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« François Rebsamen » : différence entre les versions

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Candidat aux [[élections législatives françaises de 1997|élections législatives de 1997]] dans la [[Première circonscription de la Côte-d'Or|{{1re|circonscription}} de la Côte-d'Or]], il est battu par [[Robert Poujade]], le maire de Dijon.
Candidat aux [[élections législatives françaises de 1997|élections législatives de 1997]] dans la [[Première circonscription de la Côte-d'Or|{{1re|circonscription}} de la Côte-d'Or]], il est battu par [[Robert Poujade]], le maire de Dijon.


En 1997, il est nommé secrétaire national du [[Parti socialiste (France)|Parti socialiste]] au [[congrès de Brest]], et devient le numéro 2 du Parti socialiste derrière son ami [[François Hollande]].
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Il est élu en {{date|mars 1998}} [[conseil départemental|conseiller général]] du [[canton de Dijon-5]], avec 51,5 % des suffrages exprimés face au conseiller sortant Pierre Barbier (RPR).
Il est élu en {{date|mars 1998}} [[conseil départemental|conseiller général]] du [[canton de Dijon-5]], avec 51,5 % des suffrages exprimés face au conseiller sortant Pierre Barbier (RPR).

Version du 28 janvier 2019 à 15:26

François Rebsamen
Illustration.
François Rebsamen en 2013.
Fonctions
Maire de Dijon
En fonction depuis le
(9 ans, 2 mois et 22 jours)
Élection
Prédécesseur Nathalie Koenders (intérim)
Alain Millot

(13 ans et 11 jours)
Élection
Réélection
Prédécesseur Robert Poujade
Successeur Alain Millot
Président de Dijon Métropole
En fonction depuis le
(9 ans, 2 mois et 22 jours)
Élection
Prédécesseur Pierre Pribetich (intérim)
Alain Millot

(13 ans et 24 jours)
Élection
Prédécesseur Robert Poujade
Successeur Alain Millot
Président de la Fédération nationale des
élus socialistes et républicains
En fonction depuis le
(8 ans, 7 mois et 18 jours)
Élection
Prédécesseur Pierre Cohen
Ministre du Travail, de l'Emploi, de la Formation professionnelle
et du Dialogue social
[1]

(1 an et 5 mois)
Président François Hollande
Gouvernement Manuel Valls I et II
Prédécesseur Michel Sapin
Successeur Myriam El Khomri
Président du groupe socialiste au Sénat

(2 ans, 6 mois et 14 jours)
Élection
Prédécesseur Jean-Pierre Bel
Successeur Didier Guillaume
Sénateur de la Côte-d'Or

(5 ans, 7 mois et 1 jour)
Élection 21 septembre 2008
Successeur Isabelle Lajoux
Conseiller général de la Côte-d'Or
Élu dans le canton de Dijon-5

(10 ans, 5 mois et 29 jours)
Élection
Prédécesseur Pierre Barbier
Successeur Laurent Grandguillaume
Biographie
Nom de naissance François Michel Édouard Rebsamen
Date de naissance (73 ans)
Lieu de naissance Dijon, France
Nationalité française
Parti politique LCR (jusqu'en 1974)
PS (depuis 1974)
Père Éric Rebsamen
Profession Administrateur territorial
Résidence Dijon

François Rebsamen, né le à Dijon (Côte-d'Or), est un homme politique français membre du Parti socialiste, maire de Dijon et président de Dijon Métropole.

Proche de François Hollande, dont il a été le second au Parti socialiste de (congrès de Brest) à (congrès de Reims), il est sénateur de la Côte-d'Or et président du groupe socialiste au Sénat avant d'être nommé le , au poste de ministre du Travail, de l'Emploi, de la Formation professionnelle et du Dialogue social dans les gouvernements Valls I et II.

Atteint d'un cancer, il se met en retrait de ses fonctions de maire et président de la métropole le .

Biographie

Origines, études et débuts professionnels

François Rebsamen est le fils d'Eric Gottfried Rebsamen, né à Stuttgart le 9 janvier 1917 dans une famille protestante[2] et mort à Dijon le 19 février 1974, employé en septembre 1939 jusqu'en juin 1940 chez Renault[3] à Dijon où il épouse Denise Agron, après la guerre, morte le 26 août 2015 à 92 ans[4], fille du professeur chirurgien Édouard Agron, originaire de Briennon dans la Loire, élu radical-socialiste au conseil municipal de Dijon sous le Front populaire[5].

François Rebsamen est titulaire d'une maîtrise de droit public, d'un DESS de sciences économiques et diplômé de sciences politiques.

Au début des années 1970, il milite à la Ligue communiste révolutionnaire qu'il quitte en 1974, année où il rencontre Pierre Joxe[6].

Il a exercé les fonctions d'administrateur territorial mais n'a pas été élève de l'INET[7].

Carrière politique

François Rebsamen débute sa carrière professionnelle et politique comme chef de cabinet au Conseil régional de Bourgogne de 1979 à 1983, aux côtés de Pierre Joxe (1979-1982) puis d'André Billardon (1982-1983). Il accompagne ensuite Pierre Joxe comme chef de cabinet dans ses différentes fonctions ministérielles (de 1984 à 1986 puis de 1988 à 1991). Puis il poursuit ses fonctions de collaborateur d'élu comme directeur-adjoint du cabinet de Laurent Fabius (1992-1993), et comme conseiller technique au cabinet de Jean-Jack Queyranne, ministre des relations avec le Parlement. En 1989, il est élu président du groupe socialiste au conseil municipal de Dijon. Il le sera jusqu'en 2001. En 1994, il est élu au conseil régional de Bourgogne.

Candidat aux élections législatives de 1997 dans la 1re circonscription de la Côte-d'Or, il est battu par Robert Poujade, le maire de Dijon.

En 1997, il est nommé secrétaire national du Parti socialiste[8] au congrès de Brest, et devient le numéro 2 du Parti socialiste derrière son ami François Hollande.

Il est élu en conseiller général du canton de Dijon-5, avec 51,5 % des suffrages exprimés face au conseiller sortant Pierre Barbier (RPR).

Il est élu maire de cette ville de tradition conservatrice le , avec 52,14 % des suffrages contre 47,86 % à son adversaire Jean-François Bazin (RPR). Il devient ainsi le quatrième maire de la ville élu depuis 1945, succédant à Robert Poujade (maire de Dijon de 1971 à 2001), qui ne se représentait pas. Il est le premier maire classé à gauche élu à Dijon depuis 1935.

Le palais des ducs de Bourgogne, où siège le maire de Dijon.

Il échoue à se faire élire député lors des législatives de 2002 dans la 1re circonscription de la Côte-d'Or face au candidat UMP Bernard Depierre qui succédait à Robert Poujade.

François Rebsamen est réélu conseiller général en , cette fois avec 62,5 % des suffrages exprimés. Le , le tribunal administratif de Dijon annule son compte de campagne « pour avoir transformé » l'éditorial du bulletin municipal en tribune politique. Le tribunal administratif intègre alors dans ce compte le coût de 6 pages du bulletin municipal ce qui provoque un dépassement du plafond des dépenses autorisées et entraîne automatiquement et sans condamnation, une mesure d'inéligibilité d'un an[9]. Six mois après, le Conseil d'État désavoue le tribunal administratif qui a pris une décision contraire à sa jurisprudence, l'annule dans la foulée, considérant que le maire d'une ville a le droit de rédiger librement son éditorial dans la revue municipale de sa ville, rétablit le compte de campagne initial et valide son élection, ce qui annule la mesure automatique d'inéligibilité pour dépassement du plafond de dépenses autorisées[10].

Très proche de François Hollande, il est le directeur de la campagne des élections régionales et cantonales en mars 2004, puis de la campagne du référendum interne en décembre de cette même année sur le traité institutionnel européen et enfin de la campagne pour le oui au référendum national de 2005.

À propos de ces élections municipales de 2001 et des succès remportés par la gauche aux élections régionales, cantonales et européennes de 2004, il a souligné la part du vote populaire et prône de ce fait une grande attention du PS à cet électorat[11].

À un meeting de Ségolène Royal en 2007 (à gauche de la photo).

En juin, puis en , bien que chargé des élections internes au sein de la direction du parti, il demande à Jack Lang et Dominique Strauss-Kahn de retirer leur candidature à l'investiture socialiste, et soutient explicitement Ségolène Royal. Après le dépôt des candidatures, et le renoncement de François Hollande, François Rebsamen devient officiellement un partisan de Mme Royal. Il fait partie de son équipe restreinte de campagne, en tant que codirecteur de campagne, avec Jean-Louis Bianco.

C'est sur la base du constat que l'« on ne dirige ni une ville ni un pays replié sur son camp »[12][source insuffisante] que François Rebsamen se déclare « favorable » à des alliances avec le MoDem pour les élections municipales de mars 2008. Il déclare alors que « les candidats présentés par le Parti socialiste doivent chercher le rassemblement le plus large [...] sur la base de propositions communes ».

Il est réélu maire de Dijon dès le 1er tour des élections municipales le avec 56,22 % des suffrages exprimés face notamment au candidat de la droite : François-Xavier Dugourd (36,44 %). Il lance le projet de construction d'un tramway de Dijon, qui sera voté à l'unanimité par le Conseil de communauté du Grand Dijon le 15 mai 2008[13], inauguré en septembre 2012[14].

En amont du congrès du Parti socialiste de 2008, il est le deuxième signataire, derrière Ségolène Royal, de la consultation participative appelant les militants et les sympathisants socialistes à répondre à dix questions pour l'avenir de la France et de leur parti[15],[16].

Il est président de la commission de révision des statuts du Parti socialiste en vue du congrès de . Pour le congrès de Reims de novembre 2008, il est signataire de la motion E dont le premier signataire est Gérard Collomb et le chef de file Ségolène Royal. Il défend alors un renouveau des dirigeants du parti socialiste.

En 2007 et 2008, il est administrateur de Dexia-Crédit Local de France et démissionne quelques jours avant la faillite de cette banque qui aura nécessité un apport de 3 milliards d'euros de l'État (seule banque française ou en partie française à avoir bénéficié d'un apport en capital de l'État et non pas simplement d'un prêt ou d'une garantie). D'après l'Express, François Rebsamen aurait démissionné de son siège d'administrateur de la banque soutenue par l'argent public quand Le Canard enchaîné eut révélé le montant de ses jetons de présence, 20 000 euros en 2007[17].

Le , il devient sénateur de la Côte-d'Or, premier sous l'étiquette socialiste depuis 1948. Il démissionne alors de son poste de conseiller général du canton de Dijon-5. Au Sénat, il est membre de la commission des finances, du contrôle budgétaire et des comptes économiques de la Nation.

Après les élections sénatoriales du et l'élection le 1er octobre suivant de Jean-Pierre Bel à la présidence de la Haute Assemblée, François Rebsamen est choisi pour lui succéder à la tête du groupe socialiste au Sénat.

En 2012, alors que le gouvernement entend faire respecter sa proposition lors de la campagne présidentielle d'interdire le cumul des mandats, François Rebsamen s'y oppose arguant le statut spécifique de sénateur[18]. Le gouvernement par son porte-parole et son Premier ministre répond qu'il n'y aura pas d'exception[19]. F. Rebsamen annonce cependant que si la loi sur le non-cumul était votée, il choisirait d'être maire de Dijon[20].

François Rebsamen est également le président du Réseau francophone des villes amies des aînés[21].

Au terme du 2e tour des élections municipales de Dijon le , la liste qu'il mène arrive en tête avec 52,84 % des suffrages exprimés face à la liste UMP d'Alain Houpert (34,02 %) et celle du Front national d'Édouard Cavin (13,13 %). Cette victoire lui vaut son troisième mandat à la mairie de la ville[22].

Il est nommé ministre du Travail, de l'Emploi et du Dialogue social le dans le gouvernement de Manuel Valls[23]. Cette désignation l'amène à renoncer au poste de maire de Dijon qu'il occupait depuis mars 2001. Le 5 avril, son premier adjoint sortant, Alain Millot, est élu maire de la ville[24]. En octobre 2014, il avance que l'échec dans la lutte contre le chômage n'est pas uniquement dû au « gouvernement »[25]. Prévoyant à de nombreuses reprises entre 2014 et 2015 un recul du chômage, il doit constater son aggravation[26],[27]. Mi-2015, il porte un projet de loi sur le dialogue social, qui contient notamment le passage de 17 à 3 cas obligatoires d'information et de consultation du comité d'entreprise, une représentation pour les salariés des TPE et la fusion du RSA et de la prime pour l'emploi[28]. Le , après la mort d'Alain Millot, maire de Dijon, il annonce qu'il briguera en août sa succession, ce qui implique son départ du gouvernement[29]. Le 10 août 2015, il est réélu maire de Dijon puis démissionne de ses fonctions ministérielles lors du Conseil des ministres de rentrée le 19 août.

Son passage au ministère du Travail est considéré comme un échec sévère en matière de lutte contre le chômage[30], ce qui lui vaut le sobriquet de « ministre du chômage »[31],[32].

Le 14 mars 2016, il est désigné à l'issue du Bureau national du Parti socialiste président de la Fédération nationale des élus socialistes et républicains (FNESR)[33].

Le 6 décembre 2016, il se voit proposer le poste de ministre de l'Intérieur, qu'il refuse[34] et préfère donc rester maire de Dijon.

En 2018, il soutient la candidature de Stéphane Le Foll pour le congrès d'Aubervilliers du PS[35].

Atteint d'un cancer, il annonce le , par un communiqué de presse, qu'il ne pourra pas assumer pleinement les présences officielles liées à ses fonctions de maire et de président de la métropole durant les périodes de traitement. Il confie alors la mission d'assurer ses intérims à Nathalie Koenders pour la ville et à Pierre Pribetich pour la métropole[36],[37],[38],[39].

Autres engagements

François Rebsamen est membre de la franc-maçonnerie[40] dans la loge Solidarité et progrès du Grand Orient de France à Dijon[41] depuis 1989[42].

Bibliographie

  • Dijon, portrait d'une ville contemporaine avec Armand Frémont et Jean Vautrin, photographies de Philippe Maupetit, Cercle d'Art, 2007
  • De François à Ségolène, entretien avec Philippe Alexandre, Fayard, 2007
  • Football et politique, Stock, septembre 2014
  • En toutes confidences, Stock, novembre 2016, (ISBN 978-2-234-07814-7)

Notes et références

  1. Portefeuille de la Formation professionnelle ajouté le
  2. « François Rebsamen. Une trempe d'éléphant », Libération.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  3. « François Rebsamen: un proche de François Hollande chargé du dialogue social », lexpress.fr, 2 avril 2014
  4. « Dijon : Denise Rebsamen est décédée », bienpublic.com, 26 août 2015
  5. « Rebsamen de A à Z », lepoint.fr, 8 septembre 2011
  6. « Interview François Rebsamen », lexpress.fr, 26 avril 2001.
  7. « Biographie officielle de François Rebsamen sur le site du Sénat »
  8. Le Figaro.fr, « François Rebsamen », sur Le Figaro.fr (consulté le )
  9. (TA Dijon 19 oct. 2004, Mme K. Williams, AJDA 2005, p. 45, note B.Maligner
  10. Conseil d'État 20 mai 2005, El. cant. de Dijon V., AJDA 2005, no 35, p. 1956, note B.Maligner.
  11. entretien au Nouvel Observateur du 8 avril 2004
  12. entretien à l'hebdomadaire le Point du
  13. http://www.grand-dijon.fr/archives/tramway-la-concertation/concertation-prealable/presentation-concertation-tramway-25178.jsp
  14. http://www.gazetteinfo.fr/2012/08/31/francois-rebsamen-le-tramway-les/
  15. Site congresutileetserein.com
  16. Tribune dans Le Monde 4 avril 2008
  17. Dexia : Rebsamen part, les autres restent, L'Express, 24 octobre 2008.
  18. Non-cumul des mandats : François Rebsamen rejette l'engagement d'Hollande, 20 minutes, 29 août 2012.
  19. Martine Aubry rappelle à l'ordre les élus PS sur le non cumul, Le Monde, 28 août 2012.
  20. Non-cumul : « Je choisirai Dijon » (Rebsamen), Le Figaro, 12 juin 2013.
  21. LEFEBVRE, P.-O. & CHAPON P.-M., Guide Français des Villes Amies des Aînés, Paris, La Documentation Française, , 133 p.
  22. http://www.bienpublic.com/politique/2014/03/30/dijon-troisieme-mandat-pour-francois-rebsamen
  23. http://www.leparisien.fr/municipales-2014/en-direct-gouvernement-de-vallls-sa-composition-est-annoncee-aujourd-hui-02-04-2014-3733411.php
  24. « Alain Millot prend la mairie de Dijon », Le Bien Public, 6 avril 2014
  25. François Rebsamen estime que le chômage est un "échec collectif", france3-regions.francetvinfo.fr, 29 octobre 2014
  26. François Rebsamen, l'oiseau de mauvais augure, marianne.net, 24 juin 2015
  27. Chômage : l’optimisme forcené de François Rebsamen, lemonde.fr, 29 avril 2015
  28. Anne-Sophie Lechevallier, « Dialogue social - La loi qui ne fâche (presque) personne », Paris Match no 3444, semaine du 21 au 27 mai 2015, page 42.
  29. « Rebsamen quittera le gouvernement s'il est élu maire de Dijon », capital.fr, 30 juillet 2015
  30. Rebsamen quitte la rue de Grenelle sur un échec face à la hausse du chômage, lesechos.fr, 10 août 2015
  31. Rebsamen quitte le gouvernement affublé du titre de ministre du chômage, lefigaro.fr, 10 août 2015
  32. François Rebsamen ministre du chômage, lepoint.fr, 6 janvier 2015
  33. « François Rebsamen, nouveau président de la FNESR - Parti socialiste », sur Parti socialiste (consulté le )
  34. Benjamin Sportouch et Philippe Peyre, « Remaniement : François Rebsamen a refusé le poste de ministre de l'Intérieur », sur rtl.fr,
  35. Agence France-Presse, « Congrès du PS: qui soutient qui? », liberation.fr, (consulté le )
  36. « France bleu », radio,‎ (lire en ligne)
  37. « France 3 Bourgogne Franche Comté », Télévision,‎ (lire en ligne)
  38. « Le Télégramme », Quotidien,‎ (lire en ligne)
  39. « Le Bien Public », Quotidien,‎ (lire en ligne)
  40. Ghislaine Ottenheimer et Renaud Lecadre, Les Frères invisibles, éditions Albin Michel, 2001, spécialement p. 41.
  41. Michel Feltin, « Interview de François Rebsamen », lexpress.fr, 26 avril 2001.
  42. « Comment les francs-maçons manipulent les candidats », L'Express, 6 janvier 2012.

Voir aussi

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Bibliographie

Articles connexes

Liens externes