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'''Strazeele''' (''Strazele'' en [[néerlandais]]) est une [[commune (France)|commune française]], située dans la région flamande en [[Région française|région]] [[Hauts-de-France]].
'''Strazeele''' (''Strazele'' en [[néerlandais]]) est une [[commune (France)|commune française]], située dans le département du Nord en [[Région française|région]] [[Hauts-de-France]].


== Origine du nom ==
== Origine du nom ==

Version du 22 juillet 2017 à 19:09

Strazeele
Strazeele
Vue sur le village de Strazeele (Nord, France)
Blason de Strazeele
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Dunkerque
Intercommunalité Communauté de communes de Flandre intérieure
Maire
Mandat
Élisabeth Gressier
2014-2020
Code postal 59270
Code commune 59582
Démographie
Gentilé Strazeelois
Population
municipale
955 hab. (2014)
Densité 204 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 43′ 39″ nord, 2° 37′ 55″ est
Altitude Min. 17 m
Max. 61 m
Superficie 4,69 km2
Élections
Départementales Bailleul
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Strazeele
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Strazeele
Géolocalisation sur la carte : Nord
Voir sur la carte topographique du Nord
Strazeele
Géolocalisation sur la carte : Nord
Voir sur la carte administrative du Nord
Strazeele
Liens
Site web http://strazeele.info/

Strazeele (Strazele en néerlandais) est une commune française, située dans le département du Nord en région Hauts-de-France.

Origine du nom

En 875, Stratsele, en 1160, Stracelle. Fondation des Francs-Saliens, le terme "straat" signifie route et "zeele" la maison, maison sur la route[1] .

Ce village a été construit sur la voie romaine Cassel, Caëstre, Estaires, La Bassée, Arras.

Géographie

Strazeele dans son canton et son arrondissement

Situation

Strazeele se trouve à mi-distance entre Hazebrouck et Bailleul.

Communes limitrophes

Communes limitrophes de Strazeele
Caëstre Flêtre
Pradelles Strazeele Merris
Vieux-Berquin

Particularité : le centre du village est partagé entre Merris, Méteren, Flêtre et, bien sûr, Strazeele.

Communications

Strazeele est une commune très bien desservie, elle est concernée par de nombreux axes de transit.

Les routes

La commune est desservie par la ligne Lille-Hazebrouck continuant vers Calais et Dunkerque. (voir Gare de Strazeele)

Histoire

Héraldique

Les armes de Strazeele se blasonnent ainsi : De gueules à la bande d'or, accompagnée de six étoiles à six rais du même, mises en orle.

Politique et administration

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1800 novembre 1815 Nicolas Joseph Vanneufville    
avril 1816 Auguste Becue    
décembre 1831 Livin Maerten    
janvier 1842 Beronie Creton    
septembre 1865 Jean Dominique Ruckecbusch    
février 1867 Jean-Baptiste Bouquet    
août 1892 Charles Deswarte    
mai 1910 Gaston Taccoen    
juin 1912 Henri Delanghe    
décembre 1919 Benoît Ruckebusch    
mai 1925 Joseph Thooris    
décembre 1943 Jean-Baptiste Tancré    
mai 1945 Jérémie Huyghe   Premier Adjoint faisant fonction de maire
1971 Jérémie Huyghe    
1983 Joseph Bauet    
2008 Jean Becuwe    
mars 2014 Elisabeth Gressier-Kesteloot    
En cours Elisabeth Gressier-Kesteloot    

Population et société

Démographie

Évolution démographique

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[2]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[3],[Note 1].

En 2014, la commune comptait 955 habitants, en évolution de +40,86 % par rapport à 2009 (Nord : +1,23 %, France hors Mayotte : +2,49 %).

           Évolution de la population  [modifier]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
539558596497602576560559558
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
550584578607615630593571544
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
586628638514523478508453465
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2008 2013 2014
483521505601644681677954955
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[4] puis Insee à partir de 2006[5].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

Pyramide des âges à Strazeele en 2007 en pourcentage[6].
HommesClasse d’âgeFemmes
0,3 
90 ans ou +
0,3 
2,7 
75 à 89 ans
4,4 
8,9 
60 à 74 ans
9,4 
23,7 
45 à 59 ans
23,2 
22,6 
30 à 44 ans
23,2 
20,8 
15 à 29 ans
17,6 
21,1 
0 à 14 ans
21,8 
Pyramide des âges du département du Nord en 2007 en pourcentage[7].
HommesClasse d’âgeFemmes
0,2 
90 ans ou +
0,7 
4,6 
75 à 89 ans
8,2 
10,4 
60 à 74 ans
11,9 
19,8 
45 à 59 ans
19,5 
21,0 
30 à 44 ans
19,9 
22,5 
15 à 29 ans
20,9 
21,5 
0 à 14 ans
18,9 

La population est relativement jeune, environ 60 % des habitants de la commune ont moins de 39 ans. En 1999, 27,7 % des habitants ont entre 0 et 19 ans, 31,7 % entre 20 et 39 ans, 23,6 % entre 40 et 59 ans, 12,5 % entre 60 et 75 ans et 4,7 % ont 75 ans et plus.

Lieux et monuments

  • Présence d'une ancienne motte féodal, édifice fortifié, ferme ROOSES, inscrit au Monuments historiques le 03/07/1979 dont la trace a disparu après son arasement.
  • Église saint Martin, architecture flamande d'après-guerre, retournement de l'édifice à sa reconstruction (chœur orienté à l'Ouest plutôt qu'à l'Est), vitraux remarquables offerts par des strazellois, statue "miraculeuse" de Notre Dame de Consolation et de Délivrance.
  • Une stèle commémore un fait de la guerre 1914-1918.Le 9 octobre 1914, l'Abbé Bogaert, curé de Pradelles, fut fusillé par les uhlans, à proximité de l'église Saint-Martin.
  • Une chapelle (privée et non entretenue par les propriétaires) dédiée à Jean-Marie Vianney, curé d'Ars sur la route d'Hazebrouck en direction de Bailleul (face au château d'eau), située à l'entrée d'une ancienne ferme. Construite en 1932, son architecture flamande est remarquable. Restaurée en 2009 par Bernard Paccou. Bien qu'à proximité du centre du village, cette chapelle se situe sur le territoire communal de Méteren.

Le village fut entièrement rasé par les combats d'avril 1918.

Personnalités liées à la commune

  • Pierre Pintaflour, né à Strazeele en 1502, fut évêque de Tournai de 1575 à 1580. Professeur de philosophie, puis de droit civil et de droit canon dans la même université, il se marie et quitte l'université pour le barreau. Après la mort de son épouse, il est ordonné prêtre à l'âge de 50 ans. En 1575, il est nommé évêque de Tournai. Il meurt en 1580 après 5 ans d'épiscopat[8].
  • Jean Strazel ou Jean Strazeele, fut un helléniste distingué. Pendant 26 ans, il occupa une chaire de grec au collège de Cambrai. On a de lui un remarquable ouvrage de Pythagore, Auréac Carmin Pythagora[8].
  • Maurice Hamy, chef de gare, Bénoni Lefebvre, homme d'équipe, et Jacques Dambrine : héros de la résistance de la Deuxième Guerre mondiale. Stèle érigée par la SNCF au lieu-dit la Gare, au niveau de la halte SNCF.
  • Les abbés Woets, Tottelet et Morel

Enseignement

Strazeele dispose d'une école publique mixte (appelée "École Publique du Petit Mont") comprenant trois classes de cours élémentaire et deux classes enfantines. La commune comprend également une cantine. Les enfants scolarisés dans le second cycle disposent du ramassage scolaire. Le lycée le plus proche se trouve à Hazebrouck à environ 8 kilomètres.

Activités au sein du village

  • Activités sportives
    • Hip Hop
    • Cardio/Renforcement
    • Zumba
    • Club de ping pong.
    • Club de Badminton
  • Bibliothèque.
  • Club pour les ainés (tous les 15 jours le mardi après-midi).

Histoire fondatrice

Notre-Dame de Consolation et de Délivrance

L'origine du culte de Notre-Dame de Consolation et de Délivrance est retranscrite dans le livret de Neuvaine du 2 au 11 février 1935, par l'abbé Joseph WOETS, curé de Strazeele.

Par Jean-François BECK, petit-fils du frère de l'abbé Joseph Woets.

Origine du culte : le Chevalier aveugle

Notre-Dame de Strazeele apparaît dans l'histoire religieuse de la Flandre, vers le milieu du IXe siècle. À cette époque, le Seigneur du lieu, gardien de la Steenstraet (voie de pierres qui allait de Cassel au Pont d'Estaires), aurait présenté lui-même la Madone à la piété des habitants de la région. Atteint de cécité, il était surnommé "le chevalier aveugle".

La légende raconte que la Sainte Vierge lui apparut pour lui indiquer le moyen de recouvrer la vue: " À quelque distance de ton château, lui dit-elle, dans le bois voisin, trois vierges gisent à terre ; des brigants les ont assassinées ; leur sang coule encore... Va, mon fils, trempe ton doigt dans le sang de ces martyres ; frotte tes yeux avec ce sang, tu sera guéri... Des oiseaux te conduiront auprès des cadavres".

Ces trois vierges, princesses saxonnes, connues sous les poétiques noms d'Edith, Elfrides et Sabina, avaient quitté leur patrie pour se rendre en pèlerinage à Rome. Elles furent assassinées près de l'endroit où devait s'élever le village de Caëstre, vers 850.

Le chevalier aveugle commande à son écuyer de seller son cheval. En mettant le pied à l'étrier, un essaim d'oiseaux se serait regroupé autour de lui et de son escorte, lui servant d'éclaireurs jusqu'à l'orée d'une clairière située sur le futur emplacement de Caëstre, où il découvrit les cadavres des trois vierges. Le chevalier s'agenouille auprès d'elles et fait le geste que lui a recommandé la Madone, et la légende veut qu'il ait recouvert soudainement la vue.

Ayant baisé avec respect les blessures saignantes des saintes victimes auxquelles il doit sa guérison, il lève ensuite les yeux vers le ciel pour remercier la vierge Marie. Mais, tandis qu'il fixe le ciel, une lumière étincelante resplendit au-dessus de sa tête. D'un nuage d'or, la Madone s'avance, souriante, maternelle, les pieds posés sur un croissant argenté. Elle soutient l'Enfant Jésus du bras droit; Elle étend le bras gauche dans la direction du chevalier. Des anges l'entourent. Le Seigneur de Strazeele, émerveillé de cette seconde apparition, laisse éclater sa reconnaissance et promet de bâtir, à l'endroit où il se trouve, une chapelle qui sera le tombeau des trois vierges et l'ex-voto du miraculé.

Cette légende fondatrice du sanctuaire actuel de Caestre est représentée par les nombreuses peintures qui l'ornent le sanctuaire. Celles-ci ont été restaurées dans les années 2000. Le Seigneur de Strazeele est représenté sur les deux dernières. La première représente une clairière. Au centre, raidies par la mort, les Vierges, Edith, Elfride et Sabina. À gauche, le chevalier aveugle est debout, mains jointes; à droite, se tient la Madone. Les oiseaux conducteurs sont représentés dans l'horizon. La deuxième peinture représente la scène du miracle : le chevalier a passé sur les paupières son doigt teint du sang des martyres.

M. l'abbé Vanhove suggère que le chevalier érigea, sur ses domaines, un oratoire destiné à rappeler le souvenir de sa bienfaitrice. Cette légende merveilleuse est rappelée chaque année, à Caestre, par le jour de la procession. Elle est également représentée à l'avers de la précieuse médaille du Musée de Lille[9].

Le Culte à travers les âges : la Statue - la Neuvaine - la Confrérie

Les sources historiques permettant de retracer l'évolution du culte au cours des âges sont rares. La première constatation officielle du culte de Notre-Dame de Strazeele date de la fin du XVe siècle.

Le révérent père Malbrancq affirme qu'il a lu un document d'une authenticité et d'une importance incontestables, sur un acte rédigé en 1493 portant la signature de plusieurs notabilités de Caestre et transcrit aux archives de l'Évêché d'Ypres (La Flandre dépendait alors de l'évêque d'Ypres). Cet acte, qui relate les miracles obtenus grâce à l'intercession de Notre-Dame de Caestre, mentionne, d'une façon explicite, le culte rendu à Notre-Dame de Strazeele par les descendants des vassaux du chevalier aveugle.

Quelques témoignages datant de la période de la guerre des « gueux » au XVIe siècle portent sur le culte. Le 26 mai 1568, la cour féodale de Steenvoorde condamnait à « être exécuté par la corde » un briseur d'image, Jean de Rycke. Aux motifs, qui légitimaient la sentence, le tribunal ajoutait ce grief : « Vous avez été trouvé, en outre, le jour de la Vierge, le 15 août de l'an mil cinq cent soixante six (1566), dans la paroisse et l'églsie de Strazeele, où vous avez abattu diverses statues que vous avez portées sur le route... »[10]

Le 18 juillet 1569, deux Strazeelois, François Pentafour et Mathieu Bervoet, dans le compte-rendu des réparations faites à l'église, signalent l'achat d'une statue de la Sainte Vierge. Cette statue a été conservée jusqu'à aujourd'hui. Le 5 février 1791, la foudre atteignit l'église. On ne préserva du feu que le tabernacle, les stalles et la statue de Notre-Dame de Strazeele.

Quand les démolisseurs de 1793, tentèrent de mettre la main sur les objets sacrés, ils ne trouvèrent pas la statue de Notre-Dame de Strazeele. Un catholique, dont la ferme était voisine de l'agglomération, avait eu soin de la couvrir de fagots.

La statue de la Madone refait surface au lendemain du Concordat, pour être placée sur un des autels latéraux de l'église reconstruite. Elle y reçut les hommages des âmes pieuses jusqu'au mois d'avril 1918, où les obus d'artillerie détruisirent l'église. Le curé de la paroisse, Mr l'abbé Vanrechem, retrouva dans les décombres la statue presque intacte.

Sa popularité augmenta, surtout au XVIIe siècle et pendant une partie du XVIIIe siècle. Une Neuvaine, établie en son honneur, était prêchée par les R.P. Pères Jésuites de la résidence de Cassel. Des lettres annuelles ou circulaires notent, à cette occasion, un grand concours de pèlerins et de nombreuses communions (mr l'abbé Vanhove cite les circulaires de 1654-1655-1660).

Une confrérie maintenait le niveau de la dévotion et puisait sa propre force dans l'observation d'un règlement très pratique : un opuscule à l'usage des membres de la Confrérie avait été imprimé en 1671, chez A. Debacker, à Ypres.

Notre-Dame de Strazeele était l'élément principal de la paroisse. À l'église, elle avait sa chapelle, un registre de dépenses particulières, un administrateur spécial, peut-être un prêtre attaché à son service. Ce qui permet se supposer que Notre-Dame de Strazeele avait son chapelain, c'est que Strazeele en 1789, bénéficiait du dévouement de trois prêtres. Le curé, Mr l'abbé Delport ; le vicaire, Mr l'abbé P. Huygge et un autre ecclésiastique, Mr l'abbé Léonard Fauquette.

La tradition désigne la patronne de Strazeele comme Notre-Dame de la rue, puis Notre-Dame de la Voie Romaine, enfin Notre-Dame de Strazeele. Mr l'abbé Vanhove lui donne les titres de : O. L. Wrouwe van Straet; O. L. Wrouwe van Strazeeele. Elle fut surnommée Notre-Dame de Consolation et Notre-Dame de Délivrance. Ces deux dernières dénominations ont prévalu au cours du XIXe siècle.

Le Culte de nos jours : Rayonnement progressif de la dévotion à Notre-Dame de Consolation et de Délivrance

La dévotion à Notre-Dame de Consolation et de Délivrance s'est ralentie au début du XXe siècle, mais se ranime au lendemain de la Première Guerre mondiale. Son nouvel épanouissement est intimement lié à la reconstruction de Strazeele.

Le village est en ruine quand Mr l'abbé Vanrechem[11] s'abrite dans une habitation de fortune afin de rallier autour de sa houlette ses paroissiens dispersés. Une grange, puis un étroit baraquement servent de refuge à la Vierge et de chapelle aux Strazeelois.

Prends ton essor, pieuse messagère,
Redis le nom tant de fois séculaire,
Les faveurs, le pouvoir de Notre-Dame de Strazeele.
Inspire à ceux que tu frôles de l'aile le désir de La voir.
Répète à tous, même à l'âme frivole : C'est une Reine : elle accueille, console, quand l'horizon est noir.
C'est une Mère : elle assiste, délivre, sauve quiconque à sa bonté se livre.
Elle nous rend l'espoir.
Chanoine Joseph BARON.

Pour approfondir

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

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Notes et références

Notes

  1. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.

Références

  1. référence Guide historique et patrimonial de l'office de Tourisme des Monts de Flandre
  2. L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
  3. Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee.
  4. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  5. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 2011201220132014 .
  6. « Évolution et structure de la population à Strazeele en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
  7. « Résultats du recensement de la population du Nord en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
  8. a et b Guide historique et patrimonial de l'Office de Tourisme des Monts de Flandre
  9. Cette médaille fait partie de la riche collection numismatique de feu M. Dancoisne, achetée par le Musée de Lille, au prix de 25 000 francs
  10. M. l'abbé Vanhove: Strazeele à travers les âges.
  11. (discours de Mr Tancré, maire de Strazeele, le jour de la Bénédiction de la nouvelle église) - le dernier parti et premier revenu -