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'''André Astoux''' (André Louis Ernest Alexis) né le {{Date de naissance|27|avril|1919|âge=non}} à [[Cannes]] et mort en [[1990]] est un
'''André Astoux''' (André Louis Ernest Alexis) né le {{Date de naissance|27|avril|1919|âge=non}} à [[Cannes]] et décédé le {{Date de naissance|2|juillet|1990}} à Paris (14ème arrondissement), est un
officier de marine, chargé de mission du [[Charles de Gaulle|Général de Gaulle]], directeur général adjoint de l'[[Office de radiodiffusion-télévision française|ORTF]], directeur du [[Centre national de la cinématographie]].
officier de marine, chargé de mission du [[Charles de Gaulle|Général de Gaulle]], directeur général adjoint de l'[[Office de radiodiffusion-télévision française|ORTF]], directeur du [[Centre national de la cinématographie]].

== Biographie ==
== Biographie ==
André Astoux est ancien élève de l'[[École navale]] (promotion 1938, [[Francis Garnier]]). Il est [[Enseigne de vaisseau de 2e classe|enseigne de Vaisseau]] en [[1940]] sur navire le Bretagne quand celui-ci est touché à [[Attaque de Mers el-Kébir|Mers el-kébir]] et il est à Toulon en 1942, lors du [[Sabordage de la flotte française à Toulon|sabordage de la flotte]]. 
André Astoux est ancien élève de l'[[École navale]] (promotion 1938, [[Francis Garnier]]). Il est [[Enseigne de vaisseau de 2e classe|enseigne de Vaisseau]] en [[1940]] sur navire le Bretagne quand celui-ci est touché à [[Attaque de Mers el-Kébir|Mers el-kébir]] et il est à Toulon en 1942, lors du [[Sabordage de la flotte française à Toulon|sabordage de la flotte]]. 
Il rejoint alors la Résistance et la France Libre ; il est responsable de la Résistance dans l'Oise. À la tête d'un peloton de chars de la division Leclerc il entre dans Strasbourg libéré, au côté de l' enseigne de vaisseau [[Philippe de Gaulle]], qui devient son ami et qu'il aura comme collègue à l'École navale où il enseigne après la guerre.
Il rejoint alors la Résistance et la France Libre ; il est responsable de la Résistance dans l'Oise. À la tête d'un peloton de chars de la division Leclerc il entre dans Strasbourg libéré, au côté de l' enseigne de vaisseau [[Philippe de Gaulle]], qui devient son ami et qu'il aura comme collègue à l'École navale où il enseigne après la guerre.


André Astoux est chargé de mission du général de Gaulle de 1949 à 1955. Il est nommé délégué départemental du [[Rassemblement du peuple français|RPF]] dans l’[[Oise (département)|Oise]]<ref>{{Ouvrage|langue=|auteur1=Bernard Lachaise, Olivier Wieviorka|titre=Résistance et politique sous la IVe république|passage=|lieu=Bordeaux|éditeur=Presses Univ de Bordeaux|date=2004|pages totales=171|isbn=|lire en ligne=}}</ref>. Au cours de cette période il coopère avec [[Marie-Madeleine Fourcade|Marie Madeleine Fourcade]] ː ils lancent en [[1947]], la "Campagne du Timbre" pour asseoir la popularité du Général et pour remplir les caisses du RPF ; en [[1958]] ils se mobilisent pour le retour du Général de Gaulle au pouvoir.
André Astoux est chargé de mission du général de Gaulle de 1949 à 1955. Il est nommé délégué départemental du [[Rassemblement du peuple français|RPF]] dans l’[[Oise (département)|Oise]]<ref>{{Ouvrage|auteur1=Bernard Lachaise|auteur2=Olivier Wieviorka|titre=Résistance et politique sous la IVe république|lieu=Bordeaux|éditeur=Presses Univ de Bordeaux|année=2004|pages totales=171|isbn=}}</ref>. Au cours de cette période il coopère avec [[Marie-Madeleine Fourcade|Marie Madeleine Fourcade]] : ils lancent en [[1947]], la "Campagne du Timbre" pour asseoir la popularité du Général et pour remplir les caisses du RPF ; en [[1958]] ils se mobilisent pour le retour du Général de Gaulle au pouvoir.


En [[1955 en France|1955]] il démissionne de l'armée et entre dans l'entreprise [[Simca]] où il occupe différents postes d'encadrement<ref>{{Article|langue=|auteur1=|titre=Décès d'André Astoux|périodique=Le Monde|date=7 juillet 1990|issn=|lire en ligne=|pages=}}</ref>.
En [[1955 en France|1955]] il démissionne de l'armée et entre dans l'entreprise [[Simca]] où il occupe différents postes d'encadrement<ref>{{Article|langue=|auteur1=|titre=Décès d'André Astoux|périodique=Le Monde|date=7 juillet 1990|issn=|lire en ligne=|pages=}}</ref>.
En 1964 A. Astoux est nommé directeur adjoint de l'ORTF<ref>{{Ouvrage|langue=|auteur1=Jérôme Bourdon|titre=Histoire de la télévision sous de Gaulle|passage=95|lieu=|éditeur=Presses des Mines, open editions|date=2017|pages totales=356|isbn=|lire en ligne=}}</ref>, nouvellement créé et qui succède à la [[RTF Télévision|RTF]]. Bien que fidèle au gouvernement il s'oppose aux responsables politiques de l'Etat en {{date-|mai 1968}}, il analysera et expliquera ces divergences dans son livre ''Ondes de choc''<ref>{{Article|langue=|auteur1=Thomas Ferenczi|titre=" Ondes de choc ", d'André Astoux, Les désarrois d'un homme d'autorité|périodique=Le Monde|date=8 mai 1978|issn=|lire en ligne=|pages=}}</ref>. Ses fonctions cessent en 1969.
En 1964 A. Astoux est nommé directeur adjoint de l'ORTF<ref>{{Ouvrage|auteur1=Jérôme Bourdon|titre=Histoire de la télévision sous de Gaulle|éditeur=Presses des Mines, open editions|année=2017|pages totales=356|passage=95|isbn=}}</ref>, nouvellement créé et qui succède à la [[RTF Télévision|RTF]]. Bien que fidèle au gouvernement il s'oppose aux responsables politiques de l'Etat en {{date-|mai 1968}}, il analysera et expliquera ces divergences dans son livre ''Ondes de choc''<ref>{{Article|langue=|auteur1=Thomas Ferenczi|titre=" Ondes de choc ", d'André Astoux, Les désarrois d'un homme d'autorité|périodique=Le Monde|date=8 mai 1978|issn=|lire en ligne=|pages=}}</ref>. Ses fonctions cessent en 1969.
Nommé par décret du {{date-|17 octobre 1969}}<ref>Journal officiel de la République française du 19 octobre 1969 page 10349</ref> André Astoux remplace André Holleaux en qualité de directeur général du Centre national de la cinématographie.
Nommé par décret du {{date-|17 octobre 1969}}<ref>Journal officiel de la République française du 19 octobre 1969 page 10349</ref> André Astoux remplace André Holleaux en qualité de directeur général du Centre national de la cinématographie.
En désaccord avec le nouveau ministre de la Culture, [[Maurice Druon]], André Astoux est remplacé en {{date-|décembre 1973}}<ref>Communiqué d'A. Astoux "La décision prise par le gouvernement de mettre fin à mes fonctions fait suite au cri d’alarme que j’ai lancé au sujet de la situation dramatique du cinéma français. " in art. Chroniques</ref> par [[Pierre Viot]]<ref>{{Article|langue=|auteur1=|titre=Pierre Viot prend les rênes du cinéma français en pleine crise|périodique=Chronique du cinéma
En désaccord avec le nouveau ministre de la Culture, [[Maurice Druon]], André Astoux est remplacé en {{date-|décembre 1973}}<ref>Communiqué d'A. Astoux "La décision prise par le gouvernement de mettre fin à mes fonctions fait suite au cri d’alarme que j’ai lancé au sujet de la situation dramatique du cinéma français. " in art. Chroniques</ref> par [[Pierre Viot]]<ref>{{Article|langue=|auteur1=|titre=Pierre Viot prend les rênes du cinéma français en pleine crise|périodique=Chronique du cinéma
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En [[septembre 1980]] André Astoux entre au cabinet du Président de l'[[Assemblée nationale (France)|Assemblée nationale]], [[Jacques Chaban-Delmas]], en qualité de conseiller<ref>{{Article|langue=|auteur1=|titre=M. André Astoux entre au cabinet de M. Chaban-Delmas|périodique=Le Monde|date=25 septembre 1980|issn=|lire en ligne=|pages=}}</ref>.
En [[septembre 1980]] André Astoux entre au cabinet du Président de l'[[Assemblée nationale (France)|Assemblée nationale]], [[Jacques Chaban-Delmas]], en qualité de conseiller<ref>{{Article|langue=|auteur1=|titre=M. André Astoux entre au cabinet de M. Chaban-Delmas|périodique=Le Monde|date=25 septembre 1980|issn=|lire en ligne=|pages=}}</ref>.


André Astoux est un fidèle du général de Gaulle. Il lui consacre trois ouvrages. Dans ''L'oubli'' il raconte l'histoire, moins connue que d'autres périodes, du gaullisme de 1946 à 1958. Dans ''Eh bien, mon cher et vieux pays... Dialogues posthumes avec De Gaulle''<ref>Le titre de ce livre reprend une phrase prononcée par le Général de Gaulle lors d'un discours à la nation le 29 janvier 1960 https://www.ina.fr/video/I00012411</ref> André Astoux donne sa réponse à la question "comment le général de Gaulle analyserait-il la situation de la France, de l'Europe, du monde d'aujourd'hui ? Quelles seraient ses propositions ? De quelle façon s'appliquerait sa philosophie à notre époque ?"<ref>{{Ouvrage|langue=|auteur1=André Astoux|titre=Eh bien, mon cher et vieux pays : dialogues posthumes avec de Gaulle|passage=p.36|lieu=Paris|éditeur=Lieu commun|date=1985|pages totales=161|isbn=|lire en ligne=}}</ref>.
André Astoux est un fidèle du général de Gaulle. Il lui consacre trois ouvrages. Dans ''L'oubli'' il raconte l'histoire, moins connue que d'autres périodes, du gaullisme de 1946 à 1958. Dans ''Eh bien, mon cher et vieux pays... Dialogues posthumes avec De Gaulle''<ref>Le titre de ce livre reprend une phrase prononcée par le Général de Gaulle lors d'un discours à la nation le 29 janvier 1960 https://www.ina.fr/video/I00012411</ref> André Astoux donne sa réponse à la question "comment le général de Gaulle analyserait-il la situation de la France, de l'Europe, du monde d'aujourd'hui ? Quelles seraient ses propositions ? De quelle façon s'appliquerait sa philosophie à notre époque ?"<ref>{{Ouvrage|auteur1=André Astoux|titre=Eh bien, mon cher et vieux pays|sous-titre=dialogues posthumes avec de Gaulle|lieu=Paris|éditeur=Lieu commun|année=1985|pages totales=161|passage=p.36|isbn=}}</ref>.
Dans ''Doctrine politique Recueil de déclarations et textes authentiques, Charles de Gaulle'', André Astoux rassemble des textes du général de Gaulle<ref>Editions du Rocher 1992, Coll. Documents. <br /></ref> qui constituent le socle de la doctrine politique, économique et sociale du gaullisme.
Dans ''Doctrine politique Recueil de déclarations et textes authentiques, Charles de Gaulle'', André Astoux rassemble des textes du général de Gaulle<ref>Editions du Rocher 1992, Coll. Documents. <br /></ref> qui constituent le socle de la doctrine politique, économique et sociale du gaullisme.


La commune de [[Compiègne]] a donné le nom d'André Astoux à une rue<ref>{{Article|langue=|auteur1=Stéphane Forestier|titre=Quartier de Royallieu, l’histoire à chaque coin de rue|périodique=Le Parisien|date=1er novembre 2012|issn=|lire en ligne=http://www.leparisien.fr/espace-premium/oise-60/quartier-de-royallieu-l-histoire-a-chaque-coin-de-rue-01-11-2012-2282391.php|pages=}}</ref>.
La commune de [[Compiègne]] a donné le nom d'André Astoux à une rue<ref>{{Article|langue=|auteur1=Stéphane Forestier|titre=Quartier de Royallieu, l’histoire à chaque coin de rue|périodique=Le Parisien|date=1er novembre 2012|issn=|lire en ligne=http://www.leparisien.fr/espace-premium/oise-60/quartier-de-royallieu-l-histoire-a-chaque-coin-de-rue-01-11-2012-2282391.php|pages=}}</ref>.

== Décorations ==

* {{Déco Commandeur de l'ordre des Arts et des Lettres}} (1970)<ref>{{Lien web |titre=Bulletin officiel des décorations, médailles et récompenses n°05 du 20/03/1970 - Légifrance |url=https://www.legifrance.gouv.fr/liste/bodmr?sortValue=PUBLICATION_DATE_DESC&pageSize=100&page=6&tab_selection=all#bodmr |site=www.legifrance.gouv.fr |consulté le=2023-10-26}}</ref> au titre de « directeur général du centre national de la cinématographie ».

== Publications ==
== Publications ==
''Eh bien, mon cher et vieux pays, dialogues posthumes avec de Gaulle'' , Paris, 1985 ed. Lieu commun, 261 p.
''Eh bien, mon cher et vieux pays, dialogues posthumes avec de Gaulle'' , Paris, 1985 ed. Lieu commun, 261 p.
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== Liens externes ==
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André Astoux
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Biographie
Naissance
Décès
Nationalité
Activité

André Astoux (André Louis Ernest Alexis) né le à Cannes et décédé le à Paris (14ème arrondissement), est un officier de marine, chargé de mission du Général de Gaulle, directeur général adjoint de l'ORTF, directeur du Centre national de la cinématographie.

Biographie

André Astoux est ancien élève de l'École navale (promotion 1938, Francis Garnier). Il est enseigne de Vaisseau en 1940 sur navire le Bretagne quand celui-ci est touché à Mers el-kébir et il est à Toulon en 1942, lors du sabordage de la flotte.  Il rejoint alors la Résistance et la France Libre ; il est responsable de la Résistance dans l'Oise. À la tête d'un peloton de chars de la division Leclerc il entre dans Strasbourg libéré, au côté de l' enseigne de vaisseau Philippe de Gaulle, qui devient son ami et qu'il aura comme collègue à l'École navale où il enseigne après la guerre.

André Astoux est chargé de mission du général de Gaulle de 1949 à 1955. Il est nommé délégué départemental du RPF dans l’Oise[1]. Au cours de cette période il coopère avec Marie Madeleine Fourcade : ils lancent en 1947, la "Campagne du Timbre" pour asseoir la popularité du Général et pour remplir les caisses du RPF ; en 1958 ils se mobilisent pour le retour du Général de Gaulle au pouvoir.

En 1955 il démissionne de l'armée et entre dans l'entreprise Simca où il occupe différents postes d'encadrement[2]. En 1964 A. Astoux est nommé directeur adjoint de l'ORTF[3], nouvellement créé et qui succède à la RTF. Bien que fidèle au gouvernement il s'oppose aux responsables politiques de l'Etat en , il analysera et expliquera ces divergences dans son livre Ondes de choc[4]. Ses fonctions cessent en 1969. Nommé par décret du [5] André Astoux remplace André Holleaux en qualité de directeur général du Centre national de la cinématographie. En désaccord avec le nouveau ministre de la Culture, Maurice Druon, André Astoux est remplacé en [6] par Pierre Viot[7]. De 1975 à 1980 il est délégué général de la Fédération française des syndicats patronaux de l'imprimerie et des industries graphiques. En septembre 1980 André Astoux entre au cabinet du Président de l'Assemblée nationale, Jacques Chaban-Delmas, en qualité de conseiller[8].

André Astoux est un fidèle du général de Gaulle. Il lui consacre trois ouvrages. Dans L'oubli il raconte l'histoire, moins connue que d'autres périodes, du gaullisme de 1946 à 1958. Dans Eh bien, mon cher et vieux pays... Dialogues posthumes avec De Gaulle[9] André Astoux donne sa réponse à la question "comment le général de Gaulle analyserait-il la situation de la France, de l'Europe, du monde d'aujourd'hui ? Quelles seraient ses propositions ? De quelle façon s'appliquerait sa philosophie à notre époque ?"[10]. Dans Doctrine politique Recueil de déclarations et textes authentiques, Charles de Gaulle, André Astoux rassemble des textes du général de Gaulle[11] qui constituent le socle de la doctrine politique, économique et sociale du gaullisme.

La commune de Compiègne a donné le nom d'André Astoux à une rue[12].

Décorations

Publications

Eh bien, mon cher et vieux pays, dialogues posthumes avec de Gaulle , Paris, 1985 ed. Lieu commun, 261 p.

Ondes de choc, de à l'O.R.T.F., aux radios pirates de 1978, quand les médias mènent le monde à l'âge du verbe, Paris, Plon, 1978, 252 p.

Ce maudit cinéma!, Paris, 1974, J.C. Lattès, 208 p.

L'Oubli, De Gaulle, 1946-1958, Paris, 1974, J.-C. Lattès, 481 p.

Notes et références

  1. Bernard Lachaise et Olivier Wieviorka, Résistance et politique sous la IVe république, Bordeaux, Presses Univ de Bordeaux, , 171 p.
  2. « Décès d'André Astoux », Le Monde,‎
  3. Jérôme Bourdon, Histoire de la télévision sous de Gaulle, Presses des Mines, open editions, , 356 p., p. 95
  4. Thomas Ferenczi, « " Ondes de choc ", d'André Astoux, Les désarrois d'un homme d'autorité », Le Monde,‎
  5. Journal officiel de la République française du 19 octobre 1969 page 10349
  6. Communiqué d'A. Astoux "La décision prise par le gouvernement de mettre fin à mes fonctions fait suite au cri d’alarme que j’ai lancé au sujet de la situation dramatique du cinéma français. " in art. Chroniques
  7. « Pierre Viot prend les rênes du cinéma français en pleine crise », Chronique du cinéma Éditions Chronique,‎ , p. 4044
  8. « M. André Astoux entre au cabinet de M. Chaban-Delmas », Le Monde,‎
  9. Le titre de ce livre reprend une phrase prononcée par le Général de Gaulle lors d'un discours à la nation le 29 janvier 1960 https://www.ina.fr/video/I00012411
  10. André Astoux, Eh bien, mon cher et vieux pays : dialogues posthumes avec de Gaulle, Paris, Lieu commun, , 161 p., p.36
  11. Editions du Rocher 1992, Coll. Documents.
  12. Stéphane Forestier, « Quartier de Royallieu, l’histoire à chaque coin de rue », Le Parisien,‎ (lire en ligne)
  13. « Bulletin officiel des décorations, médailles et récompenses n°05 du 20/03/1970 - Légifrance », sur www.legifrance.gouv.fr (consulté le )

Liens externes