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Langensoultzbach

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Langensoultzbach

Langensulzbach

Langensoultzbach
Blason de Langensoultzbach Langensulzbach
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Collectivité territoriale Collectivité européenne d'Alsace
Circonscription départementale Bas-Rhin
Arrondissement Haguenau-Wissembourg
Intercommunalité Communauté de communes Sauer-Pechelbronn
Maire
Mandat
Évelyne Ledig
2020-2026
Code postal 67360
Code commune 67259
Démographie
Gentilé Langensoulzbagois[1]
Population
municipale
911 hab. (2021 en évolution de −1,83 % par rapport à 2015)
Densité 70 hab./km2
Population
agglomération
12 487 hab. (1900)
Géographie
Coordonnées 48° 58′ 05″ nord, 7° 44′ 08″ est
Altitude Min. 177 m
Max. 411 m
Superficie 13,09 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Haguenau
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Reichshoffen
Législatives Huitième circonscription
Localisation
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Langensoultzbach Langensulzbach
Géolocalisation sur la carte : France
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Langensoultzbach Langensulzbach
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Langensoultzbach Langensulzbach
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Langensoultzbach Langensulzbach

Langensoultzbach (alsacien : Làngesulzbàch, allemand : Langensulzbach) est une commune française située dans la circonscription administrative du Bas-Rhin et, depuis le , dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est.

Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.

Géographie

Localisation

Le village se situe dans les Vosges du Nord, dans le parc naturel régional des Vosges du Nord, à moins de 10 km au sud de la frontière allemande. Il compte 920 habitants (source : recensement Insee 2019).

La commune est à 4,2 km de Woerth[2], 5 de Goersdorf, 7,4 de Windstein et 8,1 de Reichshoffen.

Géologie et relief

Il s'agit d'un village-rue, la rue Principale longeant la berge ouest du ruisseau.

Le centre ancien de Langensoultzbach se localise à la hauteur de l'église, au croisement de la rivière et de la route qui relie le village à Reichshoffen au sud et à Lembach au nord.

L'entrée principale du village conduit à Wœrth (chef-lieu de canton), à l'est.

Formations géologiques du territoire communal présentes à l'affleurement ou en subsurface.

Sismicité

Commune située dans une zone de sismicité moyenne[3].

Hydrographie et les eaux souterraines

Cours d'eau traversant la commune[4] :

  • Ruisseau le Soulzbach[5],
  • Ruisseau le Trautbach[6],
  • Ruisseau l'Altenduerrenbach[7],
  • Ruisseau le Klamm[8],
  • Ruisseau le Schletterbach[9].

Station d'épuration intercommunale : Traitement sur Gunstett[10].

Climat

Climat classé Cfb dans la classification de Köppen et Geiger[11].

Voies de communications et transports

Voies routières

  • D 255 vers Woerth[12],
  • D 121 vers Froeschwiller.

Transports en commun

SNCF
Gare de Reichshoffen.


Intercommunalité

Commune membre de la communauté de communes Sauer-Pechelbronn.

Urbanisme

Typologie

Langensoultzbach est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[13],[14],[15].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Haguenau, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 34 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[16],[17].

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (65,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (67,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (65,9 %), terres arables (12,9 %), cultures permanentes (9 %), prairies (5,7 %), zones urbanisées (3,7 %), zones agricoles hétérogènes (2,8 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
Communes limitrophes de Langensoulzbach
Windstein Lembach
Langensoulzbach Gœrsdorf
Reichshoffen Frœschwiller Wœrth

Histoire

Époque romaine

Le site de Langensoultzbach était déjà habité à l'époque gallo-romaine. En témoignent des stèles représentant des dieux romains (Mercure, Maia, Tribans, Vogesus, Hercule, Junon et Minerve), découvertes aux XVIIIe et XIXe siècles. Le site présentait en effet de bonnes conditions d'implantation : cours d'eau, sources, grès, calcaire, terres agricoles…

Un temple gallo-romain, « fanum », aurait existé à cette époque, à l'emplacement actuel de l'église. Mais il pourrait s'agir également d'un domaine agricole ou d'un village.

Moyen Âge

Au Moyen Âge : une appartenance territoriale complexe. L'évêché est propriétaire du village en 1255. Puis, ce sont les seigneurs d'Ettendorf qui le donnent passagèrement en gage aux seigneurs de Lichtenberg et en 1403 en bail aux seigneurs Ostertag de Windstein. Les seigneurs de Ochsenstein et le couvent de Biblisheim possédaient aussi des terres à Langensoultzbach. D'ailleurs, la forêt porte encore aujourd'hui le nom de "Nonnenhardt" (forêt des Nonnes).

Le village était séparé en deux parties, l'Oberdorf et le Unterdorf, délimitées par une ruelle qui passait entre la poste et l'ancienne boucherie Stoeckel jusqu'à la rivière.

Le Unterdorf fut donné en gage en 1415 par les seigneurs de Windstein aux seigneurs Puller de Hohenburg, mais appartenait de nouveau entièrement aux Windstein en 1444. Le Oberdorf appartenait en 1441 aux seigneurs de Uttenheim, en 1464 aux seigneurs Bach von Neustadt et les seigneurs Fülle de Geispolsheim.

Peu après, les deux parties du village sont devenues la propriété des seigneurs de Lichtenberg. À la mort du dernier seigneur de Hanau-Lichtenberg, en 1480, la famille Eckbrecht de Dürckheim, qui avait reçu le Unterdorf en bail, en devient propriétaire jusqu'à la Révolution.

Le Oberdorf fut donné la même année aux seigneurs de Kurzplalz qui le cédèrent peu après aux seigneurs de Pfalz-Zweibrücken.

Ces derniers louèrent le village aux seigneurs de Dürckheim en 1535 qui devinrent ainsi les propriétaires de tout le village de 1602 à la Révolution.

Les villageois se convertissent au protestantisme en 1554, quand Cuno Eckbrecht de Dürkheim rejoint la confession luthérienne.

Le château des Dürckheim était situé sur le pré entourant la maison actuelle de la famille Freddy FORRLER. Autour du château, se trouvait un beau parc avec des allées. Sur l'autre berge du Soultzbach, une allée conduisait au Schlossberg, à un beau pavillon d'été octogonal, d'après un plan de 1776. C'est là aussi que se situaient les vignes.

Les dépendances du château se trouvaient à l'emplacement actuel des maisons Henri Grall père (écuries), Jean Klein (buanderie) et Oscar Eberlin (cellier).

Le château fut détruit à la Révolution. Les Dürckheim fuirent et les révolutionnaires saccagèrent leur demeure qui tomba ensuite en ruines et dont les pierres servirent à édifier des maisons.

Guerre de 1870

En 1870, l'Alsace est attaquée par l'armée du Prince Royal de Prusse. Napoléon III forme alors une armée d'Alsace confiée à Mac Mahon. Le , Mac Mahon se fait attaquer par 140 000 Prussiens, alors qu'il n'a pas terminé de rassembler ses 35 000 hommes. 5 000 Français moururent, 10 000 furent faits prisonniers ou portés disparus. Mac Mahon fut mis en déroute et se replia en Lorraine, ouvrant le passage du col de Saverne à l'ennemi, alors que la division des cuirassiers du général Bonnemain chargea héroïquement les Prussiens à Morsbronn; elle se fit décimer pour éviter à l'armée un plus grand désastre. Le , le régiment bavarois commandé par le général von Hartmann prend son départ à Langensoultzbach. Le village est épargné par les combats qui se déroulèrent à la lisière de la forêt vers Frœschwiller, à hauteur de la scierie. Les sépultures témoignent de l'âpreté des combats... Les soldats sont enterrés à l'endroit même où ils furent tués. 90 soldats allemands et français reposent dans une fosse commune, au lieu-dit Obereplatsch, et 85 au lieu-dit Stockplatz. Quatre sépultures, sur le territoire communal, rappellent l'âpreté des combats : tombes de l'Oberleutnant Franz, du leutnant Engel et du Freiwilliger Doelzer au lieu-dit Seematt ; le soldat Karl Betz repose au lieu-dit Schlossberg.

La Première Guerre mondiale

La ligne Maginot : Des casemates et des blockhaus, et surtout une caserne à l'entrée de Langensoultzbach, sont construits à partir de 1932, lors de l'édification de la ligne Maginot. Les nombreux ouvriers du chantier, locaux mais aussi venus du reste du pays, sont logés chez les paysans ou dans des baraquements construits à la hâte. La caserne sert alors à la logistique du régiment d'infanterie de forteresse. La cité des cadres héberge les militaires gradés. C'est ainsi que des milliers de militaires ont fait la connaissance de "Langen" (abréviation du nom de notre village). Une aubaine pour les commerçants et les artisans : 550 habitants de plus avec les militaires et leurs familles. En 1936, le village compte 1274 habitants.

Dès , les Allemands occupent la caserne, emploient les villageois au titre du travail obligatoire, ainsi que des prisonniers polonais. L'arrivée de familles venant de régions allemandes bombardées oblige les villageois à contribuer à l'hébergement.

Après la guerre, l'armée française utilise à nouveau les maisons de la caserne pour y loger des familles de militaires combattant en Algérie et en Indochine. Les bâtiments ne sont plus habités dès 1960.

En 1983, la municipalité acquiert le casernement ; une société immobilière le rachète en 1986 et devient "la Résidence des Cerfs". Le grand bâtiment central a été abattu en décembre 2022.

La Seconde Guerre mondiale

L'évacuation de la population : le , l'ordre d'évacuer Langensoultzbach est donné. Les familles se regroupent, attellent chevaux ou vaches, entassent les vivres et les personnes sur les chariots et partent sur la route de Nehwiller.

Après la première nuit passée à Gumbrechtshoffen ou Reichshoffen, ceux qui possèdent des attelages avec chevaux partent à Marey dans les Vosges. D'autres montent dans les wagons qui les mènent en Haute-Vienne à Nantiat. Enfin, les autres rejoignent leur famille située en dehors de la zone d'évacuation. En Haute-Vienne, les deux populations fraternisent rapidement malgré le patois limousin, le dialecte alsacien, le dépaysement… Deux garçons trouvent leur épouse dans la ferme dans laquelle ils travaillent et ne retournent pas en Alsace.

À la suite de la signature du traité de l'Armistice, le , les autorités allemandes invitent les Alsaciens à rentrer dans leur village d'origine. Leur retour à Langensoultzbach se fait progressivement, et le travail d'annexion commence…

Les enfants sont rassemblés dans la Jeunesse hitlérienne, le service national obligatoire est institué, les jeunes de 17 à 25 ans sont envoyés en Allemagne pour soutenir l'économie dans les usines, les fermes, les écoles, les commerces. Par crainte des désertions, les Alsaciens sont envoyés sur le front russe, les incorporés de force n'ont que 16, 17 ans.

La contre-offensive allemande en , entraîne un nouvel exode par crainte de représailles des autorités nazies.

De nombreux habitants trouvent refuge pour deux mois à Dossenheim-sur-Zinsel.

Langensoultzbach est définitivement libérée par les troupes américaines le [19]. Les Allemands entaillent et minent les tilleuls plantés devant la place de l'église, mais les habitants alertent les Américains qui les font sauter sans dégâts.

Héraldique

Blason de Langensoultzbach

Les armes de Langensoultzbach se blasonnent ainsi :
« D'argent aux deux arcs de sable, sans corde, posés en pal et adossés, à la bordure de gueules. »[20].

Différences entre dessin et blasonnement : Les arcs sont dessinés affrontés et dits adossés.

Politique et administration

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1945 1962 Henri Grall (père)    
1962 1977 Henri Jean Michel    
1977 1995 Albert Klein    
mars 2001 mai 2008 Gérard Neuhard    
mai 2008 2014 Jacques Lobstein[21]    
2014 En cours
(au 31 mai 2020)
Évelyne Ledig [22]
Réélue pour le mandat 2020-2026
   

La municipalité est composée de 3 adjoints au maire et de 11 conseillers municipaux.

Budget et fiscalité 2022

Mairie.

En 2022, le budget de la commune était constitué ainsi[23] :

  • total des produits de fonctionnement : 847 000 , soit 910  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 768 000 , soit 825  par habitant ;
  • total des ressources d'investissement : 242 000 , soit 260  par habitant ;
  • total des emplois d'investissement : 324 000 , soit 348  par habitant ;
  • endettement : 352 000 , soit 378  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d'habitation : 14,50 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 27,20 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 44,73 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2020 : médiane en 2020 du revenu disponible, par unité de consommation : 23 190 [24].

Économie

Entreprises et commerces

Agriculture

  • Élevage de volailles[25],
  • Culture et élevage associés,
  • Culture de céréales, de légumineuses et de graines oléagineuses,
  • Élevage d'ovins et de caprins,
  • Élevage de chevaux et d'autres équidés.

Tourisme

Commerces

  • Commerces et services locaux à Lembach, Woerth, Niederbronn-les-Bains[27].

Population et société

Démographie

Évolution démographique

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[29].

En 2021, la commune comptait 911 habitants[Note 3], en évolution de −1,83 % par rapport à 2015 (Bas-Rhin : +3,22 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
608619745871953940945914906
1856 1861 1866 1871 1875 1880 1885 1890 1895
810781790797742757682655634
1900 1905 1910 1921 1926 1931 1936 1946 1954
6386586806646626561 274689728
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
692707686765850901960969913
2015 2020 2021 - - - - - -
928912911------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

Établissements d'enseignements[32] :

  • École maternelle et primaire[33].
  • Collèges à Wœrth, Niederbronn-les-Bains, Reichshoffen, Walbourg, Mertzwiller,
  • Lycées à Walbourg, Éguelshardt, Wissembourg, Haguenau.

Santé

Professionnels et établissements de santé[34] :

  • Médecins à Goersdorf, Woerth, Lembach,
  • Pharmacies à Woerth, Lembach, Reichshoffen, Morsbronn-les-Bains, Niederbronn-les-Bains,
  • Hôpitaux à Goersdorf, Niederbronn-les-Bains, Lobsann, Haguenau.

Cultes

Monuments et lieux

Patrimoine religieux :

L'ancienne chapelle catholique et la sacristie[40],[41].
L'orgue de l'église protestante[42],[43],[44],[45].
  • Croix de cimetière[46].
  • L'ancienne synagogue dont seuls quelques vestiges subsistent[47],[48],[49],[50].
  • Monument aux morts[51].

Autres patrimoines :

  • Stèle à quatre dieux, découverte en 1847 dans le jardin du presbytère[52].
  • Moulin Lobstein[53],[54].
  • Blockhaus dans la forêt envahi par la végétation[55].

Associations

  • Association Culturelle et Sportive (Théâtre Alsacien)
  • Association de pêche et pisciculture
  • Association de Sauvegarde du Patrimoine
  • Football Club[56]
  • Les Cerfs Solidaires
  • Les Petites Mains (Patchwork et Art textile)
  • Association Santiago Dancers (Country)
  • Association Pour les Enfants de l'École de Langensoultzbach

Personnalités liées à la commune

Voir aussi

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Bibliographie

Liens externes

Le patrimoine de la commune sur www.pop.culture.gouv.fr/

Notes et références

Notes

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

  1. Gentilé Bas-Rhinois, Bas-Rhinoises
  2. Itinéraires
  3. Didacticiel de la réglementation parasismique
  4. L'eau dans la commune
  5. Ruisseau le Soulzbach
  6. Ruisseau le Trautbach
  7. Ruisseau l'Altenduerrenbach
  8. Ruisseau le Klamm
  9. Ruisseau le Schletterbach
  10. SDEA Alsace-Moselle - assainissement collectif : Périmètre Sauer-Pechelbronn
  11. Table climatique
  12. Voies routières
  13. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  15. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Haguenau », sur insee.fr (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. L'évacuation de la population
  20. Jean-Paul de Gassowski, « Blasonnement des communes du Bas-Rhin », sur labanquedublason2.com (consulté le ).
  21. [PDF] Liste des maires au 1 avril 2008 sur le site de la préfecture du Bas-Rhin.
  22. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  23. Les comptes de la commune
  24. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
  25. Annuaire
  26. Gîtes ruraux
  27. Commerces et services locaux
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. Établissements d'enseignements
  33. « École 6 rue du Moulin », notice no IVR42_199967B0708ZE, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  34. Professionnels et établissements de santé
  35. Communauté de paroisses Soultzbach à L'Eberbach
  36. Langensoultzbach : l'église luthérienne
  37. « Temple luthérien », notice no IVR42_19996700296V, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  38. « Église luthérienne », notice no IA67008446, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  39. « Temple luthérien », notice no IVR42_199967B0593ZE, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  40. « L'ancienne chapelle catholique et la sacristie », notice no IVR42_199967B0654ZE, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  41. « Panneau apposé sur le mur nord de la chapelle, rappelant les circonstances de la pose de la première pierre », notice no IVR42_199967B0588ZE, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  42. « Orgue de tribune », notice no PM67001043, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  43. « Orgue du Temple luthérien », notice no IVR42_199967B0603ZE, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  44. Langensoultzbach, Eglise protestante. Orgue Stiehr-Mockers, 1847
  45. Langensoultzbach : l'orgue de l'église
  46. « Croix de cimetière », notice no IVR42_199967B0709ZE, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  47. Histoire des 16 synagogues dans le canton de Reichshoffen 4) La synagogue de Langensoultzbach]
  48. Présentation de la commune : la synagogue
  49. Ancienne synagogue détruite par les bombardements en 1945
  50. (de) La Synagogue de Langensoultzbach
  51. « Monument aux morts rue Principale, 1937 », notice no IVR42_199967B0676ZE, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  52. « Stèle à quatre dieux », notice no PM67000747, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  53. « Moulin Lobstein », notice no IVR42_199967B0666ZE, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  54. « Moulin Lobstein, 5 impasse Jacques », notice no IA67008467, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  55. « Blockhaus dans la forêt envahi par la végétation », notice no AP99L002110, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  56. site officiel