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Guécélard

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Guécélard
Guécélard
Rue traversant le village.
Blason de Guécélard
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Sarthe
Arrondissement La Flèche
Intercommunalité Communauté de communes du Val de Sarthe
Maire
Mandat
Alain Viot
2020-2026
Code postal 72230
Code commune 72146
Démographie
Gentilé Guécélardais
Population
municipale
3 172 hab. (2021 en évolution de +6,59 % par rapport à 2015)
Densité 260 hab./km2
Population
agglomération
217 245 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 47° 52′ 33″ nord, 0° 07′ 46″ est
Altitude Min. 36 m
Max. 70 m
Superficie 12,18 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Le Mans
(banlieue)
Aire d'attraction Le Mans
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de La Suze-sur-Sarthe
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Guécélard
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Guécélard
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Guécélard
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Guécélard
Liens
Site web guecelard.mairie72.fr

Guécélard est une commune française, située dans le département de la Sarthe en région Pays de la Loire, peuplée de 3 172 habitants[Note 1].

La commune fait partie de la province historique du Maine, et se situe dans le Haut-Maine (Maine blanc).

Géographie

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Les 1 218 hectares de la superficie communale sont bordés sur 5,2 km par la grande rivière navigable, la Sarthe, qui se trouve en cet endroit à 195 km de sa source. Le territoire est parcouru par une petite rivière : le Rhonne, et son rayonnement d'affluents qui drainent les anciennes gastines du Bélinois et celles du Bas Poslinois, devenues les Landes du Petit et du Grand Bourray, citées sur la carte de Cassini de 1767. Le rayonnement de tous ces petits ou un peu plus grands cours d'eau, dont le point de convergence est le bourg actuel de Guécélard, et par delà à la Sarthe, et au fleuve royal : la Loire.

La particularité topographique du cours de la Sarthe, où la grande rivière coule en certains points, à une distance assez rapprochée du Grand Chemin mansais, faisant d'Allonnes, un point important de « rupture de charges » validé par l'amas de pièces de monnaie anciennes découvertes[1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 677 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 6,6 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune du Mans à 15 km à vol d'oiseau[5], est de 12,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 693,4 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Au , Guécélard est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle appartient à l'unité urbaine du Mans[Note 2], une agglomération intra-départementale regroupant 19 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 3],[10],[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Mans, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[11]. Cette aire, qui regroupe 144 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (50,1 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (56,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (36,1 %), prairies (35,7 %), zones urbanisées (12,8 %), terres arables (10,4 %), zones agricoles hétérogènes (3,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,9 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Anciens noms[15] :

  • En 1793 : Guiécelard.
  • De 1880 (création de la commune) à nos jours : Guécélard.

Le gentilé est Guécélardais / Guécélardaise.

L'histoire de Guécélard[16] débute, bien avant que l'orthographe du nom actuel apparaisse[17]. C'est au franchissement d'un petit cours d'eau appelé Rhonne, par un authentique chemin antique, connue pour sa section sarthoise sous la dénomination de Grand Chemin mansais[18], que vers le IVe siècle un guerrier franc du nom de Coelhard s'est installé et a fait souche. L'archéologie en témoigne. Il faut attendre la fin du IXe siècle, et les archives de l'abbaye de Saint-Mesmin pour découvrir un groupement d'habitations, formant ce que l'on pourrait appeler un hameau à caractère familial, sur la rive droite de la petite rivière. Sa dénomination avant le Xe siècle : le Gué de Coelhard.

Les moines de l'abbaye de la Couture en 1135 érigent une chapelle, avec l'intention d'édifier un bourg sur la rive gauche du Rhonne. Ce n'est qu'en 1230 que la chapelle devient une église sous le vocable de la Nativité de la Vierge Marie, et sous l'appellation de Notre-Dame du Gué Seelard. En 1235, une paroisse naissante est citée dans plusieurs actes[19].

Cette église sera incendiée le , lors de raids de la cavalerie anglaise basée à Pontvallain. Le même jour, les maisons fortes de Buffe et de Mondan étaient également saccagées et incendiées[20]. Une seconde église sera élevée, construite par les habitants du hameau en 1505-1506, et elle figure dans plusieurs documents des archives épiscopales du Mans et de Tours[21].

Le culte de saint Maclou, instauré par Erispoë vers 855[22], fut honoré pendant presque un millénaire par de grandioses pèlerinages annuels dans les édifices religieux guécélardais, jusqu'en 1792.

Cette nouvelle église est vendue comme bien national en 1792. Elle abrita un bataillon, puis fut démantelée. Un troisième lieu de culte fut construit, là où se trouve l'actuelle église, la bénédiction de cette grande chapelle fut donnée le . Édifiée sur un banc d'argiles, le , elle fut retirée du culte, le clocher lézardé, s'effondrait par pans. L'église que l'on voit au quotidien a été construite de 1893 à 1897, et elle était consacrée le , par monseigneur Bonfils de Forcalquier, dont les armes sont sculptées au balcon du jubé[23].

L'évolution du hameau du Gué de Coelhard a été très lente et a été sujette a de nombreuses vicissitudes du IXe siècle à la première moitié du XVe siècle. La platitude sur laquelle se développe le territoire communal guécélardais (environ deux lieues) a donné aux cavaleries bretonnes de Nominoë, puis de son fils Ersipoë, celle des Norman's, des comtes d'Anjou, de Guillaume le Conquérant, des Anglais en alternance avec celle des Français, bien des occasions de charges et de galopades dévastatrices pour les récoltes et pour les habitations. Aussi, l'on peut constater sur de nombreux plans et cartes antérieurs au XVIIIe siècle, les dénominations de Guessellard, de Grand Bourg, pour ce que nous appelons de nos jours le Vieux Bourg, et de Petit Guécélard pour les quelques habitations se situant près de l'église.

L'historiographie de Guécélard proprement dite est étroitement liée à celle du « Grand Chemin mansais ». Ce chemin qui dès le bronze moyen a relié l'estuaire de la Seine, à l'embouchure de la Loire, pour être plus précis la rive gauche de la Seine à la rive droite de la Loire, s'embranchait vers Rémalard, à une autre voie importante : Paris à Paimbœuf (important arsenal royal), par Bellême, Le Mans, Guécélard, La Flèche, Angers, Nantes[24].

C'est en 1880 que la commune de Fillé cède une partie de son territoire pour la création de Guécélard[15].

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1945 1946 Marc Fouqueray    
1946 1953 Frédéric Sergent    
1953 mars 1965 André Loembrock    
mars 1965 mai 1969
(démission)
Gaston Davoine    
juillet 1969 septembre 1982
(décès)
Prosper Daudibon DVD Courtier assermenté en céréales et produits du sol
Premier adjoint (1965 → 1969)
1982 juin 1995 André Darguesse   Représentant de commerce
juin 1995 mars 2001 Denis Herbreteau   Créateur d'entreprise retraité
Vice-président de la CC d'Orée de Bercé - Bélinois
mars 2001 mars 2014 Maurice Desbordes SE Professeur des écoles
mars 2014[25] en cours Alain Viot[26] DVG Retraité SNCF
Les données manquantes sont à compléter.

Le conseil municipal est composé de vingt-trois membres dont le maire et six adjoints[26].

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1881. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[28].

En 2021, la commune comptait 3 172 habitants[Note 5], en évolution de +6,59 % par rapport à 2015 (Sarthe : −0,42 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911 1921 1926
595563579585533469484520451
1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982 1990
5024374965105896609821 6632 261
1999 2006 2011 2016 2021 - - - -
2 5942 6892 7933 0153 172----
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Naissances et décès

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Évolution des naissances[31]
2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008
Naissance domicilié à Guécélard 45 33 38 31 30 34 39 24 33
Évolution - en diminution - 26,67 % en augmentation + 13,16 % en diminution - 18,42 % en diminution - 3,26 % en augmentation + 13,33 % en augmentation - 13,71 % en diminution -38,46 % en augmentation + 37,50 %
Évolution des décès[32]
2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008
Décès domicilié à Guécélard 10 4 17 16 13 7 13 4 13 12
Évolution - en diminution - 60 % en augmentation + 325 % en diminution - 5,88 % en diminution - 18,75 % en diminution - 46,15 % en augmentation + 87,71 % en diminution - 69,23 % en augmentation + 225 % en diminution - 7,69 %

Activité, label et manifestations

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La commune est une ville fleurie (deux fleurs) au concours des villes et villages fleuris[33].

Foire aux chiens

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La foire aux chiens est une manifestation annuelle où se retrouvent plusieurs milliers de visiteurs, chaque premier dimanche du mois de septembre depuis plus de trente ans. Elle regroupe trois expositions :

  • Chiens : (plusieurs centaines), venant de toute la France,
  • Équidés (poneys, chevaux, ânes…),
  • Commerces, artisanat, brocante, vide-greniers…

L'Union sportive de Guécélard fait évoluer une équipe de football en ligue du Maine et trois autres en divisions de district[34]. L'équipe première s'est qualifiée au terme de la saison 2012-2013 en Division d'Honneur.

L'association Guécélard Basket Ball Club gère des équipes de basket avec une école de mini-basket à partir de l'âge de 4 ans jusqu'aux équipes senior au niveau départemental et régional Pays de Loire certaines saisons, notamment ses équipes féminines puisqu'il est parmi les principaux clubs sarthois pour le basket féminin.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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L'ancien pont piétonnier.
  • Église Notre-Dame abritant deux statues du XVe siècle (saint Jean et Vierge du Calvaire) classées à titre d'objets aux Monuments historiques[35].
  • Ancien pont piétonnier en pierres du début du XVIIIe siècle sur le Rhonne au Gué de la Ronceraie, dénommé également gué de Buffard, dit pont romain[réf. à confirmer][36].

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Blason de Guécélard Blason
De sable à la bande fuselée d'argent[37].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Notes et références

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  1. Population municipale 2021.
  2. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  3. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine du Mans comprend une ville-centre et 18 communes de banlieue.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. André Gobenceaux, Parlez-moi de Guécélard, Pays des deux rivières
  2. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Guécélard et Le Mans », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Le Mans », sur la commune du Mans - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Le Mans », sur la commune du Mans - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. « Unité urbaine 2020 du Le Mans », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Guécélard ».
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Le Mans », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Guécélard », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  16. A.-G., Guécélard, son passé, son Histoire bien avant que son nom apparaisse. Cartulaire de Saint-Mesmin
  17. Cartulaires et archives de Saint-Mesmin, de Saint-Victeur, de Saint-Calais, A.N. de Paris…
  18. Cartulaire de Saint-Sulpice-des-Bois.
  19. Cyrographe, manuscrit des Archives départementales de la Sarthe - H2.
  20. Annales royales du XIVe siècle.
  21. Inventaire des titres de l'abbaye de Beaulieu.
  22. Cartulaire de Redon.
  23. Archives de l'archevêché de Tours
  24. Et si… Guécélard… m'était conté - André Gobenceaux
  25. « Alain Viot succède à Maurice Desbordes », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  26. a et b Réélection 2020 : « Municipales à Guécélard. Alain Viot réélu par un nouveau conseil municipal », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. Naissances à Guécélard sur l'Insee
  32. Décès à Guécélard sur l'Insee
  33. « Palmarès du concours des villes et villages fleuris », sur cnvvf.fr (consulté le ).
  34. « US Guécélard », sur Site officiel de la Ligue du Maine (consulté le ).
  35. « Œuvres mobilières à Guécélard », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  36. André Gobenceaux, « Une voie oubliée… Le chemin mansais », sur Le blog d'André Gobenceaux (consulté le ).
  37. « Guécélard (Sarthe) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).

Articles connexes

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Liens externes

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