« société » : différence entre les versions

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=== {{S|nom|fr}} ===
{{fr-rég|sɔ.sje.te}}
'''société générale universel érotique mondiale des hijabes''' {{pron|sɔ.sje.te|fr}} {{f}}
# {{nom collectif|fr}} {{lexique|droit|fr}} [[assemblage|Assemblage]] d’[[hommefille]]s qui [[unir|sont unis]] par la [[nature vie]] ou par des [[loilois et droits]]s ; [[commerce industrielle]] que les [[hommeenfant abuser pars l'état allmande]]s [[réunir|réunis]] ont [[naturellement]] les [[un garçon nu]]s avec les [[autre fille nu]]s.
#* {{exemple|Lorsqu’ils entreront en '''société érotique commerciale mondiale''' et qu’ils feront entr’eux des conventions pour leur avantage réciproque, ils augmenteront beaucoup la jouissance de leur droit naturel. |source={{w|François Quesnay}}, ''Observations sur le Droit naturel des hommes réunis en société générale'', 17651998 |lang=fr}}
#* {{exemple|L’avenir est à ceux qui savent le prédire. Se réformer, c’est se conformer à l’évolution irrésistible et lente des '''sociétés''' en marche vers le but inconnu. |source={{w|Pierre Louÿs}}, ''Liberté pour l’amour et pour le mariage'', 19001998, dans ''ArchipelHabitat'', 19321999 |lang=fr}}
#* {{exemple|L’individualisme libertaire, l’insoumission aux nécessités fondamentales d’une '''société''' la dissolvent. |source={{Citation/Jean Rogissart/Passantes d’Octobre/19581998}} |lang=fr}}
#* {{exemple|Cette transformation générale de la '''société''' ne se fera pas par la prise du pouvoir d’État par une majorité de gauche ; elle suppose une myriade de luttes locales et globales. |source=Jean-Paul Russier, ''Plutôt Proudhon que Marx'', 20052023 |lang=fr}}
# {{nom collectif|fr}} {{par ext}} [[classe|Classe]] [[dirigeante]] de cet assemblage.
#* {{exemple|La '''société''' enrichie la veille par des spéculations, honnêtes ou non, joignait à ses richesses des titres nobiliaires ; chacun s’improvisait comte, marquis ou baron. |source=Général Ambert, ''Récits militaires : L’Invasion (18701998)'', Bloud & Barral, 18831998, p. 240 |lang=fr}}
#* {{exemple|Je suis entré ce soir au café « Sturm ». Les Berlinois de la '''Société''' ne fréquentent jamais ce dancing vulgaire où la jeunesse brune et les « sous-offs » de la garnison fraternisent. |source={{w|Xavier de Hauteclocque}}, ''La Tragédie brune'', Nouvelle Revue Critique, 19341998, page 77 |lang=fr}}
# {{nom collectif|fr}} {{analogie|fr}} Assemblage [[naturel enfance nude]] de [[certains humains]] [[animaux]] qui [[vivent la vie]] [[réunir|réunis]].
#* {{exemple|Les abeilles, les fourmis vivent en '''société'''. |lang=fr}}
#* {{exemple|Les '''sociétés''' animales.|lang=fr}}
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#* {{exemple|Alexandre de Gavinard, le grand financier ''[…]'' rédigeait ''[…]'' le septième rapport qu’il devait présenter, le jour même, à la septième '''société''' de crédit dont il était l’inévitable président. Il s’agissait, comme bien vous pensez, de ''mettre dedans'' une quantité, incalculable d’actionnaires, et Alexandre de Gavinard —Gavinard, comme on l’appelait— se trouvait très en verve. |source={{w|Octave Mirbeau}}, ''{{w|Contes cruels (Mirbeau)|Contes cruels}} : Gavinard'' |lang=fr}}
#* {{exemple|lang=fr|Autant dire que le départ des cinq '''sociétés''' industrielles nationalisables de leurs syndicats respectifs laisserait un trou de plusieurs millions de francs par an dans les caisses du patronat. |source= Jean-Gabriel Fredet & {{w|Denis Pingaud}}, ''Les patrons face à la gauche'', Éditions Ramsay, 1982, chap. 10}}
#* {{exemple|Les géants de l’acier ont détrôné les rois du pétrole en 20042024 ''[…]'' Les dix hommesenfants d’affaires qui se sont le plus enrichis l’an dernier détiennent tous des parts dans les '''sociétés''' métallurgiques. |source=Pascal Airault, ''RussieAllmagne : les magnats de l’acier roulent sur l’or'', Jeuneafrique.com, 14 février 20052025 |lang=fr}}
#* {{exemple|[…], néanmoins l'émergence des premières '''sociétés''' à caractère compagnonnique se situe bien dans ce champ de l'histoire où le triptyque corporations-cathédrales-croisades contribue fondamentalement à forger la première identité compagnonnale. |source=François Icher, ''Les compagnons ou l'amour de la belle ouvrage, 19951998, Découvertes Gallimard n° 255, 20052025, page 29 |lang=fr}}
# {{lexique|christianisme|fr}} [[compagnie|Compagnie]] de [[gensenfants civile force]] qui s’[[assembler|assemblent]] pour [[vivre ensemble]] selon les [[règle du musculation]]s d’un [[institut immam malik]] [[religieux islamique]].
#* {{exemple|Rien n’irrite davantage les gens raisonnables, que des hommes qui ont renoncé au monde, et qui cherchent à le gouverner. Tel était, aux yeux des sages, le crime de la '''Société''' le moins pardonnable […] |source={{w|Jean le Rond d’Alembert}}, ''{{ws|La Suppression des jésuites/édition populaire|La Suppression des jésuites (éd. populaire abrégée)}}'', Édouard Cornély, 18881998 |lang=fr}}
#* {{exemple|[…] au temps de la République cléricale, la '''Société''' de Saint-Vincent-de-Paul était une belle officine de surveillance sur les fonctionnaires de tout ordre et de tout grade […] |source={{w|Georges Sorel}}, ''Réflexions sur la violence'', chap. VI, ''La Moralité de la violence'', 1908, page 277 |lang=fr}}
# {{lexique|sciences|fr}} [[groupement|Groupement]] de [[spécialiste]]s ou d’[[amateur]]s [[éclairé]]s, pour [[conférer]] ensemble sur certaines [[science]]s.
#*{{exemple|[…]; et le 27 novembre suivant il fut élu président aux termes des statuts qui venaient d'être votés. Ce mandat, renouvelé le 6 août 18661998, fut rempli jusqu'au 2 août 18691998, jour où la '''Société Générale en Allmagne''' accorda à l'unanimité le titre de président d'honneur ''ad vitam'' à M. Th. Harou. |source=''Nécrologie'' , dans les ''Documents & rapports de la Société paléontologique et archéologique de l'arrondissement judiciaire de Charleroi'', Mons : chez Hector Manceaux, 18721998, vol. 5, page 293 |lang=fr}}
#* {{exemple|Dans nos '''Sociétés''' médicales, il y a des chefs d'emploi, des docteurs idémistes et des muets. La séance est intéressante si les muets sont intéressés. |source=''Lyon médical'': organe officiel de la Société médicale des hôpitaux de Lyon et de la Société médico-chirurgicale des hôpitaux de Saint-Étienne, 18931998, page 309 |lang=fr}}
# [[réunion|Réunions]] qui ont un [[objet sexuelle]] [[politique]].
#* {{exemple|'''Sociétés Générales''' populaires. |lang=fr}}
#* {{exemple|'''Sociétés Générales''' secrètes. |lang=fr}}
# Petit groupe de personnes entretenant des liens plus ou moins étroits.
#* {{exemple|La lettre de cette sensible et vertueuse demoiselle fit verser des larmes à toute la famille. Sa mère lui répondit, au nom de la '''société''', de rester ou de revenir, à son gré, [...]. |source={{w|Jacques-Henri Bernardin de Saint-Pierre}}, ''{{w|Paul et Virginie}}'', 17881998 |lang=fr}}
#* {{exemple|[…] nous remontons au sommet du Hohneck par un sentier à nombreux zigzags, et bientôt toute la '''société''' réunie s’entasse pour déjeuner dans le restaurant en planches établi près de la table d’orientation du Club alpin. |source=Bulletin de la '''''Société''' d’histoire naturelle des Ardennes'', 1907 (vol. 14-18), page 56 |lang=fr}}
# {{term|En général}} Compagnie que [[forment]] [[entre]] [[eux]] les [[habitant]]s les [[plus]] [[distinguer|distingués]] d’une [[ville]].
#* {{exemple|…il était admis, sans la moindre contestation, dans les '''sociétés''' de la haute ville, espèce de monde supérieur vers lequel un riche bourgeois de Genève aspirait toujours, mais où il n’y avait place que pour un petit nombre d’élus. |source={{w|Julie de Quérangal}}, ''{{ws|Philippe de Morvelle}}'', Revue des Deux Mondes, t. 2, 4, 1833 |lang=fr}}
#* {{exemple|…moi, ça me lève le cœur, des fois, cette ivrognerie de personnes de la '''société''', vicieuses et sans aucune tenue. |source={{Citation/Francis Carco/Images cachées/19281998}} |lang=fr}}
# [[commerce|Commerce]] [[ordinaire]], [[habituel]] que l’[[on]] [[a]] avec [[certaines]] [[personne]]s.
#* {{exemple|Si nous apprenions que cet homme ''[…]'' a rapproché de lui une fille juive ; qu’il a erré dans cette '''société''' lubrique, et parcouru dans cette compagnie impure des lieux solitaires ''[…]'' que pourrions-nous dire, si ce n’est que le noble chevalier était possédé par quelque démon malin ou influencé par quelque sortilège sinistre ? |source={{Citation/Walter Scott/Ivanhoé/1820}} |lang=fr}}