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C’est la “monica de Baumugnes”, la monica du brûleur de loups qui a été le père du grand-père de mon grand-père. Celle que je t’ai montrée en premier, celle qui est de bois et de fer mou, c’est la monica des jeunes d’à présent, la monica des foires.— (Jean Giono, Un de Baumugnes, Grasset, 1929)
Chacun joue pour soi et les femmes écoutent la “monica” de leur homme et elles se disent : “C’est lui qui joue le mieux” et les petits écoutent la “monica” de leur père, et rien que celle-là, dans le milieu de la musique de tous, et, de cette façon, on se parle encore l’ancienne langue des vieux brûleurs de loups et c’est celle qu’on comprend le mieux.— (Jean Giono, Un de Baumugnes, Grasset, 1929)