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Montmoreau-Saint-Cybard

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Montmoreau-Saint-Cybard
Montmoreau-Saint-Cybard
Montmoreau et son château.
Blason de Montmoreau-Saint-Cybard
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Angoulême
Commune Montmoreau
Intercommunalité Communauté de communes Lavalette Tude Dronne
Maire délégué
Mandat
Daniel Vinet
2017-2020
Code postal 16190
Code commune 16230
Démographie
Gentilé Montmoréliens
Population 1 056 hab. (2014 en diminution de -0.75 % par rapport à 2009)
Densité 88 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 24′ 00″ nord, 0° 07′ 54″ est
Altitude Min. 71 m
Max. 182 m
Superficie 12,00 km2
Élections
Départementales Tude-et-Lavalette
Localisation
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Montmoreau-Saint-Cybard
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Montmoreau-Saint-Cybard

Montmoreau-Saint-Cybard (prononcer [mɔ̃mɔʀosɛ̃sibaʀ]), nommée autrefois Saint-Cybard-de-Montmoreau, est une ancienne commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Depuis le , elle est devenue une commune déléguée de la commune nouvelle de Montmoreau dont elle est le chef-lieu[1].

Ses habitants sont les Montmoréliens et les Montmoréliennes[2].

Géographie

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Localisation et accès

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Vue de Montmoreau depuis l'est.

Montmoreau-Saint-Cybard est une commune du Sud Charente située à 28 km au sud d'Angoulême et 16 km au nord de Chalais.

Montmoreau est aussi à 24 km à l'est de Barbezieux, 12 km au sud-est de Blanzac, 15 km au sud-ouest de Villebois-Lavalette, 15 km au nord-ouest d'Aubeterre et 23 km au nord-ouest de Ribérac[3].

Montmoreau est située sur la route d'Angoulême à Libourne (D 674) qui descend la vallée de la Tude. Montmoreau est aussi à un carrefour important de routes départementales; la D 709 vers Ribérac et Mussidan, la D 10, d'Aubeterre à Blanzac, Châteauneuf et Cognac, la D 24 vers Barbezieux, et la D 16 au nord-est vers Villebois, Montbron et Confolens[4].

Elle est aussi située sur la voie ferrée Paris-Bordeaux et possède une gare (sur la commune de Saint-Amant) desservie par des TER à destination d'Angoulême et de Bordeaux.

Hameaux et lieux-dits

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La commune est allongée du nord au sud, et le bourg de Montmoreau en est à l'extrémité sud. Le village de Saint-Cybard, ancienne commune qui a conservé une mairie annexe, est à environ 2 km au nord.

La commune compte par ailleurs de nombreuses fermes et de petits hameaux : chez Braud, le Girondeau près de Saint-Cybard, les Argoulons au nord, etc.[4]

Communes limitrophes

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Géologie et relief

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Géologiquement, la commune est située dans les coteaux calcaires du Bassin aquitain datant du Crétacé supérieur, comme toute la moitié sud du département de la Charente.

On trouve le Campanien, calcaire crayeux, sur toute la surface communale. La commune est sur l'anticlinal de La Tour-Blanche d'orientation nord-ouest - sud-est. Les sommets à l'ouest de la commune sont localement recouverts de dépôts du Tertiaire (Lutétien et Cuisien) composés de galets, sables et argiles, propices aux bois de châtaigniers.

Les sommets et certains flancs de vallées sont occupés par des formations de recouvrement et colluvions issues de la roche en place et datant du Quaternaire (Pléistocène), principalement au nord du territoire communal. La vallée de la Tude, à l'est, est occupée par des alluvions récentes[5],[6],[7].

Le relief communal est relativement vallonné, au cœur des collines du Montmorélien. La commune est bordée à l'est par la vallée de la Tude. Le point culminant de la commune est à une altitude de 182 m, situé sur la bordure occidentale au nord de Saint-Eutrope. Le point le plus bas est à 71 m, situé le long de la Tude en limite sud près du pont en bas du bourg. Celui-ci, construit au bord de la rivière et à l'extrémité sud de la commune, s'étage entre 75 et 120 m d'altitude[4].

Hydrographie

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La vallée de la Tude au pied du château.

La commune est arrosée sur sa bordure orientale par la Tude, affluent de la Dronne, donc dans le bassin de la Garonne. Montmoreau est située plus près de la source de la Tude qui n'est qu'à 10 km au nord, alors que le confluent est à 35 km au sud.

De petits ruisseaux situés dans la commune au nord du bourg affluent sur sa rive droite : le ruisseau du Maine Blanc, le ruisseau du Maine Pezet, le ruisseau du Moulin d'Aignes qui descend du bourg d'Aignes et rassemble le ruisseau du Moulin Brunet qui limite la commune au nord, le ruisseau Démoulé et la Grande Fontaine qui descend de Saint-Eutrope. Quelques retenues d'eau à but agricole sont aussi à signaler[4].

Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain, et semblable à celui de la ville de Cognac où est située la station météorologique départementale.

Les formes anciennes sont Montis Maurelli au XIe siècle[8], Mons Morelli, Montemmaurelli, Mons Mourelli au XIIIe siècle[9], Mons Maurelii[10].

L'origine du nom de Montmoreau remonterait au latin mons signifiant « colline » et d'un nom de personne latin, peut-être gallo-romain, Maurellus[11]. Ce nom de personne, Moreau, signifie aussi bien "brun comme un Maure" que "d'origine Maure"[12],[Note 1].

Les formes anciennes de Saint-Cybard sont Sanctus Eparchius prope Montemmaurelli vers 1300[9], Sanctus Eparchius en 1495[13].

L'origine du nom de Saint-Cybard provient de l'ermite d'Angoulême Éparchius[13],[Note 2].

La commune de Saint-Cybard a été réunie à celle de Montmoreau en 1966[14].

Selon une croyance tenace, Montmoreau aurait été fondée par les Arabes. Abd al-Rahman ibn Abd Allah al-Rhafiqi se serait arrêté sur cette colline en 727 et de son séjour, la cité aurait gardé le nom de « mont des Maures »[15].

Au Moyen Âge, principalement aux XIIe et XIIIe siècles, Montmoreau se trouvait sur une variante nord-sud de la via Turonensis, itinéraire du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle qui passait par Nanteuil-en-Vallée, Saint-Amant-de-Boixe, Angoulême, Mouthiers, Blanzac, Puypéroux et Aubeterre[16].

Au Moyen Âge, Montmoreau était le siège d'une importante seigneurie de l'Angoumois, dont les possesseurs devaient porter un des quatre pieds du trône de l'évêque d'Angoulême lors de son intronisation[Note 3].

Cette seigneurie eut dès le début des seigneurs particuliers, et aux XIIIe et XIVe siècles, plusieurs portaient le nom d'Alo de Montmoreau. Vers le milieu du XVIe siècle, Jean de Mareuil était baron de Montmoreau. Au début du XVIIe siècle, la baronnie de Montmoreau passa entre les mains de la famille de Rochechouart. En 1709, Anne de Rochechouart héritant de Montmoreau épousa Isaac de Perry, qui devint ainsi seigneur de Montmoreau et comte de Saint-Auvent. Avant la Révolution la terre de Montmoreau passa à la branche Perry de Nieuil, dont les aînés portaient le titre de baron de Montmoreau.

L'église était au Moyen Âge le siège d'un prieuré dépendant de l'abbaye de Nanteuil. Il fut conventuel jusqu'à la fin du XVIe siècle. Vers 1620, on voulut rétablir la conventualité, mais les abbés commendataires s'y opposèrent.

Au nord-ouest du château s'élevait une chapelle particulière, qui devait, comme à Villebois-Lavalette ou Marthon, accueillir des pèlerins ou voyageurs[17]. Montmoreau était situé sur le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle qui passait en Charente par Nanteuil-en-Vallée, Tusson, Montignac, Angoulême, Mouthiers, Puypéroux, Aubeterre[16].

Pendant la Révolution, l'ancienne commune de Saint-Cybard-de-Montmoreau s'est appelée provisoirement Tude[18].

Politique et Administration

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La mairie.

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1981 ? Maurice Monsallut    
1989 1995 Jean-Louis Dorcier DVD  
1995 2008 Jean-Claude Louis DVG  
2008 2016 Daniel Vinet SE Retraité

Politique environnementale

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Dans son palmarès 2015, le Conseil National des Villes et Villages Fleuris de France a attribué une fleur à la commune au Concours des villes et villages fleuris[19].

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[21],[Note 4].

En 2014, la commune comptait 1 056 habitants, en évolution de −0,75 % par rapport à 2009 (Charente : +0,65 %, France hors Mayotte : +2,49 %).

           Évolution de la population  [modifier]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
383411429448456535591649675
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
701699771785791797736743780
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
834882769800732721754772842
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2014 -
1 0991 1771 1791 1201 0521 0601 0551 056-
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[14] puis Insee à partir de 2006[22].)
Histogramme de l'évolution démographique

En 2008, Montmoreau-Saint-Cybard comptait 1 062 habitants (soit une stagnation de 1 % par rapport à 1999). La commune occupait le 8 982e rang au niveau national, alors qu'elle était au 8 256e en 1999, et le 64e au niveau départemental sur 404 communes.

Le maximum de la population a été atteint en 1982 avec 1 179 habitants.

Pyramide des âges

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Pyramide des âges à Montmoreau-Saint-Cybard en 2007 en pourcentage[23].
HommesClasse d’âgeFemmes
0,2 
90  ans ou +
1,7 
11,2 
75 à 89 ans
17,8 
15,3 
60 à 74 ans
18,4 
18,6 
45 à 59 ans
19,5 
20,2 
30 à 44 ans
17,3 
17,1 
15 à 29 ans
11,8 
17,4 
0 à 14 ans
13,6 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2007 en pourcentage[24].
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90  ans ou +
1,6 
8,2 
75 à 89 ans
11,8 
15,2 
60 à 74 ans
15,8 
22,3 
45 à 59 ans
21,5 
20,0 
30 à 44 ans
19,2 
16,7 
15 à 29 ans
14,7 
17,1 
0 à 14 ans
15,4 

Montmoreau a absorbé Saint-Cybard en 1966[14].

Enseignement

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Le collège d'enseignement général Antoine Delafont accueille les élèves de la 6e à la 3e. Il compte 187 élèves répartis dans huit classes en 2011[25].

L'école est un RPI entre Montmoreau et Saint-Amant, qui accueillent chacune une école élémentaire. L'école de Montmoreau comporte trois classes[26].

Montmoreau accueille aussi une école maternelle[26].

Agriculture

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La viticulture occupe une partie de l'activité agricole. La commune est classée dans les Fins Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[27].

  • Magasins (dont un boucher, des boulangers, des fleuristes, ...), des restaurants et deux grandes surfaces, route d'Angoulême.

Lieux et monuments

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Patrimoine religieux

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L'église paroissiale Saint-Denis de Montmoreau, est une église romane du XIIe siècle, et présente un beau portail. Elle a été remaniée en partie au XIXe siècle par l'architecte Paul Abadie (clocher). L'édifice est classé au titre des monuments historiques en 1846[28].

L'église Saint-Cybard est située à Saint-Cybard au nord du bourg, sur la route de Saint-Eutrope commune déléguée de la commune nouvelle de Montmoreau depuis le 1er janvier 2017.

Patrimoine civil

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Le château de Montmoreau surplombant la vallée

La ville est surmontée par le château (propriété privée) datant du Moyen Âge. L'ensemble des bâtiments, y compris la chapelle, située dans les jardins, est classé monument historique depuis 1952[29]. Son enceinte daterait du XIe siècle, le château a été détruit durant la guerre de Cent Ans, il n'en reste qu'une porte monumentale et le château actuel a été rebâti sur les remblais au XVe siècle sous forme d'un manoir à l'abri de ses enceintes.

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Blason Blasonnement :
D’azur au château d’argent ajouré et ouvert du champ[30].

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Articles connexes

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Liens externes

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  • Catillus Carol, « Montmoreau », (consulté le )

Notes et références

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  1. Le nom propre Moreau est d'ailleurs assez répandu en Charente.
  2. Saint Cybard a aussi donné son nom à un quartier d'Angoulême par son abbaye, ainsi qu'aux communes de Saint-Cybard (Dordogne), Saint-Cibard (Gironde), Saint-Ybard (Corrèze), Saint-Ybars (Ariège) et Saint-Cybardeaux (Charente)
  3. Le trône était porté par les deux Roches et les deux Monts de l'Angoumois, à savoir les seigneurs de La Rochefoucauld, La Rochechandry, Montbron et Montmoreau.
  4. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.

Références

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  1. « Commune de Montmoreau (16230) », sur insee.fr (consulté en ).
  2. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le ).
  3. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
  4. a b c et d Carte IGN sous Géoportail
  5. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  6. Carte du BRGM sous Géoportail
  7. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Montmoreau », sur Infoterre, (consulté le ).
  8. Jean Nanglard, Cartulaire de l'église d'Angoulême, t. IX, Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente, imprimerie G.Chasseignac, (1re éd. 1180), 296 p. (lire en ligne), p. 36,179
  9. a et b Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 79,228,230
  10. Cartulaire de Saint-Jean-d'Angély
  11. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 471.
  12. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
  13. a et b Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 592.
  14. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  15. Le Petit Futé Poitou-Charentes, par Guillaume Cléon, collectif, Christian Bruneteau, p.111
  16. a et b Joël Guitton et al., Les chemins de Saint-Jacques en Charente, éditions Sud Ouest, , 254 p. (ISBN 978-2-8177-0053-3, présentation en ligne)
  17. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 250
  18. Jacques Baudet et Jacques Chauveaud, « Toponymie révolutionnaire en Charente », Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente,‎ 4e trimestre 1986, p. 272-278 (lire en ligne [PDF] sur andre.j.balout.free.fr, consulté en )
  19. Site des villes et villages fleuris, consulté le 27 décembre 2015.
  20. L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
  21. Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee.
  22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 2011201220132014 .
  23. « Evolution et structure de la population à Montmoreau-Saint-Cybard en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  24. « Résultats du recensement de la population de la Charente en 2007 » [archive du ], sur le site de l'Insee (consulté le ).
  25. Site de l'inspection académique de la Charente, « Collèges » (consulté le ).
  26. a et b Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le ).
  27. « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le ).
  28. « Église Saint-Denis », notice no PA00104432, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  29. « Château (chapelle, toiture) », notice no PA00104431, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  30. Jean-Paul de Gassowski, « OLDJP - La banque du blason 2 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), (consulté le ).