Aller au contenu

John Stewart Bell

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
(Redirigé depuis John S. Bell)
John Stewart Bell
John Bell au CERN en juillet 1982
Biographie
Naissance
Décès
Sépulture
Cimetière de Saint-Georges (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Domicile
Formation
Activités
Conjoint
Mary Ross Bell (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
A travaillé pour
Membre de
Maîtres
Directeur de thèse
Distinctions
Œuvres principales
Théorème de Bell, Bell's spaceship paradox (d), anomalie chirale (d), état de Bell, expériences sur les inégalités de BellVoir et modifier les données sur Wikidata
Plaque commémorative
Vue de la sépulture.

John Stewart Bell (, Belfast - , Genève) est un physicien nord-irlandais, connu principalement pour son théorème et la mise en évidence des inégalités qui en découlent. Ce résultat est considéré comme l'un des plus importants en physique quantique au XXe siècle, notamment en ce qui concerne les théories dites « à variables cachées (locales et non locales) » .

En conséquence, Bell estimait qu'il fallait redonner une plus juste place à la théorie de De Broglie-Bohm (David Joseph Bohm), par rapport à l'interprétation de Copenhague.

En 1988, il fut lauréat du Prix et médaille Paul Dirac et 1989, il fut lauréat de la médaille Hughes.

Dès l'âge de 11 ans, John Bell voulait devenir chercheur. Il obtint son doctorat de physique dans les années 1950. C'est le paradoxe EPR qui le conduisit à ses travaux les plus célèbres.

Il meurt en 1990 des suites d'un AVC[1]. Ses restes ont été incinérés. L'urne contenant ses cendres a été enterrée au Columbarium du Cimetière de Saint-Georges à Genève.

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. « John Bell », sur Futura (consulté le ).

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]