Aller au contenu

« San-Pédro » : différence entre les versions

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Contenu supprimé Contenu ajouté
Pautard (discuter | contributions)
m parapublics
Tom354 (discuter | contributions)
Ligne 165 : Ligne 165 :
Depuis l'indépendance, la [[langue officielle]] dans toute la [[Côte d'Ivoire]] est le [[français]]. La [[langue véhiculaire]], parlée et comprise par la majeure partie de la population, est le [[dioula (langue)|dioula]] mais la [[langue vernaculaire]] de la région est le [[Krou]]. Le français effectivement parlé dans la région, comme à [[Abidjan]], est communément appelé le ''français populaire ivoirien'' ou ''français de dago''<ref group="Note">Si, à Abidjan et dans le nord, on parle de ''français de Moussa'', dans l'ouest du pays, on parle de ''français de Dago''</ref> qui se distingue du [[français standard]] par la prononciation et qui le rend quasi inintelligible pour un [[francophone]] non ivoirien. Une autre forme de français parlé est le [[nouchi]], un [[argot]] parlé surtout par les jeunes et qui est aussi la langue dans laquelle sont écrits 2 magazines [[satire|satiriques]], ''Gbich!'' et ''Y a fohi''. Le [[départements de la Côte-d'Ivoire|département]] de San-Pédro accueillant de nombreux ivoiriens issus de toutes les régions du pays, toutes les [[langue vernaculaire|langues vernaculaires]] du pays, environ une soixantaine, y sont pratiquées ainsi que le [[Fanti (langue)|Fanti]] du [[Ghana]]. On y pratique également beaucoup l'[[anglais]] en raison de la présence de nombreux ressortissants du [[Liberia]], de [[Sierra Leone]] et du [[Ghana]].
Depuis l'indépendance, la [[langue officielle]] dans toute la [[Côte d'Ivoire]] est le [[français]]. La [[langue véhiculaire]], parlée et comprise par la majeure partie de la population, est le [[dioula (langue)|dioula]] mais la [[langue vernaculaire]] de la région est le [[Krou]]. Le français effectivement parlé dans la région, comme à [[Abidjan]], est communément appelé le ''français populaire ivoirien'' ou ''français de dago''<ref group="Note">Si, à Abidjan et dans le nord, on parle de ''français de Moussa'', dans l'ouest du pays, on parle de ''français de Dago''</ref> qui se distingue du [[français standard]] par la prononciation et qui le rend quasi inintelligible pour un [[francophone]] non ivoirien. Une autre forme de français parlé est le [[nouchi]], un [[argot]] parlé surtout par les jeunes et qui est aussi la langue dans laquelle sont écrits 2 magazines [[satire|satiriques]], ''Gbich!'' et ''Y a fohi''. Le [[départements de la Côte-d'Ivoire|département]] de San-Pédro accueillant de nombreux ivoiriens issus de toutes les régions du pays, toutes les [[langue vernaculaire|langues vernaculaires]] du pays, environ une soixantaine, y sont pratiquées ainsi que le [[Fanti (langue)|Fanti]] du [[Ghana]]. On y pratique également beaucoup l'[[anglais]] en raison de la présence de nombreux ressortissants du [[Liberia]], de [[Sierra Leone]] et du [[Ghana]].


=== Religion ===
== Lieux de culte ==
Parmi les [[lieux de culte]], il y a principalement des églises et des temples [[Christianisme|chrétiens]] : [[Diocèse de San-Pédro en Côte d'Ivoire]] ([[Église catholique]]), [[Église méthodiste unie Côte d'Ivoire]] ([[Conseil méthodiste mondial]]), [[Union des Églises baptistes missionnaires en Côte d'Ivoire]] ([[Alliance baptiste mondiale]]), [[Assemblées de Dieu]]<ref>J. Gordon Melton, Martin Baumann, ‘‘Religions of the World: A Comprehensive Encyclopedia of Beliefs and Practices’’, ABC-CLIO, USA, 2010, {{p.|811-812}}</ref>.
{{Article détaillé|Diocèse de San-Pédro en Côte d'Ivoire}}

San Pedro est le siège d'un évêché catholique créé le {{date|23 octobre 1989}}. On y compte de nombreuses autres confessions religieuses implantées dans tous les quartiers de la ville : Catholique, Islam, Harriste, Méthodiste-Unie, Royaume de Dieu, Témoins de Jéhovah, Baptiste, Assemblées de Dieu, Réveil, Foursquare, Evangelico, Montagne de feu...


=== Santé ===
=== Santé ===

Version du 12 juillet 2022 à 02:35

San-Pédro
Administration
Pays Drapeau de la Côte d'Ivoire Côte d'Ivoire
District Bas-Sassandra
Région Région de San-Pédro
Maire
Mandat
Anoble Miezan Félix
2018-2023
Démographie
Gentilé Pétrussiens
Population 277 070 hab. (2020[1])
Géographie
Coordonnées 4° 44′ 41″ nord, 6° 38′ 23″ ouest
Divers
Langue(s) parlée(s) Français, Kroumen, Bakwé
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Côte d'Ivoire
Voir sur la carte topographique de Côte d'Ivoire
San-Pédro
Géolocalisation sur la carte : Côte d'Ivoire
Voir sur la carte administrative de Côte d'Ivoire
San-Pédro

San-Pédro est une ville du Sud-Ouest de la Côte d'Ivoire. Chef-lieu de préfecture, elle est administrativement située dans la région de San-Pédro, district du Bas-Sassandra. La population est majoritairement d'ethnie Krou.

Géographie

Situation

La ville, située à 9°32 de latitude nord et 6°29 de longitude ouest (4° 51′ N, 6° 42′ O), fait partie du District du bas-Sassandra (anciennement la région du bas-Sassandra). Elle est située au bord de l'océan Atlantique, sur le golfe de Guinée, à 368 km d’Abidjan[2], capitale économique du pays, par la route communément appelée « La Côtière ».

Rose des vents Soubré Rose des vents
Harper, Tabou, Grand-Béréby N Sassandra
O    San Pédro    E
S
Golfe de Guinée

Climat et végétation

Le climat de la Côte d'Ivoire comporte deux zones bioclimatiques distinctes. Le sud est très humide et connaît quatre saisons (d'avril à la mi-juillet : grande saison des pluies; de la mi-juillet à septembre: petite saison sèche; de septembre à novembre: petite saison des pluies; de décembre à mars: grande saison sèche). Les températures varient de 20 à 33°[3],[4].

Relevé météorologique de San Pédro
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc.
Température minimale moyenne (°C) 23 23 24 24 24 23 22 22 23 23 23 23
Température moyenne (°C) 27 27 27 27 27 26 25 24 25 26 26 27
Température maximale moyenne (°C) 31 31 31 31 30 28 28 27 27 29 30 30
Nombre de jours avec précipitations 0 0 0 2 2 7 6 7 4 4 4 0
Source : GeographyIQ


Histoire

Les premiers Européens apparaissent dans le golfe de Guinée à la fin du XVe siècle. La région fut « découverte » par le Portugais Soeiro Da Costa, qui la baptisa du nom du saint patron du jour[5],[6].

Administration

La ville est le chef-lieu du District du bas-Sassandra (anciennement la région du bas-Sassandra) qui comptait 2 280 548 habitants lors du recensement de 2014[7].

Liste des maires successifs
Date d'élection Identité Parti Qualité Statut
1980 M. Kamano Kata François PDCI-RDA Homme politique élu
1985 M. Landry PDCI-RDA Homme politique élu
1990 Mme Grah Claire[Note 1] PDCI-RDA Femme politique élu
1995 M. Lucien Yébarth PDCI-RDA Homme politique élu
2001 M. Bouéka Nabo Clément RDR Homme politique élu
2013 M. Bouéka Nabo Clément RDR Homme politique élu
2018 M. Anoble Miezan Félix RHDP Homme politique élu

Le département comprend les sous-préfectures de Doba, Dogbo, Adjaméné, Gligbeuadji et Gabiadji.

Représentation politique

Députés de San-Pédro commune[8]
Date d'élection Identité Parti Qualité Statut
2016 Beugré Tétéako epse Inago RHDP Femme Politique Elue
2016 Anoble Miezan Félix RHDP Homme politique élu


Députés de San-Pédro sous-préfecture[8]
Date d'élection Identité Parti Qualité Statut
2011 Aka Hervé PDCI-RDA Homme politique élu

Services publics et parapublics

Parmi les services publics présents déployés, outre ceux de la municipalité, figure la brigade de la gendarmerie nationale.

Les services parapublics sont constitués par la Compagnie ivoirienne d'électricité - anciennement EECI ; la Poste de Côte d'Ivoire, la Société de distribution d'eau de la Côte d'Ivoire - SODECI -, l'Institut National de la Statistique (INS) et l’Agence nationale d’appui au développement rural (ANADER).

Population

Démographie

Lors du recensement de 2014, on y a dénombré 164 944 habitants[7].

La population autochtone est essentiellement Krou avec ses divers sous-groupes : les Winnin, les Bakwé[9] et les Piais. Elle a considérablement augmenté au cours des vingt dernières années en raison de l'afflux de réfugiés venus du Liberia et de la Sierra Leone, ainsi que d'une très forte communauté de pêcheurs Fantis venus du Ghana.

Évolution démographique
1975 1988 1998 2014
31 60670 601131 800164 944[7]

Éducation

Le département compte 533 écoles primaires, 2 établissements secondaires, 2 établissements secondaires techniques ainsi que de nombreux établissements enseignant en anglais destinées aux écoliers venus principalement du Ghana et du Liberia.

Langues

Depuis l'indépendance, la langue officielle dans toute la Côte d'Ivoire est le français. La langue véhiculaire, parlée et comprise par la majeure partie de la population, est le dioula mais la langue vernaculaire de la région est le Krou. Le français effectivement parlé dans la région, comme à Abidjan, est communément appelé le français populaire ivoirien ou français de dago[Note 2] qui se distingue du français standard par la prononciation et qui le rend quasi inintelligible pour un francophone non ivoirien. Une autre forme de français parlé est le nouchi, un argot parlé surtout par les jeunes et qui est aussi la langue dans laquelle sont écrits 2 magazines satiriques, Gbich! et Y a fohi. Le département de San-Pédro accueillant de nombreux ivoiriens issus de toutes les régions du pays, toutes les langues vernaculaires du pays, environ une soixantaine, y sont pratiquées ainsi que le Fanti du Ghana. On y pratique également beaucoup l'anglais en raison de la présence de nombreux ressortissants du Liberia, de Sierra Leone et du Ghana.

Lieux de culte

Parmi les lieux de culte, il y a principalement des églises et des temples chrétiens : Diocèse de San-Pédro en Côte d'Ivoire (Église catholique), Église méthodiste unie Côte d'Ivoire (Conseil méthodiste mondial), Union des Églises baptistes missionnaires en Côte d'Ivoire (Alliance baptiste mondiale), Assemblées de Dieu[10].

Santé

Le département compte un centre hospitalier régional, 25 formations sanitaires et plus d'une dizaine officines de pharmacie.

Économie

« San-Pédro est le deuxième pôle économique de la Côte d'Ivoire après Abidjan, devant Bouaké en raison de son port, mais également en raison de la présence de nombreuses usines opérant principalement dans l'industrie cacaoyère, dans la minoterie, le ciment et le domaine du bois. Le tourisme joue un rôle non négligeable dans l'économie de la ville et de la région du Bas-Sassandra. En 2010, son produit intérieur brut représentait 4 % du PIB de la Côte d'Ivoire soit 0,952 milliards de dollars, presque l'équivalent du PIB de la Guinée-Bissau[11]. »

Secteur primaire

Pêcheurs à San-Pédro.

De nombreuses cultures telles que l'hévéa, le palmier à huile, le cacaoyer, etc. enrichissent la région faisant de San Pédro une des villes les plus dynamiques du pays. La pêche est également une activité importante de la région.

Secteur tertiaire

Le port

Construit à partir de 1969, c'est le deuxième port du pays après celui d'Abidjan avec un domaine portuaire couvrant plus de 200 ha[12].

Il s'agit du premier port mondial pour les exportations de fèves de cacao : plus de la moitié de la récolte ivoirienne (1,8 million de tonnes) y transite. Depuis la tentative de coup d'État de 2002, le trafic n'a cessé de diminuer, passant de 1,16 million de tonnes à 998 000 tonnes en 2006, selon les chiffres officiels[13]. Mais en 2011, le port de San Pedro affiche une hausse fulgurante de 47 % de son trafic marchandises (1 800 000 t : performance jamais réalisée depuis 1971). C’est la première fois depuis la mise en service du port de San Pedro qu’un niveau de trafic global de marchandises de ce niveau est atteint. En 2012, le Port de San Pedro a excellé au niveau de son trafic avec un résultat de 3 230 398 tonnes contre 1 805 136 tonnes l’année précédente, réalisant ainsi une hausse de 79 %.

Transport aérien et terrestre

La ville de San Pédro dispose d'un aéroport (ICAO : DISP et IATA : SPY) qui place Abidjan à 1 h 30 de vol. San Pédro est relié aux autres villes par trois routes goudronnées en direction de Tabou, Soubré et Sassandra. Des autocars de différentes compagnies assurent le voyage régulier aller-retour de San Pédro vers les autres villes ivoiriennes. Les villes voisines (Sassandra, Gabiadji, Grand-Béréby) sont également reliées à San Pédro à l'aide de taxis brousse allant de 9 à 22 places assises qui ne partent que lorsque toutes les places sont occupées. En 2011, San Pédro est la seule ville ivoirienne après Abidjan à disposer de transports urbains gérés par une entreprise privée, la société des transports urbains de San Pédro (SOTUS)[14]. Mais l'exploitation est arrêtée en 2013 et les véhicules redéployés à Bouaké[15].

La ville de San Pédro n'échappe pas au syndrome des villes ivoiriennes s'agissant des voiries : peu de voies sont bitumées, les routes sont souvent en latérite. Dans cette région du monde, le coût d'un kilomètre de bitume est en moyenne estimé à 100 millions de Francs CFA, soit environ 152 500 euros.

Banques

La quasi-totalité des établissements du réseau bancaire ivoirien est représenté à San-Pédro : SGBCI, BICICI, BNI (Banque Nationale d’Investissement), NSIA Banque (EX BIAO), BACI, BOA, Coris Bank International, Ecobank, SIB, BCEAO (Banque Centrale des États de l’Afrique de l’Ouest), CECP (Caisse d’Épargne et de Chèques Postaux), COOPEC (Coopérative d’Épargne et de Crédit), DBank(Diamond Bank), UBA.

Commerce

La ville de San-Pédro dispose de plusieurs centres commerciaux et espaces de vente. Elle compte deux grands marchés à usage public, l'un au quartier Cité et l'autre au quartier Bardot, le plus grand et le plus fréquenté étant situé dans le centre-ville. Presque tous les quartiers à forte concentration humaine disposent un espace commercial pour le besoin des populations qui n'ont pas toujours le temps de rallier les deux grands marchés. La ville compte aussi de nombreux supermarchés.[évasif]

Tourisme

De nombreux hôtels sont sortis de terre à San Pédro depuis l'indépendance de la Côte d'Ivoire.

Les plages attirent des visiteurs. La barre, phénomène qui interdit la baignade sur quasiment tout le golfe de Guinée, y est inconnue[16]. Les plages de la station balnéaire de Grand-Béréby, proche de San-Pédro, sont accessibles par la route en moins d'une heure.

Culture

Depuis 2015 se tient à San-Pedro le Festival artistique dit « Bollo Carnaval »[17],[18] où se produisent « une gamme d’artistes originaires de San-Pédro [qui] prenant part à ce gigantesque festival artistique, culturel et touristique de la deuxième ville portuaire de la Côte d’Ivoire […] mettent en lumière les atouts touristiques et culturels d’une région habitée par les peuples Kroumen, Wainé, Bakwé[19]… »

  • Le festival de Saint pierre ainsi que la color beach le plus grand festival balnéaire de toute la côte d'Ivoire, qui s'y tient depuis maintenant 3 ans sur les belles plages de San pedro.

Sports

Les compétitions sportives se déroulent exclusivement dans le chef-lieu du département, les autres localités ne disposant d'aucune infrastructure dédiée : la ville dispose de plusieurs clubs de football dont le Séwé Sports, finaliste en 1999 et 2005 de la Coupe de Côte d'Ivoire de football et vainqueur en 2006 de la Coupe Félix-Houphouët-Boigny, qui évolue en MTN Ligue 1.

L' AS Sempa de San-Pédro, le COSAP de San Pedro et le FC San Pedro évoluent en Championnat National de 3e division. Ils disputent leurs matchs sur le terrain du stade Auguste Denise doté de 8 000 places. Un autre club, le Siroco de San Pedro, évolue en championnat de division régionale, équivalent d'une 3e division[20].

Comme dans la plupart des villes du pays, il est organisé, de façon informelle, des tournois de football à sept joueurs qui, très populaires en Côte d'Ivoire, sont dénommés Maracanas.

Le handball est également pratiqué, particulièrement par les filles, élèves du lycée de la ville, ce sport étant très populaire dans le pays depuis les bons résultats de l'équipe nationale au niveau continental, victorieuse à deux reprises de la Coupe d'Afrique.

Le Séwé Sports compte également une équipe de basket-ball qui évolue en championnat de 1re division.

Voir aussi

Bibliographie

Essais

  • Georges Courrèges, Grand Bassam et les comptoirs de la côte : Assinie, Jacqueville, Grand Lahou, Fresco, Sassandra, San Pedro, L'Instant durable, Clermont-Ferrand, 1987, 84 p.
  • Collectif, San Pedro : Pole de développement du sud-ouest ivoirien
  • O. Schwartz, « Krou et Bakwe face à l'opération San Pedro (sud-ouest ivoirien)», in Maîtrise de l'espace agraire et développement en Afrique tropicale : logique paysanne et rationalité technique : actes du Colloque de Ouagadougou, 4-, ORSTOM, Paris, 1979, p. 491_496 (ISBN 2-7099-0556-6)

Romans

Article connexe

Liens externes

Notes et références

Notes

  1. Mme Grah Claire avait quitté le PDCI-RDA pour rejoindre le RDR. Elle est décédée en 2005
  2. Si, à Abidjan et dans le nord, on parle de français de Moussa, dans l'ouest du pays, on parle de français de Dago

Références

  1. [1]
  2. « Conseil Régional de San Pedro », Direction générale de la décentralisation et du développement local, Ministère de l'intérieur et de la sécurité (Côte d'Ivoire)
  3. (fr) Le climat de la Côte d'Ivoire sur Côte d'Ivoire Tourisme
  4. Climat : la Côte d'Ivoire peut être divisée en deux zones climatiques
  5. Frédéric Grah Mel, Félix Houphouët-Boigny, l'épreuve du pouvoir, Karthala, , p. 432
  6. Joseph Savès, « Côte d'Ivoire. Le rêve fracassé d'Houphouët-Boigny », sur herodote.net,
  7. a b et c Côte d’Ivoire : Les résultats du recensement de 2014.
  8. a et b « Liste complète des 255 députés », sur Site officiel de l'Assemblée nationale de Côte d'Ivoire (consulté le )
  9. Carole Gnoka, « Tourisme : zoom sur la ville de San Pedro », Sans Pedro News,
  10. J. Gordon Melton, Martin Baumann, ‘‘Religions of the World: A Comprehensive Encyclopedia of Beliefs and Practices’’, ABC-CLIO, USA, 2010, p. 811-812
  11. « San Pedro un véritable poids dans l’économie de la Côte d’Ivoire », sur sanpedronews.ci,
  12. Super User, « CBM Voyages Ivory Coast - San Pedro », sur cbmvoyages-ci.com (consulté le ).
  13. « Port de San-Pedro (Sud-ouest ivoirien): le trafic de marchandises en transbordement estimé à plus de 2 millions de tonnes en 2015 », Abidjan.net,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  14. « Côte d'Ivoire : des bus qui changent la vie de 500 000 habitants à San Pedro », Jeune Afrique,‎ (lire en ligne)
  15. « Transports urbains de San Pedro : grandeur et décadence de la SOTUS », sur avenue225.com,
  16. « La région de San Pedro », sur www.cotedivoiretourisme.ci (consulté le )
  17. Charles Hine, « Côte d'Ivoire - Bientôt le Festival "Bollo Carnaval" de San Pedro », sur africactu.com,
  18. « Côte d'Ivoire. Culture. 4e édition du Bollo Carnal », sur ivoirpress.net, (consulté le )
  19. Marcel Hollay, « Bollo Carnaval 2016 : une gamme d'artistes originaires de San-Pédro annoncée », sur afriquematin.net,
  20. Championnat de Football de Côte d'Ivoire

Sur les autres projets Wikimedia :