Oudon
Oudon | |||||
La tour du XIVe siècle | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Pays de la Loire | ||||
Département | Loire-Atlantique | ||||
Arrondissement | Châteaubriant-Ancenis | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du pays d'Ancenis | ||||
Maire Mandat |
Alain Bourgoin 2020-2026 |
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Code postal | 44521 | ||||
Code commune | 44115 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Oudonnais | ||||
Population municipale |
3 925 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 177 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 20′ 50″ nord, 1° 17′ 09″ ouest | ||||
Altitude | Min. 2 m Max. 74 m |
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Superficie | 22,12 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Nantes (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Ancenis | ||||
Législatives | Sixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Loire-Atlantique
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
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Liens | |||||
Site web | www.oudon.fr | ||||
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Oudon est une commune de l'Ouest de la France, située dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire.
Géographie
Situation
Oudon est situé sur la rive nord de la Loire, à 10 km à l'ouest d'Ancenis (commune nouvelle d'Ancenis-Saint-Géréon) et 29 km à l'est de Nantes.
Les communes limitrophes sont Le Cellier, Couffé et Ancenis-Saint-Géréon en Loire-Atlantique, Orée d'Anjou en Maine-et-Loire.
Géographie physique
Comme Champtoceaux qui lui fait face, Oudon est situé sur les coteaux de schiste et de gneiss du massif armoricain, qui barrent à cet endroit la route de la vallée de la Loire.
Le lit majeur du fleuve est ainsi réduit à une largeur de moins d'un kilomètre dans un relief encaissé, situation que la Loire n'a plus subie depuis qu'elle a quitté le Massif Central.
Cette zone fluviale présente une grande variété de paysages, allant des grèves de sable visibles à l'étiage, aux coteaux abrupts, secs et rocheux, en passant par les boires, prairies inondables et les reliquats de la forêt alluviale originelle.
Derrière la crête du coteau qui s'élève jusqu'à 60–70 m, on trouve un bocage de chênes et de frênes comme dans tout le Pays d'Ancenis, au nord d'Oudon.
Le relief est aussi marqué par la vallée du Hâvre, elle-même très encaissée. Elle descend du nord de la commune jusqu'à la Loire et le bourg est situé au point de confluence.
La vallée de la Loire et la vallée du Hâvre sont aujourd'hui retenues au titre du réseau européen Natura 2000, en raison de leur grande richesse et fragilité écologique.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ancenis », sur la commune d'Ancenis-Saint-Géréon, mise en service en 1964[7] et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,7 °C et la hauteur de précipitations de 781,6 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nantes-Bouguenais », sur la commune de Bouguenais, mise en service en 1945 et à 32 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Oudon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[14],[15],[16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nantes, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[17],[18].
La commune est composée d'un bourg principal et d'autres lieux-dits, hameaux et écarts listés ci-dessous[19] :
- Blanche Lande
- Bohardy
- Ferry
- Haute Roche
- la Bimboire
- la Briantière
- la Carterie
- la Choquerie
- la Cour
- la Durandière
- la Garenne
- la Gautrais
- la Glébaudière
- le Grand Pâtis
- la Gruaizière
- la Halletière
- la Lhorie
- la Luctière
- la Mabonnière
- la Macrière
- la Marlesière
- la Pajaudière
- le Pâtis Fichet
- la Pilardière
- la Pouletière
- la Primordière
- la Ramonière
- la Ricarderie
- la Rousselière
- la Sauvagère
- la Tesserie
- la Vieillère
- le Bois Hubert
- le Bois Rond
- le Buron[Note 6]
- le Buron[Note 6]
- le Cadoreau
- le Moulin d'Omblepied
- le Moulin de la Durandière
- le Pâtis
- le Périnais
- le Périnel
- le Plessis
- le Poulichon
- le Tertre
- le Vaud
- les Ecoublères
- les Filières
- les Jardins de Blanche Lande
- les Perrières
- les Petites Landes
- les Toises
- Mont Piron
- Omblepied
- Pierre Blanche
- Saint-Vincent
- Vauvressix
- Villeneuve
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (72,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (26,3 %), zones agricoles hétérogènes (24,3 %), terres arables (14,7 %), forêts (11,2 %), eaux continentales[Note 7] (8,1 %), cultures permanentes (7,2 %), zones urbanisées (6,9 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,1 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Uldo en 1038, Udon en 1278[22].
Oudon tiendrait son nom de la rivière qui traverse la commune, le Hâvre, anciennement Vld en latin (prononciation Ould) décliné en Ouldo, Odonium, Uldonium[23].
Histoire
Les traces d'une occupation humaine ancienne sont attestées par le menhir de la Pierre blanche et la découverte de deux pirogues monoxyles en 1993 et 1994 sur les berges et un banc de sable de la Loire. La première des deux a été datée entre -2138 et - 1747[24].
Au lieu-dit le Pont-Noyer, la voie romaine Orléans-Tours-Nantes-Brest franchissait le Hâvre (à proximité immédiate du franchissement actuel par l'autoroute A11). Selon Albert-le-Grand, "vers l'an 368, sous l'épiscopat d'Arisius évêque de Nantes, une église paroissiale fut édifiée par ses soins à Oudon".
En 846, Nominoë, duc de Bretagne, aurait bâti un premier château à Oudon[25].
L'acte de fondation du prieuré de Chasteau-Ceaulx (Champtoceaux), daté de 1038, nomme explicitement trois seigneurs d'Oudon - Amauricus de Odonio, Radulfus de Odonio, Johannes de Uldono - et fait référence à un château sur les rives de la Loire et du Hâvre. Le , Guillaume, seigneur d'Oudon, fait don, en présence de Brice évêque de Nantes, à l'abbaye de Saint-Aubin d'Angers de l'église paroissiale et d'un terrain pour y fonder un prieuré, le prieuré Saint-Benoît, sur une colline surplombant le Hâvre, connue depuis sous le nom de côte Saint-Aubin. Vers 1140, Geoffroy (ou Gaufrid), frère de Guillaume d'Oudon, grièvement blessé à Champtoceaux dans l'armée du comte d'Anjou et sentant sa fin venir demanda à prendre l'habit de moine en échange de quoi il offrait aux moines d'Oudon un moulin sur la Loire, une pêcherie, un complant de vigne et tous ses prés de Vieille Cour.
Par sa position et son château, Oudon était une importante pièce défensive de la Marche de Bretagne, faisant face à la citadelle de Champtoceaux en Anjou, le château contrôlait le trafic fluvial et avec celui d'Ancenis, verrouillait le passage vers Nantes. Oudon, comme Ancenis est ainsi plusieurs fois assiégé : notamment en 1174 par Henri II Plantagenêt, en 1214 par Jean sans Terre et en 1230 et 1234 par Louis IX .
La seigneurie d'Oudon passe à une branche cadette la maison de Châteaugiron par l'union d'Amice fille et héritière de Geoffroi seigneur de Beaumortier et d'Oudon et de Béatrice de Vritz avec Galéran II de Châteaugiron (mort après 1298) seigneur d'Amanlis[26].Leur lignée perdure jusqu'aux frères Jean et Julien qui sont dépossédés par le roi François Ier de France en 1526 pour « brigandage et fausse monnaie ».
Dans le cadre du duché de Bretagne, la paroisse est située dans le diocèse de Nantes, plus précisément dans le Pays nantais[Note 8], pays historique de Bretagne. Le , les habitants, sous la présidence de Gilles Fouchard, avocat à la cour et sénéchal de la juridiction d'Oudon, élisent quatre d'entre eux pour porter leurs doléances. Leur cahier de doléances fait état "d'une paroisse fertile en grains, possédant de belles prairies, un agréable vignoble et quelques landes peu étendues."[24] En 1791, le prieuré de Saint-Aubin est vendu comme bien national pour un montant de 14 600 francs.
Durant la Seconde Guerre mondiale, le pont de Champtoceaux, qui permet de franchir la Loire, constitue un objectif militaire. Il est une première fois endommagé par l'armée française en qui a tenté de le faire sauter pour freiner l'avance des Allemands mais ceux-ci parviennent à y rétablir la circulation dès . Les et , le pont est visé par les bombardements alliés, ce qui provoque des dégâts jusqu'aux Folies Siffait au Cellier, mais seule une pile s’effondre. Ce sont finalement les Allemands qui le feront sauter le . Remplacé provisoirement par un pont Bailey, il ne sera reconstruit qu'en 1976.
Emblèmes
Héraldique
Blasonnement :
De gueules à neuf besants d'or, 3, 3 et 3. Rappelle la devise des Malestroit « Maison pleine d'écus ne grince jamais ».
Commentaires : Armes de la famille de Malestroit (en 1309). Blason (délibération municipale du ) enregistré le .
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Devise
La devise d'Oudon : Quoc Numerat Nummos Non Malestricta Donus.
Politique et administration
Démographie
Selon le classement établi par l'Insee, Oudon fait partie de l'aire urbaine et de la zone d'emploi de Nantes et du bassin de vie d'Ancenis. Elle n'est intégrée dans aucune unité urbaine[27]. Toujours selon l'Insee, en 2010, la répartition de la population sur le territoire de la commune était considérée comme « peu dense » : 100 % des habitants résidaient dans des zones « peu denses »[28].
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[30].
En 2021, la commune comptait 3 925 habitants[Note 17], en évolution de +5,51 % par rapport à 2015 (Loire-Atlantique : +6,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
Les données suivantes concernent l'année 2013. La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (20,7 %) est en effet inférieur au taux national (22,6 %) et au taux départemental (22,5 %)[33],[34],[35]. Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (50,1 % contre 48,4 % au niveau national et 48,7 % au niveau départemental)[33],[34],[35].
Lieux et monuments
- Le menhir de la Pierre blanche, en quartz blanc, s'élève au milieu d'une vigne à proximité immédiate du lieu-dit du même nom.
- La tour d'Oudon est l'emblème de la commune et se situe au centre historique du bourg, sur la rive droite du Hâvre. Ce sont les vestiges du château médiéval reconstruit au XIVe siècle sur le site du premier datant du XIe siècle.
- Les ruines de Vieille Cour situées en amont du centre-ville sur une hauteur dominant le Hâvre correspondent aux vestiges d'une maison seigneuriale datée des XIIIe et XIVe siècles. La fondation de Vieille Cour semble très ancienne. Selon la carte de Cassini, une voie romaine reliant Angers et Nantes franchissait le Havre à proximité. Par la suite, le passage fut déplacé à l’embouchure de la rivière, où il est encore, lui enlevant de son intérêt stratégique. En 1392, Alain de Malestroit obtient du duc de Bretagne l’autorisation de fortifier le château d’Oudon, alors ruiné, à condition d’abattre celui de Vieille Cour, signant la fin de la vieille forteresse[36]. Le château est construit sur un coteau dominant la vallée du Havre et entouré de fossés délimitant deux enceintes successives. On y distingue les vestiges d’une double porterie, des murs d’enceinte et de la grande salle seigneuriale datée du XIIIe siècle, entourée de bâtiments annexes[37],[38]. Ce site, une des très nombreuses propriétés de la famille de Bourbon-Condé jusqu'après la Révolution française[39], est racheté en 1907 par le comte Charles de Berthen de Pommery, châtelain de la Pilardière et maire d'Oudon de 1908 à 1945[39]. Il appartient aujourd'hui, en succession familiale, à la famille de Perier : Arnaud, Frédéric (†) et Antoine de Perier[40],[41] qui ont aussi créé l'Association Domaine de Vieille Cour Oudon[42].
- L'ancienne aumônerie ou léproserie, datée du XIIe siècle, placée sous la patronage de l'évêque saint Emerance, a été convertie en habitation privée. Le portail de l'ancienne chapelle, constitué d'un porche à colonnettes finement travaillées, linteau et trumeau typique du XVe siècle[23], est toutefois visible depuis la rue de la Loire.
- L'hospice Fouschard a été bâti grâce au legs d'Alphonse Fouschard sur l'emplacement de la maison du donateur[Note 18]. L'hospice, achevé en 1870, est géré par des religieuses jusqu'en 1971, tout en demeurant la propriété de la commune. L'hospice fonctionnait grâce aux revenus des fermages et à l'exploitation directe des anciennes propriétés du donateur[24]. Le bâtiment n'étant plus conforme aux normes sanitaires et, après la construction d'une nouvelle maison de retraite, achevée en , les anciens bâtiments ont été réhabilités et accueillent désormais : des logements sociaux, la bibliothèque municipale (dans l'ancienne chapelle) et quelques commerces.
- La commune compte plusieurs vieilles demeures de caractère comme La Pilardière (domaine racheté par la commune en 2014), La Boulavière, la villa néo-classique d'Omblepied ( Classé MH (1997)[43]), Le Greffin, Le Buron, Le Tertre (ayant appartenu à Marie Guillon-Verne, la jeune sœur de Jules Verne[24]).
Tourisme
- De nombreux endroits de la commune offrent une vue sur la Loire, avec sur l'autre rive, le bourg de Champtoceaux. L'itinéraire La Loire à vélo traverse la commune.
- La vallée du Hâvre est aménagée sur les deux rives pour la promenade pédestre.
- Depuis 2005, la commune organise tous les deux ans (années impaires, la première quinzaine d'août) un symposium international de sculpture où des artistes français et étrangers réalisent leur œuvre en public. À l'issue du symposium, les sculptures sont acquises par la commune et viennent compléter la collection exposée en plein air dans le bourg. Début , 27 œuvres étaient déjà exposées.
Jumelage
- Simmertal (Allemagne) (1988)
- Batheaston (Angleterre) (2005)
Ferroviaire
La commune est desservie par le chemin de fer depuis 1851 (prolongement de la ligne Paris - Orléans)[23]. La commune a racheté le bâtiment de la gare en 1994 à la SNCF qui projetait de le démolir[24]. Le trafic concerne désormais uniquement les passagers, seuls les trains TER Pays de la Loire s'y arrêtant régulièrement (liaison Nantes-Angers) ce qui met la commune à 20 minutes de Nantes et 40 minutes d'Angers.
Galerie
Annexes
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Site de la mairie
- Site de l'office de tourisme
Notes et références
Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Il y a deux lieux-dits le Buron à oudon, l'un à l'est du bourg (près de Blanche Lande), l'autre à l'ouest.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Par opposition au Pays de Retz, au Pays de la Mée, au Clissonais, au Pays d'Ancenis et au Pays de Guérande, autres parties du diocèse.
- Fils de son prédécesseur, réélu en 1900.
- Réélu en 1912, 1919, 1925, 1929, 1935.
- Réélu en 1947.
- Réélu en 1965.
- Réélu en 1977.
- Réélu en 1989 et 1995.
- Réélu en 2008.
- Réélu en 2020
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- En date du , Alphonse Fouschard lègue sa fortune estimée à 600 000 francs pour construire un hospice destiné aux pauvres et aux malades de la commune. Par le même acte, il donne la maison Rideau et les terrains attenants afin d'y édifier une nouvelle église.
Références
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- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
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- « Oudon(44) », sur Géoportail (consulté le )
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
- COLLECTIF, Le Patrimoine des Communes de la Loire-Atlantique, FLOHIC Editions, (ISBN 2-84234-040-X).
- COLLECTIF, Oudon au fil de son histoire, Oudon, Mairie d'Oudon, , 437 p. (ISBN 978-2-9528449-0-1).
- Ernest de Cornulier, Dictionnaire des terres et seigneuries de l'ancien comté nantais.
- Frédéric Morvan la Chevalerie de Bretagne et la formation de l'armée ducale 1260-1341 Presses Universitaires de Rennes, Rennes 2009, (ISBN 9782753508279) « Généalogie n°13 : les Châteaugiron »
- « Commune d'Oudon (44115) », Insee (consulté le ).
- « La grille communale de densité », Insee (consulté le ), données récupérées dans un fichier téléchargeable sous format Excel.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Chiffres clés Évolution et structure de la population - Oudon - POP T0-T3 - Population par sexe et âge en 2013 », sur insee.fr, Insee (consulté le ).
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- Notice no PA44000014