Étymologie

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(XIXe siècle)[1] Mot composé de sirop et de parapluie, en référence au liquide qui tombe du parapluie : l’eau.

Locution nominale

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sirop de parapluie \si.ʁo də pa.ʁa.plɥi\ masculin

  1. (Sens figuré) (Familier) Eau, surtout comme boisson.
    • Trouvant le sirop de parapluie quand même un peu rebutant, le Gros sonne la soubrette. — (Albert Simonin, Hotu soit qui mal y pense, Gallimard, Paris, 1971, page 121)
    • — Oui, mais vlà le nœud, dit le soïeux : je suis au régime du sirop de parapluie ; je ne peux même plus boire la purée de houblon. — (Ernest Florian-Parmentier, Le moulin du rôleur : contes du Val des Cygnes et du Hainaut, Librairie Marlière, Valenciennes, 1971)
    • — Hé ! barman, la prochaine fois que tu me sers du sirop de parapluie, je te fends le crâne à la hache, t’entends. — (Sylvie Granotier, Secrets de famille, Albin Michel, Paris, 1998, page 14)

Variantes

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Synonymes

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Voir eau.

Prononciation

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Références

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  1. Dictionnaire d’argot par Jules Lermina et Henri Levêque, 1897, page 54.