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L'[[Institut national de l'information géographique et forestière|IGN]] met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la [[carte de Cassini]] ({{s-|XVIII|e}}), la [[carte d'état-major]] (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>{{Lien web |url=https://remonterletemps.ign.fr/comparer/basic?x= 4.7028&y= 44.1269&z=14&layer1=GEOGRAPHICALGRIDSYSTEMS.MAPS.SCAN-EXPRESS.STANDARD&layer2=GEOGRAPHICALGRIDSYSTEMS.MAPS.SCAN50.1950&mode=vSlider|titre=Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.|auteur =[[Institut national de l'information géographique et forestière|IGN]] |site = remonterletemps.ign.fr |consulté le= 13 avril 2021}}. Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.</ref>.
L'[[Institut national de l'information géographique et forestière|IGN]] met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la [[carte de Cassini]] ({{s-|XVIII|e}}), la [[carte d'état-major]] (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>{{Lien web |url=https://remonterletemps.ign.fr/comparer/basic?x= 4.7028&y= 44.1269&z=14&layer1=GEOGRAPHICALGRIDSYSTEMS.MAPS.SCAN-EXPRESS.STANDARD&layer2=GEOGRAPHICALGRIDSYSTEMS.MAPS.SCAN50.1950&mode=vSlider|titre=Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.|auteur =[[Institut national de l'information géographique et forestière|IGN]] |site = remonterletemps.ign.fr |consulté le= 13 avril 2021}}. Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.</ref>.
=== Risques majeurs ===
Le territoire de la commune de Codolet est vulnérable à différents [[aléa naturel|aléas naturels]] : [[météorologie|météorologiques]] ([[tempête]], [[orage]], [[neige]], grand froid, [[canicule en France|canicule]] ou [[sécheresse en France|sécheresse]]), [[Risque d'inondation en France|inondations]], [[feu de forêt|feux de forêts]] et [[Risque sismique dans le Gard|séisme]] (sismicité modérée). Il est également exposé à trois [[Risque#Dans l'industrie|risques technologiques]], le [[transport de matières dangereuses]] et la [[rupture de barrage|rupture d'un barrage]] et le [[risque nucléaire]]<ref name=Géorisques>{{Lien web|url=https://www.georisques.gouv.fr/mes-risques/connaitre-les-risques-pres-de-chez-moi/rapport?form-commune=true&codeInsee=30084&ign=false&commune=30200+Codolet&CGU-commune=on|titre=Les risques près de chez moi - commune de Codolet|site=Géorisques|consulté le= 8 septembre 2022}}</ref>. Un site publié par le [[Bureau de recherches géologiques et minières|BRGM]] permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>{{Lien web|url= https://errial.georisques.gouv.fr/#/ |titre= Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien|site=Géorisques|auteur=BRGM|consulté le=8 septembre 2022}}</ref>.

==== Risques naturels ====
La commune fait partie du [[territoire à risques importants d'inondation]] (TRI) d'Avignon – plaine du Tricastin – Basse vallée de la Durance, regroupant {{nobr|90 communes}} du [[bassin de vie]] d'[[Avignon]], [[Orange (Vaucluse)|Orange]] et de la basse vallée de la [[Durance]], un des {{nobr|31 TRI}} qui ont été arrêtés fin 2012 sur le [[bassin Rhône-Méditerranée]]<ref>{{Lien web|url=https://www.rhone-mediterranee.eaufrance.fr/gestion-de-leaugestion-des-risques-dinondationterritoires-risques-important-dinondation-tri/liste |titre=Liste des territoires à risque important d'inondation (TRI) de 2012|site=https://www.rhone-mediterranee.eaufrance.fr|auteur=|consulté le=8 septembre 2022}}</ref>. Il a été retenu au regard des risques de débordements du [[Rhône]], de la [[Durance]], de la [[Cèze]], du [[Lez (fleuve)|Lez]] (84), de l'[[Ardèche (rivière)|Ardèche]], de l'[[Eygues]], du Rieu (Foyro), de la [[Meyne]], de l'[[Ouvèze]], des Sorgues, des rivières du Sud-Ouest du [[mont Ventoux]], de la [[Nesque]], du [[Calavon]] et de l'[[Èze (rivière)|Èze]]. Les crues récentes significatives sont celles d'octobre 1993 (Rhône-Lez), de janvier et novembre 1994 (Rhône, Durance, Calavon, Ouvèze), de décembre 1997, de novembre 2000, de mai 2008 (Durance), de décembre 2003 (Rhône, Calavon), de septembre 1992 (Ouvèze), de septembre 2002 et de 2003 (Aygue, Rieu Foyro), de septembre 1958, de septembre 1992 (Ardèche), de septembre 1993 (Èze). Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de [[temps de retour]] de {{nobr|10 ans}} à {{nobr|30 ans}}), moyen (temps de retour de {{nobr|100 ans}} à {{nobr|300 ans}}) et extrême (temps de retour de l'ordre de {{Unité|1000|ans}}, qui met en défaut tout système de protection)<ref>{{Lien web|url=https://www.rhone-mediterranee.eaufrance.fr/cartographie-des-risques-dinondations-du-tri-davignon-plaine-du-tricastin-basse-vallee-de-la-0|titre=cartographie des risques d'inondations du TRI d'Avignon – plaine du Tricastin – Basse vallée de la Durance|site =https://www.rhone-mediterranee.eaufrance.fr/|consulté le=8 septembre 2022}}</ref>{{,}}<ref>{{Lien web|url=0|titre=0|site =https://www.rhone-mediterranee.eaufrance.fr/|consulté le=8 septembre 2022}}</ref>. La commune a été reconnue en [[état de catastrophe naturelle]] au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1994, 1996, 1998, 2002 et 2003<ref>{{Lien web|url=https://www.gard.gouv.fr/Politiques-publiques/Securite-et-protection-de-la-population/Risques/Dossier-Departemental-des-Risques-Majeurs-DDRM/DDRM-2021|titre=Dossier départemental des risques majeurs dans le Gard|site=www.gard.gouv.fr|consulté le=8 septembre 2022}}, partie 1 - chapitre Risque inondation.</ref>{{,}}<ref name=Géorisques/>.

[[Fichier:30084-Codolet-argile.png|vignette|upright=1.2|Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Codolet.]]
Le [[retrait-gonflement des argiles|retrait-gonflement des sols argileux]] est susceptible d'engendrer des [[endommagement|dommages]] importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de [[sécheresse en France|sécheresse]] et de pluie. 98,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les {{Unité|262 bâtiments}} dénombrés sur la commune en 2019, 262 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au [[retrait-gonflement des argiles|retrait gonflement des sols argileux]] est disponible sur le site du [[Bureau de recherches géologiques et minières|BRGM]]<ref>{{Lien web|url=https://www.georisques.gouv.fr/risques/retrait-gonflement-des-argiles|titre=Retrait-gonflement des argiles|site =le [https://www.georisques.gouv.fr site de l'observatoire national des risques naturels]|consulté le=8 septembre 2022}}</ref>{{,}}<ref group=Carte>{{Lien web|url=https://infoterre.brgm.fr/actualites/exposition-au-retrait-gonflement-argiles|titre=Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles|site=infoterre.brgm.fr|consulté le=8 septembre 2022}}</ref>.

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des [[cavité souterraine|cavités souterraines]] permet de localiser celles situées sur la commune<ref name="ECS">{{Lien web |url=https://www.georisques.gouv.fr/risques/cavites-souterraines/donnees#/dpt/30/com/30084/page/1 |titre= Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Codolet |site =http://www.georisques.gouv.fr/ |consulté le= 8 septembre 2022}}</ref>.

==== Risques technologiques ====
Le risque de [[transport de matières dangereuses]] sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'[[hydrocarbure]]s. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à {{Unité|350|m}}, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence<ref>{{Lien web|url=https://www.gard.gouv.fr/Politiques-publiques/Securite-et-protection-de-la-population/Risques/Dossier-Departemental-des-Risques-Majeurs-DDRM/DDRM-2021|titre=Dossier départemental des risques majeurs dans le Gard|site=www.gard.gouv.fr|consulté le=8 septembre 2022}}, chapitre Risque transport de matières dangereuses.</ref>.

La commune est en outre située en aval du [[barrage de Sénéchas]], un ouvrage de classe A{{note|texte=Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu{{note|texte=[https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000044937973/ Article R214-112 du code de l’environnement]}}. |groupe=Note}} doté d'un PPI. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la [[rupture de barrage|rupture de cet ouvrage]]<ref>{{Lien web|url=https://www.gard.gouv.fr/Politiques-publiques/Securite-et-protection-de-la-population/Risques/Dossier-Departemental-des-Risques-Majeurs-DDRM/DDRM-2021|titre=Dossier départemental des risques majeurs dans le Gard|site=www.gard.gouv.fr|consulté le=8 septembre 2022}}, chapitre Risque rupture de barrage.</ref>.

La commune étant située dans le périmètre de sûreté autour du [[site nucléaire de Marcoule]], elle est exposée au risque nucléaire. En cas d'incident ou d'accident nucléaire, des consignes de confinement ou d'évacuation peuvent être données et les habitants peuvent être amenés à ingérer, sur ordre du préfet, les comprimés d'iode<ref>{{Lien web|url=https://www.gard.gouv.fr/Politiques-publiques/Securite-et-protection-de-la-population/Risques/Dossier-Departemental-des-Risques-Majeurs-DDRM/DDRM-2021|titre=Dossier départemental des risques majeurs dans le Gard|site=www.gard.gouv.fr|consulté le=8 septembre 2022}}, chapitre Risque nucléaire.</ref>.


== Toponymie ==
== Toponymie ==

Version du 8 septembre 2022 à 16:42

Codolet
Codolet
L'église.
Blason de Codolet
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Gard
Arrondissement Nîmes
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Gard Rhodanien
Maire
Mandat
Sébastien Bayart
2020-2026
Code postal 30200
Code commune 30084
Démographie
Population
municipale
604 hab. (2021 en évolution de −11,18 % par rapport à 2015)
Densité 117 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 07′ 37″ nord, 4° 42′ 10″ est
Altitude Min. 27 m
Max. 50 m
Superficie 5,17 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Bagnols-sur-Cèze
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Roquemaure
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Codolet
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Codolet
Géolocalisation sur la carte : Gard
Voir sur la carte topographique du Gard
Codolet
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
Voir sur la carte administrative d'Occitanie (région administrative)
Codolet
Liens
Site web codolet.fr

Codolet est une commune française située dans le nord-est du département du Gard, en région Occitanie.

Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par la Cèze et par un autre cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : deux sites Natura 2000 (« la Cèze et ses gorges » et « le Rhône aval ») et trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Codolet est une commune rurale qui compte 604 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Bagnols-sur-Cèze. Ses habitants sont appelés les Codolétiens ou Codolétiennes.

Géographie

Localisation

La commune de Codolet est située près des communes d'Orsan et de Chusclan.

Hydrographie et relief

La Cèze à Codolet.

La commune possède un lac sur l'ilon de Codolet, très prisé par les locaux durant la saison estivale.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[1].

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

  • Moyenne annuelle de température : 14,1 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,8 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 18 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 17,8 °C
  • Cumuls annuels de précipitation : 763 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 5,9 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 3 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Chusclan », sur la commune de Chusclan, mise en service en 1991[6] et qui se trouve à 3 km à vol d'oiseau[7],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 15,1 °C et la hauteur de précipitations de 757 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nimes-Courbessac », sur la commune de Nîmes, mise en service en 1922 et à 42 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 14,8 °C pour la période 1971-2000[10], à 15,1 °C pour 1981-2010[11], puis à 15,6 °C pour 1991-2020[12].

Voies de communication et transports

Un arrêt de bus y est implanté, utilisé uniquement à des fins scolaires.

Milieux naturels et biodiversité

Réseau Natura 2000

Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la directive habitats[14] :

  • « le Rhône aval », d'une superficie de 12 579 ha[15] ;
  • « la Cèze et ses gorges », d'une superficie de 3 550 ha, un territoire dont les principaux habitats naturels sont des formations méditerranéennes (Asplenion, Quercion ilicis) dans les gorges, avec notamment des descentes remarquables d'espèces montagnardes[16].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

Carte des ZNIEFF de type 2 localisées sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Trois ZNIEFF de type 2[Note 5] sont recensées sur la commune[17] :

  • « le Rhône » (3 202 ha), couvrant 27 communes dont 2 dans l'Ardèche, 1 dans les Bouches-du-Rhône, 12 dans le Gard et 12 dans le Vaucluse[18] ;
  • « le Rhône et ses canaux » (3 879 ha), couvrant 15 communes du département[19] ;
  • la « vallée aval de la Cèze » (532 ha), couvrant 14 communes du département[20].

Urbanisme

Typologie

Codolet est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[21],[I 1],[22].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bagnols-sur-Cèze, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 30 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2],[I 3].

Le site nucléaire de Marcoule est en partie implanté sur la commune.

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (68,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (69,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (68,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (14,5 %), eaux continentales[Note 8] (10 %), zones urbanisées (5,5 %), forêts (1,1 %)[23].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Risques majeurs

Le territoire de la commune de Codolet est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à trois risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage et le risque nucléaire[24]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[25].

Risques naturels

La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) d'Avignon – plaine du Tricastin – Basse vallée de la Durance, regroupant 90 communes du bassin de vie d'Avignon, Orange et de la basse vallée de la Durance, un des 31 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Rhône-Méditerranée[26]. Il a été retenu au regard des risques de débordements du Rhône, de la Durance, de la Cèze, du Lez (84), de l'Ardèche, de l'Eygues, du Rieu (Foyro), de la Meyne, de l'Ouvèze, des Sorgues, des rivières du Sud-Ouest du mont Ventoux, de la Nesque, du Calavon et de l'Èze. Les crues récentes significatives sont celles d'octobre 1993 (Rhône-Lez), de janvier et novembre 1994 (Rhône, Durance, Calavon, Ouvèze), de décembre 1997, de novembre 2000, de mai 2008 (Durance), de décembre 2003 (Rhône, Calavon), de septembre 1992 (Ouvèze), de septembre 2002 et de 2003 (Aygue, Rieu Foyro), de septembre 1958, de septembre 1992 (Ardèche), de septembre 1993 (Èze). Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[27],[28]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1994, 1996, 1998, 2002 et 2003[29],[24].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Codolet.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 98,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 262 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 262 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[30],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[31].

Risques technologiques

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[32].

La commune est en outre située en aval du barrage de Sénéchas, un ouvrage de classe A[Note 9] doté d'un PPI. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[34].

La commune étant située dans le périmètre de sûreté autour du site nucléaire de Marcoule, elle est exposée au risque nucléaire. En cas d'incident ou d'accident nucléaire, des consignes de confinement ou d'évacuation peuvent être données et les habitants peuvent être amenés à ingérer, sur ordre du préfet, les comprimés d'iode[35].

Toponymie

Histoire

Moyen Âge

Époque moderne

Révolution française et Empire

Époque contemporaine

Le , une explosion dans un four de retraitement des déchets nucléaires de Centraco de Marcoule tue un employé et en blesse quatre autres, provoquant un incendie et une fuite. L'exploitant a déclaré que le four contenait 63 kBq, mais il s’avérait qu'il contenait 30 MBq (500 fois plus). Cet accident a été classé niveau 1 INES par l'ASN le 29 septembre[36].

Politique et administration

Tendances politiques et résultats

Liste des maires

Entrée de Codolet.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1989 1993 Gabriel Bouillard    
1993 2014 Serge Boissin DVG Président de la communauté de communes
2014 En cours Sebastien Bayart REG Employé
Les données manquantes sont à compléter.

Jumelages

Population et société

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[38].

En 2021, la commune comptait 604 habitants[Note 10], en évolution de −11,18 % par rapport à 2015 (Gard : +2,49 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
590577699806874837794817806
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
788809764697686678640614611
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
556510536462395399327335344
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
381393386433458558639673700
2014 2019 2021 - - - - - -
685618604------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[40].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

Le village possède une école maternelle et primaire.

Santé

Manifestations culturelles et festivités

Un feu d'artifice,assez réputé aux alentours, est donné le jour de la fête nationale. La commune organise beaucoup d'autre festivités, telles que la fête médiévale ou encore la fête de la musique.

Cultes

Économie

Revenus

En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 260 ménages fiscaux[Note 11], regroupant 613 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 21 650 [I 4] (20 020  dans le département[I 5]).

Emploi

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 6] 10 % 11 % 9,9 %
Département[I 7] 10,6 % 12 % 12 %
France entière[I 8] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 429 personnes, parmi lesquelles on compte 78,3 % d'actifs (68,4 % ayant un emploi et 9,9 % de chômeurs) et 21,7 % d'inactifs[Note 12],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui de la France.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Bagnols-sur-Cèze, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 9]. Elle compte 934 emplois en 2018, contre 974 en 2013 et 753 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 297, soit un indicateur de concentration d'emploi de 314,9 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 64,4 %[I 10].

Sur ces 297 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 51 travaillent dans la commune, soit 17 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 92,7 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,3 % les transports en commun, 6,9 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et [I 12].

Activités hors agriculture

Secteurs d'activités

50 établissements[Note 13] sont implantés à Codolet au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 14],[I 13].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 50
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
9 18 % (7,9 %)
Construction 9 18 % (15,5 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
13 26 % (30 %)
Information et communication 1 2 % (2,2 %)
Activités financières et d'assurance 5 10 % (3 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
6 12 % (14,9 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
1 2 % (13,5 %)
Autres activités de services 6 12 % (8,8 %)

Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 26 % du nombre total d'établissements de la commune (13 sur les 50 entreprises implantées à Codolet), contre 30 % au niveau départemental[I 14].

Entreprises et commerces

Les trois entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[41] :

  • Cyclife France SA, traitement et élimination des déchets dangereux (88 716 k€)
  • Cisbio Bioassays, fabrication de préparations pharmaceutiques (38 071 k€)
  • LNT, activités des sociétés holding (126 k€)

Agriculture

1988 2000 2010 2020
Exploitations 33 27 14 8
SAU[Note 15] (ha) 274 307 210 107

La commune est dans la vallée du Rhône, une petite région agricole occupant la frange est du département du Gard[42]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 16] sur la commune est la viticulture[Carte 4]. Huit exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 17] (33 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 107 ha[44],[Carte 5],[Carte 6].

Culture locale et patrimoine

Édifices civils

Modèle:Message galerie

Édifices religieux

Il y a une église catholique, où est donnée une messe mensuelle.

Patrimoine culturel

Patrimoine environnemental

Personnalités liées à la commune

Héraldique

Blason de Codolet Blason
D'argent à la fasce losangée d'or et de gueules[45].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[13].
  5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  9. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[33].
  10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  11. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  12. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  13. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  14. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  15. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  16. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  17. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[43].
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
  3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références

Site de l'Insee

  1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Codolet » (consulté le ).
  5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Gard » (consulté le ).
  6. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Codolet » (consulté le ).
  7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gard » (consulté le ).
  8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Codolet » (consulté le ).
  11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Codolet » (consulté le ).
  14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gard » (consulté le ).

Autres sources

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
  3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  4. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  5. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
  6. « Station Météo-France Chusclan - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Orthodromie entre Codolet et Chusclan », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France Chusclan - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Orthodromie entre Codolet et Nîmes », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station météorologique de Nimes-Courbessac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  11. « Station météorologique de Nimes-Courbessac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  12. « Station météorologique de Nimes-Courbessac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  13. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  14. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Codolet », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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  17. « Liste des ZNIEFF de la commune de Codolet », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. « ZNIEFF « le Rhône » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. « ZNIEFF « le Rhône et ses canaux » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  20. « ZNIEFF la « vallée aval de la Cèze » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  21. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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  24. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Codolet », sur Géorisques (consulté le )
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  32. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gard », sur www.gard.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  33. Article R214-112 du code de l’environnement
  34. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gard », sur www.gard.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
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  36. « Accident industriel de Centraco », sur asn.fr (consulté le ).
  37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  39. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  41. « Entreprises à Codolet », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
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  43. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
  44. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Codolet - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  45. Eugène Germer-Durand, Ministère de l'instruction publique (Éditeur scientifique) et Comité des travaux historiques et scientifiques (dir.), Dictionnaire topographique du département du Gard : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Impr. impériale, , XXXVI-298 p., in-4 (BNF 30500934), p. 60