Aller au contenu

Jean-Marie Bockel

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Ceci est la version actuelle de cette page, en date du 8 décembre 2024 à 21:30 et modifiée en dernier par Charpek (discuter | contributions). L'URL présente est un lien permanent vers cette version.
(diff) ← Version précédente | Voir la version actuelle (diff) | Version suivante → (diff)

Jean-Marie Bockel
Illustration.
Jean-Marie Bockel en 2014.
Fonctions
Sénateur français

(9 ans, 9 mois et 16 jours)
Réélection 28 septembre 2014
Circonscription Haut-Rhin
Groupe politique RDSE (2010-2011)
UCR (2011-2012)
UDI-UC (2012-2017)
UC (2017-2020)
Prédécesseur Jacques Muller
Successeur Ludovic Haye

(2 ans, 9 mois et 18 jours)
Élection 26 septembre 2004
Circonscription Haut-Rhin
Groupe politique SOC
Prédécesseur Jean-Louis Lorrain
Successeur Jacques Muller
Maire de Mulhouse

(21 ans, 1 mois et 27 jours)
Élection 24 mars 1989
Réélection 18 juin 1995
18 mars 2001
16 mars 2008
Prédécesseur Joseph Klifa
Successeur Jean Rottner
Secrétaire d'État chargé de la Justice

(1 an, 4 mois et 21 jours)
Président Nicolas Sarkozy
Gouvernement Fillon II
Successeur Delphine Batho (indirectement)
Secrétaire d'État chargé de la Défense
et des Anciens Combattants

(1 an, 3 mois et 5 jours)
Président Nicolas Sarkozy
Gouvernement Fillon II
Prédécesseur Alain Marleix
Successeur Hubert Falco
Secrétaire d'État chargé de la Coopération
et de la Francophonie

(9 mois)
Président Nicolas Sarkozy
Gouvernement Fillon II
Prédécesseur Brigitte Girardin
Successeur Alain Joyandet
Député français

(5 ans et 6 jours)
Élection 1er juin 1997
Circonscription 5e du Haut-Rhin
Législature XIe (Cinquième République)
Groupe politique SOC
Prédécesseur Joseph Klifa
Successeur Arlette Grosskost

(4 ans, 11 mois et 9 jours)
Élection 12 juin 1988
Circonscription 5e du Haut-Rhin
Législature IXe (Cinquième République)
Groupe politique SOC
Prédécesseur Proportionnelle par département
Successeur Joseph Klifa

(2 ans, 1 mois et 12 jours)
Élection 16 mars 1986
Circonscription Haut-Rhin
Législature VIIIe (Cinquième République)
Groupe politique SOC

(3 ans, 1 mois et 21 jours)
Élection 21 juin 1981
Circonscription 5e du Haut-Rhin
Législature VIIe (Cinquième République)
Groupe politique SOC
Prédécesseur Émile Muller
Successeur Jean Grimont
Ministre du Commerce, de l'Artisanat
et du Tourisme

(1 mois)
Président François Mitterrand
Gouvernement Fabius
Prédécesseur Michel Crépeau
Successeur Gérard Longuet (Tourisme)
Secrétaire d'État chargé du Commerce

(1 an, 6 mois et 27 jours)
Président François Mitterrand
Gouvernement Fabius
Prédécesseur André Delelis (indirectement)
Successeur Jean-Jacques Descamps
Biographie
Date de naissance (74 ans)
Lieu de naissance Strasbourg (France)
Nationalité Française
Parti politique PS (1973-2007)
LGM (depuis 2007)
UDI (depuis 2012)
Diplômé de Faculté de droit, de sciences politiques et de gestion de Strasbourg
Profession Avocat

Jean-Marie Bockel
Maires de Mulhouse

Jean-Marie Bockel, né le à Strasbourg (Bas-Rhin), est un homme politique français, fondateur de La Gauche moderne et membre de l'UDI.

Alors membre du Parti socialiste, il est secrétaire d'État auprès du ministre du Commerce entre 1984 et 1986, puis ministre du Commerce en 1986, dans le gouvernement Laurent Fabius. Sous cette étiquette, il est aussi élu plusieurs fois maire de Mulhouse, député et sénateur du Haut-Rhin.

À la suite de l'élection de Nicolas Sarkozy à la présidence de la République, en 2007, il quitte le PS pour fonder le mouvement La Gauche moderne au sein de la majorité présidentielle. Il devient l'une des personnalités d'« ouverture » dans le gouvernement François Fillon II, où il est nommé secrétaire d'État chargé de la Coopération et de la Francophonie. Il est secrétaire d'État à la Défense et aux Anciens combattants de 2008 à 2009, puis à la Justice de 2009 à 2010.

Il retourne ensuite au Sénat, où il siège jusqu'en .

Jean-Marie Bockel est le fils de Francis Bockel[1] (1920-2012), notaire, et le petit-fils de Louis Bockel (1883-1957), conseiller général du Haut-Rhin élu dans le canton de Thann[2], et le neveu de Mgr Pierre Bockel, ancien archiprêtre de la cathédrale Notre-Dame de Strasbourg et juste parmi les nations.

Son père, combattant de l'Armée d'Afrique, a été blessé durant la Seconde Guerre mondiale[3].

Études et débuts

[modifier | modifier le code]

Après une jeunesse passée à Thann, il suit des études de droit à la faculté de droit, de sciences politiques et de gestion de Strasbourg et obtient une maîtrise de droit puis le certificat d'aptitude à la profession d'avocat. En 1976, il ouvre son cabinet à Mulhouse. Parallèlement, il entame une carrière politique et prend sa carte au Parti socialiste en 1973. En 1974, il devient secrétaire des Jeunesses socialistes du Haut-Rhin. Il est alors proche du CERES[4] de Jean-Pierre Chevènement, à l'aile gauche du PS. Il est élu député du Haut-Rhin à 30 ans en juin 1981. Il est réélu en 1986 et 1988. Battu lors de la « vague bleue » de 1993, il retrouve son poste en 1997, jusqu'en 2002.

Ministre et député socialiste

[modifier | modifier le code]

Alors qu'il aurait dû entrer au gouvernement en octobre 1983[5], il devient secrétaire d'État auprès du ministre du Commerce, Michel Crépeau, en 1984, puis brièvement ministre du Commerce, de l'Artisanat et du Tourisme en 1986. À la fin du gouvernement Laurent Fabius, il devient porte-parole de Jean-Pierre Chevènement au sein du courant « Socialisme et République » en 1987. Mais, en 1991, il fait partie des partisans les plus affirmés de l'engagement de la France aux côtés des Américains dans la guerre du Golfe, ce qui le conduit à une rupture orageuse et définitive avec Jean-Pierre Chevènement.

Jean-Marie Bockel est également conseiller général du Haut-Rhin pendant dix ans et maire de Mulhouse de 1989 à 2010.

Depuis la fin des années 1990, il se fait l'apôtre d'une rénovation blairiste du Parti socialiste, dénonçant les « archaïsme[s] d'une partie du Parti socialiste »[6]. En 2001, il fonde ainsi le club « Gauche moderne » et rend un rapport sur les moyens de simplifier la création d'entreprises. Il présente une motion en ce sens au congrès du Mans en 2005[7] ; sa motion recueille 0,65 % des voix. Il est alors membre du Bureau national du Parti socialiste. Il avait déjà déposé une contribution générale « Pour un socialisme moderne » au congrès de Dijon en 2003.

Le , il est élu à la présidence de l'Association des maires de grandes villes de France, présidence qu'il quitte début [8].

Aux élections législatives de , il est battu par la candidate UMP Arlette Grosskost. Le , il est élu sénateur du Haut-Rhin. Il continue pendant le même temps ses appels à la rénovation du PS : en , il annonce la création du courant Réformisme et Rénovation pour continuer la réflexion issue de sa motion présentée au congrès du Mans. Le , il signe un appel de soutien à l'investiture socialiste de Dominique Strauss-Kahn à l'élection présidentielle de 2007, en compagnie de 15 autres sénateurs, de 8 députés et de 2 députés européens. Après l'investiture de Ségolène Royal pour l'élection présidentielle de 2007, il prend la direction du comité de soutien à Ségolène Royal dans le Haut-Rhin. D'une sensibilité politique minoritaire dans son parti, il entretient des relations avec François Bayrou depuis plusieurs années[9].

Il préside la Fédération des industries ferroviaires de 2005 à 2007.

Ministre de Nicolas Sarkozy

[modifier | modifier le code]

Après l'élection du président de la République Nicolas Sarkozy et la victoire de la droite aux élections législatives de 2007, il accepte, au nom de l'ouverture demandée par le président de la République, sa nomination en tant que secrétaire d'État chargé de la Coopération et de la Francophonie auprès du ministre des Affaires étrangères du gouvernement Fillon (2), le . Exclu du PS, il déclare alors[10] : « Ça fait dix ans que j'œuvre, que je milite sans grand succès pour la modernisation du PS, pour y prôner en tout cas des idées davantage sociales-libérales, blairistes, des idées qui peut-être nous auraient permis d'ailleurs de gagner la présidentielle si on avait su davantage les défendre ».

Le , il crée La Gauche moderne, mouvement libéral de centre gauche. La Gauche moderne s'allie avec la majorité présidentielle lors des élections municipales de 2008[11]. Sa liste d'union La Gauche moderne-UMP-Nouveau Centre-MoDem l'emporte de peu le lors du second tour de l'élection municipale de 2008 à Mulhouse, avec seulement 168 voix d'avance sur la liste PS dirigée par son ancien adjoint municipal Pierre Freyburger[12].

Alors qu'il est chargé de la Coopération, il demande publiquement le au président, conformément aux promesses de celui-ci, d'accentuer la fin de la Françafrique[13].

Lors du remaniement ministériel du du gouvernement François Fillon II, il passe du secrétariat d'État à la Coopération et à la Francophonie au secrétariat d'État à la Défense et aux Anciens combattants. Plusieurs journalistes voient dans ce changement le résultat de pressions exercées par les présidents Omar Bongo et Denis Sassou-Nguesso, mécontents des positions de Bockel au sujet de la Françafrique[13],[14],[15]. Robert Bourgi (qui aurait participé à cette éviction), conseiller « Afrique » de Nicolas Sarkozy, confirme cette thèse le lors d'une entrevue à RTL, expliquant que c'est Omar Bongo qui l'a appelé début 2008 pour demander son éviction, chose qui sera faite peu de temps après[16],[17].

Le , il passe du secrétariat d'État à la Défense et aux Anciens combattants au secrétariat d'État à la Justice. Quatre mois après la fondation de Mulhouse Alsace Agglomération (M2A), dont il est président, il démissionne de son mandat de maire de Mulhouse en , tout en restant conseiller municipal ; son premier adjoint, l'UMP Jean Rottner, lui succède à la mairie[18]. Jean-Marie Bockel occupe ses fonctions ministérielles jusqu'au , date à laquelle il n'est pas reconduit dans le troisième gouvernement Fillon. Après son départ du gouvernement, il retrouve son mandat de sénateur ; il siège au groupe RDSE puis UCR à partir de 2011.

Il se prononce, le , clairement en faveur de la candidature de Nicolas Sarkozy dès le premier tour de la présidentielle[19]. Le , il lance le « Comité national pour une France moderne avec Nicolas Sarkozy »[20].

Après 2012

[modifier | modifier le code]

Le , il dépose, au nom de la commission des Affaires étrangères, de la Défense et des Forces armées du Sénat, un rapport intitulé « La cyberdéfense : un enjeu mondial, une priorité nationale », qui préconise le renforcement de la protection et de la défense des systèmes d'information au plus haut niveau de l'État et une véritable stratégie de l'Union européenne[21].

Le , dans le cadre de l'affaire Fillon, il renonce à soutenir le candidat LR François Fillon à l'élection présidentielle[22].

Il est président de La Gauche moderne jusqu'en [23].

En , il affirme n'avoir jamais quitté l'UDI et en être toujours membre[24].

Il ne se représente pas aux élections sénatoriales de 2020. Embauché par le cabinet de conseil en communication Tilder, il préside par ailleurs bénévolement l'association Solidarité-Défense, qui vient en aide aux militaires blessés[3].

Le 22 mars 2022, Emmanuel Macron le nomme par décret président de la Commission nationale indépendante de reconnaissance et de réparation des préjudices subis par les harkis. À ce titre, il s'entretient avec les présidents des associations concernées, tandis qu'est lancée une campagne de rénovation des sépultures de harkis ainsi qu'un recensement des demandes de réparations[3].

Le 6 février 2024, Jean-Marie Bockel est nommé « envoyé personnel » d’Emmanuel Macron en Afrique[25].

En novembre 2024, Jean-Marie Bockel remet au président Emmanuel Macron, un rapport sur la reconfiguration du dispositif militaire français en Afrique. Le rapport prône un partenariat « renouvelé » et « reconstruit » avec les pays africains[26].

Prises de position

[modifier | modifier le code]

Jean-Marie Bockel était perçu comme incarnant l'aile droite ou sociale-libérale du Parti socialiste. Il ne cache pas sa sympathie pour les méthodes du travailliste Tony Blair et se déclare lui-même social-libéral. Il estime que le socialisme et le libéralisme peuvent se fondre pour mieux s’accomplir. Il définit ainsi sa doctrine politique :

« Oui, nous sommes des socialistes libéraux. Socialistes, car nous devons opposer aux rapports de force et à l’injustice, la nécessité d’une émancipation partagée. Car nous nous donnons pour fin la justice et la protection sociale, la réduction des inégalités et la promotion des solidarités. Car nous travaillons au partage des biens et des droits à l’échelle du continent et du monde. Socialistes, car nous défendons l’esprit public, ce qui fait société. Car nous soutenons le principe d’une action collective et volontariste. »

« Libéraux, car nous comprenons l’émancipation comme accès à la liberté. Nous défendons la liberté et la responsabilité individuelle, l’autonomie de la société civile, la délimitation de la souveraineté de l’État. L’émancipation doit être le fruit des libertés mises en commun : réunies par le débat et la négociation contractuelle, réglées par les normes du droit et l’exercice de la justice. »

Fervent défenseur du blairisme, il se déclare « blairiste, plus que jamais » en 2006[27]. Il a traduit l'expression la Troisième Voie (The Third Way) / le Nouveau Centre (Die neue Mitte) du manifeste Blair/Schröder en « Troisième Gauche », en référence au clivage entre Première et Deuxième Gauches françaises établi par Michel Rocard.

Il est considéré comme un maire « sécuritaire de gauche »[28] pour l'accent qu'il a mis sur la lutte contre la délinquance à Mulhouse. Il approuve plusieurs mesures du ministre de l'Intérieur Sarkozy[9].

Son élection au Sénat le 28 septembre 2014 sous l'étiquette UDI après sa participation aux gouvernements Fillon sous la présidence de Nicolas Sarkozy confirme son évolution politique.

Il appartient au conseil d'administration de l'Association des amis de l'Azerbaïdjan (AAA), considérée comme le principal instrument d'influence du régime d'Ilham Aliyev en France. L'organisation a deux buts affichés : mettre en valeur ce pays et contrebalancer l'influence de la diaspora arménienne, dont le pays d'origine est en guerre avec l'Azerbaïdjan depuis les années 1990[29].

Vie privée

[modifier | modifier le code]

Jean-Marie Bockel est marié avec Marie-Odile Mayer. Ils ont cinq enfants (Sarah, François, Pauline, Marie et Pierre-Emmanuel).

Le , leur plus jeune fils, Pierre-Emmanuel Bockel, né en 1991, lieutenant au 5e régiment d'hélicoptères de combat de Pau, meurt lors d’une collision entre deux hélicoptères dans le cadre de l’opération Barkhane au Mali, au cours de laquelle treize militaires sont tués[30],[31].

Détail des mandats et fonctions

[modifier | modifier le code]

Au gouvernement

[modifier | modifier le code]

Au Parlement

[modifier | modifier le code]
  • Député :
    • Du au  : député PS de la 5e circonscription du Haut-Rhin
    • Du au  : député PS du Haut-Rhin (scrutin proportionnel)
    • Du au  : député PS de la 5e circonscription du Haut-Rhin
    • Du au  : député PS de la 5e circonscription du Haut-Rhin
  • Sénateur :
    • Du au  : sénateur PS du Haut-Rhin
    • Du au  : sénateur RDSE du Haut-Rhin
    • Depuis le  : sénateur UCR du Haut-Rhin
    • Depuis le  : sénateur UDI du Haut-Rhin
  • Autres :

Au niveau local

[modifier | modifier le code]

Distinctions

[modifier | modifier le code]

Publications

[modifier | modifier le code]
  • La Troisième Gauche, petit manifeste social-libéral. Éditions Val de France, mars 1999.
  • Trajectoire plurielle, ministre de Mitterrand à Sarkozy, Alpharés, janvier 2014.

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. voir le Who's Who, édition 1996-97, page 255.
  2. Biographie de Louis Bockel, sur le site alsace-histoire.org, consulté le 27 novembre 2019.
  3. a b et c Cyril Hofstein, « Jean-Marie Bockel, la mémoire des harkis en héritage », Le Figaro Magazine,‎ , p. 22-23 (lire en ligne).
  4. Jean-Marie Bockel, du socialisme au blairisme, RTL2007, 19 juin 2007.
  5. Zineb Dryef, « Gouvernement : « Allô ! Je vais te proposer le Budget. Je t’embrasse » », Rue89, nouvelobs.com, 16 mai 2012.
  6. Chat avec Jean-Marie Bockel, Debat2007, 7 novembre 2006.
  7. [PDF]« Pour un socialisme libéral : vérité et action », motion présentée par Jean-Marie Bockel.
  8. « Michel Destot, maire de Grenoble, élu président des maires de grandes villes de France », France Matin, 14 septembre 2007.
  9. a et b « Jean-Marie Bockel, un libéral trop isolé au PS », Libération, 20 juin 2007.
  10. « Bockel (PS) exprime sa lassitude », Le Journal du dimanche, 19 juin 2007.
  11. Jean-Marie Bockel crée le parti de l'ouverture, Le Figaro, 26 septembre 2007.
  12. Bockel toujours maire mais d'un cheveu - 20Minutes.fr, information en continu.
  13. a et b « Bockel victime de ses positions sur la Françafrique ? », Samuel Laurent, Le Figaro, 20 mars 2008.
  14. Vincent Hugeux, « Le piteux lâchage de Jean-Marie Bockel », L’Express, 19 mars 2008.
  15. François Bonnet, « La politique étrangère de la France : c’est n’importe quoi ! », Marianne, no 577, du 10 au 16 mai 2008, p. 19-20.
  16. Pierre Haski, « Virer un ministre ? C'est simple comme un coup de fil de Bongo », sur Rue89, nouvelobs.com, .
  17. Sophie des Déserts, « L'homme qui aimait trop Fillon », Vanity Fair n°48, juillet 2017, pages 72-79.
  18. « Jean-Marie Bockel annonce qu'il va céder son fauteuil de maire de Mulhouse », Le Parisien, 1er mai 2010.
  19. Bockel : « J'apporte mon soutien net et clair à Sarkozy », Le Figaro, 6 janvier 2012.
  20. Bockel : comité de soutien à Sarkozy, Le Figaro, 28 février 2012.
  21. Jean-Marie Bockel, « Présentation du rapport La cyberdéfense : un enjeu mondial, une priorité nationale », Sénat (France), (consulté le ).
  22. « Le compteur des lâcheurs de Fillon », liberation.fr, 2017.
  23. « Mieux me connaître - Jean-Marie Bockel », sur Jean-Marie Bockel (consulté le ).
  24. « Retour au bercail », sur dna.fr, Dernières Nouvelles d'Alsace, (consulté le ).
  25. Jean-Marie Bockel nommé « envoyé personnel » d’Emmanuel Macron en Afrique, Le Monde, 06 février 2024.
  26. « Présence française en Afrique : les conclusions de Jean-Marie Bockel bientôt sur le bureau d’Emmanuel Macron », sur Jeune Afrique.
  27. « Entretien avec Jean-Marie Bockel », Le Figaro, 26 juillet 2006.
  28. « À droite de la gauche ou à gauche de la droite ? » [archive du ], sur arte.tv, Arte, (consulté le ).
  29. « « Diplomatie du caviar » : les échanges de bons procédés entre l’Azerbaïdjan et les élus français », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne)
  30. Nicolas Roquejeoffre « Le lieutenant Pierre-Emmanuel Bockel, un pilote performant », L’Alsace, 26 novembre 2019.
  31. « Mort de treize militaires au Mali : Pierre Bockel, fils de Jean-Marie Bockel, figure parmi les victimes », sur francetvinfo.fr, (consulté le ).

Bibliographie

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]