Martine Paschoud
Apparence
Martine Paschoud, née le à Arzier, est une metteur en scène et comédienne suisse.
Professeur d'interprétation à l'École romande d'art dramatique à partir de 1971 et doyenne de l'école de 1981 à 1984, elle est directrice du Nouveau Théâtre de Poche de Genève de 1984 à 1996.
Biographie
Martine Paschoud naît le à Arzier, dans le canton de Vaud[1].
Elle est directrice du Nouveau Théâtre de Poche de Genève de 1984 à 1996[2], où elle succède à Gérard Carrat[3].
Elle a une certaine prédilection pour les dramaturges allemands[4].
Mises en scène
- 2016 : Le Conte d'hiver de Shakespeare, à la Comédie de Genève[5]
- 2006 : Les Analphabètes de Matthias Zschokke (avec Jacques Denis), à l'Orangerie, Genève[6],[7]
- 2000 : Un piano dans les Alpes, à la Comédie de Genève[8],[9]
- ...
- 1993 : L'Heure bleue ou la Nuit des pirates de Matthias Zschokke, au Nouveau Théâtre de Poche de Genève[1]
- ...
- 1974 : Jeu de sable de Michel Viala, au Théâtre de Carouge[10]
Notes et références
- François Marin, « Martine Paschoud », dans le Dictionnaire du théâtre en Suisse en ligne.
- Stéphane Bonvin, « Avant de tourner la page, Martine Paschoud feuillette douze ans de Poche », Le Nouveau Quotidien, , p. 24 (lire en ligne)
- Jean-Michel Meyer, « Martine Paschoud à la tête du Théâtre de Poche dès juillet 1983 », Journal de Genève, , p. 19 (lire en ligne)
- (de) Elfie Riegler, « Wider die Gleichgültigkeit », Neue Zürcher Zeitung, , p. 38 (lire en ligne)
- « « Le Conte d'hiver » rallume les foyers de l'utopie grâce à une troupe en symbiose », Le Temps, (ISSN 1423-3967, lire en ligne, consulté le )
- Alexandre Demidoff, « Critique. Plaisirs intermittents », Le Temps, (ISSN 1423-3967, lire en ligne, consulté le )
- Ghania Adamo, « Ennemis de la logique, « Les Alphabètes » déclenchent l'incongruité et le rire », Le Temps, (ISSN 1423-3967, lire en ligne, consulté le )
- Alexandre Demidoff, « La comédienne Martine Paschoud met son existence en chansons », Le Temps, (ISSN 1423-3967, lire en ligne, consulté le )
- Alexandre Demidoff, « Critique : Une vie au piano », Le Temps, (ISSN 1423-3967, lire en ligne, consulté le )
- Daniel Jeannet, « Une belle mise à mort », Journal de Genève, , p. 13 (lire en ligne)
Liens externes