Flotte de l'ordre du Temple
Afin d'assurer le transport des biens, des armes, des frères de l'ordre, des pèlerins et des chevaux, l'ordre du Temple louait les services de navires marchands, mais avait fait également construire ses propres bateaux. Ceux-ci convoyaient après de nombreuses escales les personnes et équipements pour les croisades à destination des ports orientaux, mais étaient également utilisés pour des liaisons commerciales à travers toute l'Europe[1].
Catégories de navires
[modifier | modifier le code]Les Templiers utilisèrent au moins trois types de bateaux différents: les bateaux de transports d'hommes et de marchandises, les bateaux de guerre, et les navires huissiers destinés au transport des chevaux[1].
- En Méditerranée, le navire de guerre était la galère, et les navires de charge étaient : les navas construits principalement à Venise et à Gênes ; les navires huissier, larges nefs dotées de portes arrière ou latérales (huis), permettant d'embarquer jusqu'à une centaine de chevaux, suspendus par des sangles afin d'assurer la stabilité de l'ensemble pendant le voyage[2] ; les Paranza (ou Paranzella)[3], grosses barques utilisées pour la pêche ou le transport, en partance principalement du Sud de l'Italie avec des cargaisons de marchandises ou de pèlerins pour la Terre sainte (probable ancêtre de la Balancelle ainsi désigné à partir du XIXe siècle lorsque ce type de bateau a commencé à se répandre en Méditerranée). Certains bateaux pouvaient transporter de huit cents à deux mille personnes[4].
- En Atlantique, le navire de transport était la nef, aussi appelée nau par les Portugais et nao par les Espagnols, qui au besoin pouvait être militarisé et devenir navire de guerre. Au début du XIIIe siècle, un autre type de voilier apparut au nord de l'Europe, le cogge appelé aussi Koggen, également navire de transport ou de guerre.
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Nef, caraque, ou nave.
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Galère de Malte.
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Paranzella ou balancelle.
Ports d'attache et liaisons commerciales
[modifier | modifier le code]Commanderies maritimes templières, ou ports utilisés par les Templiers (Liens vers les articles des villes ou commanderies correspondantes) |
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Les Templiers étaient établis dans plusieurs villes de la côte de Terre sainte, d'Europe et en Petite Arménie. À partir de 1162, puis tout au long du XIIe siècle, les voyages organisés par les Templiers au départ de la Provence (Saint Gilles et Arles principalement[4]) et de l'Italie du Nord vers la Terre sainte, montrent leur rôle dans la protection de celle-ci [5].
Les ports de Marseille[5],[6], Nice, Saint-Raphaël[7], Collioure[8], Toulon ou d'Aigues-Mortes en France étaient utilisés, ainsi que d'autres ports italiens. Les commanderies situées dans ou à proximité des ports jouaient donc un rôle important dans les activités commerciales de l'ordre[9]. Des établissements maritimes templiers étaient installés en Provence, en Italie à Gênes, Pise ou Venise, ou encore dans la Petite Arménie (à Ayas par exemple [5]), mais c'était dans le sud de l'Italie, plus particulièrement à Brindisi et à Trani, que les nefs templières méditerranéennes passaient l'hiver pour y être radoubées. L'Ordre se dota dès le XIIe siècle, puis courant du XIIIe siècle d'une vingtaine de commanderies côtières:
Tripoli au Liban, Tortose, Lattaquié (crée dès 1154, et qui perdura jusqu'en 1287), Acre, Sidon (Château de la Mer), ou encore Jaffa en Terre sainte[10]. Mais aussi Gaza et Ashkelon, au sud du royaume de Jérusalem, Port-Bonnel et Alexandrette en Cilicie, ou encore Tyr au Sud-Liban actuel, où les Templiers possédaient un quartier entier[2].
Le port d'Acre était le plus important de l'ordre[11]. La voûte d'Acre était le nom d'un des établissements possédés par les Templiers dans la ville, celui-ci se trouvant près du port.
Navires du Temple
[modifier | modifier le code]Voici quelques noms de navires utilisés ou possédés par les templiers[12] :
- Le Templère, le Buscart, le Buszarde du Temple vers 1230, reliant l'Angleterre au continent[13]
- La Bonne Aventure en 1248, et la Rose du Temple en 1288-1290 à Marseille (l'appartenance de ces 2 navires à l'ordre du Temple n'étant pas certaine, ils étaient peut-être simplement nolisés[6]). C'est à partir de ce port que le commandeur du Passage était chargé d'écouler en Orient les hommes et matériels de l'Ordre[5].
- La Bénite[14], en latin « Sanctus », affrétée par Jean Ier de Dreux en 1248[15]
- L'Angellica en Italie du sud
- La Santa Anna, qui se trouvait en 1302 à Famagouste (Chypre), et qui était nolisé (affrété) à des marchands occidentaux[16]
- Le Faucon (ou (la) Falcon Templum, à ne pas confondre avec un navire hospitalier de même nom[17]) basé à Saint-Jean-d’Acre, d'une capacité de transport de 1 500 personnes[14], qui se trouvait également à Famagouste (Chypre) en 1301[18]. Sous le commandement de Roger de Flor, il participa à l'évacuation en 1291 de la population civile d'Acre, lors de la chute du siège de l'Ordre. Il fut désarmé à Marseille, lors de la fuite de Roger de Flor, accusé par Jacques de Molay d'avoir détourné à son profit une partie des trésors sauvés avec la population[19]
- L'Olivette, acheté en 1301 par Roger de Flor, toujours templier et conseiller de Frédéric II de Sicile[20].
- La mestre galie, vaisseau amiral de l'Ordre à partir de 1248, abritait dans sa cale les dépôts réguliers des participants de la croisade, et avait semblerait-il un pont blindé et ignifugé[2]
- L'Allégresse et la Nave Angélique, navires de guerre ayant participé à la huitième croisade (1270)[5].
- La Sainte Trinité : en septembre 1306, trois contrats concernaient ce navire pour un voyage entre Marseille et les Pouilles[17].
- En 1293, les templiers firent l’acquisition de six galères auprès de Venise, venues compléter les deux vaisseaux dont ils disposaient déjà à Chypre, pour assurer la protection de l’île[21].
Au nord, les templiers utilisèrent les ports de Boulogne, Barfleur, ainsi que les ports des villes flamandes. La Rochelle fut également utilisée, mais ce port aurait eu un statut particulier, principalement pour des liaisons commerciales avec l'Angleterre et la Flandre.
Sur le plan commercial, les Templiers se livrèrent tout au long du XIIIe siècle, à de fructueuses activités: le vin tint la première place dans leur négoce et ils l'exportèrent surtout vers l'Angleterre et la Flandre[10]. Mais une autre utilisation du port pourrait expliquer son importance stratégique et son développement: de nombreuses marchandises en provenance de l'Europe du Nord, comme Bristol en Angleterre par exemple[22], étaient débarquées à La Rochelle, transportées par voie fluviale puis terrestre jusqu'aux ports de Méditerranée, comme Collioure, pour être à nouveau embarquées en direction de la Terre sainte, évitant ainsi le détroit de Gibraltar, beaucoup plus risqué[13]. Le transport des marchandises était effectué soit sur des navires loués à des particuliers, soit sur leurs propres navires. En plus des navires marchands, la flotte templière semblait y être très importante.
La légende voudrait que la veille de l'arrestation des templiers, soit le 12 octobre 1307, 17 ou 18 navires de cette flotte aient appareillé pour une destination inconnue[23].
Faxfleet a été l'une des rares commanderies de Grande-Bretagne à avoir un accès direct à la mer, d'autre étant par exemple Dunwich ou Strood. Les Templiers d'Angleterre se fournissaient en vin du Poitou principalement à partir du port de La Rochelle[12].
Au sud, les templiers utilisèrent les ports de Marseille, Toulon, également commanderie templière, ainsi que Collioure, et Majorque, qui fut quant à elle une commanderie maritime[1].
Commanderie de Marseille
[modifier | modifier le code]Le port de Marseille reçu dès les premières années du XIIIe siècle la faveur des Templiers et des Hospitaliers, de par sa localisation entre le Nord de la France, via le couloir rhodanien, et la mer. À partir de la troisième croisade (1189-1192), Marseille s’affirmait déjà comme le principal port d’embarquement des pèlerins se rendant de France à Acre, prenant le pas sur le port de Saint-Gilles, menacé d’ensablement et concurrencé par Aigues-Mortes[4].
Les Templiers étaient implantés en bordure du barri vieux donnant sur la place platea templi, un des lieux de débarquement des marchandises[9]. Un magister passagii (maître du passage) veillait sur les comptes du Temple lors des transbordements de marchandises et d'hommes : Guillaume de Gonesse (1255), Henri de Dôle (1260-1274 et 1280), Simon de Quincy (1303), ou encore Jean de Villamer (1306)[10].
L'ordre du Temple se développant rapidement dans les Pouilles, les Templiers de Barletta commencèrent à envoyer de l'aide en Terre sainte, principalement alimentaire, en profitant du fait que la ville était un port d'une certaine importance. Les livraisons ont été faites principalement en utilisant des bateaux appartenant à l'Ordre[24] : paranza S. Nicola (aux ordres de Benvenuto et de Martino Martino de Dragundo) ; paranza S. Albano (aux ordres de Mani et Omibani) ; paranza S. Cristoforo (d'Andrea de Iadeva) ; paranza S. Nicola (de Nicola Stramatia de Bari).
Charles Ier d'Anjou est souvent intervenu pour faciliter le transport des marchandises et des denrées alimentaires de Barletta en Terre sainte.
Les exportations de marchandises à partir du royaume de Sicile et de la Catalogne à destination de la Terre sainte se multiplièrent, en particulier les derniers temps du royaume de Jérusalem, celui-ci étant soumis à de rudes sècheresses. Le Temple s'occupa également de venir en aide, après la chute d'Acre, aux quelque 100 000 réfugiés de Syrie, qui reçurent près de mille tonnes de fret en 1295[5].
Le commerce d'esclaves blancs
[modifier | modifier le code]Une activité méconnue et pourtant lucrative des templiers était le commerce des esclaves blancs: des prisonniers de guerre, des enfants enlevés voire achetés à leurs parents, étaient transportés en grand nombre de l'Orient vers l'Occident. Ils participaient au fonctionnement des maisons du Temple, principalement en Italie et en Aragon. À la fin du XIIIe siècle, la plaque tournante de ce commerce florissant était le port d'Ayas du royaume arménien de Cilicie. Les Templiers y ouvrirent un comptoir vers 1270, et y firent le commerce d'esclaves turcs, grecs, russes et circassiens[25].
Batailles navales
[modifier | modifier le code]Si les deux premières croisades furent exclusivement terrestres, la troisième croisade (1189-1192) fut pour la première fois terrestre et navale. Richard Cœur de Lion et Philippe Auguste prirent en effet la mer, après avoir acheté ou loué des navires [26]. C’est la première fois que de grands rassemblements de navires nordiques pénétraient en Méditerranée[27]. C’est aussi la première grande entreprise maritime des Francs qui ouvrit la série des croisades maritimes. Il ne s’agissait plus, comme au XIIe siècle de porter secours au royaume de Jérusalem avec quelques centaines de chevaliers, mais de conquérir des villes gardées par d’imposantes murailles, et donc de transporter par voie de mer de véritables armées, ce qui n’avait encore jamais été fait sur de pareilles distances. Les nefs, construites à Venise, Gênes et Marseille, devinrent de plus en plus imposantes, capables de porter plusieurs centaines d’hommes et leurs chevaux[28].
La quatrième croisade (1202-1204) fut exclusivement maritime et à forts effectifs français[27], mais seules les villes italiennes étaient à même de fournir la flotte de transport.
La cinquième croisade (1217-1221) se fit avec une très faible participation française, le royaume étant accaparé par la lutte contre les Albigeois. C'est pourtant à partir de cette période que l'ensemble des navires appartenant à l'ordre du Temple peut être réellement considéré comme une flotte[2].
Quatre « Koggen » et 2 nefs équipés par les Templiers et les Hospitaliers ont participé au siège de Damiette en août 1218. L'un des navires du Temple fut même sacrifié en novembre 1218 : précipité contre les murailles de la ville, il entraîna avec lui un grand nombre d'assaillants musulmans[5],[2].
Une bataille navale entre Gênes et les navires templiers est mentionnée lors de la guerre de Saint-Sabas (1256-1258) [5],[29].
Il fallut attendre la septième croisade (1248-1254), pour que le Temple se dotât d'un vaisseau amiral, que Jean de Joinville visita en 1250. Cette mestre galie abritait dans sa cale les dépôts réguliers des participants de la croisade, et avait semblerait-il un pont blindé et ignifugé[2]!
La huitième croisade (1270) n'implique probablement que deux navires templiers, l'Allégresse et la Nave Angélique[5].
En 1279, le grand laître Guillaume de Beaujeu prit cependant part à une querelle féodale dans le comté de Tripoli, qui opposait Guy de Gibelet à Bohémond VII d'Antioche. Lors de ce déploiement, 13 galères templières furent armées et constituèrent le corps expéditionnaire vers Tripoli. Cependant, 5 navires furent perdus dans une tempête, avec le reste des Templiers évacués de Sidon[5]. Ce qui amena Guillaume de Beaujeu à rentrer sur Acre, et permit à Bohémond VII de prendre possession de l'Ile d'Al-Hlaliyé, au large de Sidon[2].
À la fin du XIIIe siècle, la flotte templière prit également part à faire respecter l'embargo commercial imposé par le pape contre les zones musulmanes. Himbert Blanc, maître provincial d'Auvergne, convainquit le pape Clément V en 1306 de confier un groupe de navires au commandement du capitaine Pierre de Lengres (de Marseille) dans ce but[5],[2].
L'ordre du Temple et la marine royale d'Angleterre
[modifier | modifier le code]Les rois d'Angleterre Jean sans terre et Henri III avaient confié l'administration de leur marine à des Templiers : Roger du Temple, aumônier du roi Jean sans terre avait la responsabilité administrative de la flotte royale ; le frère Thomas, capitaine d'un bateau templier, fut placé au service d'Henri III d'Angleterre entre 1224 et 1226 ; de plus, Robert IV de Sablé commanda la flotte de Richard Cœur de Lion en 1190 lors de la troisième croisade[30].
Hypothèses et légendes sur le devenir de la flotte après 1307
[modifier | modifier le code]Aucune trace ni mention historique n'a été retrouvée sur la saisie ou la destruction des navires de l'ordre du Temple, ni en France, ni dans les ports des autres pays d'Europe. De nombreuses hypothèses ont vu alors le jour :
- Une partie de la flotte templière aurait pu s'échapper et rejoindre les côtes portugaises ou écossaises pour y trouver refuge[31]:
- Une autre partie aurait traversé l'Atlantique et accosté sur les rives de l'Amérique du Nord, deux siècles avant Christophe Colomb:
- Une autre partie enfin, serait devenue une force navale clandestine, cherchant vengeance en s'attaquant presque exclusivement aux navires de l'Église romaine, ou à ceux des pays ayant soutenu l'arrestation des templiers. Ces navires portant le pavillon Jolly Roger, auraient ainsi considérablement fait augmenter la piraterie à cette époque, en Atlantique, Manche, mer du Nord et Méditerranée[32]. Ce pavillon aurait pour origine Roger II de Sicile (1095 - 1154), lui-même surnommé « Jolly Roger » : celui-ci l'aurait hissé lors du schisme Anaclet II (anti-pape) / Innocent II, et de son combat contre les forces papales. Il aurait ensuite été désigné patron de La flotte de l'ordre du Temple par les capitaines de navires templiers qui seraient parvenus à échapper à la dissolution de l'Ordre, en signe de révolte contre Rome. Ne pouvant plus porter le pavillon templier, ceux-ci auraient hissé le Jolly Roger lorsqu'ils croisaient les navires français, anglais ou de la papauté[33].
Références
[modifier | modifier le code]- [1] projet Beaucéant : la Marine de l'ordre du Temple
- Pierre-Vincent Claverie, « La marine du Temple dans l'Orient des croisades », dans Michel Balard et al., Les Ordres militaires et la mer, La Rochelle, Éditions du cths, (lire en ligne).
- Bellabarba et Guerrieri 2002.
- Carraz dans Balard et al. 2005, p. 31.
- (de) Inventaire des biens templiers en Allemagne établi par les chercheurs de l'université de Hambourg, paragraphe "Flotte"
- (de) Inventaire des biens templiers en Allemagne établi par les chercheurs de l'université de Hambourg, paragraphe "Marseille"
- aucune commanderie templière n'est avérée à St Raphaël, une possession reste à vérifier
- Melville 1974, p. 148.
- Damien Carraz, « « Causa defendende et extollende christianitatis. » La vocation maritime des ordres militaires en Provence (XIIe – XIIIe siècles) », dans Michel Balard (dir.) et al., Les Ordres militaires et la mer, La Rochelle, coll. « Actes des congrès nationaux des sociétés historiques et scientifiques (édition électronique) », (lire en ligne)
- Pierre-Vincent Claverie, « Quelques réflexions sur les activités navales des ordres militaires », dans Michel Balard et al., Les Ordres militaires et la mer, La Rochelle, Éditions du cths, (lire en ligne).
- Saint-Jean d'Acre, la capitale maritime du Royaume des Croisés sur le site du Ministère israélien des Affaires étrangères
- Demurger 2008, p. 337-338.
- Baigent et Leight 1991, p. 46.
- Ivy-Stevan Guiho, L'Ordre des Templiers : petite encyclopédie, L'Harmattan, , 292 p. (ISBN 978-2-296-23087-3, lire en ligne).
- Demurger 1989, p. 218.
- Demurger 2008, p. 339.
- Carraz dans Balard et al. 2005, p. 33.
- Demurger 2008, p. 344.
- (it) page 22: Roger de Flor: templier et pirate
- Demurger 2008, p. 342.
- (en) Malcolm Barber, The New Knighthood : A History of the Order of the Temple, Cambridge University Press, (présentation en ligne) p. 293.
- (en) Michael Baigent et Richard Leight, The Temple and the Lodge, Arcade Publishing, , 306 p. (lire en ligne) - p. 46
- Hatcher Childress 2003, p. 59.
- Ricci 2004.
- Haag 2013 chapitre les banquiers d'affaire, encart le commerce des esclaves blancs
- Meyer et Acerra 1994, p. 9 à 16.
- Meyer et Acerra 1994, p. 27.
- Jacques Heers, dans Vergé-Franceschi 2002, p. 446.
- [2] Pierre Racine, les villes d'Italie, mi XIIe siècle - mi XIVe siècle, SEDES, 2004
- Demurger 2008, p. 375.
- (en) Christopher Knight; Robert Lomas, The Hiram key: pharaohs, Freemasons and the discovery of the secret scrolls of Jesus, Element Books, (ISBN 1-931412-75-8).
- Hatcher Childress 2003, p. 57.
- Hatcher Childress 2003, p. 58-61.
Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Michel Balard (dir.) et al., Les Ordres militaires et la mer, La Rochelle, Éditions du cths, coll. « Actes des congrès nationaux des sociétés historiques et scientifiques (édition électronique) », (lire en ligne)
- Alain Demurger, Les Templiers, une chevalerie chrétienne au Moyen Âge, Paris, Seuil, coll. « Points Histoire », (1re éd. 2005), 664 p., poche (ISBN 978-2-7578-1122-1)
- Alain Demurger, Vie et Mort de l'ordre du Temple, 1118-1314, Éditions du Seuil, , 429 p. (ISBN 978-2-02-010482-1), p. 218
- Marion Melville, La vie des Templiers, Gallimard, coll. « La Suite des temps », (1re éd. 1951), 339 p., broché (ISBN 978-2-0702-4377-8, présentation en ligne)
- Jean Meyer et Martine Acerra, Histoire de la marine française : des origines à nos jours, Rennes, Ouest-France, , 427 p. [détail de l’édition] (ISBN 2-7373-1129-2, BNF 35734655)
- Michel Vergé-Franceschi (dir.), Dictionnaire d'histoire maritime, Paris, éditions Robert Laffont, coll. « Bouquins », , 1508 p. (ISBN 2-221-08751-8)
- (it) Vito Ricci, I templari nella Puglia medievale, Bari, Edizioni Dal Sud, , 144 p. (ISBN 978-88-7553-046-4, présentation en ligne) (Extraits accessibles en ligne ci-dessous)
- (it) Vito Ricci, « I Templari in Terra di Puglia. Aspetti generali e storici », Il Portale medievale, (lire en ligne)
- (it) Vito Ricci, « La presenza dei Templari nelle province Pugliesi », dans I Templari nella Puglia Medievale, mondimedievali.net, (lire en ligne)
- (it) Sergio Bellabarba et Edoardo Guerrieri, Vele italiane della costa occidentale : dal Medioevo al Novecento, Hoepli Editore, , 256 p. (ISBN 978-88-203-3081-1, lire en ligne), p. 164-167
- (en) Michael Baigent et Richard Leight, The Temple and the Lodge, Arcade Publishing, , 306 p. (lire en ligne)
- (en) David Hatcher Childress, Pirates and the Lost Templar Fleet : The Secret Naval War Between the Knights Templar and the Vatican, Adventures Unlimited Press, , 288 p. (lire en ligne)
- Michael Haag, Les Templiers : de la légende à l'histoire, Ixelles Editions, , 384 p. (ISBN 978-2-87515-184-1), traduit de l'anglais par C. Billon, titre original the Templars, History & Myths, 2011. consulter en ligne