Aller au contenu

Nedde

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Nedde
Nedde
Maisons du centre-bourg.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Haute-Vienne
Arrondissement Limoges
Intercommunalité Communauté de communes des Portes de Vassivière
Maire
Mandat
Monique Lenoble
2020-2026
Code postal 87120
Code commune 87104
Démographie
Population
municipale
453 hab. (2021 en évolution de −4,63 % par rapport à 2015)
Densité 8,6 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 43′ 13″ nord, 1° 49′ 56″ est
Altitude Min. 431 m
Max. 754 m
Superficie 52,73 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Eymoutiers
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Nedde
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Nedde
Géolocalisation sur la carte : Haute-Vienne
Voir sur la carte topographique de la Haute-Vienne
Nedde
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Nedde

Nedde ('Neda en occitan) est une commune française située dans le département de la Haute-Vienne en région Nouvelle-Aquitaine. Ses habitants sont appelés les Neddois[1].

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation

[modifier | modifier le code]

Située en bordure occidentale du plateau de Millevaches, non loin du lac de Vassivière, dans le parc naturel régional de Millevaches en Limousin, Nedde est limitrophe des départements de la Corrèze et de la Creuse.

La commune a une superficie de 52,7 km2. La grande ville la plus proche, Limoges, est située à 46 km au nord-ouest.

Situation de la commune de Nedde en Haute-Vienne.

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]

Hydrographie

[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est traversé par la Vienne et par son affluent le ruisseau de la Villedieu.

Historiquement, la commune est exposée à un climat de montagne[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 295 mm, avec 14,5 jours de précipitations en janvier et 8,5 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée par la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Eymoutiers à 7 km à vol d'oiseau[6], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 170,3 mm[7],[8]. Les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050, selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre, sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Au , Nedde est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[11] et hors attraction des villes[12],[13].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (62,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (62,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (56,6 %), prairies (23,6 %), zones agricoles hétérogènes (10,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (5,6 %), terres arables (2,9 %), zones urbanisées (0,6 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Nedde est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

Risques naturels

[modifier | modifier le code]
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Nedde.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[17]. 25,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (27 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 1],[18].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999 et par des mouvements de terrain en 1999[15].

Risque particulier

[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Nedde est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[19].

L'étymologie de Nedde est incertaine. Yves Lavalade y voit peut-être une déformation d'un terme gaulois désignant des marais (ana), auquel un diminutif (-itta) aurait été ajouté. Albert Dauzat, quant à lui, propose Nevita (une ancienne villa). Les toponymes Aneda (Xe siècle) et Anedes (XIIIe siècle) sont successivement attestés[20]. Sur la carte de Cassini (XVIIIe siècle), figure Nede.

La terre de Nedde fut sous l'Ancien Régime composée de deux seigneuries distinctes :

D'abord dépendante de la généralité du Poitou sous le nom d'Asnède et rattaché à la baronnie Peyrat-le-Château dont elle fut distraite en 1557 pour former une baronnie distincte, la terre de Nedde fut alors intégrée au Limousin[24]. Elle appartenait alors à la famille de Pierre-Buffière dont les armes[25] figurent encore sur une clef de voûte de l'église Saint-Martin.

  • Louis-Charles de Pierre-Buffière, chevalier, vicomte de Comborn, baron de Pierre-Buffière, de Châteauneuf, et de Peyrat, seigneur de La Villeneuve-au-Comte, de Chabannes-Guerguy, de Beaumont, de Chambouville, du Breuil, de Peltanges, de Genissac et du Mazet, tué au siège d'Angoulème e, 1568, marié le 7 septembre 1523 à Isabeau de Ségur, d'où entre autres :
  • Gabriel de Pierre-Buffière, chevalier, vicomte de Combron, baron de Treignac, de Châteauneuf, de Peyrat, de Lostanges, seigneur, puis baron de Nedde et de Villeneuve, seigneur de Bouch et autres places, comparu à la réforme de la coutume du Poitou le 16 octobre 1559 pour la baronnie de Villeneuve, territoire distrait à la baronnie de Peyrat, par les partages fait entre lui et ses consorts le 2 octobre 1572. Épousa par contrat du 7 juillet 1597, devant le notaire Rousseau, puis religieusement le 10 juillet suivant, Peyronne de La Guiche, dame de Pompadour, Treignac et Laurière, (c'est à ce couple que l'on doit la reconstruction du château), d'où un fil, Léonard, tonsuré en 1618, prieur de Nedde en 1622[26]. et une fille qui suit :
  • Catherine de Pierre de Buffière, dame de Chateauneuf, baronne de Lostanges, de baron de Nedde et de Villeneuve, légat ses biens et titres à son neveu Théophile de Blanchier, à charge de porter le nom et les armes de la famille de Pierre de Buffier :
  • Théophile de Blanchier, chevalier, pris le nom et les armes de la famille de Pierre-Buffière sur demande de sa tante Catherine de Pierre de Buffière dont il était le légataire universel, ce qui fut sanctionné par un arrêts de la cour des Aides du 17 décembre 1639[27], baron de Lostanges, de Villeneuve-au-Comte et de Nedde, créé marquis de La Villeneuve-au-Comte et de Nedde par lettres patentes de novembre 1655, épousa la Réforme et décéda huguenot à l'âge de quarante ans le 10 novembre 1656 à Nedde et fut inhumé dans l'enclos du château selon la coutume protestante d'après les registres d'Aimoutiers[28], trois mois après son retour de Paris, où il avait passé près d'une année pour le procès qu'il avait avec monsieur de Pompadour, lieutenant gouverneur du Limousin. Il fut père de :
  • Jean-Claude de Blanchier de Pierre-Buffière-Châteauneuf, chevalier, marquis de Lostange, de La Villeneuve-au-Comte et de Nedde, seigneur de Biauch et de Falsimagne, maitre de camp et enseigne dans la première compagnie des gardes du Corps du Roi en 1687, commandant de cavalerie du duc de Bouillon en 1676, rendit foi et hommage au roi en 1676, « comme feu mon Père et mes prédécesseurs ont accoutumé de la faire... pour le marquisat de La Villeneuve-au-Comte et de Nedde, distrait de la baronnie de Peyrat, par les accords et partages faits cy-devant par mes prédécesseurs, avec tous droit de noblesse et toute justice[29] ». Abjura le calvinisme en 1685, en même temps que sa femme et ses enfants, père entre autres de :
  • Claude de Pierre-Buffière, marquis de Lostanges, de La Villeneuve-au-Comte et de Nedde, seigneur de Gioux et de Bouillac, lieutenant des gardes du corps du roi, brigadier des armées et lieutenant général pour Sa Majesté de la province de La Marche, laissa de son mariage avec Marie de Gioux, un fils, Jacques, mort jeune, et une fille et héritière, Jeanne-Blanche de Pierre-Buffière, marquise de Lostanges et de Nedde, dame de Gioux et de Bouillac, qui épousa le 22 février 1694 Jean V comte de Montalembert, seigneur de Monbeau, capitaine de grenadiers au régiment de Normandie, à qui elle apporta toutes ses possessions et titres. D'où, entre autres enfants :
  • Charles marquis de Montalembert[30], de Lostanges et de Nedde, comte de Monbeau et de Gioux, seigneur du Terrail, chevalier de Saint-Louis, capitaine des grenadiers au régiment de Normandie, qui ne contracta pas d'alliance, il vendit en 1746 la marquisat de Nedde à :
  • Laurent-Raymond Garat, écuyer, marquis de La Villeneuve-au-Comte et de Nedde, seigneur de Beauvais, qui reçut le 16 septembre 1746 des lettres du roi lui conférant le droit de porter les titres attachés à sa terre de Nedde, sa descendance prit alors le nom de Garat de Nedde et conserva le château jusqu'à sa vente en 1954[31]. Il avait épousé Marie-Anne Faulte de Vanteaux, d'où entre autres enfants :
  • Raymond Garat, chevalier, marquis de Nedde et de La Villeneuve, capitaine au régiment de Cambraisis, marié en 1761 à Jeanne-Martiale-Galiotte de Turenne, comtesse d'Aubepeyre, dame de Saint-Yrieix, de Salles, de Courbnatiers, du Ponjet et de La Tour de Royère, fille du marquis de Turenne d'Aynac, comte d'Aubepeyre, et d'Elisabeth comtesse de Volonzac, d'où plusieurs enfants.

Politique et administration

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs[32]
Période Identité Étiquette Qualité
mars 1959 mars 2001 André Leycure PCF Conseiller général du canton d'Eymoutiers (1967-1998)
mars 2001 mars 2014 Jean-Louis Bataille[33] PCF
mars 2014 en cours Monique Lenoble PCF
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[35].

En 2021, la commune comptait 453 habitants[Note 2], en évolution de −4,63 % par rapport à 2015 (Haute-Vienne : −1,09 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 1801 3841 5701 3241 4301 6311 7321 8161 760
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 8151 7701 8441 7631 8871 9821 9812 0502 132
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 0221 9371 8361 5461 4321 3631 2671 1651 032
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
953811703665584559537531481
2018 2021 - - - - - - -
458453-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
Le « château » de Nedde.
L'église vue depuis le village de vacances.

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Manifestations

[modifier | modifier le code]

S'y déroulent les Rencontres musicales de Nedde, chaque année, fin septembre (musique traditionnelle, gastronomie, conférences, stages, randonnées).

Fête de Nedde le premier week-end d'août (samedi-dimanche-lundi), nombreuses manifestations

S'y déroule la course des Deux-Ponts, le premier samedi du mois d'août chaque année (course pédestre de 9,6 km et 19,2 km).

Pour approfondir

[modifier | modifier le code]

Bibliographie

[modifier | modifier le code]

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

[modifier | modifier le code]

Notes et cartes

[modifier | modifier le code]
  • Notes
  1. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  3. 45° 41′ 42″ N, 1° 47′ 22″ E
  4. (la): ecclesia de Plana Artiga, c.1288 (Allard 2003, p. 77, doc. 2), 45° 41′ 11″ N, 1° 47′ 58″ E. La carte de Cassini indique qu'il s'agissait d'une commanderie et on mentionne le château du commandeur déjà ruiné à l'époque de la première guerre de religion (1562).
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 17/07/2008.
  2. Carte IGN sous Géoportail
  3. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Orthodromie entre Nedde et Eymoutiers », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Eymoutiers » (commune d'Eymoutiers) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Eymoutiers » (commune d'Eymoutiers) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. Insee, « Métadonnées de la commune de Nedde ».
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Nedde », sur Géorisques (consulté le ).
  16. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  17. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  18. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  20. Yves Lavalade, Dictionnaire toponymique de la Haute-Vienne, Lucien Souny, , 664 p. (ISBN 9782911551406), p. 317.
  21. Archives de Cluny, Baluze, livre 6, folio 495 ; cf. Études historiques sur les monastères du Limousins et de La Marche, Abbé Roy de Pierrefitte, Guéret, 1857-1863.
  22. Privilège d'Eugène III pour l'abbaye de Solignac P. Rigaudie, dans Bulletin de la Société archéologique et historique du Limousin, tome 39, page 639.
  23. Cette justice s'étendait sur les villages de Royère, Verdinas, Roudersas, Hautefaye, Rochas, Arpeix, Rubeyne, Vincent, Lascaud, Arfeuille, Le Cloupn Jansanas, Vergnolas, Jansanetas, Le Mazeau, Le Villards, Les Bordes, Le Chätaignaux, Auchaise, Vaux, Villecros, Masgrangeas, Chassagnas, Vauveix, Beaumont, Saint-Pierre-Château, Rempnat, Saint-Yrieix-la-Montagne, Vallières, Gentioux, Faux, Morterol, La Nouaille, La Celle, Saint-Marc-à-Loubaud, La Feuillade, Tarnac, Treignax, Eymoutier, Felletin, Le Léris. Elle était rendue dans une salle au premier étage du château, la seigneurie avait une geôle à Nedde, et un piloris qui se trouvait sur la place de Royère ou les barons de Nedde rendaient parfois leur justice
  24. Dossier de la DRAC, Inventaire général du patrimoine culturel du Limousin, REF. Mérimée IA00031226
  25. de Pierre-Buffière : D'or au lion de sable, lampassé de gueules.
  26. Nobiliaire du Diocèse et de la Généralité de Limoges, tome III, Abbé Joseph Nadaud, Limoges, 1882
  27. Archives départementales de la Gironde, cité par De La Coursière dans L'Intermédiaire des chercheurs et curieux du 20 janvier 1893.
  28. Nobiliaire du Diocèse et de la Généralité de Limoges, tome III, Abbé Joseph Nadaud, Limoges, 1882.
  29. Archives de la maison de Nedde, Cf. M.J. Dubois, Monographie du Canton d'Eymoutiers dans 'Bulletin de la Société archéologique et historique du Limousin, tome 49, Limoges, 1900.
  30. de Montalembert : D'argent à la croix ancrée de sable.
  31. La famille GARAT marquis de NEDDE porte : D'azur au lac d'amour d'or accompagné de trois étoiles du même ; au chef d'or chargé d'un croissant d'azur., elle porta aussi : D'azur à trois étoile d'or ; au chef du même chargé d'un croissant de sable
  32. « Les maires de la commune » (consulté le ).
  33. Site officiel de la préfecture de Haute-Vienne - liste des maires (doc pdf)
  34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  38. « Église Saint-Martin », notice no PA00100401, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  39. Dont : Laurent-Raymond Garat de Nedde et Raymond Garat de Nedde, Marie-Anne Faulte de Vanteaux:D'azur, au lion d'or sur une terrasse de sinople, passant derrière un arbre du mesme, fourché de deux branches que le lion embrasse de sa queue en devant, et la repasse par derrière, et de Jeanne-Martiale-Galiotte de Turenne : coticé d'or et de gueules. Archives de la maison de Nedde : recherches d'Astrid de Nedde et du prince Odoevsky Maslov sur les litres funéraires et armoiries qui figurent en l'église Saint-Martin de Nedde
  40. Pouillé du diocèse de Limoges, Abbé A. Lecler, Limoges, 1823
  41. Thomas Bourneix, « Les Bénédictines de Bonnesaigne (suite) », Bulletin de la Société scientifique historique et archéologique de la Corrèze, t. XXIV,‎ , p. 372, lire en ligne sur Gallica.
  42. Jean-Marie Allard, « Templiers et Hospitaliers en Limousin au Moyen Âge. État de la recherche et nouvelles considérations. », Revue Mabillon, no 14,‎ , p. 77 (lire en ligne).
  43. Louis-Augustin Vayssière, « L’Ordre de Saint-Jean de Jérusalem ou de Malte en Limousin et dans l’ancien diocèse de Limoges », Bulletin de la Société des lettres, sciences et arts de la Corrèze,‎ , p. 44, lire en ligne sur Gallica.