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« Rue du Chêne » : différence entre les versions

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{{Infobox Espace public
[[Fichier:Den Engel rue du Chene 21 Brussels.JPG|thumb|La maison appelée "'''Den Engel'''" (''l'Ange'') de la rue du Chêne, 21 à Bruxelles.]]
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[[Fichier:Sint-Jan-Baptist rue du Chene 27 Maison Schott Brussel.JPG|thumb|La maison appelée "'''Sint-Jan-Baptist'''" actuellement Musée [[Philippe Schott]], située rue du Chêne, 27 à Bruxelles. À sa droite on distingue "'''De Swarte Lelie'''" (le Lys Noir), maison restaurée.]]
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[[Fichier:De Swarte Lelie rue du Chene 23-25 Brussel.JPG|thumb|left|La maison "'''De Swarte Lelie'''" (''le Lys Noir''), rue du Chêne, 23-25 à Bruxelles.]]
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La '''rue du Chêne''' (en [[néerlandais]] ''{{Lang|nl|Eikstraat}}'') à [[Bruxelles]], est une très ancienne voirie qui monte, avec une dénivellation de huit mètres, depuis la [[rue de l'Étuve]] et le célèbre [[Manneken Pis]] jusqu'à la place de la Vieille Halle aux Blés.


Le premier [[Athénée royal de Bruxelles]] était situé au {{Numéro|17}} et a été remplacé par l'annexe « Chêne » du [[Conservatoire royal de Bruxelles]]<ref>[http://www.conservatoire.be/acces.html Site du Conservartoire royal de Bruxelles - Implantations]</ref>.
La '''rue du Chêne''' à [[Bruxelles]], est une très vieille rue bruxelloise qui descend depuis la place de la Vieille Halle aux Blés jusqu'à la [[rue de l'Étuve]] et le célèbre [[Manneken Pis]].


== Maisons remarquables ==
Il s'y trouve de nombreuses maisons remarquables.
Il s'y trouve de nombreuses maisons remarquables classées au patrimoine immobilier de la [[Région de Bruxelles-Capitale]].
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=== Côté impair ===
==Maisons remarquables==
* au {{Numéro|19}} : la maison appelée ''Sint-Jooris'' ou ''Kleyne Sint-Jooris'' (« Saint-Georges » ou « Petit Saint-Georges »), faisant le coin avec l'[[impasse du Val des Roses]]. Cette maison était habitée en [[1767]] par l'aubergiste Paternotte, section 13, n° 151.
===Côté impair===
* au {{Numéro|21}} : un ancien hôtel de maître avec porte cochère, maison appelée jadis ''Den Engel'' (« L'Ange ») habitée en [[1767]] par le nommé De Nayer, boutiquier, section 13, n° 150. Cette maison est bien connue des bibliophiles car c'est là que se trouvait au {{s-|XX|e}} la libraire ancienne Florent Tulkens, libraire-expert.
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* aux {{Numéros|23-25}} : l'ancienne maison appelée ''De Swarte Lelie'' (« Le Lys noir »), restaurée récemment et habitée lors du recensement de [[1767]] par un certain Theunes, section 13, n° 149.
* au {{Numéro|27}} : l'ancienne auberge ''Au Saint-Jean-Baptiste'' ('''t Sint-Jan''), transformée en musée privé par le peintre [[Philippe Schott]]. Propriété actuelle de la [[Fondation Roi Baudouin]]. Elle forme le coin avec la [[rue de Villers]] (anciennement rue du Chat Noir ou ''Zwarte Cattestraet''). Cette maison était habitée en [[1767]] par N. Proost, aubergiste, section 13, n° 148.


=== Côté pair ===
*au {{numéro}}23-25: l'ancienne maison appelée "De Swarte Lelie" (le Lys Noir), restaurée récemment et habitée lors du recensement de 1767 par un certain Theunes.
* au {{Numéro|8}} : remarquable immeuble Louis XVI, ancien hôtel du comte de Vischer de Celles


== Notes et références ==
*au {{numéro}}21: un ancien hôtel de maître avec porte cochère, maison appelée jadis "Den Engel" ( l'Ange") habitée en 1767 par le nommé De Nayer, boutiquier. Cette maison est bien connue des bibliophiles car c'est là que se trouvait au {{s-|XX|e}} la libraire ancienne Florent Tulkens, libraire-expert.
{{Références}}


== Voir aussi ==
*au {{numéro}}19, la maison appelée "Sint-Jooris" ou "Kleyne Sint-Jooris" ("Saint-Georges" ou "Petit Saint-Georges"), faisant le coin avec l'[[impasse du Val des Roses]]. Cette maison était habitée en 1767 par l'aubergiste Paternotte.
{{Autres projets|commons=Category:Rue du Chêne/Eikstraat, Brussels}}


== Bibliographie ==
===Côté pair===
* [[Jean d'Osta]], ''Dictionnaire historique et anecdotique des rues de Bruxelles'', Bruxelles, 1986.
*au {{numéro}}8: remarquable immeuble Louis XVI, ancien hôtel du comte de Vischer de Celles
* [[Eugène Bochart]], ''Dictionnaire historique des rues''..., Bruxelles, 1857.
* Jérôme Bertrand, "Néo-classicisme et rénovation au centre-ville: le 7, rue du Chêne", dans, ''La Ville et l'Habitant'', {{|218}}, {{date-|septembre 1992}}, {{p.|32}}.
* Michel Vanwelkenhuyzen et Albert Mehauden, ''La Ville de Bruxelles. Ses habitants, leurs métiers et leurs adresses vers 1767'', Bruxelles, 1998.


=== Lien interne ===
==Bibliographie==
* [[Domonymie de Bruxelles]]
*[[Jean d'Osta]], ''Dictionnaire historique et anecdotique des rues de Bruxelles'', Bruxelles, 1986.
*[[Eugène Bochart]], ''Dictionnaire historique des rues''..., Bruxelles, 1857.
*Jérôme Bertrand, "Néo-classicisme et rénovation au centre-ville: le 7, rue du Chêne", dans, ''La Ville et l'Habitant'', n° 218, septembre 1992, p. 32.
*Michel Vanwelkenhuyzen et Albert Mehauden, ''La Ville de Bruxelles. Ses habitants, leurs métiers et leurs adresses vers 1767'', Bruxelles, 1998.

==Liens internes==
*[[Domonymie de Bruxelles]]


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[[Catégorie:Voie bruxelloise]]
[[Catégorie:Voie à Bruxelles]]

Version du 11 avril 2024 à 19:16

Rue du Chêne (fr)
Eikstraat (nl)
Image illustrative de l’article Rue du Chêne
Vue générale vers la rue de l’Étuve
Situation
Coordonnées 50° 50′ 39″ nord, 4° 21′ 03″ est
Pays Drapeau de la Belgique Belgique
Région Drapeau de la Région de Bruxelles-Capitale Région de Bruxelles-Capitale
Ville Blason de Bruxelles Bruxelles
Quartier(s) Centre
Début rue de l'Étuve
Fin place de la Vieille Halle aux Blés
Morphologie
Type rue
Fonction(s) urbaine(s) mixité
Forme arc de cercle
Longueur 174 m
Largeur entre 8 et 9 m
Géolocalisation sur la carte : Bruxelles
(Voir situation sur carte : Bruxelles)
Rue du Chêne (fr) Eikstraat (nl)
Géolocalisation sur la carte : Belgique
(Voir situation sur carte : Belgique)
Rue du Chêne (fr) Eikstraat (nl)

La rue du Chêne (en néerlandais Eikstraat) à Bruxelles, est une très ancienne voirie qui monte, avec une dénivellation de huit mètres, depuis la rue de l'Étuve et le célèbre Manneken Pis jusqu'à la place de la Vieille Halle aux Blés.

Le premier Athénée royal de Bruxelles était situé au no 17 et a été remplacé par l'annexe « Chêne » du Conservatoire royal de Bruxelles[1].

Maisons remarquables

Il s'y trouve de nombreuses maisons remarquables classées au patrimoine immobilier de la Région de Bruxelles-Capitale.

Maisons remarquables

Côté impair

  • au no 19 : la maison appelée Sint-Jooris ou Kleyne Sint-Jooris (« Saint-Georges » ou « Petit Saint-Georges »), faisant le coin avec l'impasse du Val des Roses. Cette maison était habitée en 1767 par l'aubergiste Paternotte, section 13, n° 151.
  • au no 21 : un ancien hôtel de maître avec porte cochère, maison appelée jadis Den Engel (« L'Ange ») habitée en 1767 par le nommé De Nayer, boutiquier, section 13, n° 150. Cette maison est bien connue des bibliophiles car c'est là que se trouvait au XXe siècle la libraire ancienne Florent Tulkens, libraire-expert.
  • aux nos 23-25 : l'ancienne maison appelée De Swarte Lelie (« Le Lys noir »), restaurée récemment et habitée lors du recensement de 1767 par un certain Theunes, section 13, n° 149.
  • au no 27 : l'ancienne auberge Au Saint-Jean-Baptiste ('t Sint-Jan), transformée en musée privé par le peintre Philippe Schott. Propriété actuelle de la Fondation Roi Baudouin. Elle forme le coin avec la rue de Villers (anciennement rue du Chat Noir ou Zwarte Cattestraet). Cette maison était habitée en 1767 par N. Proost, aubergiste, section 13, n° 148.

Côté pair

  • au no 8 : remarquable immeuble Louis XVI, ancien hôtel du comte de Vischer de Celles

Notes et références

Voir aussi

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

  • Jean d'Osta, Dictionnaire historique et anecdotique des rues de Bruxelles, Bruxelles, 1986.
  • Eugène Bochart, Dictionnaire historique des rues..., Bruxelles, 1857.
  • Jérôme Bertrand, "Néo-classicisme et rénovation au centre-ville: le 7, rue du Chêne", dans, La Ville et l'Habitant, no 218, , p. 32.
  • Michel Vanwelkenhuyzen et Albert Mehauden, La Ville de Bruxelles. Ses habitants, leurs métiers et leurs adresses vers 1767, Bruxelles, 1998.

Lien interne