La Verpillière
La Verpillière | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Isère | ||||
Arrondissement | La Tour-du-Pin | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Porte de l'Isère | ||||
Maire Mandat |
Patrick Margier 2020-2026 |
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Code postal | 38290 | ||||
Code commune | 38537 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Vulpillien(ne)s | ||||
Population municipale |
7 500 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 1 130 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 38′ 16″ nord, 5° 08′ 37″ est | ||||
Altitude | Min. 205 m Max. 305 m |
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Superficie | 6,64 km2 | ||||
Type | Ceinture urbaine | ||||
Unité urbaine | Villefontaine (banlieue) |
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Aire d'attraction | Lyon (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de La Verpillière (bureau centralisateur) |
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Législatives | Dixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Isère
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Liens | |||||
Site web | www.laverpilliere.eu | ||||
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La Verpillière [la vɛʁpijɛʁ] est une commune française de l'unité urbaine de Villefontaine, située dans le département de l'Isère en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Autrefois rattachée à la province du Dauphiné, la ville est située dans la partie orientale de l'aire urbaine de Lyon.
La commune appartient à la communauté d'agglomération Porte de l'Isère dont le siège est fixé à L'Isle d'Abeau. Ses habitants sont dénommés les Vulpillien(ne)s[1].
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]La commune de La Verpillière est située sur un axe important de la région Auvergne-Rhône-Alpes entre Lyon et Grenoble-Chambéry.
L'agglomération bénéficie d'un positionnement géographique avantageux sur les plans économique et social , non loin d'un aéroport international et de nombreux axes routiers majeurs et se positionne à 77 km de Grenoble, préfecture du département de l'Isère, 29 km de Lyon, chef-lieu de la Région Auvergne-Rhône-Alpes, 332 km de Marseille et 499 km de Paris, par la route.
Le centre de la commune est également situé à 12,4 km de Bourgoin-Jallieu, principale ville de son secteur[2].
Description
[modifier | modifier le code]Ville de taille moyenne, La Verpillière est le chef-lieu d'un canton qui porte le même nom. La superficie de la ville est de 6,64 km2 et de plus de 7 000 habitants.
Surplombée par une forêt, et composée en partie de terres agricoles et de marais (fortement impactés par une urbanisation croissante) , La Verpillière a su demeurer un lieu ou la nature reste maître des lieux (même si elle ne reste pas à l'abri de la poussée immobilière), elle est en outre traversée par une rivière « La Bourbre », et possède un étang.
La Verpillière a intégré la nouvelle communauté d'agglomération (CAPI), dans laquelle elle est représentée par deux vice-Présidents et huit délégués. Les principales villes voisines sont Villefontaine, Saint-Quentin-Fallavier (accueillant l'une des plus grandes ZI de France), L'Isle-d'Abeau et Bourgoin-Jallieu connue par le rugby.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Villefontaine, Saint-Quentin-Fallavier et Frontonas sont les trois villes limitrophes de La Verpillière.
Saint-Quentin-Fallavier | Frontonas | |||
N | Villefontaine | |||
O La Verpillière E | ||||
S | ||||
Saint-Quentin-Fallavier | Villefontaine |
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]La Verpillière se situe entre la plaine de Lyon et la bordure occidentale du plateau du Bas-Dauphiné qui recouvre toute la partie iséroise où il n'y a pas de massifs montagneux. Le plateau se confond donc avec l'ensemble géographique du nord du département de l'Isère, secteur qui est essentiellement composé de collines de basse ou moyenne altitude et des longues vallées entre Terres froides et Balmes viennoises. L'ouest de ce secteur correspond à la plaine lyonnaise.
Il s'agit en fait d'une pénéplaine accidentée avec des collines datant du Miocène, éminences qui séparent les vallées de rivières toutes tributaires du Rhône. Au nord de la plaine berjalienne se présente un modeste massif calcaire jurassique dénommé localement l'Isle-Crémieu du fait de son élévation. Celui-ci se prolonge jusqu'au territoire de La Verpillière. Les glaciations qui se sont succédé au cours du Quaternaire sont à l'origine du modelé actuel de la plaine, les produits antéglaciaires restant profondément enfoui sous les dépôts d'alluvions liés à l'écoulement des eaux lors de la fonte des glaces[3].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est longé dans sa partie septentrionale par le canal de dessèchement de la Bourbre. La Bourbre est une rivière d'une longueur de 72,2 km[4] qui traverse une grande partie de la plaine berjalienne et qui conflue avec le Rhône au nord du département de l'Isère.
Le syndicat Mixte d'aménagement du bassin de la Bourbre, regroupant 75 communes, est la structure de gestion du bassin[5]
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Moyenne vallée du Rhône, caractérisée par un bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 60 %), une forte amplitude thermique annuelle (4 à 20 °C), un air sec en toutes saisons, orageux en été, des vents forts (mistral), une pluviométrie élevée en automne (250 à 300 mm)[7].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 18 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 922 mm, avec 9,7 jours de précipitations en janvier et 6,5 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lyon-Saint-Exupery », sur la commune de Colombier-Saugnieu à 9 km à vol d'oiseau[8], est de 12,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 862,5 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 1,1 | 1,4 | 4,3 | 7,3 | 11,2 | 14,8 | 16,7 | 16,5 | 12,8 | 9,6 | 4,8 | 1,9 | 8,5 |
Température moyenne (°C) | 3,9 | 4,9 | 8,8 | 12,1 | 16,1 | 19,9 | 22,1 | 21,9 | 17,7 | 13,5 | 7,9 | 4,6 | 12,8 |
Température maximale moyenne (°C) | 6,6 | 8,4 | 13,4 | 16,9 | 20,9 | 25 | 27,5 | 27,3 | 22,5 | 17,3 | 11 | 7,2 | 17 |
Record de froid (°C) date du record |
−20,3 07.01.1985 |
−12,9 11.02.1986 |
−9,6 01.03.05 |
−3 08.04.03 |
−0,2 01.05.1976 |
4 04.06.1984 |
6,6 22.07.1980 |
5,1 30.08.1986 |
1,7 22.09.1977 |
−3,7 31.10.1997 |
−8,1 27.11.1989 |
−12,7 10.12.1980 |
−20,3 1985 |
Record de chaleur (°C) date du record |
20,4 10.01.15 |
22,4 24.02.1990 |
26,1 22.03.1990 |
28,8 30.04.05 |
33,9 24.05.09 |
38,1 22.06.03 |
39,4 24.07.19 |
39,9 24.08.23 |
34,2 10.09.23 |
30,3 09.10.23 |
22,4 08.11.15 |
20,1 18.12.1989 |
39,9 2023 |
Ensoleillement (h) | 727 | 993 | 1 678 | 1 826 | 2 165 | 2 515 | 2 786 | 2 469 | 186 | 1 235 | 717 | 504 | 19 473 |
Précipitations (mm) | 55 | 46,9 | 54,1 | 72,4 | 82,7 | 70,7 | 67,4 | 70,6 | 86,6 | 101 | 92,1 | 63 | 862,5 |
Voies de communication
[modifier | modifier le code]- Autoroutes
L' Autoroute A43 permet de relier Lyon et Chambéry (ainsi que l'agglomération grenobloise grâce à la jonction avec l' autoroute A48) dessert le territoire communal, notamment grâce à une bretelle permettant son accès direct.
- 6 à 25 km : Villefontaine, La Verpillière, Vaulx-Milieu, L'Isle-d'Abeau-Parc Technologique
- Routes
L'ancienne route Nationale 6 déclassée en route départementale permet de relier la commune avec l'agglomération lyonnaise et les autres communes de la communauté de communes dont Bourgoin-Jallieu et L'Isle d'Abeau.
Transports publics
[modifier | modifier le code]- Par le train
La gare de La Verpillière est desservie par des trains TER Auvergne-Rhône-Alpes des relations :
- de Lyon-Part-Dieu à Grenoble,
- de Lyon-Perrache à Saint-André-le-Gaz ou Grenoble.
- Par les transports routiers
La Verpillière est desservie par plusieurs lignes de transport routier dont une ligne Transisère Lyon (Part-Dieu) / Saint-Quentin-Fallavier / Villefontaine, ainsi que deux lignes régulières du Réseau urbain Bourgoin-Jallieu - Agglomération nouvelle (dit Ruban) :
- Ligne B : Villefontaine Mas de la Raz ↔ La Verpillière Mairie
- Ligne H : La Verpillière - Giraud - Gare SNCF ↔ La Verpillière - Giraud - Gare SNCF (Ligne circulaire)
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , La Verpillière est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle appartient à l'unité urbaine de Villefontaine[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant six communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[13],[14]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lyon, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[14]. Cette aire, qui regroupe 397 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[15],[16].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (38,3 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (34,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (32,4 %), zones urbanisées (30,7 %), terres arables (20,5 %), zones agricoles hétérogènes (8,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (7,5 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Quartiers, hameaux et lieux-dits
[modifier | modifier le code]Voici, ci-dessous, la liste la plus complète possible des divers hameaux, quartiers et lieux-dits résidentiels urbains comme ruraux qui composent le territoire de la commune de La Verpillière, présentés selon les références toponymiques fournies par le site géoportail de l'Institut géographique national[18].
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Morphologie urbaine
[modifier | modifier le code]Le quartier de Riante Plaine est composé uniquement de logements sociaux avec une vingtaine d'immeubles (R+2 à R+8). Une zone commerciale y est implantée. le centre-ville est essentiellement composé de maisons et petits immeubles (R+2) comporte les commerces de proximité de la ville. Le secteur de la gare est en pleine mutation notamment avec le contournement du passage à niveau, création de parkings dû à la fréquentation en hausse de la gare (plus de 2000 voyageurs par jour). Le secteur du stade-Mairie est composé majoritairement d'immeubles (R+3 a R+7).
Logement
[modifier | modifier le code]Projets d'aménagement
[modifier | modifier le code]Depuis ces dernières années l'aménagement de la commune s'est accéléré, et avec lui le nombre d'immeubles et de maisons. Sur le site de l'ancienne école Les Marronniers, plus de 300 logements prévus sur le site de Tecumseh, un immeuble construit dans la rue de la République et enfin plusieurs immeubles et logements proches du centre-ancien (de l'église) et sur la zone des marais (anciennement inondable).
Risques naturels et technologiques majeurs
[modifier | modifier le code]Risques sismiques
[modifier | modifier le code]L'ensemble du territoire de la commune de La Verpillière est situé en zone de sismicité n°3, comme l'ensemble des communes de son secteur géographique[19].
Type de zone | Niveau | Définitions (bâtiment à risque normal) |
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Zone 3 | Sismicité modérée | accélération = 1,1 m/s2 |
Autres risques
[modifier | modifier le code]Toponymie
[modifier | modifier le code]Historique du nom
[modifier | modifier le code]de Vulpilleri au XIIIe siècle, Vulpilleria et Verpoleya au XVe siècle, Verpillyat au XVIIIe siècle[21].
Interprétation et étymologie
[modifier | modifier le code]Le nom de La Verpillière proviendrait du nom latin vulpēs signifiant renard. Un grand nombre de ces animaux (certainement le Renard roux (Vulpes vulpes) furent certainement observés dans le secteur lors de la création de la paroisse[22]. Afin d'accréditer ce fait, deux renards figurent sur les armoiries de la ville[23].
Les armoiries de la ville sont ici en accord avec l’origine de son nom, ce qui n’est pas toujours le cas. Il pourrait s’agir d’un terme vulpicula associé à un suffixe -aria[24]. Il existe bien le mot latin vulpecula mais c’est un diminutif de vulpes et signifie « petit renard ». Plus simplement nous avons affaire à un mot régional, verpillière, volpillière, vulpilière[21], équivalent de l’arpitan vualpelira[25], « lieu fréquenté par les renards ».
Histoire
[modifier | modifier le code]Préhistoire et Antiquité
[modifier | modifier le code]Moyen Âge
[modifier | modifier le code]Durant l'époque médiévale, la paroisse de La Verpillière dépend de la terre des seigneurs de Fallavier. Les comptes de la châtellenie de Fallavier, mis en place par Pierre II de Savoie, sont parmi les plus anciens conservés de la gestion par les comtes de Savoie et remonte au milieu du XIIIe siècle[26]. Guillaume de Beauvoir est en 1233[27] le seigneur de Fallavier et des terres environnante et prête hommage au chapitre de Saint-Maurice. En 1242[27] il vend sa possession en fief oblat à l'évêque de Clermont, puis à l'archevêque de Vienne en 1247[27].
Par lettres, le comte Amédée VI de Savoie porte concession en fief à Guillaume de Franciscy le domaine de La Verpillière. Au cours de l'année 1349, le royaume de France annexa le Dauphiné. Sept ans plus tard, en janvier 1356, l'enclave savoyarde de Fallavier fut concédée au Dauphiné et par conséquent au royaume de France.
Temps Modernes
[modifier | modifier le code]Un procès-verbal en date du confirme l'appartenance des terres de Falavier comprenant Les paroisses de Saint-Quentin, la Verpillière, de Ponas et de Menufamille au domaine royal, le vassal propriétaire de ces terres étant Imbert de Comboursier[28]. Au XVIIe siècle et au siècle suivant, l'église Saint-Denis de la Verpillière faisait partie des membres de la commanderie hospitalière de Bellecombe[29].
Époque contemporaine
[modifier | modifier le code]La Seconde guerre mondiale
[modifier | modifier le code]Le des combats opposent l'armée allemande d'occupation aux troupes de l'armée de libération et celle de la Résistance locale qui progressent vers Lyon après avoir contourné le secteur du canton de La Verpillière[30].
XXIe siècle
[modifier | modifier le code]Entre 2003 et 2006, la bande organisée d'abord dénommée sous le nom de « gang des mécanos » puis sous le nom de « gang des souris vertes » procèdent à de nombreuses attaques de banques et de fourgons de transport de fonds sur le territoire français. Le une attaque à La Verpillière va entraîner la fin de l'aventure pour les membres du gang : un convoyeur de fonds s'échappe et réussit à donner l'alarme, les gendarmes réussissant à intercepter la voiture des gangsters, ce qui entraînera l'arrestation de trois hommes sur la commune voisine de Bonnefamille et le suicide de leur chef[31].
En 2012, un tableau du peintre français Charles Camoin dénommé « La jeune fille au foulard », dérobé cinq ans plus tôt, a été retrouvé sur les bords de la Bourbre par un pécheur. Le tableau fut très rapidement identifié par la gendarmerie locale car il était fiché dans la base de données d’Interpol[32].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Élections locales
[modifier | modifier le code]Élections municipales de 2014
[modifier | modifier le code]Ces élections opposent le maire sortant Patrick Margier (UDI) à Nicolas Sielanszyk (DVG) et Antoine Rodríguez (Divers droite).
- Résultats du premier tour
Patrick Margier obtient 44.14% des voix (1088 votes), {Nicolas Sielanszyk} obtient 31.76 % des voix (783 voix) et Antoine Rodríguez obtient 24.1 % des voix (594 votes).
On compte moins de 3 % de votes blancs ou nuls. La participation s'élève à 62.68%.
- Résultats du second tour
Patrick Margier remporte le scrutin avec 48.40 % (soit 1268 votes), Nicolas Sielanszyk arrive second avec 35.99% (soit 943 votes) et enfin Antoine Rodríguez avec 15.61% (soit 409 voix).
Les votes blancs ou nuls ne s'élèvent qu'à 1.43 % et la participation est de 65.91 %.
Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Scrutin | 1er tour | 2d tour | |||||||||||||||||
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1er | % | 2e | % | 3e | % | 4e | % | 1er | % | 2e | % | ||||||||
Présidentielle 2017[33] | FN | 27,37 | EM | 21,72 | LFI | 19,45 | LR | 15,96 | EM | 60,04 | FN | 39,96 | |||||||
Présidentielle 2022[34] | RN | 27,57 | LREM | 24,43 | LFI | 22,58 | REC | 8,10 | LREM | 53,18 | RN | 46,82 | |||||||
Législatives 2022 | 10e[35] | RN | 27,21 | Ren-Ens | 25,32 | LFI-Nupes | 24,66 | LR | 8,78 | Ren | 50,61 | RN | 49,39 | ||||||
Législatives 2024 | 10e[36] | RN | 39,36 | LFI-NFP | 27,75 | Ren-Ens | 22,11 | LR | 9,07 | RN | 51,25 | LFI | 48,75 |