allemandes de 1871 à 1914 (pages 15 à 47), en Belgique, dans le Nord et en Lorraine évolution des fronts, des opérations et des pertes du début août au 15 septembre 1914 en 160 cartes couleur explicatives de la main de l'auteur et en 21 tableaux à données comparatives chiffrées, avec pages 406 à 412 une analyse de la bataille de la Marne où sont engagés 5 des corps d'armée étudiés (dont le 15e corps remportant la victoire de Revigny-Vassincourt) |isbn=978-2-343-25132-5 |présentation en ligne= https://www.editions-harmattan.fr/livre-la_bataille_de_lorraine_d_aout_et_septembre_1914_analyse_strategique_et_detaillee_andre_payan_passeron-9782343251325-72058.html |écouter en ligne= https://youtube.com/channel/UCWQCkU_cXHAN-zjSon9LKFQ/videos}}</ref>.

== Conséquence et bilan ==
{{...}}

== Notes et références ==
{{références}}

== Voir aussi ==
=== Bibliographie ===
* {{Ouvrage |langue=fr |prénom1=Joseph |nom1=Joffre |lien auteur1=Joseph Joffre |titre=Mémoires du Maréchal Joffre |sous-titre=(1910-1917) |tome=1 |lieu=Paris |éditeur=[[Plon]] |année=1932 |mois=octobre |jour=10 |pages totales=493 |lire en ligne=https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k208185j |consulté le=20 mai 2013}}.
* {{Ouvrage |langue=fr |nom1=Service historique de l'état-major des armées |titre=Les Armées françaises dans la Grande Guerre |volume=3 |tome=1 |titre volume=La bataille de la Marne |lieu=Paris |éditeur=Imprimerie nationale |année=1931 |pages totales=662 |lire en ligne=https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6272525s |consulté le=3 juin 2013 |id=AFGG_1_3}}.
* {{Ouvrage |langue=de |nom1=[[Archives du Reich]] |titre=Der Weltkrieg 1914 bis 1918 |sous-titre=Die militärischen Operationen zu Lände |volume=4 |titre volume=Der Marne-Feldzug, Die Schlacht |lieu=Berlin |éditeur=Ernst Siegfried Mittler und Sohn |année=1926 |pages totales=576 |lire en ligne=http://digi.landesbibliothek.at/viewer/image/AC01859855/1/LOG_0004/}}.
* {{Ouvrage |prénom1=Gabriel |nom1=Hanotaux |lien auteur1=Gabriel Hanotaux |titre=La bataille de la Marne |lieu=Paris |éditeur=[[Plon]] |année=1922 |format=2 tomes |bnf=322210568 |id=Hanotaux}}, lire en ligne le {{lire en ligne|lien=https://archive.org/details/labatailledelama01hano |texte=volume 1}} et le {{lire en ligne |lien=https://archive.org/details/labatailledelama02hano |texte=volume 2}}.
* {{ouvrage |auteur=André Payan-Passeron |titre=La bataille de Lorraine d'août et septembre 1914 |sous-titre=analyse stratégique et détaillée |lieu=Paris |éditeur=Éditions L'Harmattan |mois= décembre |année=2021 |pages totales=424 |format livre={{Dunité|21|30|cm}}, de la stratégie défensive à la doctrine de l'offensive à outrance avec l'analyse croisée des stratégies internes et externes françaises et allemandes de 1871 à 1914 (pages 15 à 47), en Belgique, dans le Nord et en Lorraine évolution des fronts, des opérations et des pertes du début août au 15 septembre 1914 en 160 cartes couleur explicatives de la main de l'auteur et en 21 tableaux à données comparatives chiffrées, avec pages 406 à 412 une analyse de la bataille de la Marne où sont engagés 5 des corps d'armée étudiés (dont les 40 000 rescapés du 15e corps remportant la victoire de Revigny-Vassincourt) |isbn=978-2-343-25132-5 |présentation en ligne= https://www.editions-harmattan.fr/livre-la_bataille_de_lorraine_d_aout_et_septembre_1914_analyse_strategique_et_detaillee_andre_payan_passeron-9782343251325-72058.html |écouter en ligne= https://www.youtube.com/watch?v=Az3-B1hjcBM}}

=== Articles connexes ===
* [[Plan Schlieffen]]
* {{pourquoi|[[Combats de Vaux-Marie]]}}

{{Palette|Bataille de la Marne (1914)}}
{{Portail|histoire militaire|Première Guerre mondiale|armée française|Empire allemand}}

{{DEFAULTSORT:Revigny}}
[[Catégorie:Front de l'Ouest (Première Guerre mondiale)]]
[[Catégorie:Bataille de la Première Guerre mondiale impliquant la France]]
[[Catégorie:Bataille impliquant l'Empire allemand]]
[[Catégorie:Bataille sur le sol français]]
[[Catégorie:Bataille de 1914]]
[[Catégorie:Histoire de la Meuse]]
[[Catégorie:1914 en France]]