Tursac

commune française du département de la Dordogne

Tursac est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Tursac
Tursac
Le village de Tursac.
Blason de Tursac
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Sarlat-la-Canéda
Intercommunalité Communauté de communes de la Vallée de l'Homme
Maire
Mandat
Michel Talet
2020-2026
Code postal 24620
Code commune 24559
Démographie
Population
municipale
332 hab. (2021 en évolution de −6,74 % par rapport à 2015)
Densité 19 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 58′ 12″ nord, 1° 02′ 43″ est
Altitude Min. 56 m
Max. 237 m
Superficie 17,71 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de la Vallée de l'Homme
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Tursac
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Tursac
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Tursac
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Tursac
Liens
Site web tursac.jimdofree.com

Géographie

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Généralités

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La commune de Tursac est traversée par la Vézère et est bordée au nord-est par un de ses petits affluents, le Vimont.

Le village se trouve le long de la vallée de la Vézère à proximité des Eyzies.

Communes limitrophes

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Tursac est limitrophe de trois communes. Au nord-est, elle est distante d'une vingtaine de mètres du territoire de Saint-Léon-sur-Vézère.

Géologie et relief

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Géologie

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Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Tursac est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[1].

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire datant du Cénozoïque et de roches sédimentaires du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c3b-c, date du Coniacien moyen à supérieur, composée de calcaires bioclastiques grossiers et quartzeux jaunes à bryozoaires et gastéropodes, à niveaux gréseux (formation des Eyzies). La formation la plus récente, notée CFvs, fait partie des formations superficielles de type colluvions carbonatées de vallons secs : sable limoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « no 783 - Thenon » et « no 807 - Le Bugue » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et leurs notices associées[4],[5].

 
Carte géologique de Tursac.

Relief et paysages

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Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 56 mètres et 237 mètres[6],[7].

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [8]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1],[9]. La commune fait partie du Périgord noir, un paysage vallonné et forestier, qui ne s’ouvre que ponctuellement autour de vallées-couloirs et d’une multitude de clairières de toutes tailles. Il s'étend du nord de la Vézère au sud de la Dordogne (en amont de Lalinde) et est riche d’un patrimoine exceptionnel[10].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 17,71 km2[6],[11],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 18,15 km2[3].

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par la Vézère, le Grande Beune, le Vimont, Les Fangues, qui constituent un réseau hydrographique de 15 km de longueur totale[15],[Carte 1].

La Vézère, d'une longueur totale de 211,2 km, prend sa source en Corrèze dans la commune de Meymac et se jette dans la Dordogne — dont elle est l'un des principaux affluents — en rive droite, à Limeuil, face à Alles-sur-Dordogne[16],[17]. Elle traverse la commune du nord-est au sud-ouest sur huit kilomètres et demi dont deux servent de limite naturelle en deux tronçons, face à Peyzac-le-Moustier et aux Eyzies.

La Grande Beune, d'une longueur totale de 22,79 km, prend sa source dans la commune de Saint-Geniès et se jette dans la Vézère en rive gauche au sud du bourg des Eyzies[18]. Elle borde le territoire communal au sud sur près d'un kilomètre, face aux Eyzies.

Le Vimont, d'une longueur totale de 12,67 km, prend sa source à Bars et se jette dans la Vézère en rive droite, en limite de Tursac et de Peyzac-le-Moustier[19],[20]. Il marque la limite territoriale au nord-est sur plus d'un kilomètre face à Peyzac-le-Moustier.

Autre affluent de la Vézère, le ruisseau des Fangues arrose le nord de la commune sur près de deux kilomètres.

Gestion et qualité des eaux

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Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Vézère-Corrèze ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de la Vézère et de la Corrèze, d'une superficie de 3 730 km2 est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le conseil départemental de la Corrèze[21]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [22].

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[23]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[24].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 938 mm, avec 13,1 jours de précipitations en janvier et 6,7 jours en juillet[25]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Thenon à 19 km à vol d'oiseau[26], est de 12,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 907,1 mm[27],[28]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[29].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Tursac est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[30]. Elle est située hors unité urbaine[31] et hors attraction des villes[32],[33].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (70,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (70,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (69,3 %), zones agricoles hétérogènes (14,6 %), terres arables (9,3 %), prairies (5,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,2 %)[34]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Prévention des risques

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Le territoire de la commune de Tursac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[35]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[36].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Vézère, la Grande Beune et le Vimont. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1989, 1993, 1999 et 2008[37],[35]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques inondation (PPRI) de la « vallée de la Vézère » approuvé le , pour les crues de la Vézère. La crue historique la plus forte sur le secteur du PPRI pour laquelle des informations sont disponibles est la crue d’octobre 1960. Le débit de pointe de cette crue a été défini à 1 360 m3/s à Montignac, soit une période de retour d’environ 250 ans[38],[39].

Tursac est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[40]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[41],[42].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Tursac.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[43]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[44]. 11,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 3],[45].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[35].

Risque technologique

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La commune est en outre située en aval des barrages de Monceaux la Virolle et de Bort-les-Orgues, deux ouvrages de classe A[Note 4] situés dans le département de la Corrèze et faisant l'objet d'un PPI depuis 2009. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture d'un de ces ouvrages[47].

Toponymie

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En français comme en occitan, la commune porte le même nom[48].

Histoire

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Politique et administration

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Rattachements administratifs

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La commune de Tursac a, dès 1790, été rattachée au canton de Marquay qui dépendait du district de Sarlat jusqu'en 1795, date de suppression des districts. Lorsque ce canton est supprimé par la loi du 8 pluviôse an IX () portant sur la « réduction du nombre de justices de paix », la commune est rattachée au canton de Saint-Cyprien dépendant de l'arrondissement de Sarlat (devenu l'arrondissement de Sarlat-la-Canéda en 1965)[6].

Intercommunalité

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En 2002, Tursac intègre la communauté de communes Terre de Cro-Magnon. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté de communes de la Vallée de l'Homme.

Administration municipale

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La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[49],[50].

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
avant 1981 ? Hélen Gourvat DVG  
    François Bouyssou    
mars 1983[51]
(réélu en mai 2020)
En cours Michel Talet SE[52] Retraité agricole

Équipements et services publics

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Justice

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En 2023, dans le domaine judiciaire, Tursac relève[53] :

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[54]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[55].

En 2021, la commune comptait 332 habitants[Note 5], en évolution de −6,74 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
715730667722709670694734789
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
792787770703729774743676591
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
505503485413376356339368293
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
242217238263316340324319347
2018 2021 - - - - - - -
330332-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[6] puis Insee à partir de 2006[56].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

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En 2015[57], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 149 personnes, soit 41,9 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (vingt-huit) a plus que doublé par rapport à 2010 (treize) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 18,7 %.

Établissements

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Au , la commune compte cinquante-deux établissements[58], dont vingt-huit au niveau des commerces, transports ou services, onze dans la construction, sept dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, et six relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale[59].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Patrimoine civil

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Patrimoine religieux

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Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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  Blason
Écartelé : aux 1er et 4e d'or au lion de gueules, aux 2e et 3e de gueules à la croix de Lorraine d'argent cantonnée en chef, à dextre, d'un croissant et à senestre d'une étoile, et en pointe, à dextre, d'une étoile et à senestre d'un croissant, le tout d'or.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12],[13].
  3. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  4. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[46].
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Tursac » sur Géoportail (consulté le 18 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
  2. « Carte géologique de Tursac » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
  3. a et b « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Tursac », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le ).
  4. « Notice associée à la feuille no 783 - Thenon de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  5. « Notice associée à la feuille no 807 - Le Bugue de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  6. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  7. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com.
  8. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  9. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  10. « Portrait du Périgord noir », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  11. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Tursac », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le ).
  13. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le ).
  14. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  15. « Fiche communale de Tursac », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le ).
  16. « Confluence Vézère-Dordogne face au Port de Limeuil » sur Géoportail (consulté le 28 septembre 2022)..
  17. Sandre, « la Vézère »
  18. Sandre, « la Grande Beune »
  19. « Confluence Vimont-Vézère au sud-ouest du Moustier » sur Géoportail (consulté le 28 septembre 2022)..
  20. Sandre, « le Vimont »
  21. « SAGE Vézère-Corrèze », sur gesteau.fr (consulté le ).
  22. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
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  33. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
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  59. Dossier complet - Commune de Tursac (24559) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 5 février 2019.
  60. « Fort de Tursac », notice no PA00083033, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 6 septembre 2020.
  61. « Gisement préhistorique de la Madeleine », notice no PA00083036, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 6 septembre 2020.
  62. « Château de Marzac », notice no PA00083031, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 6 septembre 2020.
  63. « Maison forte de Reignac », notice no PA00083042, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 6 septembre 2020.
  64. « Gisement préhistorique dit de la Maison Forte de Reignac », notice no PA00083037, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 6 septembre 2020.
  65. « Gisement préhistorique ou Abri du Facteur », notice no PA00083039, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 6 septembre 2020.
  66. « Gisement préhistorique de Liveyre », notice no PA00083035, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 6 septembre 2020.
  67. « Gisement préhistorique du Roc du Barbeau », notice no PA00083040, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 6 septembre 2020.
  68. « Gisement préhistorique du Ruth ou Abri Pages », notice no PA00083038, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 6 septembre 2020.
  69. « Gisement préhistorique dit Abri Cellier au Ruth », notice no PA00083034, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  70. [White et al. 2017] (en) Randall White, Raphaëlle Bourrillon, Romain Mensan, Amy Clark, Laurent Chiotti, Thomas Higham, Sarah Ranlett, Élise Tartar, André Morala et Marie-Cécile Soulier, « Newly discovered Aurignacian engraved blocks from Abri Cellier: History, context and dating », Quaternary International,‎ , p. 1-27 (lire en ligne [sur academia.edu]).
  71. « Grotte de La Forêt », notice no PA00083041, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 6 septembre 2020.
  72. Henri Delporte, « L'abri du Facteur à Tursac (Dordogne) - I. Étude générale, industrie et statuette », p. 1, in Gallia Préhistoire, 1968, t. XI, sur Persée.
  73. « Eglise Saint-Julien », notice no PA00083032, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 6 septembre 2020.
  74. a b et c Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN 2-87624-125-0), p. 130.
  75. Maison forte de Reignac : le Bouc de l'Alchimiste et les esprits dans la falaise