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'''Olivier Favereau''', né le {{date|28|mai|1945}} à [[Paris]] [[15e arrondissement de Paris|15{{e}}]], est un économiste français.
'''Olivier Favereau''', né le {{date-|28|mai|1945}} à [[Paris]] [[15e arrondissement de Paris|15{{e}}]], est un [[économiste]] [[France|français]].


== Formation ==
== Biographie ==
Diplômé de l'[[Institut d'études politiques de Paris]] en 1967, il est également titulaire d'un DES de sciences économiques de la [[faculté de droit de Paris |faculté de droit]] et de sciences économiques de Paris obtenu en 1968. Il est d'abord administrateur au Sénat (commission des affaires sociales), puis collaborateur technique au Centre de Recherches économiques et Sociales (CRES) de l'[[Université de Paris Ouest - Nanterre La Défense|Université Paris X]]. Il obtient son doctorat de {{3e}} cycle en finances publiques à l'Université Paris X en juin 1982 et son doctorat d’État de sciences économiques à l'[[Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne|université Paris I]] en novembre 1982. Il obtient en 1983 l'agrégation de sciences économiques. Nommé alors professeur de sciences économiques à l'[[Université du Maine (France)|Université du Mans]] (il y sera vice-doyen de la faculté de droit et des sciences économiques), il obtiendra ensuite sa mutation à l'Université Paris X.


=== Jeunesse et études ===
== Carrière universitaire ==
Diplômé de l'[[Institut d'études politiques de Paris]] en 1967, il est également titulaire d'un DES de sciences économiques de la [[faculté de droit de Paris |faculté de droit]] et de sciences économiques de Paris (1968).
De 1990 à 1999, il est coresponsable (avec [[Jean-Daniel Reynaud]], [[Conservatoire national des arts et métiers|CNAM]] et E. Reynaud, [[Centre national de la recherche scientifique|CNRS]]) d'un séminaire mensuel de discussion interdisciplinaire "Le travail : marché et organisation".


Il obtient son doctorat de {{3e|cycle}} en finances publiques à l'[[université Paris-Nanterre]] en {{date-|juin 1982}} et son doctorat d’État de sciences économiques à l'[[université Paris 1 Panthéon-Sorbonne]] en {{date-|novembre 1982}}. En 1983, il est reçu à l'[[agrégation de sciences économiques et sociales]].
Depuis 1991, il est directeur de la formation doctorale (DEA) "Économie des Institutions" (cohabilitation Université Paris X, École des Hautes Études en Sciences Sociales, École Polytechnique). 25 étudiants, 16 professeurs, directeurs de recherche CNRS, directeurs d'études [[École des hautes études en sciences sociales|EHESS]], ou enseignants-chercheurs habilités.


=== Parcours dans l'administration ===
De 1994 à 2005, il est directeur de l'Unité Mixte de Recherche Paris X-CNRS 7028 FORUM (Fondements des Organisations et des Régulations de l'Univers Marchand) : 100 chercheurs CNRS ou universitaires dont 50 % doctorants financés, répartis dans 4 départements<ref>Le projet scientifique de l'Unité est de contribuer au renouveau actuel des approches institutionnalistes en économie (économie des Conventions, Approches de la Régulation, Evolutionnisme et Théorie des Coûts de Transaction) dans 5 domaines d'application : marché du travail, monnaie et systèmes de paiement, stratégies des firmes, transition vers l'économie de marché et développement, épistémologie et histoire de la pensée économique.</ref>.
Il commence sa vie professionnelle comme [[administrateur du Sénat]] (commission des affaires sociales), avant de décider de se consacrer à l'enseignement.


=== Carrière universitaire ===
Depuis 2000, il est directeur de l’école doctorale “Économie, organisations, société" (Université Paris X et [[École nationale supérieure des mines de Paris]], avec le partenariat de l’[[École polytechnique (France)|École polytechnique]], de l’[[École supérieure des sciences économiques et commerciales|ESSEC]] et de l’[[ESCP Europe|ESCP-EAP]]) : 12 DEA, 20 équipes CNRS d’accueil.
Il devient collaborateur technique au Centre de recherches économiques et sociales (CRES) de l'[[Université de Paris Ouest - Nanterre La Défense|université Paris-Nanterre]]. Il écrit une thèse qui lui permet d'obtenir un doctorat de {{3e|cycle}} en finances publiques {{date-|juin 1982}} puis un doctorat d’État à Paris 1 plus tard dans l'année.

Nommé professeur de sciences économiques après son obtention de l'agrégation, il enseigne à l'[[Université du Maine (France)|université du Mans]]. Il y devient vice-doyen de la faculté de droit et des sciences économiques. Il obtient ensuite sa mutation à l'université Paris-Nanterre, où il s'implique dans la vie de l'université.

=== Responsabilités administratives ===
De 1990 à 1999, il est coresponsable (avec [[Jean-Daniel Reynaud]], [[Conservatoire national des arts et métiers|CNAM]] et E. Reynaud, [[Centre national de la recherche scientifique|CNRS]]) d'un séminaire mensuel de discussion interdisciplinaire "Le travail : marché et organisation".

Depuis 1991, il est directeur de la formation doctorale « Économie des institutions », cohabilitée entre Paris-Nanterre, l'[[École des hautes études en sciences sociales]] et l'[[École polytechnique (France)|École polytechnique]]. Il y dirige un corps de 16 professeurs.

De 1994 à 2005, il est directeur de l'Unité mixte de recherche Paris Nanterre-CNRS 7028 FORUM (Fondements des Organisations et des Régulations de l'Univers Marchand) : 100 chercheurs CNRS ou universitaires dont 50 % doctorants financés, répartis dans 4 départements<ref>Le projet scientifique de l'Unité est de contribuer au renouveau actuel des approches institutionnalistes en économie (économie des conventions, approches de la régulation, évolutionnisme et théorie des coûts de transaction) dans 5 domaines d'application : marché du travail, monnaie et systèmes de paiement, stratégies des firmes, transition vers l'économie de marché et développement, épistémologie et histoire de la pensée économique.</ref>.

Depuis 2000, il est directeur de l’école doctorale « Économie, organisations, société » (Université Paris-Nanterre et [[École nationale supérieure des mines de Paris]], avec le partenariat de l’École polytechnique, de l’[[École supérieure des sciences économiques et commerciales|ESSEC]] et de l’[[ESCP Europe|ESCP-EAP]]).


== Œuvre ==
== Œuvre ==
* ''Typologie des déséquilibres et modèles de croissance'' in : HENIN, P.Y., éd., Études sur l'Économie en Déséquilibre, Economica, Paris, 1980, pp.57‑121.
* « Typologie des déséquilibres et modèles de croissance » in [[Pierre-Yves Hénin]], éd., ''Études sur l'économie en déséquilibre'', Economica, Paris, 1980, p. 57‑121.
* ''La stabilité du lien Emploi‑Croissance et la loi d'OKUN'', Consommation, 1981, n°1, pp.85‑117 (avec Michel MOUILLART).
* « La stabilité du lien emploi‑croissance et la loi d'Okun », in ''Consommation'', 1981, {{|1}}, p. 85‑117 (avec Michel Mouillart).
* ''Le chômage est‑il volontaire ?'', in : MEIDINGER, C., ed., La nouvelle économie libérale, Presses de la Fondation Nationale des Sciences Politiques, Paris, 1983, pp.45‑78.
* « Le chômage est‑il volontaire ? », in C. Meidinger (éd)., ''La nouvelle économie libérale'', Presses de la Fondation nationale des sciences politiques, Paris, 1983, p. 45‑78.
* ''L'incertain dans la Révolution Keynésienne : L'hypothèse WITTGENSTEIN'' in Économies et Sociétés, série PE : Oeconomia, n°3, mars 1985, pp.29‑72.
* « L'incertain dans la révolution keynésienne : l'hypothèse Wittgenstein'' in ''Économies et Sociétés'', série PE : Oeconomia, {{|3}}, {{date-|mars 1985}}, p. 29‑72.
* ''KEYNES, SIMON, ou la difficulté de critiquer la Tradition (Néo)Classique'', in : DEMAILLY, A. et LE MOIGNE, J‑L., éds, Sciences de l'Intelligence, Sciences de l'Artificiel, Presses Universitaires de Lyon, Lyon, 1986, pp.524‑530.
* « Keynes, Simon ou La difficulté de critiquer la tradition (néo)classique », in A. Demailly et J‑L. Le Moigne (éd.), ''Sciences de l'intelligence, sciences de l'artificiel'', Presses universitaires de Lyon, Lyon, 1986, p. 524‑530.
* ''La formalisation du rôle des conventions dans l'allocation des ressources'', in : SALAIS, R., et THEVENOT, L., éds, Le Travail : marché, règles et conventions, Economica, Paris, 1986, pp.249‑267.
* « La formalisation du rôle des conventions dans l'allocation des ressources », in R. Salais, et L. Thévenot (éd.), ''Le travail : marché, règles et conventions'', Economica, Paris, 1986, p. 249‑267.
* ''Les modèles Français et Allemand de Marché Interne du Travail : essai de formalisation'', (avec Jacques PY et Michel SOLLOGOUB), ''économie Appliquée'', 1986, n°4, pp.819‑846
* « Les modèles français et allemand de Marché interne du travail : essai de formalisation », (avec Jacques Py et Michel Sollogoub), in ''Économie appliquée'', 1986, {{|4}}, p. 819‑846
* ''Du bon usage de la logique en méthodologie économique (À propos de : Christian SCHMIDT, La sémantique économique en question, Calmann‑Levy, 1985)'' in ''Les cahiers de l'A.C.G.E.P.E.'' (Association Charles Gide pour l'Étude de la Pensée Économique), volume 1, 1987, pp.73‑92.
* « Du bon usage de la logique en méthodologie économique » (à propos de : Christian Schmidt, ''La sémantique économique en question'', Calmann‑Levy, 1985)'' in ''Les cahiers de l'ACGEPE'' (Association Charles Gide pour l'étude de la pensée économique), volume 1, 1987, p. 73‑92.
* ''Probability and Uncertainty: After all, KEYNES was right.'', ''Économies et Sociétés'', série PE : Oeconomia, n°10, octobre 1988, pp.43‑77.
* « Probability and Uncertainty: After all, KEYNES was right », in ''Économies et sociétés'', série PE : Oeconomia, {{|10}}, {{date-|octobre 1988}}, p. 43‑77.
* ''La "Théorie Générale" : de l'économie conventionnelle à l'économie des conventions'', Cahiers d'Économie Politique, n°14‑15, 1988, pp.187‑220 et 227‑8 (réponse au commentaire d'Arnaud BERTHOUD).
* « La « Théorie générale » : de l'économie conventionnelle à l'économie des conventions », in ''Cahiers d'économie politique'', {{|14‑15}}, 1988, p. 187‑220 et 227‑228 (réponse au commentaire d'Arnaud Berthoud).
* ''Marchés Internes, Marchés Externes'', ''[[Revue économique]]'', Spécial sur "l'Économie des Conventions", mars 1989, pp.141-145 et 273‑328.
* « Marchés internes, marchés externes », in ''[[Revue économique]]'', numéro spécial sur « L'économie des conventions », {{date-|mars 1989}}, p. 141-145 et 273‑328.
* ''Vers un Calcul Économique Organisationnel ?'', ''Revue d'Économie Politique'', Spécial sur "20 ans de calcul économique public en France", mars‑avril 1989, pp.322‑354.
* « Vers un calcul économique organisationnel ? », in ''Revue d'économie politique'', numéro spécial sur « 20 ans de calcul économique public en France », mars‑{{date-|avril 1989}}, p. 322‑354.
* ''Organisation et Marché'', ''[[Revue française d'économie]]'', Volume IV, n°1, Hiver 1989, pp.65‑96.
* « Organisation et marché », in ''[[Revue française d'économie]]'', volume IV, {{|1}}, hiver 1989, p. 65‑96.
* ''Valeur d'option et flexibilité: de la rationalité substantielle à la rationalité procédurale'', in : P. COHENDET et P. LLERENA, éds., ''Flexibilité, Information et Décision'', Economica, Paris, 1989, pp.121‑182.
* « Valeur d'option et flexibilité: de la rationalité substantielle à la rationalité procédurale », in P. Cohendet et P. Llerana (éd.), ''Flexibilité, information et décision'', Economica, Paris, 1989, p. 121‑182.


== Notes et références ==
== Notes et références ==
{{Références}}
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== Lien externe ==
== Liens externes ==
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* [http://economix.u-paris10.fr/fr/membres/?id=146 CV d'Olivier Favereau sur Economix]
* [http://economix.u-paris10.fr/fr/membres/?id=146 CV d'Olivier Favereau sur Economix]



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Dernière version du 2 août 2023 à 18:02

Olivier Favereau, né le à Paris 15e, est un économiste français.

Jeunesse et études

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Diplômé de l'Institut d'études politiques de Paris en 1967, il est également titulaire d'un DES de sciences économiques de la faculté de droit et de sciences économiques de Paris (1968).

Il obtient son doctorat de 3e cycle en finances publiques à l'université Paris-Nanterre en et son doctorat d’État de sciences économiques à l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne en . En 1983, il est reçu à l'agrégation de sciences économiques et sociales.

Parcours dans l'administration

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Il commence sa vie professionnelle comme administrateur du Sénat (commission des affaires sociales), avant de décider de se consacrer à l'enseignement.

Carrière universitaire

[modifier | modifier le code]

Il devient collaborateur technique au Centre de recherches économiques et sociales (CRES) de l'université Paris-Nanterre. Il écrit une thèse qui lui permet d'obtenir un doctorat de 3e cycle en finances publiques puis un doctorat d’État à Paris 1 plus tard dans l'année.

Nommé professeur de sciences économiques après son obtention de l'agrégation, il enseigne à l'université du Mans. Il y devient vice-doyen de la faculté de droit et des sciences économiques. Il obtient ensuite sa mutation à l'université Paris-Nanterre, où il s'implique dans la vie de l'université.

Responsabilités administratives

[modifier | modifier le code]

De 1990 à 1999, il est coresponsable (avec Jean-Daniel Reynaud, CNAM et E. Reynaud, CNRS) d'un séminaire mensuel de discussion interdisciplinaire "Le travail : marché et organisation".

Depuis 1991, il est directeur de la formation doctorale « Économie des institutions », cohabilitée entre Paris-Nanterre, l'École des hautes études en sciences sociales et l'École polytechnique. Il y dirige un corps de 16 professeurs.

De 1994 à 2005, il est directeur de l'Unité mixte de recherche Paris Nanterre-CNRS 7028 FORUM (Fondements des Organisations et des Régulations de l'Univers Marchand) : 100 chercheurs CNRS ou universitaires dont 50 % doctorants financés, répartis dans 4 départements[1].

Depuis 2000, il est directeur de l’école doctorale « Économie, organisations, société » (Université Paris-Nanterre et École nationale supérieure des mines de Paris, avec le partenariat de l’École polytechnique, de l’ESSEC et de l’ESCP-EAP).

  • « Typologie des déséquilibres et modèles de croissance » in Pierre-Yves Hénin, éd., Études sur l'économie en déséquilibre, Economica, Paris, 1980, p. 57‑121.
  • « La stabilité du lien emploi‑croissance et la loi d'Okun », in Consommation, 1981, no 1, p. 85‑117 (avec Michel Mouillart).
  • « Le chômage est‑il volontaire ? », in C. Meidinger (éd)., La nouvelle économie libérale, Presses de la Fondation nationale des sciences politiques, Paris, 1983, p. 45‑78.
  • « L'incertain dans la révolution keynésienne : l'hypothèse Wittgenstein in Économies et Sociétés, série PE : Oeconomia, no 3, , p. 29‑72.
  • « Keynes, Simon ou La difficulté de critiquer la tradition (néo)classique », in A. Demailly et J‑L. Le Moigne (éd.), Sciences de l'intelligence, sciences de l'artificiel, Presses universitaires de Lyon, Lyon, 1986, p. 524‑530.
  • « La formalisation du rôle des conventions dans l'allocation des ressources », in R. Salais, et L. Thévenot (éd.), Le travail : marché, règles et conventions, Economica, Paris, 1986, p. 249‑267.
  • « Les modèles français et allemand de Marché interne du travail : essai de formalisation », (avec Jacques Py et Michel Sollogoub), in Économie appliquée, 1986, no 4, p. 819‑846
  • « Du bon usage de la logique en méthodologie économique » (à propos de : Christian Schmidt, La sémantique économique en question, Calmann‑Levy, 1985) in Les cahiers de l'ACGEPE (Association Charles Gide pour l'étude de la pensée économique), volume 1, 1987, p. 73‑92.
  • « Probability and Uncertainty: After all, KEYNES was right », in Économies et sociétés, série PE : Oeconomia, no 10, , p. 43‑77.
  • « La « Théorie générale » : de l'économie conventionnelle à l'économie des conventions », in Cahiers d'économie politique, no 14‑15, 1988, p. 187‑220 et 227‑228 (réponse au commentaire d'Arnaud Berthoud).
  • « Marchés internes, marchés externes », in Revue économique, numéro spécial sur « L'économie des conventions », , p. 141-145 et 273‑328.
  • « Vers un calcul économique organisationnel ? », in Revue d'économie politique, numéro spécial sur « 20 ans de calcul économique public en France », mars‑, p. 322‑354.
  • « Organisation et marché », in Revue française d'économie, volume IV, no 1, hiver 1989, p. 65‑96.
  • « Valeur d'option et flexibilité: de la rationalité substantielle à la rationalité procédurale », in P. Cohendet et P. Llerana (éd.), Flexibilité, information et décision, Economica, Paris, 1989, p. 121‑182.

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. Le projet scientifique de l'Unité est de contribuer au renouveau actuel des approches institutionnalistes en économie (économie des conventions, approches de la régulation, évolutionnisme et théorie des coûts de transaction) dans 5 domaines d'application : marché du travail, monnaie et systèmes de paiement, stratégies des firmes, transition vers l'économie de marché et développement, épistémologie et histoire de la pensée économique.

Liens externes

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