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Version du 14 décembre 2018 à 13:04

Basville
Basville
Mairie de Basville.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Creuse
Arrondissement Aubusson
Intercommunalité Communauté de communes Marche et Combraille en Aquitaine
Maire
Mandat
Daniel Ferrier
2014-2020
Code postal 23260
Code commune 23017
Démographie
Population
municipale
168 hab. (2021 en évolution de +3,7 % par rapport à 2015)
Densité 7,4 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 52′ 20″ nord, 2° 23′ 52″ est
Altitude Min. 675 m
Max. 826 m
Superficie 22,57 km2
Élections
Départementales Auzances
Localisation
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Basville
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Basville
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Basville

Basville est une commune française située dans le département de la Creuse en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie

Commune à l'est du département de la Creuse, dans le canton de Crocq, limitrophe du département du Puy-de-Dôme (commune de Giat). Les principales activités y sont l'élevage et le bois (avec une scierie). Plusieurs rivières, la Tardes, le Chavanon et le Tix, traversent la commune[1]. La Tardes y prend d'ailleurs sa source.

La commune fait partie du parc naturel régional de Millevaches en Limousin.

Hameaux de la commune

  • Beaume
  • Dimpoux
  • Lachaud (village détruit, à côté de l'étang du même nom)
  • La Gorsse (hameau détruit de la paroisse de Saint-Alvard)
  • La Mazerette
  • La Mazière aux Picauds
  • La Prugne (village détruit)
  • Larfeuille
  • Laudeux-Couturier
  • Laudeux-Piatoux
  • Lavaudemergue (Lavaud de Mergue, dispose d'un souterrain inexploré)
  • La Vilatte
  • Le Chez (Le Chier en 1713)
  • Le Layrit
  • Le Moulin de Basville
  • Le Rondet (village détruit)
  • Les Chaumettes
  • Les Farges
  • Les Huillards
  • Pompignat
  • Pompignaguet
  • Pindogne
  • Pompignat
  • Saint-Alvard

Toponymie

Le nom de Basville est attesté sous la forme Basvila en 1373, Bassavilla en 1392.

Il s'agit d'une formation médiévale en -vil(l)a « domaine rural, village », précédée de l'adjectif féminin auvergnat bassa « basse » et de vila « village »[2] ou d'un nom de personne germanique comme c'est plus généralement le cas pour ce type de formation toponymique, ici peut-être Baso, d'où le sens global de « ferme de Baso »[3]. Remarque : Les formations anciennes en -ville (autrement -viale, -vielle, -fielle) sont rares dans le domaine de la langue d'oc, sauf autour de Toulouse.

Le territoire de la commune

La commune de Saint-Alvard est rattachée à Basville par ordonnance royale du [4]. La commune de La Villeneuve est détachée de la commune de Basville le en raison de sa « garnison »[5],[6] — elle dispose d'une brigade de gendarmerie et d'un relais de poste entre Angoulême et Lyon[7]. Le , un décret retire à La Villeneuve les hameaux des Huillards et de Pindogne, qui sont réunis à la commune de Basville[8].

Histoire

Moyen Âge et époque moderne

Avant la Révolution, la paroisse de Basville faisait partie du Franc-Alleu et de l'élection de Combrailles[9]. De même, le prieuré appartenait à l'archiprêtré d'Herment et dépendait de l'abbaye des bénédictins de Saint-Alyre, à Clermont-Ferrand. Plusieurs noms de prieurs nous sont connus : Jean Bel (1278), Guillaume Mazier (1399), Jean Molle (1499), Nicolas Bruxe (1525), Antoine Bompard, moine de Saint-Alyre (1790). Parmi les vassaux du chapitre d'Herment, on signale le « mas de Prugne », dans la paroisse de Basville, possédé en 1350 par Hugues et Guillaume Roger, bourgeois d'Herment, et le « mas de la Gorsse », avec son étang et son moulin, dans la paroisse de Saint-Alvard, dont Pierre Roger est le seigneur en 1333, Pierre de Courtes en 1350[10].

En 1357-1358, le revenu fiscal était, dans le prieuré de Basville, de 60 livres tournois, pour un revenu brut évalué au XVe siècle à 93 livres tournois[11]. Dans les années 1358-1368, le montant de la dîme s'élevait en moyenne, dans la paroisse de Saint-Alvard, à 70 setiers, contre 31 setiers pour la taille royale — en adoptant comme valeur du setier 15 sous, valeur moyenne pour la seconde moitié du XVe siècle[12]. Parmi les impôts seigneuriaux, on signale à la fin du Moyen Âge et au début de l'époque moderne, un droit de « nopces » à « Arfeuille » (Larfeuille). De même, les habitants des Huillards devaient aller faire cuire leur pain au four banal de La Villeneuve, dépendance de la baronnie de Crocq ; d'après le terrier de 1521, ils ont racheté ce droit — qui représente une charge assez lourde — en payant 1 setier de seigle par an, un « chiffre relativement élevé par rapport à leur redevance totale »[13].

Lors de la fondation de la chapelle Sainte-Magdeleine de l'église d'Herment, en 1290, une rente fut assignée pour la desservir sur le village du Leyrit (Le Layrit)[14]. Une petite seigneurie, peut-être détachée d'Herment, y fut créée ; son revenu était évalué à 30 livres en 1551[15]. Propriété des marquis de Lestrange au XVIIe et au XVIIIe siècle[16],[17], elle fut vendue avant le 33 000 livres à Gaspard de Courtille[18].

Époque contemporaine

En 1789, Basville fait partie des possessions de la famille du marquis Léonard d'Ussel[19], baron de Châteauvert et de Crocq.

Sous la Révolution, Basville prend le nom de Liberté-sur-Cher, à la suite du décret de la Convention nationale du 25 vendémiaire an II ()[20],[21] « relatif aux changements de noms de différentes communes »[22]. En 1801, elle a retrouvé son nom originel[23].

À la fin du XIXe siècle, la société Chapal crée une usine spécialisée dans le traitement des peaux de lapin au lieu-dit Le Point du jour, dans la commune de Crocq ; les responsables de cette entreprise bâtissent des maisons bourgeoises dans le bourg de Basville, tandis que les ouvriers logent à Crocq[24],[25].

Migrations

La commune a participé au phénomène des maçons de la Creuse, comme en témoigne le cas de Pierre Meyrand, « maçon l'été et scieur de bois à l'occasion pendant l'hiver », qui parcourt le Périgord pendant six ans au XVIIIe siècle[26], ou celui de Jean Ramet, « forgeur » en 1836, « maître-maçon » en 1838, « entrepreneur » en 1843, et de Pierre Ramet, « maître-maçon », « entrepreneur de bâtiment » et « entrepreneur de travaux publics » en 1840, à Saint-Bonnet-le-Château[27].

Enseignement

En 1833, la loi Guizot organise l'enseignement primaire. Le , le conseil académique de Limoges décerne à l'instituteur de la commune de Basville, M. Dumazet, une « mention honorable » pour s'être distingué dans l'exercice de ses fonctions[28].

Politique et administration

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001 mars 2014 Alain Pigeon [29] DVG[30]  
mars 2014 En cours Daniel Ferrier SE Retraité Fonction publique
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

Basville comptait 39 feux en 1357, 131 en 1750, 140 en 1764[9].


L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[32].

En 2021, la commune comptait 168 habitants[Note 1], en évolution de +3,7 % par rapport à 2015 (Creuse : −3,87 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
7837811 0901 1029579651 1801 1961 212
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 1441 0621 093744704707682719657
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
601666673566547517490446366
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
323306300274224195184181174
2015 2020 2021 - - - - - -
162167168------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments

Vestiges antiques

  • Le dolmen d'Urbe, dans le bois d'Urbe, à mi-chemin entre le village de Laval, dans la commune de Crocq, et le hameau de Dimpoux, dans la commune de Basville. Bien que la commune de Crocq le considère quelquefois comme faisant partie de son patrimoine, il est en fait situé dans la commune de Basville, et plus particulièrement sur le territoire de l'ancienne commune de Saint-Alvard. Ce dolmen était communément désigné dans le pays sous le nom de « la Pierre levée ». Le premier à l'avoir décrit, Jean-François Barailon l'a présenté dans ses Recherches sur plusieurs monuments celtiques et romains (1806, p. 46) comme le tombeau d'un général gaulois. De forme ovalaire, il est formé d'une table en granulite de forme hexagonale de 3 mètres de long sur 2,40 mètres de large et repose sur 7 supports plus ou moins déplacés de 1,15 à 1,25 mètre de hauteur sur 0,5 à 1 mètre de largeur, la chambre, plus basse que le sol environnant, étant de 1,25 mètre de hauteur[35],[36]. Les jeunes filles qui voulaient se marier dans l'année se jetaient du haut dolmen pour être sûres d'en trouver un[37].
  • Un four de potier gallo-romain à La Vilatte[38].

Édifices religieux

L'église Sainte-Anne.
  • Église romane de Saint-Alvard, donnée en 1249 au chapitre d'Herment, qui en a nommé le curé jusqu'en 1789. La paroisse de Saint-Alvard a été réunie à celle de Basville le .
  • Église Sainte-Anne, datant du XIIe siècle et remaniée au XVe siècle, dans le bourg. On connaît plusieurs de ses curés : Pierre du Chier en 1625, Jacques Labas en 1641, Gorsse en 1687, Chinchaux en 1710. En 1641, il y avait une communauté de cinq prêtres. Deux tabernacles ont fait l'objet de descriptions[39]. Elle a été inscrite aux monuments historiques par arrêté du [40]. Cette église a la particularité d'avoir son chœur orné d'une mosaïque de Nevers réalisée aux environs de 1910. Elle abrite également un baptistère monolithe. De fouilles archéologiques entreprises au début des années 2000 ont révélé, de chaque côté de l'église, des tombes constituées de sarcophages mérovingiens (actuellement enfouis).

Édifices et monuments civils

  • Jean-François Barailon signale une pyramide de quatre mètres de haut « parfaitement taillée » au-dessus de la source de la Tardes, au hameau de Lavaudemergue[41].
  • Le château de Basville[42].
  • Le château du Layrit[43].
  • Plusieurs moulins à eau.
  • Un souterrain-refuge est signalé au hameau de Lavaudemergue[44].
  • Le monument aux morts, comprenant 22 noms de soldats tués durant la Première Guerre mondiale[45].

Personnalités liées à la commune

Voir aussi

Notes et références

Notes

  1. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

  1. Village de Basville sur Annuaire-maire.fr
  2. Ernest Nègre, Toponymie Generale de la France, Librairie Droz, 1990, p. 1432 (ISBN 2600028846).
  3. Marcel Villoutreix, Noms de lieux du Limousin, Christine Bonneton, 1995, 231 pages, p. 64-65 (ISBN 2862531650).
  4. Christian Poitou, Jean-Pierre Bardet, Claude Motte, Creuse, vol. 23 de Paroisses et communes de France: dictionnaire d'histoire administrative et démographique, CNRS Éditions, 2000, 865 pages, p. 249 (ISBN 2271057612).
  5. Christophe Jamain, Le Département de la Creuse: ses origines et sa pérennité, Presses universitaires de Limoges, 2000, 254 pages, p. 188 (ISBN 284287160X).
  6. Bulletin des lois de l'Empire français, vol. 29, Imprimerie nationale, (lire en ligne), « Décret impérial n°15 019 du  », p. 407.
  7. P.-M. Barbichon, Dictionnaire complet de tous les lieux de la France et de ses colonies: Ouvrage entièrement neuf, vol. 2, Paris, Tétot frères, (lire en ligne), p. 1048.
  8. Christian Poitou, Jean-Pierre Bardet (dir.) et Claude Motte (dir.), Paroisses et communes de France, vol. Creuse, CNRS Éditions, , 865 p.
  9. a et b Jean-Joseph Expilly, Dictionnaire géographique, historique et politique des Gaules et de la France, vol. 2, Desaint et Saillant, (lire en ligne), p. 398.
  10. Ambroise Tardieu, Histoire de la ville du pays et de la baronnie d'Herment, en Auvergne, Clermont-Ferrand, Charles Estienne, (lire en ligne), p. 90.
  11. Pierre Charbonnier, « L'impasse fiscale à la fin du Moyen Âge. Quelques exemples », Actes des congrès de la Société des historiens médiévistes de l'enseignement supérieur public, vol. 28,‎ , p. 185 (l'article va de la p. 173 à la p. 186) (lire en ligne)
  12. Pierre Charbonnier, Michel Aubrun Aubrun (dir.), Gabriel Audisio Audisio (dir.), Bernard Dompnier (dir.) et André Gueslin (dir.), Entre idéal et réalité : actes du colloque international finances et religion du Moyen Âge à l'époque contemporaine, Université de Clermont-Ferrand II, Presses universitaires Blaise Pascal, , 419 p. (lire en ligne), « Les prélèvements ecclésiastiques à la fin du XVe siècle », p. 126-127.
  13. Pierre Charbonnier, Une autre France: la seigneurie rurale en Basse Auvergne, du XIVe au XVIe siècle, Institut d'études du Massif central, , 1295 p., partie 2, p. 690 et 699.
  14. Ambroise Tardieu, Histoire de la ville du pays et de la baronnie d'Herment, en Auvergne, Clermont-Ferrand, Estienne, (lire en ligne), p. 63.
  15. Pierre Charbonnier, Une autre France: la seigneurie rurale en Basse Auvergne, du XIVe au XVIe siècle, Institut d'études du Massif central, , 1295 p., partie 2, p. 1230.
  16. Jean-Baptiste Bouillet, Nobiliaire d'Auvergne, vol. 3, Clermont-Ferrand, Imprimerie de Perol, (lire en ligne), p. 400-402.
  17. Pierre-Louis-Joseph Bétencourt, Noms féodaux ou noms de ceux qui ont tenu fiefs en France dans les provinces d'Anjou, Aunis, Auvergne, Beaujolois, Berry, Bourbonnois, Forez, Lyonnois, Maine, Saintonge, Marche, Nivernois, Touraine, Partie de l'Angoumois et du Poitou, depuis le XIIe siècle jusque vers le milieu du XVIIIe, extraits des archives du royaume, vol. 3 : « Jab-Quo », Paris, Librairie de Schlesinger frères, (lire en ligne), p. 38
  18. Michel Peynot, Marcillat et ses environs, Honoré Champion, , 587 p., p. 499
  19. Abbé Sorbier, « Les fiefs d'Auvergne et du Velay », Revue historique nobiliaire et biographique, Paris et Angers, J. B. Dumoulin,‎ , p. 346 (lire en ligne)
  20. Christian Poitou, Jean-Pierre Bardet (dir.) et Claude Motte (dir.), Paroisses et communes de France, vol. Creuse, CNRS Éditions, , 865 p., p. 143.
  21. « Les communes qui ont changé de nom à la Révolution »
  22. Collection complète des lois, décrets d'intérêe général, traités internationaux, arrêtés, circulaires, instructions, etc., vol. 6, A. Guyot et Scribe, libraires-éditeurs, (lire en ligne), p. 233
  23. « Relevés imprimables : état civil, actes notariés, dénombrements de Basville, sur gendep23 »
  24. « Hervé Moisan, « Cause communes : Basville l'Auvergnate ne se remet pas de la fermeture des usines de peaux », dans lamontagne.fr, 5 octobre 2010 »
  25. « Fernoël et la pelleterie », tiré de Charles Rouchon, « L'Émigration, étude », Revue d'Auvergne, vol. 63, nos 5-6,‎ .
  26. Annie Moulin, Les Maçons de la Creuse: les origines du mouvement, Presses universitaires Blaise Pascal, , 564 p. (lire en ligne), p. 37.
  27. Gérard Berger et Philippe Castagnetti (dir.), Images et pratiques de la ville (vers 1500-vers 1840), Publications de l'université de Saint-Étienne, , 217 p. (lire en ligne), « Petite ville et croissance urbaine: l'immigration à Saint-Bonnet-le-Château (Loire) d'après les registres paroissiaux et d'état civil (fin du XVIIIe siècle - début du XIXe) », p. 119.
  28. Bulletin universitaire contenant les décrets, règlements et arrêtes relatifs a l'instruction publique, vol. 11, Paris, Imprimerie administrative de Paul Dupont et Cie, (lire en ligne), p. 36.
  29. Préfecture de la Creuse
  30. Annuaire des Mairies de Creuse (23), EIP/Les Éditions Céline, 2006, p. 21 (ISBN 2352581230).
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  35. Mémoires de la Société des sciences naturelles et archéologiques de la Creuse, Imprimerie Le Cante, 1930, volume 24, p. 706.
  36. De Cessac, « Liste des monuments mégalithiques de la Creuse » (p. 41-55), Revue archéologique, Société française d'archéologie classique, 1881, nouvelle série, A22, volume 42, p. 45-46.
  37. Salomon Reinach, « Les monuments de pierre brute dans le langage et les croyances populaires (suite et fin) » (p. 329-367), Revue archéologique, 1893, série 3, tome 21, p. 337.
  38. « Fichier céramique (1966 et 1967 fin) », Revue archéologique du Centre de la France, vol. 7, nos 7-47,‎ , p. 366 (l'article va de la p. 363 à la p. 367) (lire en ligne)
  39. S. de Montessus de Ballore Lecointre, Retables et tabernacles des XVIIe et XVIIIe siècles dans les églises de la Creuse, Nouvelles Éditions Latines, , 213 p. (lire en ligne), p. 32-33
  40. « Fiche de l'église paroissiale Saint-Allyre Sainte-Anne de Basville, sur culture.gouv.fr »
  41. Mythologie française: bulletin de la Société de mythologie française, Société de mythologie française, , chap. 226 à 229, p. 73.
  42. « Carte postale du château de Basville (1908) »
  43. « Carte postale du château du Layrit (1919) »
  44. Bulletin de la Societe d'etudes scientifiques du Limousin et de sa Section de radiesthésie, Limoges, Société d'études scientifiques du Limousin, , chap. 145 à 192, p. 328.
  45. « Monument aux morts de Basville », sur MemorialGenWeb.org


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