Mont-Bernanchon
Mont-Bernanchon | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Béthune | ||||
Intercommunalité | CA de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane | ||||
Maire Mandat |
Marie-Claude Duhamel 2020-2026 |
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Code postal | 62350 | ||||
Code commune | 62584 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Bernico-Montois | ||||
Population municipale |
1 316 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 115 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 35′ 02″ nord, 2° 35′ 25″ est | ||||
Altitude | Min. 16 m Max. 37 m |
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Superficie | 11,4 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Béthune (banlieue) |
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Aire d'attraction | Béthune (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Lillers | ||||
Législatives | 9e circonscription du Pas-de-Calais | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Mont-Bernanchon est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Le nom du village est souvent graphié Mont-Bernenchon. Ses habitants sont appelés les Bernico-Montois. La commune est membre de la communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Localisée dans l'est du département du Pas-de-Calais et traversée par le canal d'Aire à la Bassée, Mont-Bernanchon est une commune rurale située à 18 km au nord-ouest de Béthune (chef-lieu d'arrondissement), 33 km à l'ouest de Lille et 52 km au sud-est de Dunkerque.
Elle est desservie par le tracé initial de l'ex-RN 37 (actuelle RD 937) et est proche de l'autoroute A26.
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de quatre communes :
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]La superficie de la commune est de 11,4 km2 ; son altitude varie de 16 à 37 m[1].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[2].
La commune est construite dans une zone de polders drainée par le Grand Nocq[3] et la Clarence, un sous-affluent de l'Escaut par la Lys[4].
le courant d'hannebecque, cours d'eau naturel de 3 km, qui prend sa source dans la commune de Hinges, se jette dans le Grand Nocq, au niveau de la commune[5].
La commune est traversée par le canal d'Aire à la Bassée, canal navigable de 39 km, qui prend sa source dans la commune de Bauvin et se jette dans La Lys au niveau de la commune d'Aire-sur-la-Lys[6].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[8].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 710 mm, avec 11,8 jours de précipitations en janvier et 8,7 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lillers à 8 km à vol d'oiseau[9], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 731,5 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].
Milieux naturels et biodiversité
[modifier | modifier le code]Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique
[modifier | modifier le code]L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 2] : les anciens terrains de dépôts des voies navigables à Mont-Bernanchon, d’une superficie de 45 ha et d'une altitude variant de 18 à 29 mètres. Cette Znieff est constituée de cinq bassins de décantation dans lesquels des boues de dragages ont été déposées à différentes époques[13].
Espèces faunistiques et floristiques
[modifier | modifier le code]L’Inventaire national du patrimoine naturel (INPN) recense plusieurs espèces faunistiques et floristiques sur le territoire de la commune dont certaines sont protégées et d’autres menacées et quasi-menacées[14].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Mont-Bernanchon est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[15]. Elle appartient à l'unité urbaine de Béthune[Note 3], une agglomération inter-départementale regroupant 94 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 4],[16],[17]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Béthune, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[17]. Cette aire, qui regroupe 23 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18],[19].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,7 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (90 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (63,7 %), zones agricoles hétérogènes (20,3 %), forêts (6,5 %), zones urbanisées (4,8 %), prairies (4,7 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous les formes Mons en 1152 ; Sainte Marie et Saint Nicaise del Mont en 1250 ; Mons Bernechon en 1255 ; Li Mont en 1256 ; Montbernechon en 1306 ; Mont-Berneschon au XIVe siècle ; Le Mont (1318) ; Le Mont-Bernanchon en 1404 ; Mombernenchon en 1430 ; Mont-Bernenchon en 1435 ; Montbrenenchon en 1469 ; Monbernanchon en 1559 ; Montbernanchon en 1720[21], Mont Berninchon en 1793 ; Montberninchon et Mont-Bernanchon depuis 1801[1].
Le toponyme est issu du latin mons, montis (« mont »).
Histoire
[modifier | modifier le code]Le 24 octobre 1590, est rendue une sentence de noblesse pour Jean Dumaire, seigneur du Mollinet en Boulonnais, demeurant à Montbernanchon. Il a pour armes « D'argent au chevron de sinople »[22].
Lors de la Première Guerre mondiale, en avril 1918, l'avance de l'armée allemande est contenue et stoppée un peu à l'est du village[23]. Le village est décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [24].
Pendant la Seconde Guerre mondiale, en mai 1940, des unités britanniques livrèrent d'importants combats dans la commune pour stopper l'avance des allemands et permettre l'évacuation des armées alliées lors de la bataille de Dunkerque[23]. Le , à la suite du tir d'un résistant de la dernière heure sur une colonne allemande qui était en train de repartir en Allemagne, huit habitants sont choisis au hasard dans leur domicile et emmenés à pieds à Saint-Venant pour y être fusillés[25].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Découpage territorial
[modifier | modifier le code]La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Béthune du département du Pas-de-Calais[26].
Commune et intercommunalités
[modifier | modifier le code]Mont-Bernanchon était membre de la communauté de communes Artois-Lys, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1992.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[27], cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane dont est désormais membre Mont-Bernanchon. Cette communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane regroupe 100 communes et compte 275 327 habitants en 2021[26].
Circonscriptions administratives
[modifier | modifier le code]La commune faisait partie depuis 1801 du canton de Lillers[1]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Lillers[26].
Circonscriptions électorales
[modifier | modifier le code]Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la neuvième circonscription du Pas-de-Calais[28].
Élections municipales et communautaires
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Équipements et services publics
[modifier | modifier le code]Espaces publics
[modifier | modifier le code]La commune fait partie des villages labellisés Village Patrimoine[31], qui œuvrent à mettre en avant leurs patrimoines matériels et/ou immatériels (historique, culturel, naturel, architectural, etc.).
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Les habitants sont appelés les Bernico-Montois[32].
Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[34].
En 2021, la commune comptait 1 316 habitants[Note 6], en évolution de −3,45 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,9 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 702 hommes pour 646 femmes, soit un taux de 52,08 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,50 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- L'église Saint-Nicaise.
- Le cimetière militaire britannique (Mont-Bernanchon Churchyard), intégré au cimetière communal. Il compte des tombes de la Première Guerre mondiale et 55 tombes de la Seconde Guerre mondiale (33 corps n'ont pu être identifiés).
- Le monument aux morts, surmonté du Poilu au repos, statue du sculpteur Étienne Camus[38].
- La borne commémorative élevée par le gouvernement portugais à l’endroit où fut repoussé l’armée allemande en avril 1918. Au total, sept bornes sont élevées : deux à Hinges, une à Saint-Floris, à Robecq, Essars, Beuvry-le-Hamel[39].
- Le site ornithologique[40].
-
L'église Saint-Nicaise.
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Le cimetière militaire britannique.
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Le monument aux morts.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | D'argent à la fasce de gueules accompagnée en chef à dextre d'un lion d'azur[41]. |
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Détails | Adopté par la municipalité en 1992. |
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Ouvrage consultable aux archives départementales du Pas-de-Calais[42] :
- P. Broutin, Paroisse de Mont-Bernanchon.
Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Liste des communes du Pas-de-Calais
- Aide à la rédaction des articles consacrés aux communes de France
Liens externes
[modifier | modifier le code]- Dossier de la commune sur le site de l'Insee[Note 7], [lire en ligne]
- La commune sur le site des archives départementales du Pas-de-Calais, [lire en ligne]
- La commune sur "Remonter le temps", sur le site de l’IGN, [lire en ligne][Note 8]
- « La commune » sur Géoportail.
Bases de données, dictionnaires et encyclopédies
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- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Béthune comprend deux villes-centres (Béthune et Bruay-la-Buissière) et 92 communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Ce dossier de l’Insee reprend, pour la commune,le Code Officiel Géographique, le découpage territorial, l'intercommunalité, les zonages d’études, le dossier complet de la commune, un comparateur de territoires, les données statistiques et les définitions des termes géographiques (zonages administratifs, d’étude, etc.).
- "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - le Grand Nocq (E3640640 ) » (consulté le )
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Clarence (E3640620 ) » (consulté le )
- Sandre, « Fiche cours d'eau - courant d'hannebecque (E3640850) » (consulté le )
- Sandre, « Fiche cours d'eau - canal d'Aire à la Bassée (E35-0282 ) » (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Mont-Bernanchon et Lillers », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Lillers » (commune de Lillers) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Station Météo-France « Lillers » (commune de Lillers) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
- « ZNIEFF 310013747 - Anciens terrains de dépôts des voies navigables à Mont-Bernanchon », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « statistiques des espèces recensées sur la commune », sur Le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Béthune », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Mont-Bernanchon ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Béthune », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Dictionnaire topographique de la France », sur dicotopo.cths.fr (consulté le ).
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 12, lire en ligne.
- « Mont-Bernanchon », Mémoires de pierre (consulté le ).
- Journal officiel du 28 septembre 1920, p. 14314.
- Arlette Sebzda, « Mont-Bernanchon : hommage aux otages fusillés en septembre 1944 », La Voix du Nord, (lire en ligne , consulté le ).
- « Rattachements administratifs de la commune », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) (consulté le ).
- Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
- « Circonscriptions législatives : Table de correspondance des communes et des cantons pour les élections législatives de 2012 et sa mise à jour pour les élections législatives 2017 », sur data.gouv.fr (consulté le ).
- Aïcha Noui, « Les projets des maires: à Mont-Bernanchon, un mandat positif pour pérenniser les actions avec Marie-Claude Duhamel : Sécurité, réforme des rythmes scolaires, travaux, imposition... Marie-Claude Duhamel, élue depuis dix-neuf ans à la tête de Mont-Bernanchon, est sur tous les fronts. Pas question de changer la cadence. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- C. J., « Les maires réélus à Mont-Bernenchon et Robecq », L'Écho de la Lys, (lire en ligne, consulté le ) « À Mont-Bernenchon, Marie-Claude Duhamel a été réélue maire. Une sixième installation au conseil municipal ».
- Benoît Fauconnier, « Le label «Village patrimoine» pour Mont-Bernanchon, ça change quoi? », sur La Voix du Nord, (consulté le ).
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- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Mont-Bernanchon (62584) », (consulté le ).
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- « Le monument aux morts », sur monuments-aux-morts.fr (consulté le ).
- Arlette SEBZDA, « La borne portugaise de Mont-Bernanchon inaugurée pour la 3e fois depuis la Première Guerre mondiale », La Voix du Nord, (lire en ligne , consulté le ).
- « Découverte de la réserve de Mont-Bernanchon », sur le site de Ligue pour la protection des oiseaux (LPO) (consulté le ).
- Armorial de France, p. 15294
- « La commune de Mont-Bernanchon », sur archives départementales du Pas-de-Calais (consulté le ).