Aller au contenu

Paillet

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Paillet
Paillet
La mairie (août 2014).
Blason de Paillet
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Langon
Intercommunalité Communauté de communes Convergence Garonne
Maire
Mandat
Jérôme Gauthier
2020-2026
Code postal 33550
Code commune 33311
Démographie
Gentilé Pailletons
Population
municipale
1 207 hab. (2021 en évolution de −1,15 % par rapport à 2015)
Densité 487 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 41′ 11″ nord, 0° 21′ 49″ ouest
Altitude Min. 4 m
Max. 92 m
Superficie 2,48 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Bordeaux
(banlieue)
Aire d'attraction Bordeaux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de l'Entre-Deux-Mers
Législatives Douzième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Paillet
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Paillet
Géolocalisation sur la carte : Gironde
Voir sur la carte topographique de la Gironde
Paillet
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Paillet
Liens
Site web www.mairie-paillet.fr

Paillet est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation

[modifier | modifier le code]

Située dans l'Entre-deux-Mers et faisant partie de l'aire d'attraction de Bordeaux et même de son unité urbaine depuis le nouveau zonage de 2010[1], la commune se trouve à 28 km au sud-est de Bordeaux, chef-lieu du département, à 19 km au nord-ouest de Langon, chef-lieu d'arrondissement et à 6,5 km au nord-ouest de Cadillac, chef-lieu de canton[2].

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]

Sur la rive droite de la Garonne, les communes limitrophes en sont Langoiran dans l'extrême nord sur environ 100 mètres, Capian au nord-nord-est sur 5 à 600 mètres, Villenave-de-Rions au nord-est, Rions au sud-sud-est et Lestiac-sur-Garonne au nord-ouest ; sur la rive gauche, les communes limitrophes en sont Virelade au sud-ouest et Arbanats à l'ouest.

Communes limitrophes de Paillet
Lestiac-sur-Garonne Langoiran Capian                              
Villenave-de-Rions
Arbanats Paillet
Virelade Rions                              

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 842 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 5,9 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Cadaujac à 15 km à vol d'oiseau[6], est de 13,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 918,3 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Au , Paillet est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bordeaux[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant 73 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[11],[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[12]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[13],[14].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]
Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (70,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (55,7 %), zones urbanisées (23,2 %), terres arables (13,3 %), forêts (4,2 %), eaux continentales[Note 4] (3,6 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Voies de communication et transports

[modifier | modifier le code]

La principale voie de communication routière qui traverse le village est la route départementale D10 qui mène, vers le nord-ouest, à Lestiac-sur-Garonne puis Langoiran et, au-delà, à Bordeaux et, vers le sud-est, à Rions et, au-delà, à Cadillac-sur-Garonne et Langon ; le village est également traversé par la route départementale D120 qui dessine une fourche en menant, d'une part, vers le nord-nord-est, à Capian et d'autre part, vers l'est-sud-est, à Cardan ; au milieu de cette fourche, la route départementale D237 commence dans le village et mène au nord-est à Villenave-de-Rions.
Les ponts de franchissement de la Garonne les plus proches sont celui de Langoiran, sur la D115 à 5 km au nord-ouest et celui de Béguey sur la D13 à 4,6 km au sud-est.
L'accès à l'autoroute A62 (Bordeaux-Toulouse) le plus proche est le no 2, dit de Podensac, distant de 12 km par la route vers le sud.
L'accès no 1, dit de Bazas, à l'autoroute A65 (Langon-Pau) est distant de 32 km par la route vers le sud-sud-est.

La gare SNCF la plus proche est celle de Portets, sur la ligne Bordeaux-Sète du TER Nouvelle-Aquitaine, distante de 8 km vers l'ouest, par le pont de Langoiran sur la D115. Sur la même ligne, la gare de Langon, offrant plus de trafic, se trouve à 19 km vers le sud-est.

Risques majeurs

[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Paillet est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Garonne. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1990, 1993, 1999, 2009, 2014 et 2021[18],[16].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines)[19]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[20].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Paillet.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 513 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 513 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[21],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[20].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2011 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2014[16].

Le nom de la commune provient peut-être du moulin de La Paille qui était établi à proximité du port et visible par les voyageurs transitant entre l’arrière-pays et Bordeaux, ou des bottes de paille en instance de départ pour la ville ou évoquant des “ paillettes d’or ” dans la rivière d’Artolie[22].

Le nom de la commune est Palhet en gascon.

Ses habitants sont appelés les Pailletons[23].

À la Révolution, la paroisse Saint-Hilaire de Paillet forme la commune de Paillet[24].

Le château est édifié sur l'emplacement d'une ancienne villa gallo-romaine, le bâtiment de style « classique » appartient à Pietro Paolo, un officier de Bernard de Nogaret, duc d'Epernon. Il y décède en 1692.

Un vignoble est attenant, sur le coteau.

Messire d'Alphonse, écuyer, chanoine de l'Église de Bordeaux rachète.

Adélaïde de Bacalan, d'une grande famille de négociants, hérite.

Puis le chevalier Jean-Baptiste d'Alphonse, conseiller au Parlement de Bordeaux le maintient dans sa famille. Suit la comtesse de Vassan

La famille Féry d'Esclands devient propriétaire : Alphonse, conseiller à la cour des Comptes, le tient en 1885 à la suite de sa sœur et de son père. Il fut illustre comme Président de la Société de Protection des Animaux

Le domaine viticole sera acquis en 1968 par la famille de négociants en vins Quancard

Héraldique

[modifier | modifier le code]
Blason de Paillet

« Parti : au premier coupé au I d’or au fer de moulin de sable, au II de gueules à la fleur de lys d’or soutenue de trois gerbes de blé du même ordonnées 2 et 1, à la divise ondée d’argent chargée de deux filets ondés de sable brochant sur le coupé, au seond d’azur à la corde de marine de trois nœuds alésée d’or en fasce, surmontée d’une ancre d’argent accostée de deux doloires adossées du même et soutenue d’une barrique au naturel de fasce sur son support, chargée d’une doloire contournée d’argent ; le tout sommé d’un chef d'azur soutenu d’argent chargé d’un léopard d’or. »

Politique et administration

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001 mars 2008 Yves Destheves DVG  
mars 2008 En cours Jérôme Gauthier[25] DVD Professeur
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

[modifier | modifier le code]
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[27]. En 2021, la commune comptait 1 207 habitants[Note 5], en évolution de −1,15 % par rapport à 2015 (Gironde : +6,88 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
980924888854885951916920929
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
9269461 027965988906815953954
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
984944807750745673665607708
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
7748397928729349891 1301 1701 223
2018 2021 - - - - - - -
1 2091 207-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
  • L'île de Raymond
  • L'église Saint-Hilaire de Paillet, appartenant à l'origine à la juridiction de Rions, est d'origine romane, d'influence charentaise. Une chapelle dédiée à saint Antoine est érigée du côté nord, grâce au cardinal de Sourdis, au XVIIe siècle. La construction est financée par le comte de Vassan, payant ainsi le droit de banc et de sépulture. Le bas-côté sud remonte au XIXe siècle, tout comme le clocher, construit en 1870 et restauré en 1985. L'abside et le chœur ont été inscrits au titre des monuments historiques depuis 1925[30].
  • La chapelle Sainte-Catherine-du-Désert se situe sur les hauteurs de la commune, à l'aplomb de la route de Capian. Elle appartenait au prieuré du même nom (appelé aussi d'Artolie), rattaché au prieuré de Rions. Raymond de Laubesc, abbé de La Sauve-Majeure, avait fondé cet ermitage pour se retirer du monde. La chapelle est actuellement insérée dans un domaine viticole ; elle est propriété privée depuis 1793.

Paillet autrefois

[modifier | modifier le code]
  • Bibliothèque municipale[31] ;
  • Comité des fêtes[32].

Inondations de juillet 2014

[modifier | modifier le code]

Dans la nuit du vendredi 25 au samedi , alors que de violents orages éclataient dans le Sud-Ouest, la commune a été submergée par des torrents d'eau et de boue dues au débordement de la rivière qui finit son cours en traversant le village, l'Artolie[33]

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]

Notes et cartes

[modifier | modifier le code]
  • Notes
  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. Dans le cas de l'unité urbaine de Bordeaux, il y a une ville-centre et 72 communes de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. Composition communale de l'unité urbaine de Bordeaux selon le nouveau zonage effectué en 2010
  2. Distances les plus courtes par la route - Les distances orthodromiques sont respectivement de 24,2 km pour Bordeaux, 17,4 km pour Langon et 6,7 km pour Cadillac. Données fournies par Lion1906.com, consulté le 6 septembre 2014.
  3. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Orthodromie entre Paillet et Cadaujac », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Cadaujac-inra » (commune de Cadaujac) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Cadaujac-inra » (commune de Cadaujac) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Bordeaux », sur insee.fr (consulté le ).
  12. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Paillet ».
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Bordeaux », sur insee.fr (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Paillet », sur Géorisques (consulté le ).
  17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  18. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  19. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  20. a et b « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Paillet », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  22. Paillet sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 6 septembre 2014.
  23. Nom des habitants de la commune sur habitants.fr, consulté le 10 avril 2013.
  24. Historique des communes, p. 38, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 10 avril 2013.
  25. Commune de Paillet sur le site de l'AMF, Association des Maires de France, consulté le 10 avril 2013.
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. « Inscription de l'église Saint-Hilaire », notice no PA00083654, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 6 septembre 2014.
  31. Blog de la bibliothèque municipale de Paillet
  32. Comité des fêtes de la commune de Paillet
  33. En images : dévasté par les orages, le village de Paillet (33) appelle à l'aide, Sud Ouest.fr du 27 juillet 2014, consulté le 6 septembre 2014.