Carlat
Carlat | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Cantal | ||||
Arrondissement | Aurillac | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Bassin d'Aurillac | ||||
Maire Mandat |
Yves Alexandre 2020-2026 |
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Code postal | 15130 | ||||
Code commune | 15028 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Carladésiens, Carladésiennes ou Carladais, Carladaises ou Carladois, Carladoises | ||||
Population municipale |
379 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 18 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 53′ 25″ nord, 2° 34′ 03″ est | ||||
Altitude | Min. 480 m Max. 906 m |
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Superficie | 20,88 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Aurillac (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Vic-sur-Cère | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Cantal
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Liens | |||||
Site web | carlat.fr.pagesperso-orange.fr | ||||
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Carlat est une commune française située dans le département du Cantal, en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Géographie
[modifier | modifier le code]Carlat est un petit village situé sur un plateau basaltique dans le pays de Carladès. Les maisons sont bâties sur un terrain basaltique, contre un rocher, reste d'une coulée de lave.
Cette roche basaltique est à l'origine dans la région du phénomène d'inversion de relief. Il y a plus de cinq millions d'années, les coulées de basalte qui se sont épanchées des flancs du Plomb du Cantal, au niveau du col de Curebourse ont emprunté la vallée pliocène de Carlat (paléo-vallée). Le basalte était alors en position basse, dominé par les flancs de la vallée. Après érosion (eaux de ruissellement, glaciers) des matériaux meubles de part et d’autre de la coulée, ce paléo-relief se transforme et les coulées de basalte (roche beaucoup plus résistante) apparaît en position haute[1]. Ces coulées forment une plateforme (Cros-de-Ronesque, roc de Lasclauzades), tandis que les ruisseaux (la Bromme qui entaille le calcaire oligocène[2] et le Goul qui entaille le socle schisteux) creusant de part et d'autre de nouvelles vallées dans le pays coupé de Carlat[3].
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Lieux-dits
[modifier | modifier le code]- Almeyrac
- Altouzet
- Buron de Chardonnet
- Cabrieu
- Calves
- Carlades
- Celles
- Courbesserre
- Embarre
- Empradel
- Faral
- Féneyrols
- Feniers
- Juzelles
- La Chau
- La Peyreficade
- La Vente
- Labastide
- Lamontagne-de-Nadal
- Le Dat Soubeyrol
- Le Montat
- les Cabanes
- Loubéjac
- Lessenat
- Moulin de Calves
- Moulin de Celles
- Moulin de Payrotte
- Pont des Cabanes
- Pradel
- Puy-Basset
- Rocher de Carlat
- Rousse
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 409 mm, avec 13 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune d'Aurillac à 11 km à vol d'oiseau[6], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 134,7 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Carlat est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Aurillac, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 85 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59,8 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (52,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (40,2 %), forêts (40,2 %), zones agricoles hétérogènes (19,6 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Habitat et logement
[modifier | modifier le code]En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 239, alors qu'il était de 227 en 2013 et de 212 en 2008[I 2].
Parmi ces logements, 69,1 % étaient des résidences principales, 22 % des résidences secondaires et 8,9 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 96,2 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 3,8 % des appartements[I 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Carlat en 2018 en comparaison avec celle du Cantal et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (22 %) supérieure à celle du département (20,4 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 88,3 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (84,6 % en 2013), contre 70,4 % pour le Cantal et 57,5 pour la France entière[I 4].
Typologie | Carlat[I 2] | Cantal[I 5] | France entière[I 6] |
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Résidences principales (en %) | 69,1 | 67,7 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 22 | 20,4 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 8,9 | 11,9 | 8,2 |
Toponymie
[modifier | modifier le code]Attestations anciennes
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous les formes :
- Castrum quod vulgo Cartilatum dicitur en 839[14] (Ann. Bertiniani)
- Carlacum en 1279 (archives départementales série E)
- Carlac en 1380 (archives municipales de Saint-Flour)
- Carlatum en 1382 (archives municipales d'Aurillac série EE)
- Carllat en 1610 (aveu de Jean de Pestels)
- Carlat en 1671 (nommée au prince de Monaco).
Étymologie
[modifier | modifier le code]Il peut s'agir d'une formation toponymique gauloise ou gallo-romaine en -ate, suffixe de sens vague[14],[15] qu'Ernest Nègre considère comme locatif. Il peut faire référence à une forteresse ou à un village[16]. Le premier élément Carl- peut représenter un anthroponyme qu'Albert Dauzat identifie comme latin et qu'il cite sous la forme Cartilius, à moins qu'il ne s'agisse d'une extension à partir du thème prè-indo-européen *kar- « pierre », la localité se situant en effet sur une table basaltique[14]. Ernest Nègre lui préfère un nom de personne gaulois qu'il cite sous la forme Caratillus[16].
Enfin, Xavier Delamarre croit reconnaître le thème verbal carti- carto- rencontré dans plusieurs anthroponymes gaulois, tels que Carti-mandua, Carto-ual[, An-are-cartos, Cartusio, etc. et toponymes gaulois *Carto-briga > Chartreuve (Aisne, Cartobra IXe siècle), *Cartonia > Chardogne (Meuse, Chardonne 1230, Chardoigne 1321, Cardonia 1711), etc. etc. Carti- / carto- correspondrait au gallois carthu et au breton karzha « nettoyer, récurer » et à la racine vieil irlandais cart- « chasser, expulser, envoyer »[17]. Il reconstruit Carti-latum, sur lato- « ardeur, fureur » ou « plaine », ce dernier sens serait celui à retenir dans ce cas (*lāto-) comme dans l'ethnonyme Latobrogi « ceux du plat pays »[18]. Il ne donne toutefois pas d'explication sur le sens global du toponyme, cette identification de l'étymon ne semblant pas assurée.
Remarque : les formes anciennes montrent une confusion avec le suffixe -acum qui a abouti régulièrement à la terminaison -ac d'une manière générale dans le Sud de la France, et -at plus spécifiquement en Auvergne et une partie du Limousin.
Histoire
[modifier | modifier le code]Sur le rocher s'élevait depuis le VIIIe siècle un château dont la position donnant sur toute la vallée était imprenable, et que le roi Henri IV fit démanteler pierre par pierre en 1604. Car les seigneurs de l'époque, Cadillac ou Cadilhac (orthographe occitane), recevaient et recueillaient en leur domaine officieusement beaucoup d'autres seigneurs pourchassés généralement pour « crime ou lèse-majesté ». Inaccessible et inexpugnable, ce repaire de fortes têtes narguait sans cesse Henri IV et ses ministres. Le roi fit donner plusieurs assauts et finit par remporter la bataille après plusieurs mois d'acharnement. Avec la Révolution française, la vicomté (terre des Grimaldi depuis 1641) est confisquée et ses possessions vendues comme biens nationaux. En 1911, le rocher de Carlat est racheté par la Société de la Haute-Auvergne afin de le rétrocéder en 1914 à Albert Ier de Monaco[19].
En décembre 2008 le maire de Carlat a évoqué un prochain jumelage avec le hameau de Bruni, rattaché à la commune italienne de Vallarsa. Ce rapprochement de Carlat-Bruni est dans l'idée d'associer les deux communes avec le nom de Carla Bruni-Sarkozy, l'épouse de l'ancien président de la République française Nicolas Sarkozy, et de bénéficier d'une publicité touristique pour son village[20]. En , le jumelage est officialisé[21].
Le , Carlat rejoint la communauté d'agglomération du Bassin d'Aurillac[22].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Découpage territorial
[modifier | modifier le code]La commune de Carlat est membre de la communauté d'agglomération du Bassin d'Aurillac[I 1], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Aurillac. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[23].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement d'Aurillac, à la circonscription administrative de l'État du Cantal et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Vic-sur-Cère pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 1], et de la première circonscription du Cantal pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[24].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Jumelages
[modifier | modifier le code]Bruni, paroisse intégrée à la commune de Vallarsa (Italie) depuis 2010, afin de rendre hommage à Carla Bruni, par juxtaposition des deux noms[25].
Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[27].
En 2021, la commune comptait 379 habitants[Note 2], en évolution de +7,37 % par rapport à 2015 (Cantal : −1,36 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Le château de Carlat
- le château de Celles
- Le manoir de Lachaux - privé
- L'église Saint-Avit
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- La Reine Margot.
- Anne de Beaujeu, fille de Louis XI, régente du royaume et vicomtesse de Carlat.
- Isabelle de Rodez ou Isabelle de Carlat, Grande figure du Carladez, elle habitait au château de Carlat.
- Bonne de Berry, vicomtesse de Carlat, morte à Carlat le 30 décembre 1435.
- Jacques d'Armagnac-Nemours, vicomte de Carlat où il résidait lorsqu'il fut arrêté par ordre de Louis XI.
- Bonne de Carlat, elle habita au château de Carlat de 1434 à 1454.
- Jean-Baptiste Rames (1832-1894), géologue, né à Celles-de-Carlat.
- Michel Four (1945-), artiste peintre né à Carlat.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | De gueules au lion léopardé d'or[30]. |
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Détails | Blason des vicomtes de Carlat. Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
- À travers l'histoire de Carlat, Chanoine Joubert, Imp. U.S.H.A., Aurillac.
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Chiffres clés - Logement en 2018 à Carlat » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Carlat - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Carlat - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans le Cantal » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- Schéma de reconstitution de la vallée pliocène de Carlat
- Calcaire comportant des rognons de silex.
- Jean Jung, Géologie de l'Auvergne et de ses confins bourbonnais et limousins, Impr. nationale, , p. 243.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Carlat et Aurillac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Aurillac », sur la commune d'Aurillac - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Aurillac », sur la commune d'Aurillac - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Aurillac », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 148b
- d'après Auguste Vincent
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Droz, , p. 163.
- Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise (approche linguistique du vieux celtique continental), éditions Errance, Paris, 2003, (ISBN 2-87772-237-6), p. 108.
- Xavier Delamarre, op. cit., p. 198.
- Alix Vermande, « Dans le Cantal, l'autre rocher de Monaco », Le Figaro, , p. 11 (lire en ligne).
- Jumelage Carlat-Bruni: "Je serais contente pour le village même si je n'apprécie pas l'épouse Sarkozy", Le Post, 30 décembre 2008
- La Voix du Nord, « Le jumelage de Carlat et de Bruni va faire le bonheur de la première dame », La Voix du Nord - en ligne, (lire en ligne, consulté le )
- Carlat, sur le site de la CABA.
- « communauté d'agglomération du Bassin d'Aurillac - fiche descriptive au », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
- « Découpage électoral du Cantal (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
- Le Parisien, « Carlat et Bruni offrent un cadeau à la Première dame », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « 15028 Carlat (Cantal) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).