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En {{date||décembre|2015}} et en {{date||janvier|2016}}, News Participation acquiert les actifs que détient Alain Weill dans [[NextRadioTV]] ; à la suite de cet accord, News Participation détiendra une participation majoritaire dans NextRadioTV<ref>[http://www.usinenouvelle.com/article/altice-et-nextradiotv-concretisent-leur-rapprochement.N367319 Altice et NextRadioTV concrétisent leur rapprochement], ''Usine Nouvelle'', 4 décembre 2015</ref>. En avril 2016, la prise de contrôle des activités dans les médias par SFR (Altice Média Group, NextRadioTV) est annoncée, sous le nom de SFR Médias, filiale dirigée par Alain Weill. Dans le même temps, un bouquet de 5 chaines de sport est annoncé, pour diffuser notamment les matchs de la ''Premier League'' anglaise de football, dont les droits ont été acquis par SFR, ainsi que de BFM-TV Sport, une chaine d'information sportive s'appuyant sur les équipes de RMC, ainsi que de BFM-TV Paris, un chaine d'information locale en Ile-de-France. Une fiction et une application kiosque pour les titres de presse du groupe sont également prévus<ref>{{Lien web|url=http://www.lemonde.fr/actualite-medias/article/2016/04/27/sfr-fait-le-pari-du-mariage-des-medias-et-des-telecoms_4909330_3236.html|titre=SFR fait le pari du mariage des médias et des télécoms|site=Le Monde|date=27 avril 2016}}</ref>.
En {{date||décembre|2015}} et en {{date||janvier|2016}}, News Participation acquiert les actifs que détient Alain Weill dans [[NextRadioTV]] ; à la suite de cet accord, News Participation détiendra une participation majoritaire dans NextRadioTV<ref>[http://www.usinenouvelle.com/article/altice-et-nextradiotv-concretisent-leur-rapprochement.N367319 Altice et NextRadioTV concrétisent leur rapprochement], ''Usine Nouvelle'', 4 décembre 2015</ref>. En avril 2016, la prise de contrôle des activités dans les médias par SFR (Altice Média Group, NextRadioTV) est annoncée, sous le nom de SFR Médias, filiale dirigée par Alain Weill. Dans le même temps, un bouquet de 5 chaines de sport est annoncé, pour diffuser notamment les matchs de la ''Premier League'' anglaise de football, dont les droits ont été acquis par SFR, ainsi que de BFM-TV Sport, une chaine d'information sportive s'appuyant sur les équipes de RMC, ainsi que de BFM-TV Paris, un chaine d'information locale en Ile-de-France. Une fiction et une application kiosque pour les titres de presse du groupe sont également prévus<ref>{{Lien web|url=http://www.lemonde.fr/actualite-medias/article/2016/04/27/sfr-fait-le-pari-du-mariage-des-medias-et-des-telecoms_4909330_3236.html|titre=SFR fait le pari du mariage des médias et des télécoms|site=Le Monde|date=27 avril 2016}}</ref>.


En juin 2016, alors que la presse annonce que SFR Telecom a perdu un million d’abonnés en un an et qu'elle accuse une perte trimestrielle de 41 millions d’euros au premier trimestre 2016<ref>[http://www.liberation.fr/futurs/2016/06/08/les-50-milliards-de-dette-de-patrick-drahi-ne-l-empechent-pas-de-dormir_1458158 Les 50 milliards de dette de Patrick Drahi ne l'empêchent pas de dormir], liberation.fr, 8 juin 2016</ref>, elle pointe également du doigt l'importance de l'endettement du groupe estimé à 50 milliards. Pour l'économiste du sport Jean-Pascal Gayant, « cela ressemble beaucoup à une bulle financière, une fuite en avant »<ref>[http://www.huffingtonpost.fr/2016/06/08/patrick-drahi-sfr-audition-senat-dette_n_10350214.html Patrick Drahi (SFR): "Je dors mieux avec mes 50 milliards de dette, que les 50.000 que j'avais à mes débuts!"], huffingtonpost.fr, 8 juin 2016</ref>. Cet endettement appuyé en partie sur la banque [[BNP Paribas]] a suscité les commentaires d'hommes politiques comme [[Michel Sapin]]. Dès 2015, les agences de notation attribuaient aux titres d'Altice les notes B+ et Ba3 ce qui la rangeait dans la catégorie spéculative<ref>[http://bfmbusiness.bfmtv.com/entreprise/40-milliards-d-euros-la-dette-folle-du-groupe-de-patrick-drahi-896554.html 40 milliards d’euros, la dette folle du groupe de Patrick Drahi], bfmbusiness.bfmtv.com, 22 juin 2015</ref>.
En juin 2016, alors que la presse annonce que SFR Telecom a perdu un million d’abonnés en un an et qu'elle accuse une perte trimestrielle de 41 millions d’euros au premier trimestre 2016<ref>[http://www.liberation.fr/futurs/2016/06/08/les-50-milliards-de-dette-de-patrick-drahi-ne-l-empechent-pas-de-dormir_1458158 Les 50 milliards de dette de Patrick Drahi ne l'empêchent pas de dormir], liberation.fr, 8 juin 2016</ref>, elle pointe également du doigt l'importance de l'endettement du groupe estimé à 50 milliards. Pour l'économiste du sport Jean-Pascal Gayant, « cela ressemble beaucoup à une bulle financière, une fuite en avant »<ref>[http://www.huffingtonpost.fr/2016/06/08/patrick-drahi-sfr-audition-senat-dette_n_10350214.html Patrick Drahi (SFR): "Je dors mieux avec mes 50 milliards de dette, que les 50.000 que j'avais à mes débuts!"], huffingtonpost.fr, 8 juin 2016</ref>. Cet endettement appuyé en partie sur la banque [[BNP Paribas]] a suscité les commentaires d'hommes politiques comme [[Michel Sapin]]. Dès 2015, les agences de notation attribuaient aux titres d'Altice les notes B+ et Ba3 ce qui la rangeait dans la catégorie spéculative<ref>[http://bfmbusiness.bfmtv.com/entreprise/40-milliards-d-euros-la-dette-folle-du-groupe-de-patrick-drahi-896554.html 40 milliards d’euros, la dette folle du groupe de Patrick Drahi], bfmbusiness.bfmtv.com, 22 juin 2015</ref>.

Le {{date|5 septembre 2016}}, Altice annonce son intention d'acquérir les parts qu'elle ne détient pas dans SFR Group soit 22,25 % avec une offre publique d'échange volontaire de 8 nouvelles actions ordinaires Altice NV de catégorie A, pour 5 actions SFR Group apportées<ref>{{Lien web|langue=fr-FR|titre=Patrick Drahi achève l’absorption de SFR par Altice|url=http://www.lesechos.fr/tech-medias/hightech/0211256817321-altice-veut-semparer-de-lensemble-du-capital-de-sfr-2024898.php|date=2016-09-05|consulté le=2016-09-05}}</ref>. Dès octobre 2016, l'[[Autorité des marchés financiers]] s'oppose à l'opération<ref>[http://www.lemonde.fr/economie-francaise/article/2016/10/04/l-ope-d-altice-sur-sfr-jugee-non-conforme-par-l-autorite-des-marches-financiers_5008200_1656968.html L’OPE d’Altice sur SFR jugée non conforme par l’Autorité des marchés financiers], Le Monde, 4 octobre 2016</ref>.


== Rachat et intégration ==
== Rachat et intégration ==

Version du 5 octobre 2016 à 09:21

Altice
logo de Altice Europe

Création 2001
Dates clés  : introduction en bourse à Amsterdam
 : rachat de SFR pour 13,5 milliards d'euros
Fondateurs Patrick Drahi[1]
Forme juridique Société anonymeVoir et modifier les données sur Wikidata
Action OTC Markets Group (ALLVF)[2]Voir et modifier les données sur Wikidata
Slogan Ensemble dépassons nos limitesVoir et modifier les données sur Wikidata
Siège social Amsterdam
Drapeau des Pays-Bas Pays-Bas
Direction Dexter Goei[3]
Actionnaires Patrick Drahi
Activité Câblo-opérateurs, opérateur de télécommunications, médias de masse
Produits Télévision par câble, accès à internet et téléphonieVoir et modifier les données sur Wikidata
Filiales Altice USA, SFR Group, SFR Belux, SFR Caraïbe, green.ch, Hot, Portugal Telecom, Cabovisão, etc.
Effectif 38 000 (2015)
Site web altice.net

Capitalisation 32 milliards € (05/2015)
Chiffre d'affaires 3 milliards € (2013)

Altice est un groupe multinational regroupant des câblo-opérateurs, des opérateurs de télécommunications[4] et des entreprises de communications[5]. Il est présent en Belgique, France - y compris outre-mer aux Antilles, en Guyane et dans l'Océan Indien - Israël, Luxembourg, Maurice, Portugal, République dominicaine et Suisse. Patrick Drahi crée cette entreprise de droit luxembourgeois et cotée à la bourse d'Amsterdam en 2001[5].

Il en détient encore 58,50 % en 2015 via Next L.P, établie à Guernesey.

En 2015, le groupe au périmètre élargi (SFR-Numericable, Portugal Telecom, Suddenlink...) emploie plus de 30 000 personnes pour un chiffre d'affaires de 14 milliards d'euros, une capitalisation boursière[6] d'environ 30 milliards d'euros (elle n'était que de 5,7 milliards € en janvier 2014 lors de son IPO) et une dette nette[7] de 33 milliards d'euros[8].

Le groupe a réalisé 36 milliards d'euros d'acquisitions[9] en 18 mois depuis 2014, en ayant majoritairement emprunté cet argent, grâce aux mécanismes du LBO. Grâce à cela, le Groupe a pu connaître une très forte croissance mais se situe à un niveau d'endettement considéré comme très élevé (ratio dette/EBITDA de 4.9 à la suite de l’acquisition de Suddenlink[10]).

En juin 2016, Patrick Drahi cède la présidence d'Altice à l'américain Dexter Goei. Michel Combes accède à cette occasion au poste de directeur général du groupe[11].

Histoire

Patrick Drahi crée l'entreprise au Luxembourg, en [5]. Le holding s'est constitué simultanément dans plusieurs régions du monde, et progressivement par le rachat, et l'intégration, de réseaux de communication, avant de créer de nouvelles entreprises :

En France métropolitaine, Est Vidéocommunication est en 2002 son premier rachat. Puis en moins de quatre ans, 99 % du marché français du câble est agrégé avec Numericable, Noos, France Télécom Câble, TDF Câble et UPC France[5].

En 2007, l'opérateur français de fibre optique Completel rejoint le groupe[12]. La même année, le fonds d'investissements Altice IV, détenu par la société panaméenne Jenville SA, prend des participations dans plusieurs chaînes thématiques : Ma Chaîne Sport, Vivolta, ShortsTV et Newslux qui édite à partir de 2013 la chaîne d'information en continu i24news[5].

En Europe occidentale, le groupe s'étend au Benelux avec Coditel en 2003[4], au Portugal avec Cabovisão et Oni Telecom en 2013[13] et en Suisse avec Green[14].

En Israël, le câblo-opérateur Hot devient filiale du groupe en 2009[15].

En Outre-mer, ses filiales regroupent aux Antilles et en Guyane françaises, Le Câble, qui commercialise les produits de Martinique TV Cable et World Satellite Guadeloupe à partir de 2008, ainsi qu'Outremer Telecom à partir de 2013[16], à Maurice, OMT Limited et City-Call[17], à La Réunion et Mayotte, IZI et Mobius Technology en 2013[17], et en République dominicaine, Tricom et Orange Dominicana en 2014[8].

En Afrique australe, des participations sont prises dans l'opérateur Wananchi[18].

Le groupe est introduit en bourse à Amsterdam le [12].

Le , le groupe Vivendi annonce la cession à Altice, pour 13,5 milliards d'euros, de SFR, second opérateur de télécommunications français, présent en métropole, à la Réunion et à Mayotte. Le l'Autorité de la Concurrence annonce qu'Altice doit céder la partie mobile de Outremer telecom (Only) à la Réunion et à Mayotte pour ne pas altérer la concurrence dans cette zone.

En , Altice achète Portugal Telecom à Oi, pour une somme de 7,4 milliards d'euros[19].

En , Altice annonce son intention d'acquérir les 20 % d'actions qui appartiennent encore à Vivendi, dans l'ensemble Numericable-SFR, pour un montant de 3,9 milliards d'euros[20].

Le , Altice annonce le rachat de 70 % des parts de l'opérateur de télévision par câble américain Suddenlink Communications. Avec cette acquisition, Altice « entre sur le grand et attractif marché du câble américain et franchit une nouvelle étape dans la diversification et l'équilibrage de son portefeuille d'activités »[21].

Le , Altice annonce une offre publique d'achat sur Bouygues Telecom[22] pour 10 milliards d'euros.

Le , Martin Bouygues annonce que la proposition de rachat a été refusée[23] à l'unanimité par le conseil d'administration de Bouygues Télécom.

En , Alain Weill et Altice acquièrent NextRadioTV à travers une nouvelle structure appelée News Participation détenue à 51 % par Alain Weill et à 49 % par Altice. En parallèle, une seconde société est créée sous le nom de Altice Content, détenue en majorité par Altice et à 24 % par Alain Weill. Pour financer cette opération, Altice prévoit de faire une augmentation de capital de 200 millions d'euros et d'émettre une obligation de 600 millions d'euros[24].

Le , Altice annonce le transfert de son siège social de Luxembourg à Amsterdam, et adopte une nouvelle structure capitalistique visant à doter le groupe de nouveaux moyens d’acquisition[25]. En septembre 2015, Altice vend les activités portugaises ONI et Cabovisao au fonds d'investissement Apax[26].

Le , Altice annonce le rachat pour 17,7 milliards de dollars (15,7 milliards d'euros), dette comprise, du quatrième câblo-opérateur américain Cablevision[27]. Cette opération lui permet d'acquérir 3,1 millions d'abonnés répartis dans les États de New York, du Connecticut et de la Pennsylvanie. Il acquiert également News 12, une chaîne d’informations, Newsday, un journal, et am New York, un journal gratuit, tous les trois centrés sur l'agglomération de New York. Dans le cadre de cette transaction, BC Partners et Canada Pension Plan Investment Board, doivent prendre à terme une participation de 30 % dans Cablevision, comme ils l'ont également fait dans Suddenlink[28].

En et en , News Participation acquiert les actifs que détient Alain Weill dans NextRadioTV ; à la suite de cet accord, News Participation détiendra une participation majoritaire dans NextRadioTV[29]. En avril 2016, la prise de contrôle des activités dans les médias par SFR (Altice Média Group, NextRadioTV) est annoncée, sous le nom de SFR Médias, filiale dirigée par Alain Weill. Dans le même temps, un bouquet de 5 chaines de sport est annoncé, pour diffuser notamment les matchs de la Premier League anglaise de football, dont les droits ont été acquis par SFR, ainsi que de BFM-TV Sport, une chaine d'information sportive s'appuyant sur les équipes de RMC, ainsi que de BFM-TV Paris, un chaine d'information locale en Ile-de-France. Une fiction et une application kiosque pour les titres de presse du groupe sont également prévus[30].

En juin 2016, alors que la presse annonce que SFR Telecom a perdu un million d’abonnés en un an et qu'elle accuse une perte trimestrielle de 41 millions d’euros au premier trimestre 2016[31], elle pointe également du doigt l'importance de l'endettement du groupe estimé à 50 milliards. Pour l'économiste du sport Jean-Pascal Gayant, « cela ressemble beaucoup à une bulle financière, une fuite en avant »[32]. Cet endettement appuyé en partie sur la banque BNP Paribas a suscité les commentaires d'hommes politiques comme Michel Sapin. Dès 2015, les agences de notation attribuaient aux titres d'Altice les notes B+ et Ba3 ce qui la rangeait dans la catégorie spéculative[33].

Rachat et intégration

Télécoms

Médias

Filiales

Les filiales sont[36] :

  • SFR Group (78 %[37])[38]
  • Altice International (100 %)
    • Hot (Israël) (100 %)
    • Altice West Europe (100 %)
      • Altice Portugal (100 %)
      • SFR BeLux (ex- Coditel) (Belgique et Luxembourg) (84 %)
    • Altice Caribbean (100 %)
      • Dominican Republic (97 %)
        • Tricom/Orange Dominica
      • SFR Caraïbe/OMT (ex- Le Câble) (100 %)

Présence dans le monde

Altice possède de nombreuses filiales dans les télécommunications.

Présence et chiffres clés
Pays Opérateur Participation
Drapeau de la France France SFR Group 78 %
Drapeau de La Réunion La Réunion SFR Réunion 100 %
Drapeau de Mayotte Mayotte 100 %
Drapeau de la Guadeloupe Guadeloupe SFR Caraïbe (Outremer Telecom) N/A
Drapeau de la Martinique Martinique N/A
Drapeau de la Belgique Belgique SFR Belux 84 %
Drapeau du Luxembourg Luxembourg 84 %
Drapeau des États-Unis États-Unis Suddenlink 70 %
Drapeau des États-Unis États-Unis Cablevision 100 %
Drapeau du Portugal Portugal Portugal Telecom 100 %
Drapeau de la République dominicaine République dominicaine Orange Dominica / Tricom 97 %
Drapeau d’Israël Israël Hot 100 %
Drapeau de la Suisse Suisse Green.ch 100 %

Notes et référence

  1. Quand le futur actionnaire de SFR voulait renoncer à être Français, Challenges.fr, 14 mars 2014
  2. Knowledge Graph (graphe de connaissances), consulté le .Voir et modifier les données sur Wikidata
  3. Actionnaire = Patrick Drahi. Executive Management sur Altice.net
  4. a et b Profile d'Altice sur son site officiel, consulté le 9 mars 2014
  5. a b c d et e Article Qui est Patrick Drahi, l'homme qui se cache derrière Numericable? du 25 septembre 2013 sur BFMTV, consulté le 9 mars 2014
  6. « Cours ALTICE REG, action ALTICE REG, cotation ALTICE REG, ATC - Boursorama », sur www.boursorama.com (consulté le )
  7. « Altice, une expansion tous azimuts financée par la dette » (consulté le )
  8. a et b Article Le premier actionnaire de Numericable entre en Bourse du 8 janvier 2014 des Échos, consulté le 9 mars 2014
  9. « Altice s'efforce de financer une offre sur Time Warner Cable », sur Challenges (consulté le )
  10. « Altice, un groupe boulimique encore loin de l’indigestion - » (consulté le )
  11. Dexter Goei, nouvel homme fort de l’empire de Patrick Drahi, Les Echos, 21 juin 2016
  12. a et b Article Comment Patrick Drahi (Altice/Numéricâble) veut devenir plus riche que Xavier Niel du 31 janvier 2014 sur Challenges.fr, consulté le 9 mars 2014
  13. Article Altice Group agrees deal to acquire 95.5% of Oni Communications for EUR 83m du 4 juin 2013 sur le site TeleGeography, consulté le 9 mars 2014
  14. Composition d'Altice VII sur son site officiel, consulté le 9 mars 2014
  15. Article L'homme d'affaires français Patrick Drahi prend une participation dans le réseau câblé israélien Hot du 5 mai 2009 sur Israel Valley, consulté le 9 mars 2014
  16. Article Outremer Telecom racheté par le roi du câble Patrick Drahi du 20 juin 2013 sur BFMTV, consulté le 9 mars 2014
  17. a et b Article Le groupe Altice confirme le rachat de IZI et Mobius du 16 janvier 2013 sur Imaz Press Réunion, consulté le 9 mars 2014
  18. Composition de l'actionnariat de Wananchi sur son site officiel, consulté le 9 mars 2014
  19. Patrick Drahi rachète Portugal Telecom, Le Monde, 9 décembre 2014
  20. Numéricable-SFR : Vivendi accepte de céder ses 20% à Drahi, La Tribune, 27 février 2015
  21. Patrick Drahi met un pied aux États-Unis pour 9,1 milliards de dollars, Challenges, 20 mai 2015
  22. [1]
  23. « Télécoms : Martin Bouygues refuse l'offre de Patrick Drahi » (consulté le )
  24. Rachat de NextRadioTV : comment l’opération est-elle financée ?, Marina Alcaraz, Les Échos, 27 juillet 2015
  25. Altice, la maison-mère de Numericable-SFR déménage aux Pays-Bas, latribune.fr, 10 août 2015
  26. Altice cède ses filiales portugaises ONI et Cabovisao à Apax, Usine nouvelle, 15 septembre 2015
  27. « Patrick Drahi rachète Cablevision pour 17,7 milliards de dollars », sur Challenges.fr,
  28. Patrick Drahi et Altice rachètent un deuxième câblo-opérateur aux États-Unis, Stéphane Lauer, Le Monde, 17 septembre 2015
  29. Altice et NextRadioTV concrétisent leur rapprochement, Usine Nouvelle, 4 décembre 2015
  30. « SFR fait le pari du mariage des médias et des télécoms », sur Le Monde,
  31. Les 50 milliards de dette de Patrick Drahi ne l'empêchent pas de dormir, liberation.fr, 8 juin 2016
  32. Patrick Drahi (SFR): "Je dors mieux avec mes 50 milliards de dette, que les 50.000 que j'avais à mes débuts!", huffingtonpost.fr, 8 juin 2016
  33. 40 milliards d’euros, la dette folle du groupe de Patrick Drahi, bfmbusiness.bfmtv.com, 22 juin 2015
  34. Le câblo-opérateur du groupe Altice a bouclé jeudi 27 novembre le rachat de SFR et de Virgin Mobile strategies.fr, le 28 novembre 2014
  35. a et b Altice va s'offrir Portugal Telecom après avoir mangé SFR et Virgin Mobile lexpansion.lexpress.fr, le 1er décembre 2014
  36. http://www.altice.net/phoenix.zhtml?c=252690&p=irol-aboutgroup
  37. « Numericable-SFR et Altice rachètent la participation de Vivendi | SFR », sur numericable-sfr.com (consulté le )
  38. groupe Numericable-SFR, « Présentation du groupe Numericable-SFR », sur groupe.sfr.fr,

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes