Loffre
Loffre | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Nord | ||||
Arrondissement | Douai | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Cœur d'Ostrevent | ||||
Maire Mandat |
Éric Gouy 2020-2026 |
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Code postal | 59182 | ||||
Code commune | 59354 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Loffriens | ||||
Population municipale |
714 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 275 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 21′ 25″ nord, 3° 10′ 12″ est | ||||
Altitude | Min. 20 m Max. 39 m |
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Superficie | 2,6 km2 | ||||
Type | Ceinture urbaine | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Douai (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Aniche | ||||
Législatives | Seizième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Nord
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | www.commune-loffre.fr | ||||
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Loffre est une commune française, située dans le département du Nord (59) en région Hauts-de-France.
Géographie
[modifier | modifier le code]Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Hydrographie
[modifier | modifier le code]Réseau hydrographique
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par le Bay, le Bayon[1], le Courant de Lewarde[2], le Courant de lewarde[3] et divers autres petits cours d'eau[4],[Carte 1].
Gestion et qualité des eaux
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Scarpe aval ». Ce document de planification concerne un territoire de 624 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de la Scarpe aval, comprenant la Pévèle, la plaine de la Scarpe et le bassin minier avec l'Ostrevent. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le , puis révisé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le parc naturel régional Scarpe-Escaut[5].
La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 °C)[7].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 684 mm, avec 12,2 jours de précipitations en janvier et 9 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Douai à 7 km à vol d'oiseau[8], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 729,2 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Loffre est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle est située hors unité urbaine[13]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Douai, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[13]. Cette aire, qui regroupe 61 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14],[15].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59,4 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (71,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (34,2 %), prairies (25,2 %), zones urbanisées (21,8 %), mines, décharges et chantiers (11 %), forêts (7,8 %)[16]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]La commune est desservie par la ligne 12 du réseau de transport Évéole.
Histoire
[modifier | modifier le code]Les origines
[modifier | modifier le code]Dès 1186, la plus grande partie des terres appartenait à l'Abbaye d'Anchin de Pecquencourt qui y exerçait la juridiction[17] Loffre fut longtemps un hameau dépendant de Lewarde situé dans la châtellenie de Bouchain en Hainaut. C'est en 1790, après la Révolution que Loffre devient une commune indépendante[18]
Apparemment le village ne comportait pas d'église au début du XVIIe siècle. Sur le plan du dessiné par Deforest, il apparaît qu'il existait à Loffre une très importante zone marécageuse. On dénombrait 17 habitations dans le hameau.[réf. nécessaire]
En 1820, sur le plan cadastral de la commune, il apparaît que les marais ont été asséchés et que la zone de terres labourables est importante. L'étude effectuée à partir de la matrice cadastrale montre que le village possède 34 habitations, de nombreux jardins, près et vergers ainsi que des bois et de la lande. À cette époque deux sablières étaient en exploitation : une au lieu-dit « La croisette » et l'autre au « Mont Quennelez ». On dénombrait dans la commune : 16 fermiers, 4 cabaretiers, un sabotier, un tonnelier et quelques ouvriers (des piqueurs de grès qui travaillaient dans les sablières). Le village possédait aussi un moulin situé au lieu-dit le Moulin qui était exploité par Nicolas Brabant de Montigny[19].
Époque moderne
[modifier | modifier le code]1880 : le village comptait 48 habitations, quelques bâtiments ruraux, trois moulins à vent étaient en activité sur le territoire ainsi que huit sablières. 188 personnes habitaient Loffre à cette époque.
Dans la commune on dénombrait 21 agriculteurs, 4 cabaretiers, un chiffonnier, un forgeron, un meunier, un couvreur, un charron, un marchand de levure et quelques ouvriers dont des tailleurs de grès qui travaillaient dans les carrières.
1921 : à cette époque, 222 personnes habitaient le village.
Loffre comptait 12 agriculteurs, 10 estaminets, un cordonnier, un épicier, un tourneur en bois, un menuisier, un couvreur.
3 sablières étaient en exploitation sur le territoire.
1978 : D'après l'étude effectuée à l'époque par Peter Ritschel, étudiant allemand de Karlsruhe, Loffre était une commune de 620 habitants se répartissant en 150 familles environ. L'évolution de la commune a été extrêmement lente. En effet, toutes les communes qui l'entouraient se sont développées grâce à l'exploitation du charbon.
Aux environs de 1900, la population ouvrière du douaisis se déplaçait à proximité des mines et des usines.
Loffre restait épargnée par ces implantations, ce qui explique que pendant la première moitié du XXe siècle il n'y eut que quelques constructions nouvelles dans le village. Loffre conservait ainsi son aspect rural, le cadre y restait agréable. Malgré sa situation au sein du bassin minier le paysage très campagnard continuait à contraster avec les rudes paysages industriels des environs. C'est avec la modernisation des moyens de communication, après 1950, que les habitants des communes voisines plus industrialisées ont cherché à s'éloigner du cadre de leur lieu de travail, préférant les zones rurales aux paysages plus rieurs.
En vingt ans la population a doublé. Dix familles travaillaient dans la commune.
En 2009, dans la commune une sablière est en cours d'exploitation et deux agriculteurs éleveurs continuent leur activité. Au fil du temps, Loffre a changé, cette commune à vocation agricole s'est transformée en village pavillonnaire.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Les armes de Loffre se blasonnent ainsi :"D'azur semé de fleurs de lys d'or, au cerf d'argent passant sur le tout." |
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Lors du premier tour des élections municipales le , quinze sièges sont à pourvoir ; on dénombre 585 inscrits, dont 241 votants (41,20 %), 4 votes blancs (1,66 %) et 232 suffrages exprimés (96,27 %). Tous les sièges sont pourvus dès le premier tour, ce qui inclut le maire sortant Éric Gouy, qui toutefois récolte le plus faible nombre de suffrages exprimés avec 217 voix[20],[21].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Seize maires se sont succédé à Loffre depuis la Révolution française[22].
Identité | Période | Durée | Étiquette | |
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Début | Fin | |||
Hubert Manin (d) | 1 an | |||
Pierre Miens (d) | 1 an | |||
Pierre-Michel Caron (d) | 24 ans | |||
Pierre Miens (d) | 1 an | |||
Pierre-Antoine Caron (d) | 17 ans | |||
Guislain Legrand (d) | 13 ans | |||
Pierre-Joseph Caron (d) (mort le ) | 22 ans | |||
Aimable Blanchart (d) ( - ) | 17 ans | |||
Pierre-François Debève (d) | 1 an | |||
Charles Grimbert (d)[23] ( - ) | (mort en cours de mandat) | 7 ans, 4 mois et 11 jours | ||
Jules Poutrain (d) | 9 ans | |||
Philippe Poulet (d) (né le ) | 15 ans | |||
François Fauqueux (d) | 10 ans | |||
Alphonse Poulet (d) ( - ) | 48 ans | |||
Jean-Marie Chœur (d)[24] | 12 ans | |||
Yves Brillon (d)[25],[26] | 25 ans | |||
Éric Gouy (d)[27],[28] (né le ) | En cours | 10 ans et 7 mois | indépendant |
-
Tombe de Pierre-Joseph Caron dans le cimetière de l'église Saint-Roch.
-
Tombe de Charles Grimbert dans le cimetière de l'église Saint-Martin de Masny.
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Détail de la stèle de Charles Grimbert.
-
Le maire de Rieulay Marc Delécluse avec Éric Gouy à Pecquencourt en .
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[30].
En 2021, la commune comptait 714 habitants[Note 3], en évolution de −3,64 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 28,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 32,0 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 359 hommes pour 363 femmes, soit un taux de 50,28 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- L'église Saint-Roch.
- La chapelle Notre-Dame-de-Réconciliation dite chapelle Delcambre.
- Les deux monuments aux morts de la Première Guerre mondiale.
-
L'église Saint-Roch.
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La chapelle Delcambre.
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Le monument ancien.
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Le monument nouveau.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Victor Hugo, peintre et décorateur, y a vécu, tout comme Séraphin Ghesquière[35] et sa fille Andrée, artistes peintres.
- Marc Silvert, entraineur international de basket-ball féminin.
Folklore
[modifier | modifier le code]Loffre avait pour géant le moine Guillaume mais il a disparu[36].
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique de Loffre » sur Géoportail (consulté le 21 septembre 2024).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Sandre, « le Bayon »
- Sandre, « le Courant de Lewarde »
- Sandre, « le Courant de lewarde »
- « Fiche communale de Loffre », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Nord-Pas-de-Calais (consulté le )
- « SAGE Scarpe aval », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Loffre et Douai », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Douai » (commune de Douai) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Douai » (commune de Douai) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Loffre ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Douai », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Eugène Mannier, Etudes etymologiques, historiques et comparatives sur les noms des villes, bourgs et villages de département du Nord, Auguste Aubry, , 395 p. (lire en ligne), p. 1186 LOFFE titre de l abbaye d'Anchin 1195 LOFFES id 1254 LOFFRE id LAUFFE LOFFE documents divers Bullet fait venir Loffre du celtique le bord et auf rivière étymologie toute de fantaisie et peu satisfaisante Loffe Lauffc est plutôt un mot d'origine germanique c est le Lauffen ou Loffen des Allemands nom commun à plusieurs localités et rivières de ce pays Lauffen Loopen a signifié chez les anciens peuples du Nord couler courir fluere currere de fluviis aut fluviorum cataractis Lauffen cataracta Inde oppida dicta Laufen ubi Birsa Liufenberg ubi Rhenus prœceps mit Scherzius C'est un nom qui a été donné à certaines villes pour marquer un endroit où l'eau se précipitait ce qui peut s'entendre d'une cataracte pour les fleuves ou d'une cascade d'une chute d'eau pour les rivières et ruisseaux. Le nom de Loffre pourrait également venir de loof en hollandais feuillage verdure laube en teuton obumbra culum in forestis ombrage lieu ombragé. C'est en tous cas un nom d'origine germanique et la première étymologie est la plus probable.
- Victor Derode, Histoire de Lille, Volume 1, (lire en ligne), À partir de 1783 les villages et territoires de Dechy Erchin Férin Fles quières Guesnain Lallaing Loffre Masny Roucourt qui faisaient partie de la châtellenie de Bouchain furent réunis à la Flandre wallonne ainsi que les terres qui en dépendent et qui sont enclavées dans les villages de Waziers Sin le Noble Montigny Lewarde et Gœulzin par contre Erre Abscon Marquette furent cédés à la châtellenie de Bouchain Ainsi réduite elle contenait 44,223 bon niers. Elle se divisait en deux parties l'une au Midi sèche marneuse produisant de bons grains l'autre au Nord plus grosse et fertile donnant toute sorte de récoltes.
- « moulins », sur loffre-toussaintdomise.fr (consulté le ).
- « Élections municipales, Loffre », La Voix du Nord, édition Douaisis, no 24165, , p. 34.
- « Élections municipales 2020 - 1er tour, Loffre », L'Observateur du Douaisis, no 897, , p. 9.
- « Les maires », sur loffre-toussaintdomise.fr.
- « D’hier à aujourd’hui Loffre : À Loffre, les premiers conseils municipaux se sont tenus dans un bistrot », La Voix du Nord, : « Élu en 1888, Charles Grimbert fait adopter le projet de construction d’une mairie pour des raisons d’indépendance mais aussi de prestige. Inaugurée en 1889, elle sera financée par un don personnel du maire. Le bâtiment devient le cœur du village. Il est aménagé puis transformé sous les mandats de Jean-Marie Chœur (1977-1989) et Yves Brillon (1989-2014) successeurs d’Alphonse Poulet (dont le père Philippe fut maire de 1904 à 1918). »
- « Loffre : Jean-Marie Chœur appelle au regroupement des anciens combattants », La Voix du Nord, Lille, (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, BNF 34418428, lire en ligne) :
.« Nous diviser c’est nous affaiblir, insiste l’ancien maire de Loffre de 1977 à 1989. »
- « Loffre : Yves Brillon, maire honoraire, reçoit cette distinction « avec fierté » », La Voix du Nord, : « Premier adjoint de 1983 à 1989 puis maire jusqu’en 2014, Yves Brillon sera élevé ce vendredi à l’honorariat, une distinction qui récompense trente-et-un ans de dévouement à ses concitoyens, dont un quart de siècle comme premier magistrat. »
- « Cérémonie des vœux à Loffre : c’était la « der » pour Yves Brillon », La Voix du Nord, : « De nombreux loffriens étaient réunis salle polyvalente pour assister aux derniers vœux du maire, Yves Brillon. »
- « Loffre : Yves Brillon passe l’écharpe tricolore à Éric Gouy », La Voix du Nord, : « Dimanche 30 mars, Éric Gouy a pris la succession d’Yves Brillon qui se retire après trente ans au service des collectivités locales. »
- Benjamin Dubrulle, Julien Gilman et Stéphane Labdant (infographie), « Municipales : la nouvelle carte politique du Douaisis », La Voix du Nord, Lille, no 24270, , p. 10 (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, BNF 34418428, lire en ligne) :
.« Loffre : sans étiquette »
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Loffre (59354) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
- Didier Margerin, « L'autre Victor Hugo, peintre oublié, en exposition ce week-end », La Voix du Nord, no 25103, , p. 14 (lire en ligne)
- Benjamin Dubrulle, « Le SOS de passionnés pour sauver des géants abandonnés », La Voix du Nord, no 24596, , p. 14-15