Mons (Var)
Mons | |||||
Vue aérienne de Mons. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Provence-Alpes-Côte d’Azur | ||||
Département | Var | ||||
Arrondissement | Draguignan | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays de Fayence | ||||
Maire Mandat |
Patrick de Clarens 2020-2026 |
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Code postal | 83440 | ||||
Code commune | 83080 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Monsois, Monsoises | ||||
Population municipale |
837 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 11 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 41′ 32″ nord, 6° 42′ 54″ est | ||||
Altitude | 811 m Min. 235 m Max. 1 714 m |
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Superficie | 76,63 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Roquebrune-sur-Argens | ||||
Législatives | Huitième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Var
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
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Liens | |||||
Site web | mairie-mons83.fr | ||||
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Mons (Mouns en provençal) est une commune française située dans le département du Var, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Village perché, construit sur un énorme rocher, village fortifié, le village de Mons offre un panorama sur la mer Méditerranée, les îles de Lérins, les Maures et par temps clair, la Corse.
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]Le territoire, d'une superficie de 7 663 ha, s'étage du confluent de la Siagne[1] et de la Siagnole à 241 m jusqu'au plus haut sommet du Var, la montagne de Lachens, à 1 714 m. Le village est à 814 mètres d'altitude. Il se trouve à la limite supérieure de culture des oliviers sur la moindre terrasse retenue par des restanques ou faïsses.
Les gorges de la Siagnole, avec leurs moulins et leurs grottes, sont chargées d'histoire.
Voies de communications et transports
[modifier | modifier le code]Voies routières
[modifier | modifier le code]Commune desservie par la départementale 563 depuis Fayence.
Transports en commun
[modifier | modifier le code]Mons bénéficie du réseau départemental Varlib.
Lignes SNCF
[modifier | modifier le code]La gare la plus proche de Mons se trouve à Grasse (31 km).
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Hydrographie
[modifier | modifier le code]Cours d'eau sur la commune ou à son aval[2] :
- La commune est arrosée par le Chautard, sous-affluent de la Siagne, long de 7,6 km[3],
- Siagne de Pare,
- vallons de Miron, des Mourlans, du Ray, de Barosse, des Travers, des Vennes, de Roque Abeillière, des Ambus, de Saint-Peire,
- ruisseaux la Camiole, le Chautard.
Sismicité
[modifier | modifier le code]Il existe trois zones de sismicité dans le Var :
- Zone 0 : Risque négligeable. C'est le cas de bon nombre de communes du littoral varois, ainsi que d'une partie des communes du centre Var. Malgré tout, ces communes ne sont pas à l'abri d'un effet tsunami lié à un séisme en mer ;
- Zone Ia : Risque très faible. Concerne essentiellement les communes comprises dans une bande allant de la montagne Sainte-Victoire au massif de l'Esterel ;
- Zone Ib : Risque faible. Ce risque, le plus élevé du département mais qui n'est pas le plus haut de l'évaluation nationale, concerne 21 communes du nord du département.
La commune de Mons est en zone sismique de très faible risque Ia[4].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Var, Alpes-Maritimes, caractérisée par une pluviométrie abondante en automne et en hiver (250 à 300 mm en automne), un très bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 75 %), un hiver doux (8 °C) et peu de brouillards[6].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 077 mm, avec 6,3 jours de précipitations en janvier et 3,6 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « St Cézaire sur Siagne », sur la commune de Saint-Cézaire-sur-Siagne à 8 km à vol d'oiseau[7], est de 13,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 970,5 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 36,4 °C, atteinte le ; la température minimale est de −8,1 °C, atteinte le [Note 1],[8],[9].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[10]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Mons est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle est située hors unité urbaine[13] et hors attraction des villes[14],[15].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (93,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (93 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (57,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (29,1 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (7 %), cultures permanentes (2,4 %), zones agricoles hétérogènes (1,8 %), zones urbanisées (1,5 %), prairies (0,6 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Mons s'écrit Mouns en provençal selon la norme mistralienne[17] et Mons selon la norme classique. La prononciation locale est /muŋs/.
Histoire
[modifier | modifier le code]Préhistoire
[modifier | modifier le code]Les hommes sont présents à Mons depuis la Préhistoire, comme en témoignent de nombreux dolmens ou autres formes de tombes. La première implantation connue s'appelait Avaye[18].
Antiquité
[modifier | modifier le code]Vers le milieu du Ier siècle apr. J.-C., les Romains construisent un aqueduc de 41 567 m qui permet de conduire l'eau des sources de la Siagnole[19] à Fréjus. Il est toujours en fonction dans son trajet sur la commune de Mons[20].
Moyen Âge
[modifier | modifier le code]La première mention de Mons se trouve dans le cartulaire de Lerins, qui mentionne un « Fulco de Mons » (1026-1066) qui paye l'albergue et la cavalcade (1249-1252)[21]
- À la suite de plusieurs épidémies, surtout de peste, de catastrophes naturelles (hiver rigoureux), la population est décimée et, à plusieurs reprises, il faut faire appel à des étrangers de l'arrière-pays génois, les « Figouns », qui conservent leur dialecte le figoun. Ainsi, au milieu du XVe siècle, Antoine de Villeneuve doit à nouveau inviter une quarantaine de familles à venir à Mons. Escragnolles fait de même.
- 1227 : tremblement de terre de Provence (séisme douteux)[22],[23],[24].
- 1260 : premier acte d'habitation.
- 1348 : épidémie de peste : Avaye-Villevieille abandonné.
- 1364 : famine.
La mort de la reine Jeanne Ire ouvre une crise de succession à la tête du comté de Provence, les villes de l'Union d'Aix (1382-1387) soutenant Charles de Duras contre Louis Ier d'Anjou[25]. Le seigneur de Mons, Francisque de Bollière, soutient le duc d’Anjou dès le printemps 1382, ce soutien étant conditionné à la participation du duc à l’expédition de secours à la reine[26].
- 1391 : sac de Callian par Raymond de Turenne (une des causes ayant concouru au dépeuplement de Mons).
- 1392-4 : épidémie de peste.
Le Figoun et les Figouns
[modifier | modifier le code]Les Figouns[27] de Mons furent accueillis (contre franchises à payer en retour) en deux périodes : 1260 et 1468. Ils provenaient principalement de la région de Vintimille (vallée de la Nervia, de Pigna). En bons maçons, ils participèrent largement à l'édification de la ville et de ses remparts. C'est à leur époque que l'olivier fut introduit dans la région. Ils sont souvent liés à la culture, au commerce et à la préparation des figues (frigoule ou frigoure), d'où leur appellation.
Le figoun est un mélange non structuré de ligure et de provençal, comme on en retrouve à Escragnolles ou Biot. Les patronymes Bosio, Brosco, Bruzon, Canille, Chappory, Chiappe, Chichon, Durante, Galliano, Machiavello, Massa, Monteverde, Olivero, Parody, Passano, Pisarello, Poggio, Porro, Restano, Risso, Sanguinetti, Traverso, y sont très répandus. Certains Monsois se servent encore du figoun quand ils ne veulent pas être compris par les « estrangers » !
L'abbé Jean-Pierre Papon[28] (1780) rapporte un des premiers témoignages de ce dialecte : « On croit que c'est l'idiome des Sarrasins : on se trompe, c'est l'ancien oasis de Gênes ». Il fut utilisé jusqu'à la fin du XIXe et a laissé très peu de traces écrites.
i m'an pillàou | ||
Grigeur Guignon, a lagna, Ou dije che l'avea de lou ben à la campagna. I m'an pillaou ca' mea; I nous m'an lascaon pa un choun. Mi foun entra misero; Sa posso me sacatero La ca, lou ben & la terro |
Grigneur guignon, est triste il dit qu'il avait des biens à la Campagne: "on m' a pris ma maison on n'y a pas laissé un clou, Je suis dans la misère, si je puis, je rachèterai le bien, et la maison et la Terre." | |
ou dije |
En 2007, dans les archives du château de Beauregard, on retrouve une dizaine des feuillets manuscrits anciens, mais impossibles à dater, portant traduction de ce qui semble être des termes de figoun et identifiés par Fiorenzo Toso[29] comme ayant des similitudes avec un patois ancien de la région Nord de Gênes (XVIIe).
Renaissance
[modifier | modifier le code]- 1448 : tremblement de terre nord-méditerranéen.
- 1468 : acte d'habitation ou transaction entre Antoine de Villeneuve et ses villageois, leur accordant des droits nouveaux.
- 1481 : la Provence est rattachée à la France.
- 1532 : arrêté municipal interdisant aux hommes et aux femmes de s'embrasser en balant (dansant) !
- 1572 : Massacre de la Saint-Barthélemy : le comte de Carcès refuse de l'exécuter, Mons se range derrière lui (carcistes) et les Razats (rasés) derrière les Arcs, d'où la suite :
- en 1590[30], le , le duc Charles-Emmanuel Ier de Savoie, bon catholique, briguant la Provence, poussé par vengeance par Henri de Villeneuve, dit le Cruel, réussit l'exploit de faire monter ses canons jusqu'à Mons, commence le siège du village fortifié, les femmes le défendent en envoyant des ruches (bruscs. Voir Miel de Provence) sur les assiégeants et, faute de terre, réparent les brèches avec des matelas de feuilles et de foin. Au 11e jour les Savoyards pénètrent dans la cité... une vingtaine d'assiégés sont pendus et Mons est condamné à une amende de 20 000 écus.
Période moderne
[modifier | modifier le code]- 1613 : neige abondante.
- 1629 : peste.
- 1644 : tremblement de terre Nice-Marseille[31].
- 1685 : arrêté municipal interdisant l'achat d'olives (pour éviter les vols sur l'arbre).
- 1709 : hiver redoutable : les oliviers meurent.
- 1720 : peste de Marseille.
- 1744 : maladie du clou (chèvres).
- 1753 : (sécheresse) arrêté municipal interdisant de prendre de l'eau pour laver, pour bâtir ou fabriquer des chapeaux !
- 1755 : froid intense.
- 1762 : grêle dévastatrice.
- 1767 : affermage des moulins communaux, épidémie de tuberculose.
- 1770 : plantation d'ormes sur la place Saint-Sébastien (voir Sébastien (saint)).
- 1788 : hiver rigoureux : les oliviers gèlent.
Période contemporaine
[modifier | modifier le code]La réputation de travailleurs de ses habitants leur avait valu en 1835 le surnom de Chinois de la Provence[32]. En 1970, la création du camp de Canjuers ampute la cité de Mons des territoires de Saint-Marcellin (le blé de Saint-Marcellin était renommé), du Villars et d'une partie des monts du Malay.
- 1843 : la commune achète du poison contre les loups.
- 1855 : chômage important.
- 1860 : création du département des Alpes-Maritimes avec remodelage du département du Var.
- 1920 : réalisation du monument aux morts
- 1954 : hiver rigoureux.
Résistance
[modifier | modifier le code]- Les maquis du Malaye : Maquis Vallier, FTP, Section atterrissage parachutage (S.A.P.) du camp Lafayette[33],[34],[35].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Budget et fiscalité 2016
[modifier | modifier le code]En 2016, le budget de la commune était constitué ainsi[36] :
- total des produits de fonctionnement : 722 000 €, soit 813 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 720 000 €, soit 811 € par habitant ;
- total des ressources d’investissement : 564 000 €, soit 635 € par habitant ;
- total des emplois d’investissement : 447 000 €, soit 504 € par habitant.
- endettement : 342 000 €, soit 385 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d’habitation : 12,84 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 6,68 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 36,04 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 35,33 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 16,95 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2014 : Médiane en 2014 du revenu disponible, par unité de consommation : 20 240 €[37].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Les habitants de Mons se nomment les Moussencs.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[40].
En 2021, la commune comptait 837 habitants[Note 2], en évolution de −1,88 % par rapport à 2015 (Var : +4,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Curés de Mons
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Jumelages, parrainages
[modifier | modifier le code]- La ville a décidé d’adopter le village de Gurbeşti (Roumanie) dans le cadre de l’opération « Villages Roumains » organisée au plan national.
- Mons parraine[44], depuis le , le remorqueur côtier Buffle de la Marine Nationale[45] et ceci, afin de remémorer le temps où les Monsois entretenaient un feu en face de l’église Notre-Dame-de-la-Pitié afin de servir d'amer aux bateaux entrant dans le port de Saint-Raphaël de nuit ou par mauvais temps[46].
Patrimoine bâti
[modifier | modifier le code]: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article. J. P. Brun, Carte archéologique de la Gaule, Le Var 83/2, Fondation Maison des Sciences de l'Homme, Paris, 1999, p. 518-523.
Préhistoire
[modifier | modifier le code]Néolithique, Chalcolithique : Castrum, Dolmens, Habitats fortifiés, Tumulus, Tombes en Bloc, Grottes sépulcrales.
Les habitats fortifiés
[modifier | modifier le code]-
Habitat fortifié de pente du Villard (Canjuers).
-
Habitat fortifié de Roubiès.
Dolmens (Chalcolithique) et autre tombes collectives
[modifier | modifier le code]Toujours ouvertes vers le couchant, parfois à double chambre (cella), la première pour les dépouilles récentes, la seconde pour les 'réductions'. Les deux sont précédées d'une antichambre. Le nombre des dents retrouvées sur place permet d'évaluer le nombre de sépultures.
L'âge Celbano
[modifier | modifier le code]Mons fait partie de cette circonscription dépendant de l'abbaye Saint-Victor de Marseille.
Aqueduc romain de Mons à Fréjus
[modifier | modifier le code]Des sources vauclusiennes du Neissoun et sa partie initiale
[modifier | modifier le code]-
Exutoire de la grotte du Neissoun.
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Barrage romain réutilisé, puits radier submersible.
À Fréjus dans le domaine de San-Peyre
[modifier | modifier le code]-
Intérieur de l'aqueduc[50].
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Regard (puteus luminae).
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Réfection récente d'une voûte effondrée.
Transition vers le Moyen Âge
[modifier | modifier le code]les Castrum
[modifier | modifier le code]-
Castrum de Villevieille-Esclapon.
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le castrum de Saint-Laurent, symétrique de Villevieille.
Post-médiéval
[modifier | modifier le code]Architecture religieuse
[modifier | modifier le code]- Église paroissiale Saint-Pierre-et-Saint-Paul XIIe et XVIIe siècles, inscrite sur l'inventaire supplémentaire des monuments historiques par arrêté du [53]. Elle appartient à la paroisse de Fayence[54],
- Le campanile en fer forgé est l’œuvre du maître forgeron Bonfante de Castellane et date de 1835[55],
- ses trois cloches sont classées au titre des objets mobiliers[56],[57],[58],
- son riche mobilier est classé ou inscrit au titre des objets mobiliers[59] : six retables de style baroque, en bois sculpté, doré ou peint polychrome et leurs toiles. La toile du maître-autel (1680) représente l’assomption de la Vierge.
- Église paroissiale Notre-Dame (XIIIe, roman haut provençal) et son triptyque monumental, retable baroque du XVIIe siècle classé à l'inventaire des Monuments historiques. Le Maître-Autel est un autel tombeau de marbre blanc, surmonté d'un imposant retable en bois doré. Il est orné de quatre colonnes torsadées et surmonté de six angelots. En 1860, le retable a été redoré. Il a été entièrement restauré en [60]
- Chapelle Saint-Sébastien, fin XVIe (ou des Pénitents). Elle abrite un retable en bois sculpté peint polychrome daté de 1713[61], avec son triptyque et son mobilier de pénitents. Cette chapelle a été transformée en partie en salle pour la mairie.
- Chapelle de Saint-Marcellin (romane, avec abside en cul-de-four) (Canjuers)[62]. Une messe y est célébrée annuellement.
- Chapelle Notre-Dame-de-la-Pitié, début XVIIe, avec son retable en bois doré. Sur la route de Callian[63]. Elle servait de reposoir pour les défunts des campagnes avant l’enterrement à l’église.
- Chapelle de Saint-Pierre-d- Riens.
- Oratoire de Saint-Pierre ou de Riens, au nord-est, à proximité des vestiges romains.
- Chapelle appelée Saint-Roch et / ou Saint-Laurent, avec sa toile du maître-autel qui représente les deux saints[64],[65].
- Chapelle de San-Peyre (la ferme du château privé de Beauregard).
- Chapelle rustique de Sainte-Roseline, caveau privé des Villeneuve-Beauregard.
- Monuments aux morts réalisé en 1920[66],[67],[68],[69].
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Chapelle Notre-Dame-de-la-Pitié.
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Oratoire de Saint-Pierre ou de Riens.
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Chapelle rustique de Sainte-Roseline.
Châteaux
[modifier | modifier le code]-
Château de Bourrigaille (XIXe).
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Château moderne.
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Château de Saint-Marcellin (Canjuers).
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Château d'Esclapon-bas.
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Château de la Lubi.
Il existe en rive droite de la Siagne, entre la Siagne de la Pare et le Miron, en face du bois des Malines, un lieu-dit Château de l'Enfer où on retrouve quelques pierres perchées en haut d'un piton rocheux. On ne dispose cependant d'aucune information à son sujet.
Infrastructures
[modifier | modifier le code]Aqueduc de Riens ou de Saint-Pierre (XVIe)
[modifier | modifier le code]-
Aqueduc de Riens.
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Aqueduc de Riens.
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Aqueduc de Riens sous la neige.
Aqueduc des Ferrages (XVIe)
[modifier | modifier le code]-
Aqueduc des Ferrages.
-
Aqueduc des Ferrages.
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Bassin satellite de l'aqueduc des Ferrages.
Aqueduc de Beauregard (XVIe)
[modifier | modifier le code]-
Aqueduc du château de Beauregard.
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Aqueduc du château de Beauregard.
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Aqueduc du château de Beauregard : conduit moderne intérieur
Petit aqueduc du château de la Lubi (XVIe)
[modifier | modifier le code]-
Aqueduc du château de la Lubi : canal d'alimentation.
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Aqueduc du château de la Lubi : regard de visite.
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Aqueduc du château de la Lubi : bassin couvert de réception.
Passé récent
[modifier | modifier le code]Infrastructures
[modifier | modifier le code]Sources, fontaines et lavoirs
[modifier | modifier le code]-
Fontaine de la place du Centre.
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Fontaine Dei pu luenchco Fouan (XVIIIe)[70].
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Fontaine place Saint-Sébastien (XVIIIe).
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Fontaine initiale du château.
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Fontaine dite du château.
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La plu louan Fouan (fontaine des Ferrages).
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Fontane-lavoir des Ferrages, réservée aux malages.
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Fontaine-lavoir des Gombauds.
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Source de Saint-Jean-de-Barrosse : la dernière à couler.
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Lavoir de Saint-Jean-de-Barrosse.
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Lavoir de Valbouissole.
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Fontaine du château de Bourrigaille.
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Fontaine de la ferme du Villard (Canjuers.
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Source de Saint-Marcellin (Canjuers).
les ponts
[modifier | modifier le code]-
Culée du pont-aqueduc romain, sur la Siagnole, aux sources du Neissoun.
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Pont dit de Mons sur la Siagne, ancien chemin de Saint-Cézaire à Mons, a hauteur de 12m.
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Pont à double tablier des Moulins sur la Siagnole : 1er 1655; 2e 1856.
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Pont de l'Oulo, sur le Fil.
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Pont suspendu de Saint-Pierre de Frigole juste avant le moulin à plâtre de Fayence.
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Pont de Mabille, sur le Fil.
La pierre sèche
[modifier | modifier le code]La pierre extraite du champ est employée à sec (sans mortier) dans l'habitat temporaire (cabanes, cabanons, bergeries) et dans divers ouvrages (enclos, restanques, apiés, puits couverts, affûts, séchoirs à figues, fours à chaux)[71],[72].
Cabanes, cabanons, bergeries
[modifier | modifier le code]-
Cabane et enclos de Valbouissole.
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Cabane des Hautes-Campestres, avec date gravée : 1893.
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Cabane à l'est de Mons.
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Haut-Mons : enclos carré (9 × 9 m), avec cabane et apié (6 loges).
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Cabane-abri dans le coin sud-est de l'enclos.
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Apié à 6 loges dans le mur est de l'enclos contigu avec la cabane.
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Cabane des Ferrages.
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Cabane de la Bliauge, la plus haute du Var : 1 228 m.
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Cabane des Louquiers, 1 092 m.
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Cabane engloutie par la végétation (2).
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Haut-Mons : porte de la cabane isolée (3).
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Grande cabane écroulée (Hauts de Mons).
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Agachon (affût) des Blaquières.
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Haut-Mons : petit cabanon en forme de cabane.
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Haut-Mons : grande cabane ressemblant à un cabanon.
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Cabanon et sa citerne accolée (Les Graïs).
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Bergerie des Blaquières.
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Bergerie de Bliauge.
Puits couverts
[modifier | modifier le code]-
Puits de Frigoure, dit « romain ».
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Puits de Frigoure.
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Puits de Frigoure.
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Puits couvert des Plaines.
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Puits couvert des Campestres.
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Puits couvert, en pierre sèche, sur une faille humide, et restes de poteries anciennes.
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Petit puits couvert.
Restanques, fours à chaux, graïssiers, etc.
[modifier | modifier le code]-
Cabane de charbonnier sur le Fil.
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Four à chaux proche de l'aqueduc romain.
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Four à chaux proche de l'aqueduc romain.
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Graïssier (séchoir à figues).
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Lèque ou piège à lapin aménagé dans une restanque.
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Pierre centrale d'aire de battage.
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Recavade des Louquiers (restanque-barrage).
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Aven sous restanque aménagé en aiguier-citerne.
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Trou au bas d'une berge (restanque), caché par du lierre.
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Même trou débouchant sur une salle naturelle où 10 hommes peuvent tenir debout.
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Sortie de la cave naturelle, vraisemblablement habitée.
Les tours-pigeonnier
[modifier | modifier le code]-
Tour-pigeonnier de San-Peyre.
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Tour-pigeonnier de Bourigaille.
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Pigeonnier du château d'Esclapon-bas.
Moulins, usines et barrages
[modifier | modifier le code]-
Ancien moulin communal de Mons (blé, olives, foulon).
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Ancien moulin communal de Mons (blé, olives, foulon).
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Moulin communal à blé : mécanisme de transmission avec dents en bois.
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Moulin à huile.
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Moulin à farine.
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Barrage de capture sur la Siagnole, en période sèche.
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Barrage de capture sur la Siagnole, après la pluie.
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Ancien moulin à cuillère sur le Fil (Esclapon).
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Ancien barrage effondré, sur le Fil (Esclapon).
Époque moderne
[modifier | modifier le code]La conduite moderne de doublement de l'aqueduc romain dite canal Jourdan (1894)
[modifier | modifier le code]-
Le canal Jourdan dans la paroi de la Roche-Taillée.
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Le canal engravé dans la roche.
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Canal Jourdan : travaux à la Gigeade (zone très instable).
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Tunnel du canal Jourdan à San-Peyre : porte d'accès.
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Tunnel du canal Jourdan à San-Peyre.
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Tunnel du canal Jourdan : graffiti d'un ouvrier d'entretien.
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Tunnel du canal Jourdan : regard.
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Tunnel du canal Jourdan : refuge-repos.
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Tunnel du canal Jourdan : sortie.
Patrimoine naturel
[modifier | modifier le code]Grottes[73] et Canyons
[modifier | modifier le code]Grottes, avens, réseaux, avens failles, résurgences (près de 150)
[modifier | modifier le code]Ajustadous, Canebières, Combrière[74], Esclapon, Peintures, Pestiférés, Peygros, Tranchée...
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Grotte de la Combrière (pèlerinages)[75].
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Grotte des Peintures[76].
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Grotte des Pestiféré[77].
-
Grotte d'Esclapon[78].
-
Grotte de Baume Caude[79].
C'est dans la grotte des Mouches, sur le Fil[80], que s'étaient réfugiés les déserteurs de la guerre de 1914-1918.
Pertes et résurgences
[modifier | modifier le code]Elles sont trop nombreuses pour être toutes énumérées :
- en ville : perte du Vallon rouge dans le premier virage vers le col de Val Ferrière,
- sur le Fil :
- il existe au moins trois sources notables en amont du Neissoun, mais insuffisantes pour approvisionner l'aqueduc.
- lieu-dit 'les pertes du Fil' au nord du village au niveau de la Tuilerie, signalé sur la carte IGN,
- il est fréquent que le Fil coule au-dessous du pont des Veynes, mais reste sec au niveau du Neissoun,
- les chasseurs parlent d'une perte qui nécessite un débit suffisant, sans doute pour amorcer un siphon.
- sur la Siagnole :
- la Siagnole disparait par endroits pour réapparaître plusieurs centaines de mètres plus loin, une centaine de mètres en amont du confluent avec la Siagne.
- Les résurgences sont très nombreuses, parfois volumineuses (trou du Bœuf) : on les reconnaît à la différence de température de l'eau.
Faune, Flore, Chasse, Pêche, Protection de la Nature, Natura 2000[81]
[modifier | modifier le code]La démarche Natura 2000
[modifier | modifier le code]- À la suite du constat inquiétant d’une biodiversité en régression voire en disparition au niveau planétaire, l’Union Européenne a décidé d’enrayer le processus. La démarche Natura 2000 consiste à favoriser, sur les sites éligibles, le maintien de la biodiversité tout en tenant compte des exigences socio-économiques dans une logique de développement durable.
Ainsi, l’Union Européenne a été amenée à adopter deux directives : l’une en concerne les oiseaux, l’autre en concerne certains habitats naturels, pour donner aux États membres un cadre commun d’intervention en faveur de la préservation des milieux naturels et des espèces.
- La directive Habitats du , dite directive 92/43/C.E.E. dont relève le site FR 9301574 " Gorges de Siagne ", prévoit la conservation des habitats de la faune et de la flore sauvages. Elle est inspirée de la Convention de Berne de 1989 relative à la conservation de la vie sauvage et des milieux naturels en Europe. En application, elle prévoit la création d’un réseau écologique européen de Zones Spéciales de Conservation (ZSC).
- Cette directive s'appuie sur six annexes et particulièrement sur l'annexe II « espèces faisant l'objet de mesures de conservation » et l'annexe IV « espèces faisant l'objet de mesures de protection strictes ».
- La France recèle de nombreux milieux naturels et espèces qui relèvent de cette directive et qui ont fait l’objet d’un recensement mené sous l’égide du Muséum National d’Histoire Naturelle. À partir de ce recensement, la directive a conduit à la création d’un réseau Natura 2000 en 2006 qui reprend les objectifs fixés par la Convention sur la diversité biologique adoptée lors du « Sommet de la Terre » à Rio de Janeiro en 1992 et ratifiée par la France en 1996.
- Natura 2000 a pour objectif de maintenir la diversité biologique, tout en respectant les activités humaines. Concrètement, la démarche Natura 2000 ne consiste pas à créer des sanctuaires de nature mais à assurer la conservation ou le rétablissement d’espèces et d’espaces naturels reconnus d’intérêt communautaire par la mise en œuvre d’un développement durable conciliant exigences écologiques et exigences économiques, culturelles et sociales. Aussi, la directive habitats se veut être une directive de gestion à partir d’une approche contractuelle privilégiant la concertation avec tous les interlocuteurs concernés.
Le site FR 93 01574-2005 "Gorges de Siagne"
[modifier | modifier le code]S’étend des sources du fleuve à Escragnolles à Auribeau-sur-Siagne sur une superficie d’environ 5 300 ha. Au titre de la directive européenne 92/43/C.E.E. dite « Habitats », ce site a été retenu notamment en raison de son complexe de gorges parfois très profondes constituant une zone d’accueil pour de nombreuses espèces. La combinaison de facteurs climatiques et géologiques a permis à la Haute Siagne de conserver son caractère sauvage. Située à un carrefour associant climats montagnard et méditerranéen et substrats calcaire et cristallin, elle se caractérise par une grande diversité biologique pour la région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
On distingue six grands types de milieux naturels sur le territoire de la Haute Siagne :
- Les milieux souterrains (grottes et cavités)
- Les milieux saxicoles (falaises et éboulis)
- Les milieux aquatiques (Siagne, Siagnole, Siagne de la Pare, et leurs sources)
- Les milieux humides (fonds de vallées et les gorges)
- Les milieux forestiers fermés (chênaie pubescente, chênaie verte, châtaigneraie, hêtraie, charmaie, suberaie, mimosa, landes, maquis et garrigues)
- Les milieux ouverts (oliveraies, zones de cultures, pelouses, formations arbustives)
Ce site abrite 23 habitats d’intérêt communautaire dont 7 d’intérêt prioritaire avec plus de 80 espèces de la faune protégées (hors oiseaux), une cinquantaine d’oiseaux protégés et 24 espèces végétales protégées.
Le S.I.I.V.U. "Syndicat Interdépartemental, Intercommunal à Vocation Unique" de la Haute Siagne[82] a été désigné successivement opérateur du site pour élaborer et faire valider le DOCOB, puis animateur pour la gestion du site tant de l’hydrosystème que des milieux terrestres. Il a des comptes à rendre à l’État quant au travail effectué et aux résultats obtenus.
Les restanques ou faïsses
[modifier | modifier le code]Le chêne
[modifier | modifier le code]-
Le plus gros chêne de Mons et région.
-
Le plus gros chêne de Mons et région.
-
Le plus gros chêne de Mons et région.
Quant au plus gros chêne vert de Mons, il se trouve aux Hauts-Campestres.
Les figues
[modifier | modifier le code]Le chanvre cultivé à Mons
[modifier | modifier le code]Les fleurs à parfum
[modifier | modifier le code]Truffes (rabasses)[83]
[modifier | modifier le code]- Truffe : la référence = Tuber melanosporum (ou truffe noire, en hiver) à ne pas confondre avec Tuber brumale (truffe d'hiver ou musquée), puis la maienco (grise, au printemps), et aestiven (truffe d'été ou de la Saint-Jean, claire) sont souvent remarquables. Tuber magnatum (truffe blanche d'Alba) est très rare dans nos contrées.
- Pour trouver les truffes, soit on repère à vue une gerçure (craquelure de la terre), soit la 'mouche à truffes' (Suillia fuscicormis) sur un brûlé (ou cramadis), sous une garouille (bouquet de jeunes chênes), soit on utilise un animal (chien, porc) dit trouveur : le ramasseur (caveur) fouille alors la terre avec son piochon (ou fessou, covadou, fouji) en respectant le mycélium (racines), brosse la peau (ou péridium), la tranche (canife) pour examiner la chair (gléba), avant de la mettre dans sa 'saquette' en toile.
Attention : brûlé ne signifie pas nécessairement truffière, et il existe des truffières sans brûlé. Ce brulé résulterait d'une action antimitotique et 'coumarine-like' du mycélium, mobilisant les ions K− et Ca++. Par ailleurs les murs en pierre sèche, en réverbérant le soleil ont une action adjuvante par leur effet de 'four solaire'. Petit détail : les lapins adorent les truffes !
- avant la création du camp, l'O.N.F. amodiait 400 ha de bois pour sa recherche dans la partie ouest du camp (Vérignon) pour 30 000 F.
1955 | 1956 | 1957 | 1958 | 1959 | 1960 | 1961 | 1962 | 1963 |
30 F | 30 F | 50 F | 32 F | 40 F | 50 F | 110 F | 200 F | 100 F |
1955 | 1956 | 1957 | 1958 | 1959 | 1960 | 1961 | 1962 | 1963 |
28 F | 23 F | 63 F | 40 F | 45 F | 50 F | 80 F | 150 F | 110 F |
- En Périgord, en 1982, la truffe se vendait 5 francs le kilogramme, soit 25 euros actuels.
- actuellement, et pour la même somme, vous ne pouvez acheter une demi-truffe (et petite, en plus !).
Autres
[modifier | modifier le code]-
Cabanon de chasseurs.
-
Pipistrelle cavernicole[87].
Patrimoine intellectuel et humain
[modifier | modifier le code]Musées
[modifier | modifier le code]-
Musée de la Maison monsoise.
-
Musée "Marine et MonStagne"[88] : le maître et son buste en allumettes.
-
Maquettes de navires anciens en allumettes.
-
Bugadier ou pot à lessive.
-
Patchwork monsois.
-
Lanterne : ancien lustre des cercles d'hommes.
Traditions
[modifier | modifier le code]- Sainte Maxime est la sainte patronne de Mons,
- Février, 1er week-end : Sainte-Agathe, fête des femmes,
- juin : messe à la chapelle de Saint-Marcellin (camp de Canjuers),
- Juin, 15 : fête du Patrimoine,
- Juin, 29 : Chapelle Saint-Pierre à Riens = petit roumavagi (pour voyage à Rome),
- Août, 15 : fête patronale de Notre-Dame.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Les armoiries de Mons se blasonnent ainsi[89] : |
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Il est impossible de citer tous les membres illustres de la famille de Villeneuve[90],[91],[92],[93],[94], une des plus grandes de France, comptant près de 1 400 membres authentifiés, regroupés en « branches » avant 1900, avec des descendants survivant de nos jours (Ampus, Arcs, Bargemon, Barrême, Bouliers, Beauregard, La Berlière, Bourgogne, Callian, Cananilles, Carros, Clemensane, Clumanc, Esclapon, Espinouse, Flayosc, Granges, Grasse, Gréolières, Hollande, Lascaris, Mons, Montignan, Monvoisin, Oppio, Ramatuelle, Revest, Roque, Russie, Saint-Cézaire, Séranon, Source, Tartonne, Trans, Thorenc, Tourrettes-lès-Fayence, Tourrettes-lès-Vence, Vauclause, Villevieille), et qui a fourni au cours des siècles : ceux de Mons avaient pour fiefs : Avaye, Beauregard, Cananilles, Esclapon, Gaut(d), Pibresson, Saint-Jean, Saint-Marcellin, Saint-Pierre, Tansonive...
- De la grande famille sont issus :
- des croisés : Pons de Villeneuve, Arnaud de Villeneuve
- une sainte : sainte Roseline, Roseline de Villeneuve (abbaye, Les Arcs, chapelle au château de Beauregard)
- un excommunié : Pierre Romieu de Villeneuve, en 1291,
- des hommes et des femmes d'église : prêtres, abbés, chanoines, prieurs, évêques, mères supérieures, etc.,
- des membres et dignitaires de la plupart des grands Ordres : Malte, Hospitaliers, etc.,
- des hommes de guerre : Pierre Charles, Jean-Baptiste, Silvestre de Villeneuve-Esclapon, contre-amiral à la bataille de Trafalgar,
- des hommes politiques (maires, préfets, conseillers),
- des hommes de lettres (archéologues, historiens),
- malheureusement des victimes de la Révolution,
- le fief de Beauregard est actuellement tenu par les De Clarens.
Les Villeneuve sont surtout sur Trans, et dans la région sur Tourrettes. Mons n'a que la branche des Villeneuve de Beauregard et la branche des Villeneuve de Mons et du Gaut.
Autres personnalités liées à la commune :
- Pierre Porre, maire de 1904 à 1908 et conseiller général jusqu'à sa mort en 1919,
- Théophile Jourdan, maire de Mons et conseiller général,
- Alfred Rolland (1922- 2003), maire de Mons et conseiller général (modif MG),
- Pierre Hemmer (1950-2013), chef d'entreprise suisse, décédé à Mons.
- Jean Vadon, entomologiste (1904-1970).
Depuis quelques années, les résidents occasionnels du domaine de la Gray, de multiples nationalités, aux activités professionnelles évoluées, médecins, professeurs, pilotes, se sont passionnés pour Mons, au point de participer à la vie touristique du village.
Curiosités
[modifier | modifier le code]-
Champignon ou table calcaire : naturel ou construit ? (Blaquières).
-
Seins de Sainte-Agathe, dans les remparts de la ville.
-
Pain pour les festivités de la Sainte-Agathe.
-
Crocs de boucherie foraine (Calado Dou Maselié).
-
Antique échelle d'apiculteur, en paroi de falaise (Frigoure).
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les records sont établis sur la période du au .
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Réseau Natura 2000 « Rivière Siagne et ses gorges», Site FR 9301574
- L'eau dans la commune
- Le Chautard
- Sismicité du Var sur le site de la préfecture.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Mons et Saint-Cézaire-sur-Siagne », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « St Cézaire sur Siagne », sur la commune de Saint-Cézaire-sur-Siagne - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « St Cézaire sur Siagne », sur la commune de Saint-Cézaire-sur-Siagne - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Mons ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Louis J S. de Bresc, Armorial des communes de Provence, ou Dictionnaire géographique et héraldique, Paris, Librairie Bachelin-Deflorenne, , 370 p., p. 191.
- Dolmens et tumulus
- Étienne M. : Les sources de la Siagnole de Mons, Thèse Doct. 3e cycle, 1987, Univ. Sc. et Tech. du Languedoc, Montpellier
- Mons : Aqueduc romain de Mons à Fréjus : itinéraire et longueur totale
- M. Borréani, Fiche descriptive no 1003, Centre archéologique du Var, Toulon, 2007.
- Tremblements de terre en Provence : l’exemple du faux séisme de 1227 en Provence, répertorié dans le catalogue de Rothé (1941)
- Histoire et aléa sismique : exemple des faux séismes de 1227 et 1248
- BRGM (Bureau de recherches géologiques et minières), Département Gestion des données Géologiques et Géophysiques. Sources : Risque et Génie Sismique (fichier Sirene) et LDG-CEA (catalogue microsismicité). Édition : LAMBERT (Jérôme), Directeur, Les tremblements de terre en France, Hier, Aujourd’hui, Demain... Éditions BRGM 1997
- Moyen Âge, Archives départementales du Var
- Geneviève Xhayet, « Partisans et adversaires de Louis d'Anjou pendant la guerre de l'Union d'Aix », Provence historique, Fédération historique de Provence, volume 40, no 162, « Autour de la guerre de l'Union d'Aix », 1990, p. 409 et 410 (note 42).
- F. Toso F., Da Monaco a Gibralterra : storia, lingua e cultura di villagi e citta-satto génovesi verso occidente, Toso, Le Mani Ed., Genova, 2004, (ISBN 88-8012-282-7).
- J.-P. Papon (Abbé), Voyage littéraire en Provence, Lib. Barrois, Paris, 1780, p. 231-232.
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- M. Germain M., Le siège de Mouns, Parpaillon Éd., Gonfaron, 2000, (ISBN 2-912938-13-9).
- Le séisme de 1644
- Garcin E.: Dictionnaire historique et topographique de la Provence, chez l'auteur, Draguignan, 1835
- février-mars 1944 : Le maquis AS de Mons devient le maquis Vallier avec l’arrivée à sa tête de Gleb Sivirine.
- Francs Tireurs et Partisans Français de l’Est Varois…
- Mémoire orale, témoignage de Jean-Paul Lambert, le 21 juin 2011, Résistant pour les parachutages SSAP R2) et la vie au maquis de Mons
- Les comptes de la commune
- Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
- https://www.lemonde.fr/resultats-elections/mons-83080/
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Valente A.: Pour la petite histoire du haut-Var, Mons vous raconte la sienne, Imp. Nouvelle, Saint-Raphaël, 1964
- Mons est la ville marraine du Remorqueur Côtier A696 «Buffle», de la Marine nationale
- Le Buffle
- Parrainage du Buffle
- Dolmen de la Colle
- Dolmen de Peygros
- Dolmen de Saint Marcellin
- à l'approche d'un regard (puteus luminae)
- « bourg castral d'Avaye », notice no IA83001183, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Castrum d'Avaye, Lieu-dit Collet de Caillan
- « Église paroissiale Saint-Pierre et Saint-Paul », notice no PA00081791, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Saint-Pierre et Saint-Paul
- Inventaire des campaniles en France
- Notice no PM83000376, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture cloche de 1535 connue sous le nom de Musane
- Notice no PM83000375, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture cloche de 1501 connue sous le nom de Marie Anne Sauveterre
- Notice no PM83000374, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture cloche de 1488 connue sous le nom de Vénus
- Mobilier de l'église paroissiale Saint-Pierre et Saint-Paul
- Conseil Départemental du Var, « Patrimoine religieux », Le Var No 4, hiver 2017-2018, p. 75.
- Chapelle Saint-Sébastien, qui abrita la confrérie des Pénitents Blancs
- Chapelle Saint-Marcellin, restaurée par le 1er R.C.A.
- Sur le pilier droit du porche on peut lire l'inscription suivante, gravée dans la pierre En l'honneur de Notre dame de Pitié 1644
- Chapelle St-Roch
- Chapelle Saint roch ou / et saint laurent
- Monument aux morts de Mons, sur le site mémoires de guerre du Var
- Monument aux morts
- Mémorial : monument aux morts
- Les monuments aux morts du Var : Mons
- La Fontaine Dei pu luenchco fouan
- Michel Royon, Numérisation des données actuelles de l'inventaire départemental en cours des ouvrages traditionnels en pierre sèche de la campagne varoise, réalisé par les membres de l'A.S.P.P.S.V. (Association pour la Sauvegarde du Patrimoine en Pierre Sèche du Var), Bull. A.S.P.P.S.V., Draguignan, 2004 (6), p. 10-19.
- Pierre Sèche.
- Créac'h Y.: Inventaire Spéléologique des Alpes Maritimes, Tome IV, chez l'auteur, Nice 1987)
- Grotte des Combrières
- Grotte des Combrières (Grotte de Mons)
- Grotte aux peintures (Grotte Pouveroï)
- Grotte des Pestiférés (Baume des échelles)
- Grotte d'Esclapon (Du Château d'Esclapon)
- Itinéraires archéologiques : Mons
- Fichier des cavités du Var
- Quertier P., et al.: Guide du naturaliste dans le Var. Libris ed., Patris, 2002, (ISBN 2-907781-58-8).
- Les actions du Syndicat Interdépartemental, Intercommunal à Vocation Unique de la Haute Siagne
- Aubert C., La politique d'installation des camps militaires : le cas particulier du polygone de tir de Canjuers, Université de Nice-Toulon, faculté de Droit (mémoire de D.E.S. d'administration des collectivités locales), 1984.)
- archive
- Anonyme : Loup, Élevage :Actes du séminaire technique du 15-16 juin 2006 Aix-en-Provence, Cerpam Ed., Manosque, 2007.
- voir : Le loup à Canjuers
- Les chiroptères, très nombreux du fait de l'abondance des grottes, des clochers, mais aussi de l'aqueduc romain, font l'objet d'une protection négociée avec Natura 2000 : certaines grottes particulièrement actives en période de reproduction (mois de mai) sont dorénavant interdites d'accès aux spéléologues.
- Un Musée à ciel ouvert
- Pays de Fayence : Mons, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau
- Juigné de Lassigny E.M. (Le clerc de) Histoire de la maison de Villeneuve en Provence, Lyon, Rey A., Ed., 1901-1902
- Régis Valette : Catalogue de la noblesse française au XXIe siècle, 2007
- Séréville E., et coll.: Dictionnaire de la noblesse française, 1975
- Guerre N.: Noblesse 2001, , 2001
- Vaulchier J. (de): Armorial de l'Association d'entraide de la noblesse française, 2004.
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Histoire et architecture
- « 1387 : Confirmation des privilèges en faveur de Guilhaume de Villeneuve »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) à Tourettes, Mons, La Napoule, Esclapon.
- Daniel Solakian, « Une communauté paysanne de Provence pendant la Révolution : Mons, Var : 1789 - 1795 », La Sorbonne, Paris,
- Etienne Garcin, Dictionnaire historique et topographique de la Provence : ancienne et morderne, t. 2, Draguignan, H. Bernard, , 617 p. (lire en ligne)
- Claude-François Achard, Géographie de la Provence, du Comté Venaissin : de la principauté d'Orange, du Comté de Nice, t. 1, Aix-en-Provence, Pierre-Joseph Calmen, (lire en ligne)
- Jacques-Félix Girardin, Joseph Antelmy et J.-B. Disdier (Abbé) (Contributeur), Description historique du diocèse de Fréjus, Draguignan, C. et A. Latil, (lire en ligne)
- Robert Jeancard (ill. Marthe Jeancard), Les Seigneuries d'Outre-Siagne : De la Reine Jeanne à François Ier, Cannes, Robaudy, , 293 p. (OCLC 491412900)
- Michel Germain, Les confins du Haut-Var autrefois, Mons, Pégase, , 144 p. (BNF 35519558)
- Michel Germain (dir.) et al., À la découverte du pays de Fayence, Lyon, Éd. lyonnaises d'art et d'histoire, , 111 p. (ISBN 2-84147-012-1)
- Michel Germain, Le pays de Fayence, Saint-Cyr-sur-Loire, Alan Sutton, , 144 p. (ISBN 2-84253-833-1)
- Coordination générale : René Dinkel, Élisabeth Decugnière, Hortensia Gauthier, Marie-Christine Oculi. Rédaction des notices : Conservation régionale des monuments historiques (CRMH) : Martine Audibert-Bringer, Odile de Pierrefeu, Sylvie Réol. Direction régionale des antiquités préhistoriques (DRAP) : Gérard Sauzade. Direction régionale des antiquités historiques (DRAH) : Jean-Paul Jacob directeur, Armelle Guilcher, Mireille Pagni, Anne Roth-Congés Institut de recherche sur l'architecture antique (Maison de l'Orient et de la Méditerranée-IRAA)-Centre national de la recherche scientifique (CNRS), Suivez le guide : Monuments Historiques Provence Alpes Côte d’Azur, Marseille, Direction régionale des affaires culturelles et Conseil régional de Provence – Alpes - Côte d’Azur (Office Régional de la Culture), 1er trimestre 1986, 198 p. (ISBN 978-2-906035-00-3 et 2-906035-00-9)Guide présentant l'histoire des monuments historiques ouverts au public en Provence – Alpes – Côte - d'Azur, avec cartes thématiques (traduit en allemand et anglais en septembre 1988). Mons : pp. 133 et 134
- Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4ème trimestre 1979, 1287 p. (ISBN 978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)Mons, p. 770
- Le patrimoine mobilier de la commune
- Mons, Photothèque Monuments Historiques sur le site Patrimages
- Gorges de Siagne : Mons
- Le Pays de Fayence : Mons
Archéologie
- La grotte souterraine du marquis Olier de Nointel, ambassadeur de Louis XIV à Constantinople.
- Escragnolles 1562–1819, Daniel Thiéry
- Liste des sites présentés dans le catalogue : Département du Var : Mons :* no 260 Grotte de Peygros Mons p. 837 ; * no 261 Dolmen de la Brainée Mons p. 840 ;* no 262 Dolmen de Peygros Mons p. 842 ; * no 263 Dolmen de Saint-Marcellin Mons p. 844 ; * no 264 Dolmen de Saint-Pierre (des riens) Mons p. 846
- Dolmen de Riens ou de Saint-Pierre
- Le retable du Maître-Autel dans l'église de Mons, Revue du Conseil départemental du Var, no 4 Hiver 2017-2018, p. 75
Patrimoine naturel, faune et flore
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
- Cavités souterraines naturelles de Mons : Abri de Camp Long - Camplong; * avité naturelle GL; * Grotte 111 - Les Collets; * Aven François - Le Col d'Avaye; * Trou du Contour - Saint Marcellin; * S 3 - Le Grand Collet; * Aven du Pézou no 3 - Pézou; * Grotte Cachée - Le Déversoir; * Trou du Chêne - Saint Marcellin; * Aven de Romain - Le Bardandel; * Grotte de Frigoure - Frigoure; * Aven du Pézou - Pézou; * Aven-Grotte des Vennes - Vallon des Vennes; * Grotte des Blaquières no 4 - Les Blaquières
- Arrêté du 9 juin 2011 portant création d'une zone de protection du biotope de la grotte aux peintures
- Les grottes murées de Mons
Informations générales
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Cahier de doléances de la communauté d'habitants de Mons
Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Liste des communes du Var
- Huile d'olive de Provence AOC
- Moulin de la Siagnole
- Camp de Canjuers
- La Siagne (rivière)
- Siagnole
- Aqueduc de Mons à Fréjus
- Lac de Saint-Cassien
- Pain de la Sainte-Agathe
- Santo Gato
Liens externes
[modifier | modifier le code]- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative à la musique :
- (en) « A brief history of Mons » sur go-provence.com
- Le patrimoine de Mons, sur le site « Patrimages de la Drac Paca »
- Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA]
- Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) et Inventaire et protections réglementaires de l'environnement des communes
- Système d’information géographique du Var (SIG Var : Mons)