« Maîtresse Françoise » : différence entre les versions
→Réception de ses œuvres : intégration d’un apport textuel sous forme de source adjacente directement dans le corps du texte → François Angelier, Mauvais genres, France Culture, 19 octobre 2013, « Week end Mauvais-genres : Les femmes fatales (rencontre avec Hélène Fillières), lauréats du prix Mauvais Genres 2013 » : entretiens avec Arielle Dombasle, André Engel, Maîtresse Françoise, La Bourette, Dominique Kalifa ; intervenants : Hélène Fillières & Alexandre Mathis |
→Réception de ses œuvres : addendum textuel avec intégration d’un apport circonscrit sous forme de source adjacente directement dans le corps du texte → Céline du Chéné, préface de François Angelier, « Encyclopédie pratique des mauvais genres », Paris, Nada, 2017, recueil de chroniques radiophoniques diffusées sur France Culture dans l'émission « Mauvais genres » de 2012 à 2016, ISBN 9791092457223, notice BnF n° FRBNF45388766 |
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Dans un article de ''[[La Libre Belgique]]'' paru en mars 2001 et relayant les propos de l'intéressée originellement issus d'une édition de ''[[L'Evénement du jeudi]]'' du 19 mai 1994, le journaliste Jacques Frank écrit que si {{citation|c'est une femme qui écrivit la retentissante ''[[Histoire d'O]]''}}, {{citation|c'en est une autre, Françoise Foucault, auteur d'une ''[[#Foucault|Françoise maîtresse]]'', qui explique}} que, selon elle, {{citation|l'être humain a besoin de se laisser aller à une certaine faiblesse}}, s'achevant dès lors sur un constat émis par la protagoniste précisant ce qui suit : {{citation|Si cette faiblesse est théâtralisée, si elle est jouée, où est le problème ? Ils ressortent renforcés, troquent leurs chaînes pour un costume trois-pièces, et rentrent chez eux apaisés, fortifiés<ref name="Frank">{{Article|titre=Sados et masos|auteur=Jacques Frank|date=13 mars 2001|périodique=[[La Libre Belgique]]|url texte=http://www.lalibre.be/debats/opinions/sados-et-masos-51b87141e4b0de6db9a58cf0}}</ref>.}} |
Dans un article de ''[[La Libre Belgique]]'' paru en mars 2001 et relayant les propos de l'intéressée originellement issus d'une édition de ''[[L'Evénement du jeudi]]'' du 19 mai 1994, le journaliste Jacques Frank écrit que si {{citation|c'est une femme qui écrivit la retentissante ''[[Histoire d'O]]''}}, {{citation|c'en est une autre, Françoise Foucault, auteur d'une ''[[#Foucault|Françoise maîtresse]]'', qui explique}} que, selon elle, {{citation|l'être humain a besoin de se laisser aller à une certaine faiblesse}}, s'achevant dès lors sur un constat émis par la protagoniste précisant ce qui suit : {{citation|Si cette faiblesse est théâtralisée, si elle est jouée, où est le problème ? Ils ressortent renforcés, troquent leurs chaînes pour un costume trois-pièces, et rentrent chez eux apaisés, fortifiés<ref name="Frank">{{Article|titre=Sados et masos|auteur=Jacques Frank|date=13 mars 2001|périodique=[[La Libre Belgique]]|url texte=http://www.lalibre.be/debats/opinions/sados-et-masos-51b87141e4b0de6db9a58cf0}}</ref>.}} |
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Dans ''Encyclopédie pratique des mauvais genres''<ref name="Chéné">{{ouvrage|langue=fr|prénom1=Céline|nom1=du Chéné|titre=Encyclopédie pratique des mauvais genres|préface=[[François Angelier]]|lieu=Paris|format=recueil de chroniques radiophoniques diffusées sur [[France Culture]] dans l'émission ''Mauvais genres'' de 2012 à 2016|éditeur=Nada|année=2017|bnf=FRBNF45388766 |isbn=9791092457223}}</ref>, Céline du Chéné met en scène, sous forme d'abécédaire, les artistes et les écrivains {{incise|dont Françoise Maîtresse}} qu'elle a interviewés sur [[France Culture]] pour le compte de [[François Angelier]] dans le cadre de l'émission ''Mauvais genre''<ref name="Angelier" />{{,}}<ref name="Angelier_02" />. |
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| ⚫ | Les expériences charnelles relatées dans ''Françoise Maîtresse'' font écho, selon l'auteure, à la pensée philosophique de [[Gilles Deleuze]]. Charles J. Stivale, professeur d'université américain, spécialiste du philosophe, s'exprime en ces termes<ref>[http://www.langlab.wayne.edu/CStivale/D-G/Academe.html Recensement des textes et liens internet en rapport avec Gilles Deleuze], sur la page web personnelle de Charles J. Stivale à la [[Université de Wayne State|Wayne State University]] : {{citation étrangère|langue=en|Annick Foucault, "Homage to Gilles Deleuze" : a fascinating and perceptive reflection on Deleuze's Venus in Furs and on his relations to sado-masochism (by Annick Foucault, author of Maîtresse Françoise ed. Collection Digraphe - Mercure de France)}}.</ref> |
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| ⚫ | Les expériences charnelles relatées dans ''Françoise Maîtresse'' font écho, selon l'auteure, à la pensée philosophique de [[Gilles Deleuze]]. Charles J. Stivale, professeur d'université américain, spécialiste du philosophe, s'exprime en ces termes sur l'hommage d'Annick Foucault à Gilles Deleuze<ref>[http://www.maitresse-francoise.com/mf/index.php?p=deleuze Annick Foucault : « Hommage à Gilles Deleuze »]</ref> : {{citation|Une réflexion perceptive et fascinante sur ''[[La Vénus à la fourrure]]'' de Gilles Deleuze et sur ses relations au sado-masochisme<ref>[http://www.langlab.wayne.edu/CStivale/D-G/Academe.html Recensement des textes et liens internet en rapport avec Gilles Deleuze], sur la page web personnelle de Charles J. Stivale à la [[Université de Wayne State|Wayne State University]] : {{citation étrangère|langue=en|Annick Foucault, "Homage to Gilles Deleuze" : a fascinating and perceptive reflection on Deleuze's Venus in Furs and on his relations to sado-masochism (by Annick Foucault, author of Maîtresse Françoise ed. Collection Digraphe - Mercure de France)}}.</ref>}}. |
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== France Culture == |
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* Dans une encyclopédie pratique Céline du Chéné met en scène, sous forme d'abécédaire, les artistes et les écrivains qu'elle a interviewés pour [[François Angelier]] dans le cadre de l'émission ''Mauvais genre'' {{ouvrage|langue=fr|prénom1=Céline|nom1=du Chéné|lien|titre=Encyclopédie pratique des mauvais genres|éditeur=Nada|année=2017|isbn=9791092457223}}<ref>[https://www.franceculture.fr/emissions/mauvais-genres/week-end-mauvais-genres-les-femmes-fatales-rencontre-avec-helene-fillieres]</ref> |
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Version du 29 octobre 2018 à 09:26
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| Nom de naissance |
Annick Foucault |
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| Pseudonyme |
Maîtresse Françoise |
| Nationalité | |
| Activité |
| Site web |
|---|
Maîtresse Françoise, ou Annick Foucault de son nom de plume, est une dominatrice et écrivaine française.
Biographie
Réception de ses œuvres
En 1994, lorsque son livre Françoise Maîtresse est publié, elle est présentée comme l'un des auteurs qui introduisent le sadomasochisme en littérature grand public et, à cet égard, Jean-Jacques Pauvert considère que l'« on peut voir cette publication chez Gallimard / Digraphe, en pleines années 1990, comme un phénomène de société[H 1] … ».
Françoise Maîtresse est en effet le récit autobiographique d'une femme révélant quelles « cassures » peuvent amener à choisir des pratiques sexuelles que d'aucuns considèrent comme « perversions » et qu'elle nomme « liberté ».
Dès sa publication, des hommes de lettres — tels Pierre Bourgeade et Jean-Jacques Pauvert — évoquent « une liberté en marche, une liberté inconsciente d'elle-même[1] » et parlent d'une « œuvre majeure de la littérature érotique de ces dix dernières années[2] ».
Françoise Maîtresse est par ailleurs traduit dans plusieurs langues, dont l'espagnol[H 2] et l'italien[H 3].
Cette notoriété l'amène à être régulièrement invitée dans les talk-show télévisés français[3] et à accorder des interviews à propos du bondage et discipline, domination et soumission, sado-masochisme[4],[5] (BDSM).
Dans ses écrits, Maîtresse Françoise aborde la compréhension du masochisme selon une approche psychanalytique et philosophique[H 4] qui dessine les contours d'une « érotisation de la barbarie ». Dans la même veine, l'extrait d'une interview de Jean Streff par Maîtresse Cindy précise que « comme aime à dire Françoise, [...], célèbre domina parisienne : [...] en érotisant la barbarie, les fétichistes et sadomasochistes castrent les vrais bourreaux de leurs armes[6]. »
En 1994, le journaliste et écrivain Jean-Pierre Dufreigne commente la parution du livre en ces termes : « Gourmande de cuisine épicée, Annick Foucault la sado-maso (Françoise Maîtresse, Gallimard), qui se confesse et catalogue ses amants (« Ciré noir », « Mozart », « Strip Poker », « Rocky », « Testa rossa ») selon leurs désirs les plus intimes ou leurs spécialités — elle a déclaré qu'ils avaient été ravis de se rencontrer couchés sur le papier[7]. »
Dans un article de La Libre Belgique paru en mars 2001 et relayant les propos de l'intéressée originellement issus d'une édition de L'Evénement du jeudi du 19 mai 1994, le journaliste Jacques Frank écrit que si « c'est une femme qui écrivit la retentissante Histoire d'O », « c'en est une autre, Françoise Foucault, auteur d'une Françoise maîtresse, qui explique » que, selon elle, « l'être humain a besoin de se laisser aller à une certaine faiblesse », s'achevant dès lors sur un constat émis par la protagoniste précisant ce qui suit : « Si cette faiblesse est théâtralisée, si elle est jouée, où est le problème ? Ils ressortent renforcés, troquent leurs chaînes pour un costume trois-pièces, et rentrent chez eux apaisés, fortifiés[8]. »
Dans Encyclopédie pratique des mauvais genres[9], Céline du Chéné met en scène, sous forme d'abécédaire, les artistes et les écrivains — dont Françoise Maîtresse — qu'elle a interviewés sur France Culture pour le compte de François Angelier dans le cadre de l'émission Mauvais genre[5],[4].
Les expériences charnelles relatées dans Françoise Maîtresse font écho, selon l'auteure, à la pensée philosophique de Gilles Deleuze. Charles J. Stivale, professeur d'université américain, spécialiste du philosophe, s'exprime en ces termes sur l'hommage d'Annick Foucault à Gilles Deleuze[10] : « Une réflexion perceptive et fascinante sur La Vénus à la fourrure de Gilles Deleuze et sur ses relations au sado-masochisme[11] ».
Collaborations
Elle est repérée par des majors de la télématique en raison de sa participation aux forums sur les messageries Minitel[3]. Elle vend alors sa boutique de prêt-à-porter et accepte une proposition de collaboration : participation intense aux forums, conseils et participation aux diverses rubriques : fiches de lecture, guide. À cet égard, Marc Daum — dans L’Encyclopédie du sadomasochisme compilée par Philippe Cousin — relève que « grande ordonnatrice de messagerie 3615 pour le compte d’un major de la télématique, la bonne tenue intellectuelle de ses forums lui vaut la fidélité de lecteurs avertis[12]. » Elle tient également un rôle d'attachée de presse.
Elle participe à divers programmes télévisés, dont :
- 1989 — TF1, Ciel mon mardi : Christophe Dechavanne[12], spécial SM.
- 1989 — La Cinq, Histoires vraies : Béatrice Schönberg.
- 1990 — TF1, Ciel mon mardi : Christophe Dechavanne, spécial fétichisme.
- 1990 — La Cinq, Ça vous regarde : André Bercoff et Jean Pierre Barbe.
- Mai 1993 — France 3, Français, si vous parliez : André Bercoff.
- Juin 1993 — A2, Durant la nuit : Guillaume Durand.
- — TF1, Sans aucun doute : Julien Courbet.
- 2000 — Canal plus, Nulle part ailleurs : Philippe Gildas à l’occasion de la sortie du film de Benoit Jacquot : Sade.
- 2001 — TF1, Ciel mon mardi : Christophe Dechavanne, spécial SM[13].
De 1989 à 1994, elle coopère avec la messagerie 3615 Sado. Elle y est abritée avec son propre code : 3615 Fetish. Elle rompt sa collaboration en 1994 pour ouvrir sa propre entreprise : 3615 Missm. Deux ans plus tard, elle fusionne avec 3615 Dress. Elle y exerce jusqu'à la fin du Minitel.
En , elle contribue — avec Monique Ayoun — à l'élaboration d'un article consacré au Minitel pour le compte de Biba[14]. À cette occasion, elle conseille la journaliste tout en lui procurant des témoignages.
Œuvres
Récit
- Annick Foucault (préf. Pierre Bourgeade), Françoise maîtresse : récit[15], Paris, Mercure de France (ISBN 2070738345 et 9782070738342) (OCLC 463806292), éditions Gallimard (OCLC 34986025) (BNF 35697221), 188 p., coll. « Digraphe », , réimpr. 2000 c/o La Musardine, 216 p., in coll. « Lectures amoureuses de Jean-Jacques Pauvert » (ISSN 1275-1065) sous le titre « Françoise maîtresse » (ISBN 2842711416 et 9782842711412) (OCLC 468164817) (BNF 37113241)
Traductions
- (it) Annick Foucault (trad. Delia Coletti), Françoise Maîtresse la dominatrice [« Françoise maîtresse »], Milan, éd. Sonzogno, (1re éd. 1995 sous le titre « La dominatrice : Françoise maîtresse »), 207 p. (ISBN 8845407500 et 9788845407505, OCLC 797741703)
- (es) Annick Foucault (trad. Joaquín Jordá), El ama : memorias de una dominadora [« Françoise maîtresse »], Barcelone, éd. Tusquets, coll. « La Sonrisa verticale », , 222 p., réimpression en 1998 contenant 235 p. c/o éd. « Círculo de Lectores » in coll. « La Sonrisa vertical (Círculo de Lectores »), (ISBN 8422669587 et 9788422669586), (OCLC 807066560), puis à nouveau 222 p. en 2e édition c/o Tusquets en 2008 (ISBN 9788472237872 et 8472237877) (OCLC 433948796) (ISBN 8472237877 et 9788472237872, OCLC 40313236)
Textes et nouvelles
- « Élodie en sous-sol », Digraphe, no 65, septembre 1993[16].
- « Magnum le Chien », Digraphe, no 66, décembre 1993[17].
- « Les femmes pornocrates », Digraphe, no 70, septembre 1994[18].
- « Laissez-nous », Digraphe, no 79, hiver 1997.
- « Laissez-nous », Marquis Magazine, no 19.
- « Pleine lune », Marquis Magazine no 21, photos Christophe Mourthé.
- « Interview JG-Leather », Marquis Magazine, no 23, photos Christophe Mourthé.
- « Dominatrix Park - Les dernières amazones », Marquis Magazine, no 31, photos Christophe Mourthé.
- « Tu montes Maître ou je te monte ? », Newlook, septembre 1994.
- « Agathe, tu ne jouiras point ! », Newlook, juillet 1994.
- « Ciré noir », Penthouse, 1995.
- Préface à Retour à Roissy de Pauline Réage, dessins de Loïc Dubigeon, éditions Astarté, 1995. 48 p.
- « Mon premier esclave », De l'infini au zéro. Anthologie historique des lectures érotiques de Jean-Jacques Pauvert, Stock, 2001.
- « Petit cul », Mes lectures érotiques. Morceaux choisis de Jean-Jacques Pauvert, La Musardine, 2015.
Performances
- Les Bruits d'Avila, Sorbonne, texte de Philippe Guénin[19], mise en scène par Monique Kissel.
- Transfiguration, texte de Philippe Guénin, Théâtre Poème, Bruxelles[réf. souhaitée][20] et théâtre du Lavoir moderne, Paris, 1995[réf. souhaitée].
- Participation à Paris Dernière, 1994, reprise dans le DVD
Les Années Paris Première, M6 Vidéo, 2011[21]. - Maîtresse Françoise et Maîtresse Antoinette[réf. souhaitée], performances et entretiens, DVD , 2012.
Presse
- Isabelle Isabelle Girard, « Les vrais secrets d’une fouetteuse », L'Événement du jeudi, .
- (it) Giovanni Giovanni Firmian, « Se vai con un uomo non dimenticare la frustra », L'Europeo, .
- (it) « Preferisco masochisti : a loro piace », Il Messaggero, .
- Consuello Aranii, « Annick Foucault Françoise Maîtresse Directrice d'un service minitel en France », Playmen, .
- Giovanni Giovanni Firmian, « L'amour est un chat à neuf queues », Amica (it), .
- Rosario Rosario Ligammari, « Freak », Gonzaï, .
Bibliographie critique
- Catherine Anthony, L'amour aujourd'hui, Paris, Le Cherche midi, coll. « Documents », , 205 p. (ISBN 978-2-862-74572-5, OCLC 470195500).
- Philippe Cousin (dir.), L'encyclopédie du sadomasochisme, Paris, La Musardine, (ISBN 978-2-842-71088-0), « Françoise Maîtresse ».
- Jean-Jacques Pauvert (autre titre : « De l'infini au zéro »), Anthologie historique des lectures érotiques, 1985-2000, de l'infini au zéro, t. 5, Stock, , il s'agit du 5e et dernier volume de cette anthologie (ISBN 223405379X et 9782234053793, OCLC 47743578, BNF 37583246), « Françoise Maîtresse / Annick Foucault ».
- Anne Larue, Le masochisme ou comment ne pas devenir un suicidé de la société, Éditions Talus d’approche, coll. « Libre choix » (no 18), , 200 p., (OCLC 491577674 et 1010208339) (ISBN 2872460918 et 9782872460915, lire en ligne [PDF]), 1. La piste des châteaux. Masochisme et roman gothique — 7. La littérature enfantine et la résistance masochiste, pp. 22, 90, 129-133.
- Annie Le Brun, Du trop de réalité, Gallimard, coll. « Folio essais », (1re éd. Stock, 2000) (ISBN 2070314952).
- Gala Fur, Dictionnaire illustré du BDSM, La Musardine, (ISBN 978-2-842-71825-1), « Françoise Maîtresse ».
Notes et références
Notes
Références bibliographiques
- Pauvert 2001, p. 303–309
- Foucault et Jordá 1996
- Foucault et Coletti 1995
- Larue 2002, p. 130
« Elle fait allusion aux « grands films de sévices » de son enfance pour expliquer l’attrait sexuel de certaines scènes : « cow-boys, sexes d’étalons, tortures de pirates, viols d’Apaches, femme attachée au mât d’un navire pour recevoir le fouet. »
Autres références
- Préface de Pierre Bourgeade à Françoise Maîtresse, op. cit.
- 4e de couverture de Françoise Maîtresse, La Musardine, 2000, op. cit.
- François Forestier, « La boîte à bouquins de Forestier : Françoise maîtresse, impératrice du SM », Nouvel observateur, (lire en ligne)
- François Angelier, Mauvais genres, France Culture, (écouter en ligne), « Week end Mauvais-genres : Les femmes fatales (rencontre avec Hélène Fillières), lauréats du prix Mauvais Genres 2013 » [audio] Entretiens avec Arielle Dombasle, André Engel, Maîtresse Françoise, La Bourette, Dominique Kalifa — avec la collaboration de JB Thoret, P. Rouyer, Céline du Chéné, Antoine Guillot, Jean Pierre Dionnet, Joseph Gohsn. Intervenants : Hélène Fillières & Alexandre Mathis.
- François Angelier, Mauvais genres, France Culture, (écouter en ligne), « L'amour – fouet ou le monde masochien : Cécile Guilbert, Alain Robbe-Grillet, Harry Kumel » [audio] Maîtresse Françoise est interviewée par Céline du Chéné. Émission préparée par Claire Martin du Gard et Pascale Dassibat. Réalisation de Laurent Paulré avec la collaboration de Jean-Baptiste Thoret, Philippe Rouyer, Céline du Chéné et Christophe Bier.
- Maîtresse Cindy et Jean Streff, Maîtresse Cindy interviewe tous azimuts des pratiquants sadomasochistes et des non-pratiquants, (lire en ligne [PDF])
- Jean-Pierre Dufreigne, « Les mille-feuilles des filles d'Eros », L'Express, (lire en ligne)
- Jacques Frank, « Sados et masos », La Libre Belgique, (lire en ligne)
- Céline du Chéné (préf. François Angelier), Encyclopédie pratique des mauvais genres, Paris, Nada, , recueil de chroniques radiophoniques diffusées sur France Culture dans l'émission Mauvais genres de 2012 à 2016 (ISBN 9791092457223, BNF 45388766)
- Annick Foucault : « Hommage à Gilles Deleuze »
- Recensement des textes et liens internet en rapport avec Gilles Deleuze, sur la page web personnelle de Charles J. Stivale à la Wayne State University : « Annick Foucault, "Homage to Gilles Deleuze" : a fascinating and perceptive reflection on Deleuze's Venus in Furs and on his relations to sado-masochism (by Annick Foucault, author of Maîtresse Françoise ed. Collection Digraphe - Mercure de France) ».
- Philippe Cousin (directeur de publication) et al., L’Encyclopédie du sadomasochisme, La Musardine, , 407 p., ouvrage collectif publié sous la direction de Philippe Cousin (ISBN 2842710886 et 9782842710880, OCLC 965207817, BNF 37215202, présentation en ligne), Marc Daum, p. 176 « Annick Foucault apparait pour la première fois en public et en direct dans l’émission de Christophe Dechavanne — Ciel mon mardi — en 1989. Suivront d’innombrables reportages alimentés par la parution d’une autobiographie Françoise Maîtresse. »
- Hervé G., Tout à fait, Thierry ! Cela ne nous regarde pas..., Lulu.com, , 354 p. (ISBN 0244995265 et 9780244995263, OCLC 1047590572, lire en ligne), p. 38
- Monique Monique Ayoun, « Il m'a trompé avec moi-même », "Biba",
- France Culture, François Angelier, « Mauvais genre », 18 septembre 2013, cf. minutage 08:58 à 09:23
- « Élodie en sous-sol », Digraphe, no 65, septembre 1993. Digraphe44, septembre 1994.
- Qui est là ? Décembre 1993 revue diographe (n° 66), Gallimard Parution : 03-12-1993 Digrpahe45
- Revue Digraphe (n° 70), Gallimard Parution : 14-09-1994 les Femmes Pornocrates [1]
- Voir la revue Digraphe no 70 (photo et texte Bruits d'Avila), septembre 94, et no 78 « la Mort de Paris VIII » (texte "Théâtre" Boudot), automne 96.
- La Bellone - Maison du Spectacle rue de Flandre Bruxelles
- François Aubel, « Thierry Ardisson : "Je suis un O.S. de la télé" », Evene.fr, 7 décembre 2011.
