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« Orion (mythologie) » : différence entre les versions

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== Représentations ==
== Représentations ==
[[Fichier:Mosaic House of Orion by Dr Sophie Hay 1.jpg|vignette|Mosaïque représentant la transformation d’Orion en constellation, par la volonté de Zeus découverte dans la Maison d'Orion en 2018 lors des travaux de restauration du Projet Pompéi]]
Pompéi abrite par ailleurs deux mosaïques attribuées au mythe d’Orion et datées du {{-s-|II}} Elles se trouvent dans la maison d’Orion. Sur la première mosaïque, sur fond noir, Aion, divinité ailée de la voûte céleste, a le bras dirigé vers le haut, tandis que sa main gauche tient une torche enflammant les cheveux d’Orion, qui est lui doté d’ailes de papillon et est représenté comme anima (c’est-à-dire la psyché qui sort de la dépouille humaine au moment de la mort). La composition représente sa montée au ciel ([[catastérisation]]). Un manteau couvre la partie inférieure du bras plié et donne à voir le corps d’un scorpion<ref>{{Ouvrage |auteur1={{lien|langue=it|trad=Massimo Osanna}} |titre=Les Nouvelles Heures de Pompéi |éditeur=[[Groupe Flammarion|Flammarion]] |pages=400 |année=2020 |isbn=9782081513815}}.</ref>.
Pompéi abrite par ailleurs deux mosaïques attribuées au mythe d’Orion et datées du {{-s-|II}} Elles se trouvent dans la maison d’Orion. Sur la première mosaïque, sur fond noir, Aion, divinité ailée de la voûte céleste, a le bras dirigé vers le haut, tandis que sa main gauche tient une torche enflammant les cheveux d’Orion, qui est lui doté d’ailes de papillon et est représenté comme anima (c’est-à-dire la psyché qui sort de la dépouille humaine au moment de la mort). La composition représente sa montée au ciel ([[catastérisation]]). Un manteau couvre la partie inférieure du bras plié et donne à voir le corps d’un scorpion<ref>{{Ouvrage |auteur1={{lien|langue=it|trad=Massimo Osanna}} |titre=Les Nouvelles Heures de Pompéi |éditeur=[[Groupe Flammarion|Flammarion]] |pages=400 |année=2020 |isbn=9782081513815}}.</ref>.



Version du 16 octobre 2024 à 13:50

Orion
Orion, représenté dans le ciel, par Johann Bayer, Uranometria (1661).
Orion, représenté dans le ciel, par Johann Bayer, Uranometria (1661).

Sexe Masculin
Famille Poséidon (père), Euryale (mère), fille de Minos, roi de Crète

Orion (en grec ancien Ὠρίων / Ōríōn ou Ὠαρίων / Ōaríōn) est un chasseur géant de la mythologie grecque, réputé pour sa beauté et sa violence. Selon cette mythologie, il fut transformé en un amas d'étoiles par Zeus, donnant son nom à la constellation d'Orion.

Dans l'Iliade d'Homère, Orion est décrit comme une constellation et l'étoile Sirius est mentionnée comme son chien. Dans l'Odyssée, Orion est essentiellement un chasseur et est aussi mentionné en tant que constellation. Dans Les Travaux et les Jours d'Hésiode, Orion est une constellation dont le lever et le coucher avec le soleil sont utilisés pour compter l'année.

Étymologie

Le nom latin Orion vient du grec ancien Ὠρίων / Ōríōn[1],[2].

Plusieurs hypothèses portent sur l'origine du mot.

Il pourrait provenir de l'akkadien 𒌋𒊒𒀭𒈾, Uru-anna (« lumière du ciel »).[réf. souhaitée]

Alternativement, il serait issu de l'indo-européen via un thème *-ωαρ / -ōar issu de *-ωσαρ / -ōsar désignant l'été. La forme la plus ancienne serait Ὠαρίων / Ōaríōn, dérivé en -ων / -ōn d'une forme à suffixe -ιος / -ios. Le lever héliaque de la constellation coïnciderait avec le solstice d'été[3],[4][source insuffisante].

Le poète romain Ovide semble avancer une étymologie reposant sur la ressemblance du nom Orion avec le mot grec ancien οὖρον / oũron, « urine », et explique pourquoi dans son histoire (voir plus bas). Certains pensent que le liquide qui a humecté la peau de bœuf n'est pas de l'urine mais du sperme (grec ancien σπέρμα / spérma, « semence[5] »)[6]. Le plus ancien sens du verbe οὐρέω / ouréō est grec et signifie « uriner ». Le sens « répandre le liquide séminal » n'apparaît qu'à l'époque romaine[7].

Sources

Lampe à huile en terre cuite représentant Orion aveuglé et Artémis, Staatliche Antikensammlungen, Munich

Le mythe d'Orion est particulièrement fragmenté. S'il est évoqué dans l'épopée homérique, on ne trouve guère de récits complets du mythe avant des mythographes tardifs. De plus, il existe des épisodes qui ne sont pas intégrés à celui-ci[8].

La constellation

La constellation d'Orion apparaît pour la première fois dans l'Iliade d'Homère (18, 486, etc. ; 22, 29)[9]. Elle est également citée dans l'Odyssée (5, 274)[9].

Hésiode la mentionne dans Les Travaux et les Jours (596, 607, etc.)[9], Aristote dans Des Météores (2, 5, 4) et Problèmes (26, 13)[9].

Le chasseur

Le chasseur mythique, amant d'Éos, est cité par Homère dans l'Odyssée (5, 121, etc. ; 11, 310, 572, etc.)[9]. Ulysse aperçoit son ombre dans le monde souterrain[10].

À l'époque romaine impériale, la légende est reprise :

  • entre 29 et 19 avant notre ère, par Virgile dans l'Énéide (1, 535 ; 4, 52 ; 10, 763)[1] ;
  • en l'an 15, par Ovide dans ses Fastes (5, 493-544). Orion est un chasseur changé par Diane en une constellation qui porte son nom[1],[11] ;
  • avant 17, par Hygin, ami d'Ovide, dans sa Fabula 195[1],[12] ;
Hygin relate aussi la légende d'Orion dans son traité sur l'astronomie : Livre II : § 34 (Orion). Le nom est par ailleurs mentionné dans les passages : introduction ; § 21 (Taurus), § 26 (Scorpio), § 33 (Lepus), § 35 (Canis), § 36 (Procyon)[13]. Le nom de la constellation est aussi mentionné sept fois dans le livre III et cinq fois dans le livre IV.

Généalogie et famille

La légende la plus répandue raconte que le vieil Hyriée ne pouvait avoir d'enfants. Un jour, il accueille de manière très hospitalière Zeus et Poséidon. Pour le remercier, ceux-ci engendrent avec la Terre un fils qu'ils lui accordent[14] . Dans un autre version, Orion est le fils de Poséidon et d'une fille de Minos, Euryalè[8].

L'enfant est doté de qualités exceptionnelles. Il est fort, beau et d'une taille gigantesque[8].

Orion épousa Sidé ( « grenade ») qui était très belle mais aussi très fière. Elle fut précipitée dans le Tartare par Héra à qui elle avait voulu se comparer. Elle avait donné à Orion deux filles : les Coronides, Ménippé et Métioché, qui grandirent en Aonie (Béotie), au pied du Mont Hélicon[réf. nécessaire]

Comme son père Hyriée, Orion est un héros primordial en Béotie, voyageur et bâtisseur[8].

Le mythe d'Orion

Paysage avec Orion aveugle cherchant le soleil (1658), huile sur toile de Nicolas Poussin. Metropolitan Museum of Art, New York.
Diane auprès du cadavre d'Orion, huile sur toile de Daniel Seiter

Version d'Ovide (avant l'an 17/18)

Ovide résume le reste de la vie d'Orion en quelques lignes[14] :

« L'enfant devient d'une taille énorme ; Diane le prend avec elle ; il est le gardien, il est le satellite de la déesse.
Mais c'est assez d'une parole irréfléchie pour éveiller le courroux des dieux : Il n'est aucune bête, dit un jour Orion, dont je ne puisse triompher. Tellus fait paraître un scorpion qui soudain ose dresser ses dards recourbés contre la mère des deux jumeaux immortels. Orion la protège de son corps ; Latone le place au milieu des astres éclatants, Que ton dévouement, lui dit-elle, reçoive de moi cette récompense ! ».

Version d'Hygin (Fables, 195) (avant l'an 17)

« Jupiter, Neptune et Mercure vinrent en Thrace auprès du roi Hyriée ; les dieux, alors qu'ils avaient été reçus généreusement par le roi, lui accordèrent le cadeau de son choix ; celui-ci choisit des enfants.
Mercure prit le cuir d'un taureau qu'Hyrée avait immolé ; les dieux urinèrent sur le cuir et l'enterrèrent, d'où est né Orion. »[12][source insuffisante]

Version de Lucien de Samosate (vers 120 à après 180)

Accueilli à la cour d'Œnopion qui régnait sur Chios, Orion tomba amoureux de Mérope, la fille du roi. Œnopion voulait se débarrasser de ce prétendant encombrant. Il décida donc de promettre la main de sa fille à Orion, à condition que celui-ci débarrassât Chios de tous les fauves qui s'attaquaient aux hommes et aux troupeaux. Le roi était persuadé qu'il n'y parviendrait pas, mais Orion, excellent chasseur, n'eut aucun mal à remplir ladite condition. Lorsqu'il revint demander la main de Mérope, Œnopion renia sa promesse, l'amoureux se fâcha et saccagea le palais. Il fut ligoté tant bien que mal par l'armée lancée par le roi.

Pour le punir, Œnopion l'aveugla et l'abandonna sur le rivage. Orion marcha alors droit devant lui à travers la mer jusqu'à l'île de Lemnos et fut attiré par les forges d'Héphaïstos, qui accepta de lui prêter Cédalion. Le géant rentra dans la mer et marcha vers l'est face au Soleil. Pendant sa marche, Orion recouvra miraculeusement la vue[15].

Mort d'Orion et son élévation au ciel

Par la flèche d'Artémis

Il retourna à l'île de Chios pour se venger d'Œnopion, mais Artémis lui demanda d'oublier sa vengeance et lui proposa de chasser avec elle. Mais le frère d'Artémis, Apollon, qui avait quelques craintes pour sa sœur, envoya un monstrueux scorpion à sa poursuite. Orion tenta de le combattre mais il n'y parvint pas. Pour échapper au monstre, il s'enfonça dans la mer, qui formait une barricade naturelle. Alors Apollon désigna le géant et dit à Artémis de le tuer, le faisant passer pour un monstre. Comme le géant était trop loin, Artémis ne put le reconnaître et lui lança donc une flèche. Elle alla à la nage récupérer le cadavre, mais lorsqu'elle s'aperçut que c'était Orion, elle plaça son image parmi les étoiles en compagnie de ses chiens, Sirius et Procyon. On donne à cet épisode le nom de catastérisation[réf. nécessaire].

C'est pour cela que les constellations de Orion et du Grand Chien (qui compte l'étoile Sirius, l'astre le plus brillant du ciel en dehors des éléments du système solaire) sont proches l'une de l'autre, et que le Scorpion fut placé de l'autre côté sur la voûte céleste, le héros et le monstre se poursuivant sans cesse sans jamais se rattraper[réf. nécessaire].

Par le scorpion d'Héra

Une autre version de la mort d'Orion existe : fort de ses talents exceptionnels de chasseur, Orion ne cessait de se vanter de ses prouesses. Cette arrogance déplut fortement à Héra qui, pour donner une leçon d'humilité à Orion, commanda à un scorpion de s'embusquer en attendant le passage du chasseur. Dissimulé par les feuillages, le scorpion patienta et, le moment venu, il piqua Orion, qui mourut foudroyé par le venin de ce petit animal, lui qui avait terrassé les bêtes les plus féroces.

Il fut transformé en constellation, mais Héra, pour que le combat continue, n'oublia pas de porter également au ciel le scorpion qui l'avait si loyalement servie. Mais Zeus intervint et fit en sorte qu'Orion et le Scorpion ne puissent jamais s'atteindre ; c'est pour cela que lorsqu'Orion se lève à l'horizon est, le Scorpion se couche à l'horizon ouest[réf. nécessaire].

Par le scorpion d'Artémis

Une première version dit qu'Orion et Artémis avaient l'habitude de chasser ensemble. Un jour, Orion, qui était amoureux de la déesse, essaya de l'embrasser. Artémis, indignée, fit apparaître un scorpion et lui ordonna de piquer le géant. En le voyant mourir, Artémis, émue, transforma Orion en constellation, et réserva le même sort au scorpion qui l'avait fidèlement servie[réf. nécessaire].

Une deuxième version de la mort du chasseur par Artémis, moins populaire, dit qu'Orion était l'ennemi mortel d'Artémis. Chose étrange car Artémis, étant une déesse, est dite immortelle. Pour se débarrasser de lui, et ainsi échapper à la mort, Artémis invoqua un scorpion géant qui tua Orion par son venin. Cette version inclut donc un sentiment de « rivalité » entre les deux chasseurs, non exprimé auparavant, et un paradoxe d'« ennemi mortel » d'une déesse (immortelle, rappelons-le), tout en sachant que cet ennemi est, quant à lui, mortel et donc en principe inoffensif pour Artémis. La transformation d'Orion en constellation reste donc mystérieuse pour cette version ; Artémis fut peut-être prise de remords. Le scorpion, quant à lui, est ainsi élevé au ciel par Artémis pour l'avoir fidèlement servie[réf. nécessaire].

Une troisième version dit qu'Orion gagna à un lancer de disque contre Artémis et qu'elle envoya un scorpion le piquer. Il devint la constellation d'Orion[réf. nécessaire].

Par le scorpion de Gaia

Une autre version de la mort d'Orion existe : ici, Orion est l'un des Géants, fils de Gaia et ennemi immortel d'Artémis et d'Apollon, il chassa pourtant souvent avec la déesse. Apollon, craignant qu'Artémis ne succombe au charme d'Orion, le rendit fou.

Gaia, troublée dans son sommeil par les massacres qu'Orion commettait, invoqua un scorpion géant qui le tua. Artémis, ne voyant pas Orion revenir, le chercha et finit par le trouver, mort, puis elle le transforma en constellation. Gaia métamorphosa néanmoins le scorpion en constellation pour sa fidélité[réf. nécessaire].

Interprétations

Représentations

Mosaïque représentant la transformation d’Orion en constellation, par la volonté de Zeus découverte dans la Maison d'Orion en 2018 lors des travaux de restauration du Projet Pompéi

Pompéi abrite par ailleurs deux mosaïques attribuées au mythe d’Orion et datées du IIe siècle av. J.-C. Elles se trouvent dans la maison d’Orion. Sur la première mosaïque, sur fond noir, Aion, divinité ailée de la voûte céleste, a le bras dirigé vers le haut, tandis que sa main gauche tient une torche enflammant les cheveux d’Orion, qui est lui doté d’ailes de papillon et est représenté comme anima (c’est-à-dire la psyché qui sort de la dépouille humaine au moment de la mort). La composition représente sa montée au ciel (catastérisation). Un manteau couvre la partie inférieure du bras plié et donne à voir le corps d’un scorpion[16].

Développements ultérieurs

Longtemps délaissée par la littérature depuis l'Antiquité, la figure d'Orion a longtemps dû sa célébrité relative à l'Hypnerotomachia Poliphili (1467) ainsi qu'à un tableau de Nicolas Poussin.

Depuis le début du XXe siècle, elle connaît un regain d'intérêt inattendu auprès des écrivains, des musiciens et des plasticiens.

Peinture

Sculpture

Littérature, théâtre et poésie

Musique

Annexes

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Sources antiques

Bibliographie

  • Camille Flammarion, Astronomie populaire, 1880.
  • Pierre Grimal, Dictionnaire de la mythologie grecque et romaine. Paris, Presses Universitaires de France, 1951.
  • Robert Graves, Les Mythes grecs. Le Livre de Poche, coll. Pluriel, 1958.
  • Jeannie Carlier, Orion, dans Dictionnaire des mythologies, dir. Yves Bonnefoy. Paris, Flammarion, 1981.
  • (en) Joseph Fontenrose, Orion : The Myth of the Hunter and the Huntress Berkeley : University of California Press (ISBN 0-520-09632-0).
  • Marie Miguet, Le Mythe d'Orion, dans Dictionnaire des mythes littéraires, dir. Pierre Brunel. Monaco, Éditions du Rocher, 1988.
  • Jean-Michel Renaud, Le catastérisme chez Homère. Le cas d'Orion, GAIA. Revue interdisciplinaire sur la Grèce ancienne, 2003, 7, pp. 205-214.
  • Jean-Michel Renaud, Le Mythe d'Orion : sa signification, sa place parmi les autres mythes grecs et son apport à la connaissance de la mentalité antique. Liège, CIPL, 2004[17].
  • (it) Paola Capponi, I nomi di Orione, dans Le parole dell'astronimia tra scienza e tradizione. Venezia, Marsilio, Crisis, 2005.
  • Émile Chambry, Émeline Marquis, Alain Billault et Dominique Goust (trad. du grec ancien par Émile Chambry), Lucien de Samosate : Œuvres complètes, Paris, Éditions Robert Laffont, coll. « Bouquins », , 1248 p. (ISBN 978-2-221-10902-1), « La Salle ». Document utilisé pour la rédaction de l’article

Sujets d'inspiration artistique sur le thème mythique

  • Ernst Gombrich, Le Sujet de l'Orion de Poussin, 1944.
  • Marie Miguet-Ollagnier, Le Mythe d'Orion dans le théâtre de Claudel, in Mythes claudéliens. Paris-Caen, Minard, coll. Lettres modernes, série Paul Claudel, no 14, 1985, p. 93-120.
  • Danièle Leclair, Lecture de René Char : Aromates chasseurs et Chants de la Balandrane. Minard, coll. Archives des lettres modernes, no 233, 1988[précision nécessaire].
  • Claude Leroy :
  • Jacques Derrida, Mémoires d'aveugle. L'autoportrait et autres ruines. Paris, Réunion des musées nationaux, Louvre, 1990[précision nécessaire].
  • Edmond Nogacki, René Char, Orion pigmenté d'infini ou de l'écriture à la peinture. Presses universitaires de Valenciennes, 1992.

Liens externes

Notes et références

Notes

Références

  1. a b c et d « Orientius - Dictionnaire Gaffiot français-latin », sur lexilogos.com (consulté le ).
  2. Anatole Bailly ; 2020 : Hugo Chávez, Gérard Gréco, André Charbonnet, Mark De Wilde, Bernard Maréchal & contributeurs, « Le Bailly », (consulté le ).
  3. Jean-Michel Renaud, « Le catastérisme chez Homère. Le cas d'Orion », GAIA. Revue interdisciplinaire sur la Grèce ancienne, vol. 7, no 1,‎ , p. 205–214 (DOI 10.3406/gaia.2003.1416, lire en ligne, consulté le ).
  4. Jean-Michel Renaud, « Le mythe d'Orion : Sa signification, sa place parmi les autres mythes grecs et son apport à la connaissance de la mentalité antique », C.I.P.L., Liège,‎ (lire en ligne).
  5. Anatole Bailly ; 2020 : Hugo Chávez, Gérard Gréco, André Charbonnet, Mark De Wilde, Bernard Maréchal & contributeurs, « Le Bailly », (consulté le ).
  6. « Ovide - Fastes V », sur bcs.fltr.ucl.ac.be (consulté le ).
  7. Anatole Bailly ; 2020 : Hugo Chávez, Gérard Gréco, André Charbonnet, Mark De Wilde, Bernard Maréchal & contributeurs, « οὐρέω », sur Le Bailly,‎ (consulté le ).
  8. a b c et d Jean-Michel Renaud, Monde sauvage et monde civilisé dans le mythe : le cas d'Orion, Collection de l'Institut des Sciences et Techniques de l'Antiquité, Année 200, 925, pp. 279-290
  9. a b c d et e A. Bailly, Dictionnaire Grec Français, Paris, Hachette, 1950-1995 (ISBN 2-01-001306-9, lire en ligne), p. 2186.
  10. « Homère, L’Odyssée, chant XI | Philo-lettres » (consulté le ).
  11. « Ovide : oeuvres complètes : avec la traduction en français », sur Gallica, (consulté le ).
  12. a et b « Bibliotheca Augustana », sur fh-augsburg.de (consulté le ).
  13. « Hyginus », sur thelatinlibrary.com (consulté le ).
  14. a et b « Ovide - Fastes », sur ucl.ac.be (consulté le ).
  15. Lucien de Samosate 2015, p. 104.
  16. Massimo Osanna (it), Les Nouvelles Heures de Pompéi, Flammarion, , 400 p. (ISBN 9782081513815).
  17. Renaud, Jean-Michel, « Le mythe d'Orion : Sa signification, sa place parmi les autres mythes grecs et son apport à la connaissance de la mentalité antique », sur uliege.be, C.I.P.L., Liège, Belgium, (consulté le ).