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Archéologie en Auvergne
modifier- Arvernes
- Site archéologique de la Croix de la Pierre
- Lac de Sarliève
- Prospection pédestre
- Lezoux (prod)
- Fanum de Blanzat (MH)
- Thermes antiques de Royat (MH)
- Villa de Cheberne (MH)
- Alphonse Vinatié
- Fanum d'Aurillac (MH)
- Travaux Lamoine
- Hugues Vertet
- Prospections Saint-Beauzire
- Programme Minedor
Augustonemetum, à faire
modifierAugustonemetum, Arvernis, Temple de Vasso Galate (MH), Plateau des Côtes de Clermont (MH), Fanum de Blanzat (MH), Enceinte gallo-romaine de Clermont-Ferrand (MH), Égout gallo-romain de Clermont-Ferrand (MH), Théâtre de Montaudou, Thermes antiques de Royat, Source des Roches, Temple de Mercure (puy de Dôme)
Liens rouge Chesapeake
modifierNaval Board of Inquiry
modifier- (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Naval Board of Inquiry » (voir la liste des auteurs).
Charles Gordon
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Charles Gordon | |
Allégeance | États-Unis |
---|---|
Arme | United States Navy |
Grade | Capitaine |
Commandement | USS Chesapeake (1799) |
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Capt. Charles Gordon (1778?–1816) was a native of Kent County, Maryland, whose naval career began in 1799 as a midshipman and included service in the Quasi-War with France and the Barbary wars in Tripoli. He became lieutenant in 1800, commander in 1806, and captain in 1813. He was still captain of USS Constellation in Messina, Sicily, where he died on September 6, 1816. See Thomas H.S. Hamersley, ed., General Register of the United States Navy and Marine Corps, Arranged in Alphabetical Order for One Hundred Years, 1782–1882 (Washington, DC: THS Hamersley, 1882), p. 290; Morris Radoff, "Captain Gordon of the Constellation," Maryland Historical Magazine 67 (1972): 384–418; Christopher McKee, A Gentlemanly and Honorable Profession: The Creation of the U.S. Naval Officer Corps, 1794–1815 (Annapolis, MD: Naval Institute Press, 1991), pp. 293, 404. Stephen Tucker and Frank Reuter, Injured Honor: The Chesapeake-Leopard Affair (Annapolis, MD: Naval Institute Press, 1990), pp. 88–89, 193.
- (en) « Diplomacy and Duels on the High Seas : Littleton Waller Tazewell and the Challenge of HMS Euryalus »
HMS Melampus (1785)
modifierModèle:Infobox Navire de guerre
- (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « HMS Melampus (1785) » (voir la liste des auteurs).
Ambassadeur de Grande-Bretagne aux États-Unis
modifier- (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « List of Ambassadors of the United Kingdom to the United States » (voir la liste des auteurs).
George Cranfield Berkeley
modifier- (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « George Cranfield Berkeley » (voir la liste des auteurs).
Affaire du Little Belt
modifier- (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Little Belt Affair » (voir la liste des auteurs).
Hampton Roads Naval Museum
modifier- (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Hampton Roads Naval Museum » (voir la liste des auteurs).
Maritime Museum of the Atlantic
modifier- (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Maritime Museum of the Atlantic » (voir la liste des auteurs).
NVR
modifierEn construction
modifierVilla Grigy
modifier- [Brkojewitsch 2021] Gaël Brkojewitsch (dir.), La villa romaine de Grigy à Metz (Moselle), Paris, CNRS Éditions, coll. « Gallia Supplément » (no 65), (ISBN 978-2-271-13529-2, lire en ligne).
- [Brkojewitsch et al. 2017] Gaël Brkojewitsch, Simon Sedlbauer, Willy Tegel, Alexia Morel et Michaël Brunet, « Les structures artisanales de la villa de “Grigy” à Metz (Moselle) : apport de l’analyse morphologique des équipements et de l’étude du mobilier métallique à la caractérisation fonctionnelle des structures artisanales de la pars rustica », dans Frédéric Trément (dir.), Produire, Transformer et stocker dans les campagnes des Gaules romaines. Problèmes d’interprétation fonctionnelle et économique des bâtiments d’exploitation et des structures de production agro-pastorale, Aquitania, coll. « Suppléments » (no 38), (ISBN 978-2-910763-00-8), p. 731-756. .
- [Brkojewitsch et al. 2014] Gaël Brkojewitsch, Sandrine Marquié, Geneviève Daoulas, Guilherme Remor de Oliveira, Gaëtan Jouanin, Michaël Brunet, Simon Sedlbauer, Willy Tegel, Nadia Cantin et Valérie Thirion-Merle, « La villa gallo-romaine de Grigy à Metz (Ier siècle apr. J.-C.-Ve siècle apr. J.-C.). Caractérisation fonctionnelle des structures et identification des activités artisanales », Gallia, vol. 71.2, , p. 261-306 (ISSN 0016-4119, lire en ligne, consulté le ).
Villa Dehlingen
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Villa romaine du Gurtelbach | |
Localisation | |
---|---|
Pays | France |
Commune actuelle | Dehlingen |
Département moderne | Bas-Rhin |
Coordonnées | 48° 59′ 14″ nord, 7° 12′ 03″ est |
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À environ 1 km de la voie romaine Dieuze-Mayence, au lieu-dit Gurtelbach/Gorgelbach, une villa romaine a été découverte et partiellement fouillée par le pasteur Jean Ringel entre 1861 et 1864[2],[3]. D'une extension totale de 1,9 ha[3], le site a été redécouvert en 1993 puis fouillé sans interruption depuis cette date, notamment sous l'égide de la Société pour la recherche archéologique en Alsace Bossue[2]. Les fouilles se sont dans un premier temps consacrées à la partie résidentielle de l'établissement. Sur 400 m2, sept pièces, dont une à hypocauste, ont été mises au jour. La partie agricole de la villa se trouve au sud de la partie résidentielle et se compose d'au moins trois bâtiments reconnus à l'occasion d'une prospection géophysique[3]. Une grange y a été exhaustivement fouillée[3], ainsi qu'un atelier de métallurgie du IVe siècle, déjà vu par Ringel au XIXe siècle. Outre la fabrication de petits objets métalliques, cet atelier a servi à fabriquer des fausses monnaies à la fin du IIIe siècle[4]. Après une fugace occupation laténienne succède un premier établissement romain de type ferme[3]. La villa romaine est construite à la fin du Ier siècle, détruite partiellement vers 190, réaménagée à l'époque sévérienne puis détruite à la fin du IIIe siècle, avant une réoccupation sous la forme d'une ferme durant le IVe siècle et le premier quart du Ve siècle[5],[3]. Seule villa d'Alsace Bossue visitable et mise en valeur, un musée archéologique lui est dédiée dans le bourg de Dehlingen[6],[7].
Plusieurs sites romains sont attestés sur le territoire communal mais leur interprétation est incertaine[8].
Bibliographie
modifier- Paul Nüsslein et Claude Bortoluzzi, « 088 - Dehlingen », dans Pascal Flotté et Matthieu Fuchs, Le Bas-Rhin, Paris, Académie des inscriptions et belles-lettres, coll. « Carte archéologique de la Gaule » (no 67/1), (ISBN 2-87754-067-7), p. 240-243
- Maxime Calbris, Antonin Nüsslein, Paul Nüsslein et Manon Tailamée, « Une villa romaine en Alsace bossue », Archéologia, no 613, , p. 56-61 (ISSN 0570-6270).
Liens externes
modifierGabriel Fournier
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Naissance |
Thiers (Puy-de-Dôme) (France) |
---|---|
Nationalité | Français |
Domaines |
Histoire médiévale Archéologie |
---|---|
Diplôme | Faculté des lettres de Paris |
Formation | Faculté des lettres de Paris |
Directeur de thèse | Charles-Edmond Perrin |
Renommé pour | Le peuplement rural en Basse-Auvergne durant le Haut Moyen Âge (thèse de doctorat, 1962) |
Gabriel Fournier, né le à Thiers (Puy-de-Dôme), est un médiéviste et archéologue français.
[[Catégorie:Naissance en mars 1920]] [[Catégorie:Naissance à Thiers]] [[Catégorie:Étudiant de la faculté des lettres de Paris]] [[Catégorie:Médiéviste française]] [[Catégorie:Archéologue français]] [[Catégorie:Enseignant à l'université de Clermont-Ferrand]] [[Catégorie:Enseignant à l'université Clermont-Ferrand II]]
Jean-Luc Fiches
modifierJean-Luc Fiches, né le et mort le archéologue français, directeur de recherche honoraire du CNRS.
, est unPublications
modifierListe non-exhaustive[9].
Bibliographie
modifier- François Favory, « Hommage à Jean-Luc Fiches », dans Jean-Luc Fiches, Rosa Plana-Mallart et Victor Revilla Calvo (coord.), Paysages ruraux et territoires dans les cités de l'Occident romain. Gallia et Hispania, Nîmes, Presses universitaires de la Méditerranée, coll. « Mondes anciens », (ISBN 978-2-84269-968-0, lire en ligne), p. 17-22
- François Favory, « Hommage à Jean-Luc Fiches », dans Claude Raynaud (éd.), Voies, réseaux, paysages en Gaule. Actes du colloque en hommage à Jean-Luc Fiches, Narbonne, Presses universitaires de la Méditerranée, coll. « Supplément à la Revue archéologique de Narbonnaise » (no 49), (ISBN 979-10-92655-12-4, lire en ligne), p. 15-19
- Pierre Garmy, « Jean-Luc Fiches, in memoriam », Revue archéologique de Narbonnaise, vol. 45, , p. 6-15 (ISSN 0557-7705, lire en ligne, consulté le )
- Véronique Mathieu, « Hommage à Jean-Luc Fiches (1947-2012) », Gallia, vol. 73, no 1, , p. 1 (ISSN 0016-4119, lire en ligne, consulté le )
Notes et références
modifier- (en) Page de l'USS John Glenn sur NavSource
- Nüsslein et Bortoluzzi 2000, p. 241.
- Calbris et al. 2022, p. 58.
- Antonin Nüsslein, « Des ateliers monétaires dans les campagnes médiomatriques pendant l’Antiquité tardive : qui sont les fabricants de monnaies d’imitation de la vallée de la Sarre ? », dans Stéphane Martin, Monnaies et monétarisation dans les campagnes de la Gaule du Nord et de l'Est, de l'âge du Fer à l'Antiquité tardive, Bordeaux, Ausonius, (ISBN 978-2-35613-173-7, lire en ligne), p. 141-157.
- Nüsslein et Bortoluzzi 2000, p. 242-243.
- Calbris et al. 2022, p. 61.
- « La Villa - Musée et Sites Archéologiques de l'Alsace Bossue », sur cip-lavilla.fr (consulté le ).
- Nüsslein et Bortoluzzi 2000, p. 243-244.
- Pour une liste complète des publications, voir Garmy 2012, p. 7-15 ou « Jean-Luc Fiches - Bibliographie », sur Blog de l'Association d’études du monde rural gallo-romain (AGER) (consulté le ).
Liens externes
modifier- {{Autorité}}
- {{Bases recherche}}
{{Portail|historiographie|monde antique|archéologie}} {{DEFAULTSORT:Fiches, Jean-Luc}} [[Catégorie:Naissance en avril 1947]] [[Catégorie:Décès en octobre 2012]] [[Catégorie:Décès à 65 ans]] [[Catégorie:Archéologue français]] [[Catégorie:Directeur de recherche au CNRS]]
Jérôme France
modifierJérôme France est un historien français spécialiste de la Rome antique, d'histoire économique et financière.
Biographie
modifierTravaux
modifierDistinctions
modifierPublications
modifierListe non exhaustive
- Jérôme France, Tribut. Une histoire fiscale de la conquête romaine, Paris, Les Belles Lettres, (ISBN 978-2-251-45178-7)
- Christine Delaplace et Jérôme France, Histoire des Gaules - VIe s. av. J.-C. - VIe s. ap. J.-C., Paris, Armand Colin, coll. « Cursus / Histoire », , 6e éd. (1re éd. 1995) (ISBN 978-2-200-62688-4)
- Jérôme France et Frédéric Hurlet, Institutions romaines. Des origines aux Sévères, Paris, Armand Colin, coll. « Cursus », (ISBN 978-2-200-61450-8)
- Jérôme France, Finances publiques, intérêts privés dans le monde romain, Pessac, Ausonius, coll. « Scripta antiqua » (no 100), (ISBN 978-2-35613-181-2)
- Jérôme France et Jocelyne Nelis-Clément (dir.), La statio. Archéologie d'un lieu de pouvoir dans l'empire romain, Bordeaux, Ausonius, coll. « Scripta antiqua » (no 66), (ISBN 978-2-35613-112-6)
- Jérôme France, Le Haut-Empire romain. 44 a. C.-235 p. C., Paris, Armand Colin, coll. « Récap », (ISBN 978-2-200-28658-3)
- Guillaume Flamerie de Lachapelle, Jérôme France et Jocelyne Nelis-Clément, Rome et le monde provincial. Documents d'une histoire partagée - IIe s. a.C. - Ve s. p.C., Paris, Armand Colin, coll. « U / Histoire », (ISBN 978-2-200-24952-6)
- Jean Andreau, Jérôme France et Sylvie Pittia (dir.), Mentalités et choix économiques des Romains, Bordeaux, Ausonius, coll. « Scripta antiqua » (no 7), (ISBN 2-910023-43-5)
- Jérôme France, Quadragesima Galliarum. L'organisation douanière des provinces alpestres, gauloises et germaniques de l'Empire romain, Rome, École française de Rome, coll. « Collection de l'École française de Rome » (no 278), (ISBN 2-7283-0605-2)
Notes et références
modifierLiens externes
modifier{{Portail|historiographie}} {{CLEFDETRI:France, Jérôme}}
Philippe Leveau
modifierPhilippe Leveau, né le à Angoulême (Charente), est un historien et archéologue français. Spécialiste des relations sociétés-milieux, de l'Afrique du Nord romaine et des thématiques liées à la question de l'eau, il est connu pour ses travaux sur Césarée de Maurétanie/Cherchell et ses fouilles de la meunerie de Barbegal. Professeur d'Antiquités nationales à l'Université d'Aix-en-Provence de 1984 à 2002, il s'est également investi dans les recherches en Provence, notamment autour de l'étang de Berre et du marais des Baux.
Biographie
modifierParcours
modifierÉtudiant à Bordeaux où il réalise un travail de recherche sur l'idéologie politique de Julien l'Apostat[1], Philippe Leveau obtient l'agrégation d'histoire en 1963 (classé 36e)[2],[3]. Assistant d'histoire ancienne à l'Université d'Alger pendant six ans (1966-1972), il commence des recherches sur le territoire autour de Césarée de Maurétanie/Cherchell[2]. De 1972 à 1984, Philippe Leveau est maître-assistant à l'Université d'Aix-Marseille où il soutient en 1979 une thèse de 3e cycle, sous la direction de Paul-Albert Février : Caesarea de Maurétanie et son territoire. Contribution à l'étude des rapports ville-campagne dans l'Empire romain. Elle est publiée en 1984 aux presses de l'École française de Rome[4]. Il est élu la même année professeur d'Antiquités nationales à l'Université d'Aix-en-Provence où il finira sa carrière en 2002, admis à l'éméritat[2]. Il reste depuis très actif dans le domaine de la recherche, par son activité de publications et sa présence à des manifestations scientifiques.
Il a été membre du Conseil national de la recherche archéologique du au [2], membre de la commission pour les fouilles sous-marines, au titre de membre élu par la commission interrégionale de la recherche archéologique Sud-est.
Opérations de terrain
modifierLes archives papier de ses travaux sur Cherchell et ses environs sont déposés au Centre Camille Jullian[5].
Apports à l'archéologie
modifierEnseignements
modifierCAG 13.1 p. 6
https://journals.openedition.org/anneemaghreb/2062
Publications
modifierListe non-exhaustive[6].
- (en) Gül Sürmelihindi, Philippe Leveau, Christoph Spötl, Vincent Bernard et Cees W. Passchier, « The second century CE Roman watermills of Barbegal: Unraveling the enigma of one of the oldest industrial complexes », Science Advances, vol. 4, no 9, (ISSN 2375-2548, lire en ligne, consulté le )
- Philippe Leveau, « Certitudes et incertitudes dans l'interprétation des structures archéologiques : une réponse à Alain Ferdière », dans Frédéric Trément (dir.), Produire, Transformer et stocker dans les campagnes des Gaules romaines. Problèmes d’interprétation fonctionnelle et économique des bâtiments d’exploitation et des structures de production agro-pastorale, Bordeaux, Aquitania, coll. « Suppléments » (no 38), (ISBN 978-2-910763-00-8), p. 51-65
- Philippe Leveau, « Le Rhône romain dans sa basse plaine et dans son delta. Variations territoriales, sociétales et environnementales », Revue archéologique de Narbonnaise, t. 47, , p. 9-34 (ISSN 0557-7705, lire en ligne, consulté le )
- Philippe Leveau et Robert Thernot, « Le pont de Barbegal au vallon des Arcs à Fontvieille (Bouches-du-Rhône). Étude archéologique de la dérivation de l'aqueduc d'Arles. Aqueducs de la Gaule méditerranéenne », Gallia, t. 62, , p. 97-105 (ISSN 0016-4119, lire en ligne, consulté le )
- Pierre Garmy et Philippe Leveau (éd.), « Dossier: Villa et vicus en Gaule Narbonnaise », Revue archéologique de Narbonnaise, t. 35, , p. 1-317 (ISSN 0557-7705, lire en ligne, consulté le )
- Philippe Leveau, « L'hydrologie du Rhône, les aménagements du chenal et la gestion territoriale de ses plaines en aval d'Orange », Gallia, t. 56, , p. 99-108 (ISSN 0016-4119, lire en ligne, consulté le )
- Philippe Leveau, Caesarea de Maurétanie. Une ville romaine et ses campagnes, Rome, École française de Rome, coll. « Collection de l'École française de Rome » (no 70), , 556 p. (ISBN 2-7283-0060-7, lire en ligne)
- Philippe Leveau, « La ville antique et l'organisation de l'espace rural : villa, ville », Annales. Économies, Sociétés, Civilisations, t. 38.4, , p. 920-942 (ISSN 0395-2649, lire en ligne, consulté le )
Bibliographie
modifier- Robert Étienne, « Préface », dans Bouet et Verdin 2005, , p. 9
- Alain Bouet et Florence Verdin (éd.), Territoires et paysages de l'Âge du Fer au Moyen Âge. Mélanges offerts à Philippe Leveau, Bordeaux, Ausonius, coll. « Mémoires » (no 16), (ISBN 2-910023-65-6)
Notes et références
modifier- Étienne 2005.
- « Leveau Philippe », sur Fonds d'archives du Centre Camille Jullian UMR 7299 - HumaNum (consulté le ).
- « L'Institut de Géographie de Bordeaux en 1963 », Cahiers d'Outre-Mer, no 65, , p. 110-112 [112] (ISSN 0373-5834, lire en ligne, consulté le ).
- Leveau 1984.
- « Fonds Philippe Leveau », sur Fonds d'archives du Centre Camille Jullian UMR 7299 - HumaNum (consulté le ).
- Pour une liste complète des publications jusqu'en 2004, voir Bouet et Verdin 2005, p. 295-305.
Gergovie
modifier- Plateau de Gergovie (géologie + Arverniales & co)
- Siège de Gergovie (histoire & archéologie + intro débat)
- Gergovie (à modifier uniquement en village)
- Site archéologique de Gergovie (archéologie + débat)
Site archéologie de Gergovie
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Site archéologique de Gergovie | |||
Localisation | |||
---|---|---|---|
Pays | France | ||
Commune | La Roche-Blanche | ||
Département | Puy-de-Dôme | ||
Coordonnées | 45° 43′ 12″ nord, 3° 07′ 05″ est | ||
Géolocalisation sur la carte : Puy-de-Dôme
Géolocalisation sur la carte : France
| |||
modifier |
Le site archéologique de Gergovie situé sur la commune de La Roche-Blanche dans le Puy-de-Dôme englobe les découvertes archéologiques faites sur le plateau de Gergovie ainsi que dans ses environs. L'essentiel de l'occupation du plateau concerne la Protohistoire et l'Antiquité, notamment en lien avec la bataille de Gergovie
Topographie
modifierHistoriographie
modifierOccupations préhistorique et protohistorique ancienne
modifierL'oppidum laténien
modifierLe site antique
modifierL'agglomération secondaire
modifierLa présence d'une agglomération secondaire romaine postérieure au règne d'Auguste a été contestée[1] sur la base d'un article de synthèse[2], bien que le corpus des agglomérations indique uniquement l'existence d'une « agglomération augusto-tibérienne »[3] dont la chronologie se fonde sur les fouilles menées au XIXe siècle et au milieu du XXe siècle. Florian Baret souligne par ailleurs que « seule une reprise des recherches [...] peut réellement confirmer ou infirmer cette proposition »[3].
Le sanctuaire
modifierValorisation
modifierNotes et références
modifier- Deberge et Pertlwieser 2019, p. 450.
- Baret 2016.
- Baret 2015, t. 4, p. 248.
Bibliographie
modifierGénéralités
modifier- Daniel Leguet et Denis Tourlonias, « 302 - La Roche-Blanche », dans Michel Provost et Christine Mennessier-Jouannet (dir.), Le Puy-de-Dôme, Paris, Académie des inscriptions et belles-lettres, coll. « Carte archéologique de la Gaule » (no 63/2), (ISBN 978-2-87754-031-5), p. 264-291
Préhistoire
modifier- Jean-François Pasty, « L’occupation préhistorique du plateau de Gergovie (Puy-de-Dôme). Caractérisation des industries lithiques néolithiques », Revue archéologique du Centre de la France, vol. 55, (ISSN 1951-6207, lire en ligne, consulté le )
Protohistoire
modifier- Yann Deberge et al., « Présences militaires romaines dans le bassin clermontois », dans Michel Reddé (dir.), L’armée romaine en Gaule à l’époque républicaine. Nouveaux témoignages archéologiques, Glux-en-Glenne, Centre archéologique européen, coll. « Bibracte » (no 28), (ISBN 978-2-909668-96-3), p. 73-112
- Yann Deberge et Vincent Guichard, « Nouvelles recherches sur les travaux césariens devant Gergovie (1995-1999) », Revue archéologique du Centre de la France, t. 39, , p. 83-111 (ISSN 1951-6207, lire en ligne, consulté le )
- Yann Deberge et al., « Témoignages de la Guerre des Gaules dans le bassin clermontois, nouveaux apports », Revue archéologique du Centre de la France, t. 53, (ISSN 1951-6207, lire en ligne, consulté le )
- Yann Deberge et Thomas Pertlwieser (dir.), Les fortifications de l’oppidum de Gergovie. Bilan historiographique & nouvelles recherches (VIe et Ve s. av. J.-C, Ier s. av. J.-C. et Ier s. ap. J.-C), Clermont-Ferrand, Presses universitaires Blaise-Pascal, coll. « Terra Mater » (no 1), (ISBN 978-2-84516-850-3)
- Peter Jud, « L'architecture en pierre sèche de l'oppidum de Gergovie (Puy-de-Dôme) », dans Anne Villard-Le Tiec (dir.), Architectures de l’âge du Fer en Europe occidentale et centrale, Rennes, Presses Universitaires de Rennes, coll. « Archéologie et Culture », (ISBN 978-2-7535-7442-7), p. 639-641
- Pierre Moret, « Le mur à éperons de Gergovie : échos hellénistiques sur un oppidum gaulois », Pallas, no 105, , p. 223-233 (ISSN 0031-0387, lire en ligne, consulté le )
Antiquité
modifier- Florian Baret, Les agglomérations « secondaires » gallo-romaines dans le Massif Central (cités des Arvernes, Vellaves, Gabales, Rutènes, Cadurques et Lémovices) : 1er siècle avant J.-C. - Ve siècle après J.-C. (thèse de doctorat en archéologie), Clermont-Ferrand, Université Blaise-Pascal, (lire en ligne)
- Florian Baret, « Le réseau des agglomérations antiques dans les cités du Massif central (Arvernes, Vellaves, Gabales, Rutènes, Cadurques et Lémovices) entre le Ier s. av. J.-C. et le Ve s. ap. J.-C. », Gallia, t. 73.2, , p. 169-212 (ISSN 0016-4119, lire en ligne, consulté le )
- Magalia Garcia et Sandrine Oesterlé, « Organisation spatiale des sanctuaires arvernes : les exemples de Gergovie et de Corent à l'époque romaine (Puy-de-Dôme, F) », dans Daniel Castella et Marie-France Meyland Krause (dir.), Topographie sacrée et rituels. Les cas d'Aventicum, capitale des Helvètes, Bâle, Archéologie Suisse, coll. « Antiqua » (no 43), (ISBN 978-3-908006-35-0), p. 287-291
Cébeillac
modifierEntre 1970 et 1973, elle a dirigé des fouilles à Mégara Hyblaea (Sicile) qui ont mis au jour la nécropole méridionale de la cité[1].
http://www.anhima.fr/spip.php?auteur23 https://www.academia.edu/5767067/Compte_rendu_de_C._Berrendonner_M._Cebeillac-Gervasoni_L._Lamoine_dir._Le_Quotidien_municipal_dans_l_Occident_romain_Clermont-Ferrand_Presses_Universitaires_Blaise-Pascal_coll._Histoires_crois%C3%A9es_2008_807_p._dans_Histoire_et_Soci%C3%A9t%C3%A9s_Rurales_33_2010 https://condorcetclermont.fr/blog/category/hommage/
- Laurent Lamoine, « Ostie, aiguillon des programmes de recherche de Mireille Cébeillac-Gervasoni », dans Quinto seminario ostiense. In memoria di Mireille Cébeillac-Gervasoni
Hugues Vertet
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Naissance | |
---|---|
Décès | (à 93 ans) |
Nationalité | Français |
Résidence | France |
Domaines | Céramologie |
---|---|
Institutions | CNRS |
Formation | Université de Clermont-Ferrand |
Renommé pour | Recherches sur Lezoux |
Distinctions | Médaille de bronze du CNRS (1974) |
Hugues Vertet, né le et mort le archéologue français, spécialiste de céramologie. Son nom est associé à l'archéologie du centre de production de sigillée de Lezoux.
, est unEn 1966, il a soutenu une thèse de doctorat à l'université de Clermont-Ferrand, sur les lampes antiques du musée de Moulins[2].
Références
modifier- Henri Duday et Michel Gras (dir.), Mégara Hyblaea 6 : La nécropole méridionale de la cité archaïque, vol. 1 : Les données funéraires (notices des tombes et données biologiques), Rome, École française de Rome, coll. « Collection de l'École française de Rome », (ISBN 978-2-7283-1352-5, 2 février 2019), p. 2
- « Nouvelles universitaires », Revue archéologique du Centre de la France, t. 5.3, , p. 284 (ISSN 0220-6617, lire en ligne, consulté le ).
Liens externes
modifier- « Hugues Vertet », sur Musée départemental de la céramique de Lezoux
Petit camp de César
modifierLac de Sarliève
modifier
Lac de Sarliève | |||
Administration | |||
---|---|---|---|
Pays | France | ||
Coordonnées | 45° 44′ 04″ N, 3° 09′ 39″ E | ||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Puy-de-Dôme
| |||
modifier |
Contextes
modifierContexte géographique
modifierContexte géologique
modifierContexte archéologique
modifierHistoriographie
modifierNotes et références
modifierBibliographie
modifier- Frédéric Trément (dir.), « Un ancien lac au pied de l’oppidum de Gergovie (Puy-de-Dôme) : interactions sociétés-milieux dans le bassin de Sarliève à l’Holocène », Gallia, vol. 64, no 1, , p. 289-351 (ISSN 2109-9588, lire en ligne, consulté le )
Epasnactos
modifierEpasnactos, ou quelquefois Espasnactos, est un chef arverne, favorable aux Romains, auprès duquel le chef de la rébellion gauloise Lucterios vient chercher refuge après la bataille d'Uxellodunum. Epasnactos livre Lucterios à Jules César[1]. Il est connu aussi par un abondant monnayage, ses monnaies portent l'indication « EPAD » et certaines présentent au revers un guerrier debout, le casque à ses pieds tenant un bouclier et une enseigne, d'autres un cavalier. Ces monnaies ont peut-être été émises sur l'oppidum de Gergovie[Interprétation personnelle ?] où l'on en a retrouvé près de 250, soit plus que sur aucun autre site. Epasnactos était un grand personnage arverne dès avant 52 puisque 65 % des monnaies arvernes retrouvées dans les fossés d'Alésia sont légendées à son nom (types CICEDV.BRI/EPAD et EPAD "au cavalier"). La défaite de Vercingétorix renforça sans doute considérablement son poids politique.
Epasnactos, ou quelquefois Espasnactos, est un chef arverne mentionné dans les Commentaires sur la Guerre des Gaules, auquel est attribué plusieurs types de frappes monétaires.
Chef arverne
modifierSous la plume d'Aulus Hirtius, Epasnactos n'est mentionné qu'une seule fois, brièvement :
amicissimus populi romani
Émissions monétaires
modifierEPAD au cavalier à Alésia, camp D Nieto p. 40 attribution monnaie à Epasnactos remonte à 1763 par Pellerinn
Notes et références
modifier- Jules César, Guerre des Gaules, VIII, 44.
Bibliographie
modifier- Frédéric Trément, « Aux origines de la cité arverne », dans Daniel Martin, L'identité de l'Auvergne, Nonette, Créer, (ISBN 2-909797-70-8), p. 167-193
- Laurent Lamoine, « Se nommer, être nommé et intégrer le monde romain. À partir de la documentation gauloise », Droit et cultures, no 64, , p. 69-90 (ISSN 0247-9788, lire en ligne, consulté le )
- Aurélien Blanc, Marion Dacko, Bertrand Dousteyssier, Laurent Lamoine, Élise Nectoux et Jérôme Trescarte, « Les élites et les marqueurs du développement », dans Frédéric Trément (dir.), Les Arvernes et leurs voisins du Massif Central à l'époque romaine : une archéologie du développement des territoires, vol. 2, Revue d'Auvergne, (ISSN 1269-8946), p. 11-29
- Sylvia Nieto-Pelletier (dir.), Les Arvernes (Centre de la Gaule), Paris, Bibliothèque nationale de France/Musée d'archéologie nationale, coll. « Catalogue des monnaies celtiques » (no 1), (ISBN 978-2-7177-2566-7)
- Yann Deberge, Sylvain Foucras, Jean-François Pasty, Guillaume Hulin, Peter Jud, Daniel Leguet, Morgan Millet et François-Xavier Simon, « Présences militaires romaines dans le bassin clermontois », dans Michel Reddé (dir.), Les armées romaines en Gaule à l’époque républicaine. Nouveaux témoignages archéologiques, Glux-en-Glenne, Centre archéologique européen du Mont Beuvray, coll. « Bibracte » (no 28), (ISBN 978-2-909668-96-3), p. 73-112
- Christine Mennessier-Jouannet, Katherine Gruel, John Collis, Yann Deberge, Magali Garcia et Vincent Guichard, « Les émissions de monnaies arvernes en bronze aux IIe et Ier s. av. n. è. », dans Eneko Hiriart et al. (dir.), Monnaies et archéologie en Europe celtique. Mélanges en l’honneur de Katherine Gruel, Glux-en-Glenne, Centre archéologique européen du Mont Beuvray, coll. « Bibracte » (no 29), (ISBN 978-2-909668-97-0), p. 243-254
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