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Ce jour il partit 3 bateaux pour la Nouvelle-Orléans, 3 bateaux dans lesquels s’embarquèrent 30 malades de la Marina, 2 de la colonie et 80 nègres de rebut.— (Georges-Étienne Roy, Rapport de l'Archiviste de la Province de Québec pour 1922-1923, Ls-A.Proulx, Éditeur officiel du Québec, Québec, 1923, page 168)
On reconnaissait facilement la longueur du voyage à la maigreur et à l'épuisement des captifs; mais mieux valait encore des esclaves fatigués d'une longue route que ces nègres de rebut ramassés dans les provinces voisines de l'équateur […]— (Edmond Jurien de La Gravière, Souvenirs d’un Amiral - Première partie « La jeunesse d'un homme de mer, Revue Des Deux Mondes, vol. 12, no. 4, chap. I. « Une éducation maritime d'autrefois, 1857, page 191)
Christian Schnakenbourg, « L’essor économique de la Guadeloupe sous l’administration britannique 1759 - 1763 », dans Bulletin de la Société d'Histoire de la Guadeloupe, no 15-16, 1971, page 26 [texte intégral] :
«
[…] ces esclaves tirés des îles étrangères étaient d’ailleurs, le plus souvent, des « Nègres de rebut », vieux, malades ou chétifs, dont on ne voulait pas là-bas et dont on se débarassait en les envoyant en Guadeloupe, où ils ne duraient jamais très longtemps