Saint-Aquilin

commune française du département de la Dordogne

Saint-Aquilin est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Saint-Aquilin
Saint-Aquilin
L'église Saint-Eutrope de Saint-Aquilin.
Blason de Saint-Aquilin
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Périgueux
Intercommunalité Communauté de communes Isle Vern Salembre en Périgord
Maire
Mandat
Annie Dutilh-Lespinasse
2020-2026
Code postal 24110
Code commune 24371
Démographie
Gentilé Aquilinois
Population
municipale
470 hab. (2021 en évolution de −4,28 % par rapport à 2015)
Densité 21 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 11′ 13″ nord, 0° 29′ 40″ est
Altitude Min. 97 m
Max. 232 m
Superficie 22,35 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de la Vallée de l'Isle
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Saint-Aquilin
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Saint-Aquilin
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Voir sur la carte topographique de la Dordogne
Saint-Aquilin
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Saint-Aquilin

Géographie

modifier

Généralités

modifier

À cinq kilomètres au nord-nord-est de Saint-Astier, la commune de Saint-Aquilin est située à l'extrémité orientale de la forêt de la Double.

Son territoire est essentiellement forestier.

Communes limitrophes

modifier

Saint-Aquilin est limitrophe de six autres communes. Au nord-ouest, son territoire est distant d'une centaine de mètres de celui de Douchapt.


Géologie et relief

modifier

Géologie

modifier

Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Saint-Aquilin est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[1].

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c5b, date du Campanien 2, des calcaires crayo-marneux blanchâtres à grosses silicifications grises en alternance dures et tendres puis calcaire crayeux à glauconie. La formation la plus récente, notée CFvs, fait partie des formations superficielles de type colluvions carbonatées de vallons secs : sable limoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « no 758 - Périgueux (ouest) » et « no 782 - Mussidan » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et leurs notices associées[4],[5].

 
Carte géologique de Saint-Aquilin.

Relief et paysages

modifier

Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 97 mètres et 232 mètres[6],[7].

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [8]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1],[9]. La commune fait partie de la Double, au sein de l'unité de paysage « La Double et le Landais », deux plateaux ondulés, dont la pente générale descend de l'est vers l'ouest. À l'est, les altitudes atteignent ainsi les 200 m pour les plus élevées (233 m au sud de Tocane-Saint-Apre). Vers l'ouest, le relief s’adoucit et les altitudes maximales culminent autour des 100 mètres[10]. Les paysages sont forestiers aux horizons limités, avec peu de repères, ponctués de clairières agricoles habitées[11].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 22,35 km2[6],[12],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 22,44 km2[3].

Hydrographie

modifier

Réseau hydrographique

modifier

La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[15]. Elle est drainée par le Salembre, le Jouis, le Sauvagnac, le ruisseau de Combenègre et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 26 km de longueur totale[16],[Carte 1].

Le Salembre, d'une longueur totale de 16,97 km, prend sa source dans le nord-est de la commune, près du lieu-dit la Chaise, et se jette dans l'Isle en rive droite à Neuvic, au sud de Neuvic Gare[17]. Il traverse le territoire communal sur huit kilomètres et demi du nord-est au sud-ouest dont trois kilomètres et demi lui servent de limite naturelle, en deux tronçons, face à Tocane-Saint-Apre et Chantérac.

Son affluent de rive droite le ruisseau de Combenègre arrose le nord de la commune sur environ 800 mètres.

Autre affluent de rive droite de l'Isle, le Jouis prend sa source dans le nord-est de la commune qu'il baigne sur un kilomètre.

Le Sauvagnac, affluent de rive gauche de la Dronne, prend sa source dans le nord du territoire communal qu'il arrose sur 260 mètres.

Gestion et qualité des eaux

modifier

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[18]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [19].

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[20]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[21].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 948 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 7,2 jours en juillet[22]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Martin-de-Fressengeas à 8 km à vol d'oiseau[23], est de 12,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 050,4 mm[24],[25]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[26].

Urbanisme

modifier

Typologie

modifier

Au , Saint-Aquilin est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[27]. Elle est située hors unité urbaine[28] et hors attraction des villes[29],[30].

Occupation des sols

modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (56,1 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (54,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (54,8 %), zones agricoles hétérogènes (31,4 %), prairies (12,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,3 %)[31]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Villages, hameaux et lieux-dits

modifier
  • Abbaye de Boisset
  • aux Légitimes
  • Barbeau
  • Bardisseau
  • Betoula
  • Binlou
  • Boisset
  • Bonnet
  • Borias
  • Chapeau Rouge
  • Charoulas
  • Charroux
  • Château de Belet
  • Chausse-Vieux
  • Daudière
  • Étang des Garennes
  • Fenêtre Basse
  • Fenêtre Haute
  • Férodie
  • Ferronie
  • Fontaine des Combes
  • Forêt des Cailloux
  • Germot
  • Jaubertie
  • Jauviac
  • la Barde
  • la Cabane du Facteur
  • la Chabane
  • la Chaise
  • la Cigale
  • la Clavelie
  • la Combe du Loup
  • la Pouge
  • la Vigerie Basse
  • la Vigerie Haute
  • Lambertie
  • Lavignac
  • le Claud de la Charlotte
  • le Claud des Débats
  • le Jard
  • le Meynichoux
  • le Moulin de Belet
  • le Moulin de Fenêtre
  • le Puy de Charroux
  • le Salembre
  • le Salembre
  • le Ventadou
  • les Barbilloux
  • les Fayes
  • les Fontenelles
  • les Gayettes
  • les Gélines
  • les Landes de Borias
  • les Péchiers et les Feytaux
  • les Réveilles
  • les Sésérals
  • Lescobrue
  • Maisonneuve
  • Marcomte
  • Merlerie
  • Moncé
  • Peypissot
  • Peyramier
  • Pierre Brune
  • Puy Gros
  • Puymau
  • Renardière
  • Reverdie
  • Rodas
  • Ruisseau de Combenègre
  • Seyssac
  • Toupy
  • Tournier
  • Vitrac

Prévention des risques

modifier

Le territoire de la commune de Saint-Aquilin est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[32]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[33].

Saint-Aquilin est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[34]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[35],[36].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Aquilin.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[37]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[38]. 99,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 3],[39].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1986, 1999 et 2018, par la sécheresse en 1989, 1991, 1995, 2003 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[32].

Toponymie

modifier

Le nom de la commune se réfère à saint Aquilin, évêque d'Évreux au VIIe siècle[40].

En occitan, la commune porte le nom de Sent Agulin[41].

Histoire

modifier

L'histoire de Saint-Aquilin remonte à l'époque néolithique comme l'atteste le dolmen de Peyre-Brune. Les objets trouvés dans cette sépulture : pendeloques, débris de pots, fragments de vases, haches, couteaux, poinçons et flèches, sont conservés, au Musée d'art et d'archéologie du Périgord à Périgueux[42].

La première mention écrite connue du village apparaît au XIIe siècle sous la forme latine Sancti Aquilini[40].

Politique et administration

modifier

Rattachements administratifs

modifier

Dès 1790, la commune de Saint-Aquilin a été rattachée au canton de Saint Vincent qui dépendait du district de Ribérac jusqu'en 1795, date de suppression des districts. Lorsque ce canton est supprimé par la loi du 8 pluviôse an IX () portant sur la « réduction du nombre de justices de paix », la commune est rattachée au canton de Neuvic dépendant de l'arrondissement de Ribérac jusqu'en 1926 puis de l'arrondissement de Périgueux[6].

Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[43]. La commune est alors rattachée au canton de la Vallée de l'Isle, dont le bureau centralisateur est fixé à Neuvic.

Intercommunalité

modifier

Fin 2003, Saint-Aquilin intègre dès sa création la communauté de communes de la Vallée du Salembre. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté de communes Isle Vern Salembre en Périgord.

Administration municipale

modifier

La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[44],[45].

Liste des maires

modifier
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
1808 1831 Pierre Laronze   Notaire
1831 1845 Victor Fourgeaud    
1845 1863 Marc Léonard Camaielle Mauriac    
1863 1870 François Cournier Lasserve    
1870 1874 Sicaire Dubesset    
1874 1878 Jean Boisseuil    
1878 1888 Raymond Dubesset    
1888 1909 Ferdinand d'Escatha    
1909 1919 Raymond Dubesset    
1919 1939 Célestin Renaudie    
1939 1944 François d'Escatha    
1944 1953 Paul Élie    
1953 1959 Ubert Beaudeau    
1959 1965 Roger Marachet    
1965 1989 Marcel Magne DVG  
1989 mars 2008 Pascal Deguilhem PS Conseiller général
Député
mars 2008 avril 2014 Josiane Durieux SE[46] Employée de bureau
avril 2014[47] mai 2020 Annick Dezon DVG  
mai 2020[48] En cours Annie Dutilh-Lespinasse    

Politique environnementale

modifier

Dans son palmarès 2023, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué une fleur à la commune[49].

Équipements et services publics

modifier

Enseignement

modifier

À la rentrée scolaire 2023, les communes de Léguillac-de-l'Auche et de Saint-Aquilin font partie d'un regroupement pédagogique intercommunal (RPI)[50]. Du cours élémentaire 1re année jusqu'au cours moyen 2e année, les élèves sont scolarisés à Léguillac-de-l'Auche, au groupe scolaire Michel-Berger, et les classes de maternelle et de cours préparatoire sont assurées à Saint-Aquilin[50].

Justice

modifier

Dans le domaine judiciaire, Saint-Aquilin relève[51] :

Population et société

modifier

Démographie

modifier

Les habitants de Saint-Aquilin se nomment les Aquilinois[52].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[53]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[54].

En 2021, la commune comptait 470 habitants[Note 4], en évolution de −4,28 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 3001 0789521 0231 0421 1031 0281 0701 085
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0611 0681 001920959989976882825
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
734690702596574571535519533
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
515440381388387450485495491
2018 2021 - - - - - - -
472470-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[6] puis Insee à partir de 2006[55].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

modifier

En 2015[56], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 225 personnes, soit 45,8 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (31) a augmenté par rapport à 2010 (29) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 13,6 %.

Établissements

modifier

Au , la commune compte 41 établissements[57], dont quinze au niveau des commerces, transports ou services, dix dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, huit dans la construction, quatre relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, et quatre dans l'industrie[58].

Culture locale et patrimoine

modifier

Lieux et monuments

modifier

Personnalités liées à la commune

modifier

Héraldique

modifier
  Blason
De gueules à trois belettes d'argent ; au chef d'or chargé d'une fontaine héraldique de sinople à trois sources d'or[61].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir

modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

modifier

Articles connexes

modifier

Liens externes

modifier

Notes et références

modifier

Notes et cartes

modifier
  • Notes
  1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[13],[14]
  3. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Saint-Aquilin » sur Géoportail (consulté le 18 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

modifier
  1. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
  2. « Carte géologique de Saint-Aquilin » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
  3. a et b « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Saint-Aquilin », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le ).
  4. « Notice associée à la feuille no 758 - Périgueux (ouest) de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  5. « Notice associée à la feuille no 782 - Mussidan de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  6. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  7. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com.
  8. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  9. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  10. « la Double et le Landais-repères géographiques », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  11. « Portrait de l'unité de paysage la Double et le Landais », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  12. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Saint-Aquilin », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  13. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le ).
  14. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le ).
  15. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  16. « Fiche communale de Saint-Aquilin », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le ).
  17. Sandre, « le Salembre »
  18. « SAGE Isle - Dronne », sur gesteau.fr (consulté le ).
  19. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  21. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  22. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  23. « Orthodromie entre Saint-Aquilin et Tocane-Saint-Apre », sur fr.distance.to (consulté le ).
  24. « Station Météo-France « Saint-Martin-de-Fressengeas » (commune de Saint-Martin-de-Fressengeas) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  25. « Station Météo-France « Saint-Martin-de-Fressengeas » (commune de Saint-Martin-de-Fressengeas) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  26. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  27. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  28. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  29. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  30. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  31. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  32. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Aquilin », sur Géorisques (consulté le ).
  33. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  34. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  35. « Protection de la forêt contre les incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine, (consulté le ).
  36. « Plans Départementaux et Inter-Départementaux de Protection des Forêts Contre les Incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine (consulté le ).
  37. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  38. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  39. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  40. a et b Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 299.
  41. Le nom occitan des communes du Périgord sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le .
  42. Panneau d'information « Le dolmen de Peyre-Brune » à côté du dolmen, vu le 27 juillet 2008.
  43. Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
  44. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 9 septembre 2020.
  45. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 9 novembre 2020.
  46. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 18.
  47. À Saint-Aquilin, Sud Ouest édition Périgueux du 9 avril 2014, p. 18.
  48. « L'intercommunalité a élu son président », Sud Ouest édition Dordogne, 23 juillet 2020, p. 24.
  49. Les communes labellisées, Site des villes et villages fleuris, consulté le .
  50. a et b « Stabilité au groupe scolaire », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 17.
  51. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
  52. Fiche commune Saint-Aquilin, Union des maires de la Dordogne, consultée le 23 novembre 2016.
  53. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  54. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  55. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  56. Dossier complet - Commune de Saint-Aquilin (24371) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 18 décembre 2018.
  57. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
  58. Dossier complet - Commune de Saint-Aquilin (24371) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 18 décembre 2018.
  59. « Eglise Saint-Eutrope », notice no PA24000060, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le .
  60. « Dolmen de Peyrebrune », notice no PA00082801, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le .
  61. « 24371 Saint-Aquilin (Dordogne) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).