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Coings

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Coings
Coings
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Indre
Arrondissement Châteauroux
Intercommunalité Châteauroux Métropole
Maire
Mandat
Jean-François MORIN
Élections municipales partielles de 2023
Code postal 36130
Code commune 36057
Démographie
Gentilé Cogniciens
Population
municipale
890 hab. (2021 en évolution de +8,27 % par rapport à 2015)
Densité 30 hab./km2
Population
agglomération
85 674 hab. (2010)
Géographie
Coordonnées 46° 53′ 14″ nord, 1° 42′ 59″ est
Altitude Min. 145 m
Max. 171 m
Superficie 29,33 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Châteauroux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Levroux
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Coings
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Coings
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Coings

CoingsÉcouter est une commune française située dans le département de l'Indre, en région Centre-Val de Loire.

Géographie

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Localisation

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La commune est située dans le centre[1] du département, dans la région naturelle de la Champagne berrichonne.

Les communes limitrophes[1] sont : Montierchaume (5 km), Déols (6 km), Vineuil (6 km), Brion (8 km) et La Champenoise (9 km).

Les communes chefs-lieux[1] et préfectorales sont : Châteauroux (8 km), Levroux (13 km), Issoudun (22 km), La Châtre (40 km) et Le Blanc (57 km).

Carte
Localisation de la commune de Coings

Hameaux et lieux-dits

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Les hameaux[2] et lieux-dits[2] de la commune sont : Notz, Céré et les Ombelles[3].

Géologie et hydrographie

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La commune est classée en zone de sismicité 2, correspondant à une sismicité faible[4].

Le territoire communal est arrosé par la rivière Ringoire[2] et les ruisseaux : Angolin, Les Fontaines et La Fosse Noire.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Centre et contreforts nord du Massif Central, caractérisée par un air sec en été et un bon ensoleillement[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 765 mm, avec 11,7 jours de précipitations en janvier et 7 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Châteauroux Déols », sur la commune de Déols à 6 km à vol d'oiseau[7], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 728,6 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Voies de communication et transports

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L'autoroute A20[11] (l’Occitane) passe par le territoire communal ainsi que les routes départementales : 8B, 77A, 80, 80A, 80C et 920[11].

La gare ferroviaire la plus proche est la gare de Châteauroux[11], à 9 km.

Coings est desservie au lieu-dit Céré, par la ligne 5 du réseau de bus Horizon[12].

Sur le territoire de la commune est implantée partie de l’Aéroport de Châteauroux-Centre.

Au , Coings est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[13]. Elle est située hors unité urbaine[14]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Châteauroux, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[14]. Cette aire, qui regroupe 71 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,9 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (87,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (76,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (10,8 %), prairies (5,2 %), forêts (3,4 %), zones agricoles hétérogènes (2,3 %), zones urbanisées (1,9 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le tableau ci-dessous présente le détail du secteur des logements[18] de la commune :

Date du relevé 2013 2015
Nombre total de logements 358 380
Résidences principales 90,7 % 91,8 %
Résidences secondaires 2 % 2,1 %
Logements vacants 7,3 % 6,1 %
Part des ménages propriétaires de leur résidence principale 88,4 % 88,5 %

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Coings est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[19]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[20].

Risques naturels

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Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Coings.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[21].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 85,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (84,7 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 399 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 390 sont en aléa moyen ou fort, soit 98 %, à comparer aux 86 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22],[23].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1992 et 2018 et par des mouvements de terrain en 1999[19].

Risques technologiques

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Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[24].

Ses habitants sont appelés les Cogniciens[25].

Politique et administration

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La commune dépend de l'arrondissement de Châteauroux, du canton de Levroux, de la deuxième circonscription de l'Indre et de Châteauroux Métropole[14].

Liste des maires depuis la Libération
Période Identité Étiquette Qualité
mars 1977[27],[28],[29] 2020 Jean-Pierre Marcillac UMP-LR Retraité
2020 En cours Jean Tortosa    

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[31].

En 2021, la commune comptait 890 habitants[Note 2], en évolution de +8,27 % par rapport à 2015 (Indre : −3,11 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
248154195591627638646672676
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
686624643610612612625614591
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
596609619563593537521515528
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
489446479762821815859865813
2017 2021 - - - - - - -
880890-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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La commune dépend de la circonscription académique d'Issoudun.

Manifestations culturelles et festivités

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Équipement culturel

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La commune est couverte par les médias suivants : La Nouvelle République du Centre-Ouest, Le Berry républicain, L'Écho - La Marseillaise, La Bouinotte, Le Petit Berrichon, France 3 Centre-Val de Loire, Berry Issoudun Première, Vibration, Forum, France Bleu Berry et RCF en Berry.

La commune se situe dans l’aire urbaine de Châteauroux, dans la zone d’emploi de Châteauroux et dans le bassin de vie de Châteauroux[14].

La commune se trouve dans l'aire géographique et dans la zone de production du lait, de fabrication et d'affinage du fromage Valençay[36].

La culture de la lentille verte du Berry[37] est présente dans la commune.

Culture locale et patrimoine

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  • C'est peut-être sur le territoire de l'actuelle commune de Coings qu'eut lieu la bataille de Déols, qui opposa en 469 les Wisigoths à une armée de Bretons.
  • La fontaine Saint-Paul, sur l'ancien ruisselet des Fontaines, passait pour avoir jadis des vertus curatives[38].
  • L'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul actuelle a remplacé au XIXe siècle un édifice roman antérieur. Elle a été construite par l'architecte Laurent Audebert dans les années 1819-1823, puis agrandie de deux chapelles et d'une abside par Alfred Dauvergne après 1863. Celle-ci est percée de trois baies ornées de beaux vitraux des ateliers du maître-verrier grenoblois Louis Balmet. À l'intérieur encore, au revers de la tribune supportant le clocher, une peinture murale représentant le supplice des saints Pierre et Paul est l'œuvre, exécutée en 1902, de l'ancien curé Abel Paquier (1869-1953)[39].
  • Au centre de la place centrale du village a subsisté pendant longtemps un orme de Sully, très admiré et reproduit sur de nombreuses cartes postales anciennes ; victime de son âge et des tempêtes, il a été abattu en 1964.
  • Le château de Coings est une maison de maître du XIXe siècle que des constructions plus anciennes ont précédée sur ce site. On y voit toujours un pigeonnier du XVe siècle avec ses trous de boulin ; elle est entourée de jardins remarquables aux arbres appartenant à des essences variées (un magnifique cèdre a été malheureusement renversé en 2010 par la tempête Xynthia.
  • Sur la même commune de Coings le château de Notz a été construit au XIXe siècle par un notable de Châteauroux et possède une architecture originale[40].
  • Le monument aux morts, inaugurée en 1922, est une simple stèle pyramidale qui porte 26 noms.

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Articles connexes

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Lien externe

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Notes et références

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  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a b et c « Indre », sur le site de Lion 1906, consulté le 3 septembre 2018.
  2. a b et c Site du Géoportail : Coings, consulté le 15 décembre 2013.
  3. « Coings » sur Géoportail., consulté le 17 septembre 2018.
  4. « Didacticiel de la règlementation parasismique : Indre », sur le site de la Prévention du risque sismique, consulté le 3 septembre 2018.
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Coings et Déols », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Châteauroux Déols », sur la commune de Déols - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Châteauroux Déols », sur la commune de Déols - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  11. a b et c « Coings », sur le site de ViaMichelin, consulté le 3 septembre 2018.
  12. « Plans », sur le site de Horizon, consulté le 19 février 2018.
  13. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  14. a b c et d Insee, « Métadonnées de la commune de Coings ».
  15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Châteauroux », sur insee.fr (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. « Comparateur de territoire : Commune de Coings (36057) », sur le site de l'Insee, consulté le 28 octobre 2018.
  19. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Coings », sur Géorisques (consulté le ).
  20. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  21. « Dossier départemental des risques majeurs dans l'Indre », sur /www.indre.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
  22. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  23. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  24. « Dossier départemental des risques majeurs dans l'Indre », sur /www.indre.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  25. « Nom des habitants des communes françaises, Coings », sur le site habitants.fr de la SARL Patagos (consulté le ).
  26. a b c d e f g h i j k l m n o p et q ? Delaume, Notice monographique sur la commune de Coings (Indre), Châteauroux, Revue du Berry, , p. 49.
  27. « Résultats des élections municipales 2001 », sur le site du Ministère de l'Intérieur, consulté le 16 avril 2018.
  28. « Résultats des élections municipales 2008 », sur le site du Ministère de l'Intérieur, consulté le 16 avril 2018.
  29. « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur le site du Ministère de l'Intérieur, consulté le 16 avril 2018.
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. « Liste des établissements scolaires de l'Indre - Année scolaire 2018/2019 » [PDF], sur le site de l'Académie d'Orléans-Tours (consulté le ).
  35. « Regroupements pédagogiques intercommunaux (R.P.I.) » [PDF], sur le site de l'Académie d'Orléans-Tours (consulté le ).
  36. Site de l'Institut national de l'origine et de la qualité : Valençay, consulté le 15 août 2014.
  37. Site de l'Institut national de l'origine et de la qualité : Lentilles vertes du Berry, consulté le 11 novembre 2014.
  38. Jean-Louis Desplaces, Le florilège de l'eau en Berry, Châteauroux, Badel, , tome I, p. 168-9.
  39. Arnaud de Montigny et collaborateurs, A la découverte des églises de l'Indre, Prahecq, Patrimoines etMédias, , 501 p. (ISBN 2-910137-79-1), p. 148.
  40. Arnaud de Montigny et collaborateurs, Châteaux, manoirs et logis : L'Indre, Prahecq, Patrimoines et Médias, 2011 (pour la 2e édition), 428 p. (ISBN 978-2-916757-99-5), p. 148.