Rue de Saint-Senoch

rue de Paris, en France

La rue de Saint-Senoch est une voie du 17e arrondissement de Paris, en France.

17e arrt
Rue de Saint-Senoch
Voir la photo.
La rue en août 2021.
Voir la plaque.
Situation
Arrondissement 17e
Quartier Ternes
Début 32, rue Bayen
Fin 45, rue Laugier
Morphologie
Longueur 165 m
Largeur 13,1 m
Historique
Création 1906-1908
Dénomination 1906-1908
Géocodification
Ville de Paris 8982
DGI 8758
Géolocalisation sur la carte : Paris
(Voir situation sur carte : Paris)
Rue de Saint-Senoch
Géolocalisation sur la carte : 17e arrondissement de Paris
(Voir situation sur carte : 17e arrondissement de Paris)
Rue de Saint-Senoch
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Situation et accès

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La rue de Saint-Senoch est une voie publique située dans le 17e arrondissement de Paris. Elle débute au 32, rue Bayen et se termine au 45, rue Laugier.

Le quartier est desservi par la ligne de métro 2 à la station Ternes et par la ligne 3 à la station Pereire.

Origine du nom

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La rue porte le nom de la famille Haincque de Saint-Senoch, propriétaire des terrains.

Historique

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Cette voie est ouverte sous sa dénomination actuelle en 1906-1908 puis est classée dans la voirie de Paris par un décret du .

Bâtiments et lieux de mémoire

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  • No 7 : en 2003, la phoniatre Élisabeth Fresnel installe au rez-de-chaussée de cet immeuble un endroit unique en France, le Laboratoire de la voix, rassemblant l’ensemble des spécialistes des soins de la voix[1].
  • No 9 : consulat du Portugal dans les années 1920[2].
  • No 10 : le peintre Léo Fontan a résidé ici de 1920 à 1939, ainsi que, en 1960, l'artiste peintre impressionniste de l'école de Crozant Clémentine Ballot (1879-1964).
  • No 14 : le 16 mars 2007, la moitié des habitants de l’immeuble se réunissent pour fêter les 100 ans de leur voisine, Élise Minvielle, surnommée tante Lisette, qui recevra à cette occasion 100 fleurs[3].
  • No  17 : immeuble d'ateliers d'artistes construit en 1910 par l'architecte George Thirion et l'entreprise de l'ingénieur François Hennebique. Son ossature est en béton, clairement affirmée, le bois et le métal étant utilisés pour les huisseries et la brique pour le remplissage.
  • No 25 : l'écrivain Colette y résida de 1908 à 1911[4].

Au cinéma

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Références

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  1. Ariane Singer, « Ici, chacun trouve sa voix », Le Point, 1er décembre 2014.
  2. « Legaciones y Oficinas de Pasaportes », La Semaine à Paris, 21 novembre 1924, p. IV, sur Gallica.
  3. Raphaël Domenach, « Immeuble en fête pour les 100 ans de Lisette », Le Parisien, 17 mars 2007.
  4. Société des amis de Colette, « Lieux de vie », sur amisdecolette.fr (consulté le ).

Annexes

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Articles connexes

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Liens externes

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