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Orion (mythologie)

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Orion
Orion, représenté dans le ciel, par Johann Bayer, Uranometria (1661).
Orion, représenté dans le ciel, par Johann Bayer, Uranometria (1661).

Sexe Masculin
Famille Poséidon (père), Euryale (mère), fille de Minos, roi de Crète

Orion (en grec ancien Ὠρίων ou Ὠαρίων / Ôríôn) est un chasseur géant de la mythologie grecque, réputé pour sa beauté et sa violence. La légende raconte qu'il fut transformé en un amas d'étoiles par Zeus, donnant son nom à la célèbre constellation d'Orion.

Dans l'Iliade d'Homère, Orion est décrit comme une constellation, et l'étoile Sirius est mentionnée comme son chien. Dans l'Odyssée, Orion est essentiellement un chasseur. Il est aussi mentionné en tant que constellation. Dans Les Travaux et les Jours d'Hésiode, Orion est une constellation dont le lever et le coucher avec le soleil sont utilisés pour compter l'année.

Anthroponymie

Le nom latin Orion vient du grec ancien Ωρίων[1].

Attestations

La constellation
  • La constellation d'Orion apparaît pour la première fois dans l'Iliade d'Homère (18, 486, etc. ; 22, 29)[2].
Elle est également citée dans l'Odyssée (5, 274)[2].
Le chasseur
  • Le chasseur mythique, amant d'Éos, est cité par Homère dans l'Odyssée (5, 121, etc. ; 11, 310, 572, etc.)[2]. Ulysse aperçoit son ombre dans le monde souterrain[3].

À l'époque romaine impériale, la légende est reprise :

  • entre 29 et 19 avant notre ère, par Virgile dans l'Énéide (1, 535 ; 4, 52 ; 10, 763)[1].
  • en l'an 15, par Ovide dans ses Fastes (5, 493-544). Orion est un chasseur changé par Diane en une constellation qui porte son nom[1],[4].
  • avant 17, par Hygin, ami d'Ovide, dans sa Fabula 195[1],[5].
Hygin relate aussi la légende d'Orion dans son traité sur l'astronomie : Livre II : § 34 (Orion). Le nom est par ailleurs mentionné dans les passages : introduction ; § 21 (Taurus), § 26 (Scorpio), § 33 (Lepus), § 35 (Canis), § 36 (Procyon)[6]. Le nom de la constellation est aussi mentionné sept fois dans le livre III et cinq fois dans le livre IV.

Étymologie

Plusieurs hypothèses portent sur l'origine du mot :

  • de l'akkadien 𒌋𒊒𒀭𒈾, Uru-anna (« lumière du ciel ») (voir Ὠρίων[source insuffisante]) ;
  • de l'indo-européen via un thème *-ωαρ issu de *-ωσαρ désignant l'été :
La forme la plus ancienne serait Ωαρίων, dérivé en -ων d'une forme à suffixe -ιος.
Le lever héliaque de la constellation coïnciderait avec le solstice d'été[7],[8][source insuffisante].

Le poète romain Ovide semble avancer une étymologie basée sur la ressemblance du nom Orion avec le mot grec ancien οὖρον, ouron « urine » et explique pourquoi dans son histoire (voir plus bas). Certains pensent que le liquide qui a humecté la peau de bœuf n'est pas de l'urine mais du sperme (grec ancien σπέρμα, spérma)[9]. Le Bailly donne les deux sens. Le plus ancien est grec et signifie « urine, uriner ». Le sens « répandre le liquide séminal » n'apparaît qu'à l'époque romaine[10] pour le verbe oureô et le nom ouron.

Généalogie et famille

Ovide (5, 493-544) raconte[11] que Jupiter, son frère Neptune et Mercure voyageaient un jour ensemble :

« Le vieil Hyriée, qui cultive un modique héritage, les voit par hasard, comme il se tenait debout sur le seuil de sa chétive chaumière. « La route est longue, leur dit-il ; il vous reste bien peu de jour ; ma porte est ouverte aux hôtes. » L'expression de son visage répond à ses paroles, il renouvelle sa prière ; les dieux se rendent à tant d'instances, mais sans se faire connaître.

Ils entrent dans la demeure du vieillard, toute noircie par la fumée. Un peu de feu se conservait sur un tison de la veille ; le vieillard s'agenouille ; son souffle réveille la flamme ; il va chercher des éclats de bois qu'il divise encore ; il approche deux vases dont l'un contient quelques herbes de son potager, et le plus petit des fèves ; et bientôt on les voit fumer tous deux et le couvercle soulevé par les efforts de l'eau bouillante.
En attendant, d'une main tremblante il verse un vin rouge à ses hôtes ; le dieu des mers prend le premier la coupe, et quand il l'a vidée : « Donne-la maintenant, dit-il, à Jupiter ; qu'il boive à son tour. » Ce nom de Jupiter fait pâlir le vieillard.
Dès qu'il s'est remis, il va immoler le bœuf qui laboure son petit champ, et le fait rôtir à grand feu ; puis il tire d'un baril enfermé le vin qu'il y a entonné jadis aux premières années de sa jeunesse. Tout est prêt ; les dieux prennent place sur des lits dressés avec des joncs de rivière recouverts d'une toile de lin, et qui s'élèvent à peine au-dessus de la terre. Alors les mets, alors les vases pleins de vin brillent sur la table ; le cratère est d'une argile rouge et les gobelets sont de hêtre.

Jupiter prononce ces mots : « Que désires-tu ? dis-le ; rien ne te sera refusé. » Le paisible vieillard répondit : « J'avais une épouse chérie, affection de ma première jeunesse ; vous me demanderez où elle est maintenant ? Une urne renferme ses cendres. Tu seras ma seule épouse lui ai-je dit autrefois, et en lui faisant cette promesse solennelle, je vous ai pris à témoin de mes paroles. Tel fut mon serment, et j'y serai fidèle ; pourtant je voudrais concilier deux désirs qui me partagent, être père, sans être époux. »
Les dieux accueillent sa demande ; ils se placent tout près de la peau du bœuf ; mais la pudeur ne permet pas que j'achève.... Cette peau ainsi humectée, ils la recouvrent de terre.

Dix mois s'écoulent, et un enfant est né. Hyriée, pour rappeler à quel prodige il doit sa naissance, l'appelle Urion. Un autre son, à la longue, a remplacé la première lettre du mot. »

La « pudeur » qu'invoque Ovide tient au fait que les dieux ont humecté la peau de leur urine, d'où la première version Urion du nom d'Orion (étymologique d'après Ovide).

Hyriée aurait été le fondateur de la cité d'Hyrie en Béotie[réf. nécessaire].

Orion épousa Sidé ( « grenade ») qui était très belle mais aussi très fière. Elle fut précipitée dans le Tartare par Héra à qui elle avait voulu se comparer. Elle avait donné à Orion deux filles : les Coronides, Ménippé et Métioché, qui grandirent en Aonie (Béotie), au pied du Mont Hélicon[réf. nécessaire]

Le mythe d'Orion

Paysage avec Orion aveugle cherchant le soleil (1658), huile sur toile de Nicolas Poussin. Metropolitan Museum of Art, New York.
Diane auprès du cadavre d'Orion, huile sur toile de Daniel Seiter
Version d'Ovide (avant l'an 17/18)

Ovide résume le reste de la vie d'Orion en quelques lignes[11] :

« L'enfant devient d'une taille énorme ; Diane le prend avec elle ; il est le gardien, il est le satellite de la déesse.
Mais c'est assez d'une parole irréfléchie pour éveiller le courroux des dieux : Il n'est aucune bête, dit un jour Orion, dont je ne puisse triompher. Tellus fait paraître un scorpion qui soudain ose dresser ses dards recourbés contre la mère des deux jumeaux immortels. Orion la protège de son corps ; Latone le place au milieu des astres éclatants, Que ton dévouement, lui dit-elle, reçoive de moi cette récompense ! ».

Version d'Hygin (Fables, 195) (avant l'an 17)[Traduire passage]

« Iovis Neptunus Mercurius in Thraciam ad Hyrieum regem in hospitium venerunt ; qui ab eo cum liberaliter essent excepti, optionem ei dederunt si quid peteret ; ille liberos optavit.
Mercurius de tauro quem Hyrieus ipsis immolarat corium protulit ; illi in eum urinam fecerunt et in terram obruerunt, unde natus est Orion.
qui cum Dianam vellet violare, ab ea est interfectus. postea ab Iove in stellarum numerum est relatus, quam stellam Orionem vocant. »[5][source insuffisante]. "Jupiter, Neptune et Mercure vinrent en Thrace auprès du roi Hyriée ; les dieux, alors qu'ils avaient été reçus généreusement par le roi, lui accordèrent le cadeau de son choix ; celui-ci choisit des enfants. Mercure prit le cuir d'un taureau qu'Hyrée avait immolé ; les dieux urinèrent sur le cuir et l'enterrèrent, d'où est né Orion."

Version d'Hygin (Astronomie, II, 34)[Traduire passage]

« Hunc Hesiodus Neptuni filium dicit ex Euryale Minois filia natum ; concessum autem ei, ut supra fluctus curreret ut in terra, quemadmodum Iphiclo datum dicitur, ut supra aristas curreret neque eas infringeret.
Aristomachus autem dicit quendam Hyriea fuisse Thebis, Pindarus autem in insula Chio.
Hunc autem, cum Iovem et Mercurium hospitio recepisset, petisse ab his, ut sibi aliquid liberorum nasceretur. Itaque quo facilius petitum impetraret, bovem immolasse et his pro epulis adposuisse. Quod cum fecisset, poposcisse Iovem et Mercurium quod corium de bove foret detractum, et quod fecerant urinae in corium infudisse, et id sub terra poni iussisse.
Ex quo postea natum puerum, quem Hyrieus e facto Uriona appellaret. Sed venustate et consuetudine factum est, ut Orion vocaretur. Hic dicitur Thebis Chium venisse et Oenopionis filiam Meropen per vinum cupiditate incensus conpressisse. Pro quo facto ab Oenopione excaecatus et de insula eiectus existimatur Lemnum ad Vulcanum pervenisse et ab eo quendam ducem Cedaliona nomine accepisse. Quem collo ferens dicitur ad Solem venisse et ab eo sanatus, ut se ulcisceretur, Chium revertisse. Oenopiona autem a civibus sub terra custoditum esse. Quem postquam se invenire posse desperaret Orion, in insulam Cretam pervenisse, et ibi venari coepisse cum Diana, et ei polliceri quae supra diximus, et ita ad sidera pervenisse. Nonnulli autem aiunt Oriona cum Oenopione prope nimia coniunctum amicitia vixisse, et quod ei voluerit suum studium in venando probare, Dianae quoque pollicitum quae supra diximus; et ita interfectum. Alii dicunt cum Callimacho, cum Dianae vim voluerit adferre, ab ea sagittis esse confixum et ad sidera propter venandi consimile studium deformatum. Istrus autem dicit Oriona a Diana esse dilectum et paene factum, ut ei nupsisse existimaretur. Quod cum Apollo aegre ferret, et saepe eum obiurgans nihil egisset, natantis Orionis longe caput solum videri conspicatus, contendit cum Diana eam non posse sagittam mittere ad id, quod nigrum in mari videretur. Quae cum se vellet in eo studio maxime artificem dici, sagitta missa caput Orionis traiecit. Itaque eum cum fluctus interfectum ad litus eiecisset, et se eum Diana percussisse plurimum doleret, multis eius obitum prosecuta lacrimis, inter sidera statuisse existimatur. Sed quae post mortem eius Diana fecerit, in eius historiis dicemus. »[6][source insuffisante].

Version de Lucien de Samosate (vers 120 à après 180)

Accueilli à la cour d'Œnopion qui régnait sur Chios, Orion tomba amoureux de Mérope, la fille du roi. Œnopion voulait se débarrasser de ce prétendant encombrant. Il décida donc de promettre la main de sa fille à Orion, à condition que celui-ci débarrassât Chios de tous les fauves qui s'attaquaient aux hommes et aux troupeaux. Le roi était persuadé qu'il n'y parviendrait pas, mais Orion, excellent chasseur, n'eut aucun mal à remplir ladite condition. Lorsqu'il revint demander la main de Mérope, Œnopion renia sa promesse, l'amoureux se fâcha et saccagea le palais. Il fut ligoté tant bien que mal par l'armée lancée par le roi.

Pour le punir, Œnopion l'aveugla et l'abandonna sur le rivage. Orion marcha alors droit devant lui à travers la mer jusqu'à l'île de Lemnos et fut attiré par les forges d'Héphaïstos, qui accepta de lui prêter Cédalion. Le géant rentra dans la mer et marcha vers l'est face au Soleil. Pendant sa marche, Orion recouvra miraculeusement la vue[12].

Mort d'Orion et son élévation au ciel

Par la flèche d'Artémis

Il retourna à l'île de Chios pour se venger d'Œnopion, mais Artémis lui demanda d'oublier sa vengeance et lui proposa de chasser avec elle. Mais le frère d'Artémis, Apollon, qui avait quelques craintes pour sa sœur, envoya un monstrueux scorpion à sa poursuite. Orion tenta de le combattre mais il n'y parvint pas. Pour échapper au monstre, il s'enfonça dans la mer, qui formait une barricade naturelle. Alors Apollon désigna le géant et dit à Artémis de le tuer, le faisant passer pour un monstre. Comme le géant était trop loin, Artémis ne put le reconnaître et lui lança donc une flèche. Elle alla à la nage récupérer le cadavre, mais lorsqu'elle s'aperçut que c'était Orion, elle plaça son image parmi les étoiles en compagnie de ses chiens, Sirius et Procyon. On donne à cet épisode le nom de catastérisation[réf. nécessaire].

C'est pour cela que les constellations de Orion et du Grand Chien (qui compte l'étoile Sirius, l'astre le plus brillant du ciel en dehors des éléments du système solaire) sont proches l'une de l'autre, et que le Scorpion fut placé de l'autre côté sur la voûte céleste, le héros et le monstre se poursuivant sans cesse sans jamais se rattraper[réf. nécessaire].

Par le scorpion d'Héra

Une autre version de la mort d'Orion existe : fort de ses talents exceptionnels de chasseur, Orion ne cessait de se vanter de ses prouesses. Cette arrogance déplut fortement à Héra qui, pour donner une leçon d'humilité à Orion, commanda à un scorpion de s'embusquer en attendant le passage du chasseur. Dissimulé par les feuillages, le scorpion patienta et, le moment venu, il piqua Orion, qui mourut foudroyé par le venin de ce petit animal, lui qui avait terrassé les bêtes les plus féroces.

Il fut transformé en constellation, mais Héra, pour que le combat continue, n'oublia pas de porter également au ciel le scorpion qui l'avait si loyalement servie. Mais Zeus intervint et fit en sorte qu'Orion et le Scorpion ne puissent jamais s'atteindre ; c'est pour cela que lorsqu'Orion se lève à l'horizon est, le Scorpion se couche à l'horizon ouest[réf. nécessaire].

Par le scorpion d'Artémis

Une première version dit qu'Orion et Artémis avaient l'habitude de chasser ensemble. Un jour, Orion, qui était amoureux de la déesse, essaya de l'embrasser. Artémis, indignée, fit apparaître un scorpion et lui ordonna de piquer le géant. En le voyant mourir, Artémis, émue, transforma Orion en constellation, et réserva le même sort au scorpion qui l'avait fidèlement servie[réf. nécessaire].

Une deuxième version de la mort du chasseur par Artémis, moins populaire, dit qu'Orion était l'ennemi mortel d'Artémis. Chose étrange car Artémis, étant une déesse, est dite immortelle. Pour se débarrasser de lui, et ainsi échapper à la mort, Artémis invoqua un scorpion géant qui tua Orion par son venin. Cette version inclut donc un sentiment de « rivalité » entre les deux chasseurs, non exprimé auparavant, et un paradoxe d'« ennemi mortel » d'une déesse (immortelle, rappelons-le), tout en sachant que cet ennemi est, quant à lui, mortel et donc en principe inoffensif pour Artémis. La transformation d'Orion en constellation reste donc mystérieuse pour cette version ; Artémis fut peut-être prise de remords. Le scorpion, quant à lui, est ainsi élevé au ciel par Artémis pour l'avoir fidèlement servie[réf. nécessaire].

Une troisième version dit qu'Orion gagna à un lancer de disque contre Artémis et qu'elle envoya un scorpion le piquer. Il devint la constellation d'Orion[réf. nécessaire].

Par le scorpion de Gaia

Une autre version de la mort d'Orion existe : ici, Orion est l'un des Géants, fils de Gaia et ennemi immortel d'Artémis et d'Apollon, il chassa pourtant souvent avec la déesse. Apollon, craignant qu'Artémis ne succombe au charme d'Orion, le rendit fou.

Gaia, troublée dans son sommeil par les massacres qu'Orion commettait, invoqua un scorpion géant qui le tua. Artémis, ne voyant pas Orion revenir, le chercha et finit par le trouver, mort, puis elle le transforma en constellation. Gaia métamorphosa néanmoins le scorpion en constellation pour sa fidélité[réf. nécessaire].

Interprétations

Représentations

Pompéi abrite par ailleurs deux mosaïques attribuées au mythe d’Orion et datées du IIe siècle av. J.-C.. Elles se trouvent dans la maison d’Orion. Sur la première mosaïque, sur fond noir, Aion, divinité ailée de la voûte céleste, a le bras dirigé vers le haut, tandis que sa main gauche tient une torche enflammant les cheveux d’Orion, qui est lui doté d’ailes de papillon et est représenté comme anima (c’est-à-dire la psyché qui sort de la dépouille humaine au moment de la mort). La composition représente sa montée au ciel (catastérisation). Un manteau couvre la partie inférieure du bras plié et donne à voir le corps d’un scorpion[13].

Développements ultérieurs

Longtemps délaissée par la littérature depuis l'Antiquité, la figure d'Orion a longtemps dû sa célébrité relative à l'Hypnerotomachia Poliphili (1467) ainsi qu'à un tableau de Nicolas Poussin.

Depuis le début du XXe siècle, elle connaît un regain d'intérêt inattendu auprès des écrivains, des musiciens et des plasticiens.

Peinture

Sculpture

Littérature, théâtre et poésie

Musique

Annexes

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Sources antiques

Bibliographie

  • Camille Flammarion, Astronomie populaire, 1880.
  • Pierre Grimal, Dictionnaire de la mythologie grecque et romaine. Paris, Presses Universitaires de France, 1951.
  • Robert Graves, Les Mythes grecs. Le Livre de Poche, coll. Pluriel, 1958.
  • Jeannie Carlier, Orion, dans Dictionnaire des mythologies, dir. Yves Bonnefoy. Paris, Flammarion, 1981.
  • (en) Joseph Fontenrose, Orion : The Myth of the Hunter and the Huntress Berkeley : University of California Press, (ISBN 0-520-09632-0).
  • Marie Miguet, Le Mythe d'Orion, dans Dictionnaire des mythes littéraires, dir. Pierre Brunel. Monaco, Éditions du Rocher, 1988.
  • Jean-Michel Renaud, Le catastérisme chez Homère. Le cas d'Orion, GAIA. Revue interdisciplinaire sur la Grèce ancienne, 2003, 7, pp. 205-214.
  • Jean-Michel Renaud, Le Mythe d'Orion : sa signification, sa place parmi les autres mythes grecs et son apport à la connaissance de la mentalité antique. Liège, CIPL, 2004[14].
  • (it) Paola Capponi, I nomi di Orione, dans Le parole dell'astronimia tra scienza e tradizione. Venezia, Marsilio, Crisis, 2005.
  • Émile Chambry, Émeline Marquis, Alain Billault et Dominique Goust (trad. du grec ancien par Émile Chambry), Lucien de Samosate : Œuvres complètes, Paris, Éditions Robert Laffont, coll. « Bouquins », , 1248 p. (ISBN 978-2-221-10902-1), « La Salle ». Document utilisé pour la rédaction de l’article
Sujets d'inspiration artistique sur le thème mythique
  • Ernst Gombrich, Le Sujet de l'Orion de Poussin, 1944.
  • Marie Miguet-Ollagnier, Le Mythe d'Orion dans le théâtre de Claudel, in Mythes claudéliens. Paris-Caen, Minard, coll. Lettres modernes, série Paul Claudel, no 14, 1985, p. 93-120.
  • Danièle Leclair, Lecture de René Char : Aromates chasseurs et Chants de la Balandrane. Minard, coll. Archives des lettres modernes, no 233, 1988[précision nécessaire].
  • Claude Leroy :
  • Jacques Derrida, Mémoires d'aveugle. L'autoportrait et autres ruines. Paris, Réunion des musées nationaux, Louvre, 1990[précision nécessaire].
  • Edmond Nogacki, René Char, Orion pigmenté d'infini ou de l'écriture à la peinture. Presses universitaires de Valenciennes, 1992.

Liens externes

Notes et références

Notes

Références

  1. a b c et d « Orientius - Dictionnaire Gaffiot français-latin », sur lexilogos.com (consulté le ).
  2. a b c d et e A. Bailly, Dictionnaire Grec Français, Paris, Hachette, 1950-1995 (ISBN 2-01-001306-9, lire en ligne), p. 2186.
  3. « Homère, L’Odyssée, chant XI | Philo-lettres » (consulté le ).
  4. « Ovide : oeuvres complètes : avec la traduction en français », sur Gallica, (consulté le ).
  5. a et b « Bibliotheca Augustana », sur fh-augsburg.de (consulté le ).
  6. a et b « Hyginus », sur thelatinlibrary.com (consulté le ).
  7. Jean-Michel Renaud, « Le catastérisme chez Homère. Le cas d'Orion », GAIA. Revue interdisciplinaire sur la Grèce ancienne, vol. 7, no 1,‎ , p. 205–214 (DOI 10.3406/gaia.2003.1416, lire en ligne, consulté le ).
  8. Jean-Michel Renaud, « Le mythe d'Orion ».
  9. « Ovide - Fastes V », sur bcs.fltr.ucl.ac.be (consulté le ).
  10. Anatole Bailly, Dictionnaire grec-français (lire en ligne), page 1425, sur Internet Archive.
  11. a et b « Ovide - Fastes », sur ucl.ac.be (consulté le ).
  12. Lucien de Samosate 2015, p. 104.
  13. Massimo Osanna (it), Les Nouvelles Heures de Pompéi, Flammarion, , 400 p. (ISBN 9782081513815).
  14. Renaud, Jean-Michel, « Le mythe d'Orion : Sa signification, sa place parmi les autres mythes grecs et son apport à la connaissance de la mentalité antique », sur uliege.be, C.I.P.L., Liège, Belgium, (consulté le ).