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'''Elf Aquitaine''' était une société [[France|française]] d'extraction pétrolière.
 
Elle reste particulièrement associée à la [[Françafrique]]. Structurée pour mener une véritable diplomatie parallèle, Elf Aquitaine permet au gouvernement français d'exercer un contrôle serré sur les pays africains de son [[pré carré]]. L’entreprise met en place un vaste système de contrôle et de corruption des régimes africains riches en pétrole, particulièrement le [[Gabon]] et le [[Congo-Brazza|Congo]], et finance de façon occulte des partis politiques en France.
 
D'abord publique, l'entreprise est privatisée en [[1994]] pour 33 milliards de francs<ref>{{Lien web |titre=La privatisation d'Elf a été un succès |url=https://www.lesechos.fr/1995/01/la-privatisation-delf-a-ete-un-succes-847630 |site=Les Echos |date=1995-01-06 |consulté le=1 avril 2020}}</ref>. Alors qu'elle s'apprête à faire une [[offre publique d'achat]] (OPA) sur [[Total (entreprise)|Total]], Elf subit les contrecoups boursiers produits par l'[[Affaire Elf|enquête]] de la [[juge d'instruction]] [[Eva Joly]]. À la suite d'interminables démêlés politico-judiciaires, Elf est absorbé par le groupe Total pour former [[TotalFinaElf]].