Roquefort-sur-Soulzon

commune française du département de l'Aveyron (Occitanie)

Roquefort-sur-Soulzon est une commune française, située dans le département de l'Aveyron, en région Occitanie. Sa notoriété provient du fromage de brebis qui porte son nom.

Roquefort-sur-Soulzon
Roquefort-sur-Soulzon
Le bourg de Roquefort-sur-Soulzon.
Blason de Roquefort-sur-Soulzon
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Aveyron
Arrondissement Millau
Intercommunalité Communauté de communes Saint Affricain, Roquefort, Sept Vallons
Maire
Mandat
Bernard Sirgue
2020-2026
Code postal 12250
Code commune 12203
Démographie
Gentilé Roquefortais(es)
Population
municipale
502 hab. (2022 en évolution de −12,24 % par rapport à 2016)
Densité 29 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 58′ 30″ nord, 2° 59′ 31″ est
Altitude Min. 424 m
Max. 828 m
Superficie 17,03 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Saint-Affrique
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Roquefort-sur-Soulzon
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Roquefort-sur-Soulzon
Géolocalisation sur la carte : Aveyron
Voir sur la carte topographique de l'Aveyron
Roquefort-sur-Soulzon
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
Voir sur la carte administrative d'Occitanie (région administrative)
Roquefort-sur-Soulzon

Elle fait partie de l'ancienne province du Rouergue, dont la langue vernaculaire était, avant le français, une forme d'occitan, le rouergat.

Géographie

modifier

Généralités

modifier
 
La vallée du Soulzon vue depuis le bourg en direction du nord-est.

Dans le quart sud-est du département de l'Aveyron, dans le parc naturel régional des Grands Causses, la commune de Roquefort-sur-Soulzon matérialise une fraction sud du Massif central. D'une superficie de 17,03 km2, elle s'étend sur une partie des contreforts du Larzac. Elle est traversée du nord-est au nord-ouest sur près de cinq kilomètres par le Soulzon, dont deux kilomètres lui servent de limite naturelle au nord-ouest. Elle est également arrosée par plusieurs de ses affluents mais aussi au sud par des affluents ou sous-affluents de la Sorgues (ruisseaux de Massergues, des Pradeilles, de Saint-Jean, de Vailhauzy).

L'altitude minimale, 424 mètres, se trouve localisée à l'extrême nord, là où le Soulzon quitte la commune et entre sur celle de Saint-Rome-de-Cernon. L'altitude maximale avec 828 mètres est située au nord-est, en limite de Saint-Rome-de-Cernon, sur les hauteurs en rive droite du Soulzon.

Implanté à l'intersection des routes départementales (RD) 23 et 53, le bourg de Roquefort-sur-Soulzon est situé, en distances orthodromiques, huit kilomètres et demi à l'est-nord-est de Saint-Affrique. Il surplombe l'étroite vallée parcourue par le Soulzon et est adossé au flanc nord du Combalou. Des grottes naturelles ont été créées par l'effondrement du plateau calcaire du Combalou, en bordure des Grands Causses. Sur deux kilomètres seulement, une gigantesque fissure a donné naissance à des grottes et à des failles appelées « fleurines » qui, aujourd'hui encore, assurent une ventilation parfaite aux caves aménagées par l'homme dans la roche, les caves de Roquefort où est affiné le fromage qui en a pris le nom, le roquefort.

La commune est également desservie par les RD 293 et 999.

Communes limitrophes

modifier
 
Carte de Roquefort-sur-Soulzon et des communes avoisinantes.

Roquefort-sur-Soulzon est limitrophe de cinq autres communes.

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Sud-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 500 mm, minimale en été, maximale en automne[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 990 mm, avec 10,7 jours de précipitations en janvier et 4,9 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de La Cavalerie à 14 km à vol d'oiseau[3], est de 10,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 934,2 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme

modifier

Typologie

modifier

Au , Roquefort-sur-Soulzon est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[8],[9].

Lieux-dits et écarts

modifier

Le chef-lieu proprement dit est peuplé d'environ 170 habitants permanents, le reste de la population est dispersée dans divers hameaux et lieux-dits : le Bousquet Bas, le Bousquet Haut, Caumillas, les Espires, Lauras, Montégut, Moussac, Pradeilles, Saint-Privat, Salès, Tendigues.

Lauras est un village de près de 500 habitants, en expansion démographique, situé à trois kilomètres du chef-lieu. Ses terres sont riches en fossiles.

Toponymie

modifier

Histoire

modifier

Le site de Roquefort est fréquenté depuis des millénaires comme l'attestent les riches vestiges de son musée préhistorique (actuellement fermé pour des raisons de sécurité). Dès le Chasséen, vers 4 000 av. J.-C., le site est occupé sans solution de continuité jusqu'à nos jours. Il est qualifié en 1948 par Louis Balsan, de « Capitale de la préhistoire des Grands Causses ».

Au XVe siècle, Charles VII fait du village de Roquefort le seul à pouvoir affiner le roquefort.

En 1666, un arrêt du Parlement de Toulouse autorise des poursuites contre tout fabricant de fromage utilisant l'appellation d'origine roquefort de manière frauduleuse.

En 1925 une loi fixe définitivement le statut de l’appellation d’origine roquefort.

Politique et administration

modifier

Liste des maires

modifier
 
L'hôtel de ville en 2019.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1813 1830 Antoine Laumière    
1830 1836 Marcelin Barascud    
1836 1847 Étienne Vernhet    
1847 1878 Amédée Coupiac    
1878 1890[Note 1] Eugène Abeille[Note 2]    
1890 1904 Auguste Vernières    
1904 1906 Maurice Seres    
1906 1919 Louis Maraval    
1920 1939 Nicolas Régis[Note 2]    
1939 1944 Léon Vernières[Note 3]   1er adjoint faisant fonctions de maire
1945 1947 Louis Treillet   1er adjoint faisant fonctions de maire
1947 1965 Jean Gastal   Industriel fromager
1965 1971 Henri Treillet   Cadre de la Société des Caves
1971 1989 Benjamin Crouzat   Industriel fromager
1989
(réélu en juillet 2020)
en cours Bernard Sirgue[10],[11] UMP-LR Ancien artisan, commerçant ou chef d'entreprise

Démographie

modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[12]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[13].

En 2022, la commune comptait 502 habitants[Note 4], en évolution de −12,24 % par rapport à 2016 (Aveyron : +0,17 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2473621 1141 2391 3151 2721 388609591
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
7045956059907718071 296971855
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
9371 2181 3661 4071 4531 4951 4841 3571 289
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
1 4881 349949880789679690691620
2017 2022 - - - - - - -
552502-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[14] puis Insee à partir de 2006[15].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

modifier

Revenus

modifier

En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 228 ménages fiscaux[Note 5], regroupant 511 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 22 370 [I 2] (20 640  dans le département[I 3]).

Taux de chômage
Division 2008 2013 2018
Commune[I 4] 2,4 % 6,8 % 7,3 %
Département[I 5] 5,4 % 7,1 % 7,1 %
France entière[I 6] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 328 personnes, parmi lesquelles on compte 78 % d'actifs (70,7 % ayant un emploi et 7,3 % de chômeurs) et 22 % d'inactifs[Note 6],[I 4]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département, mais inférieur à celui de la France, alors qu'il était inférieur à celui du département et de la France en 2008.

La commune est hors attraction des villes[Carte 1],[I 7]. Elle compte 1 132 emplois en 2018, contre 1 108 en 2013 et 1 181 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 233, soit un indicateur de concentration d'emploi de 486 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 56,6 %[I 8].

Sur ces 233 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 141 travaillent dans la commune, soit 60 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 67,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,7 % les transports en commun, 24 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 6,4 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].

Activités hors agriculture

modifier

Secteurs d'activités

modifier

97 établissements[Note 7] sont implantés à Roquefort-sur-Soulzon au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 8],[I 11].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 97 100 % (100 %)
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
30 30,9 % (17,7 %)
Construction 9 9,3 % (13 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
32 33 % (27,5 %)
Information et communication 1 1 % (1,5 %)
Activités financières et d'assurance 4 4,1 % (3,4 %)
Activités immobilières 2 2,1 % (4,2 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
11 11,3 % (12,4 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
7 7,2 % (12,7 %)
Autres activités de services 1 1 % (7,8 %)

Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 33 % du nombre total d'établissements de la commune (32 sur les 97 entreprises implantées à Roquefort-sur-Soulzon), contre 27,5 % au niveau départemental[I 12].

Entreprises

modifier

Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[16] :

  • Soc Caves Producteurs Reunis Roquefort - SCPR, commerce de gros (commerce interentreprises) de produits laitiers, œufs, huiles et matières grasses comestibles (602 385 k€) ;
  • Societe Affinage-Conditionnement, fabrication de fromage (114 126 k€) ;
  • Etablissements Gabriel Coulet, fabrication de fromage (23 734 k€) ;
  • Transports Galtier, transports routiers de fret interurbains (15 766 k€) ;
  • SICA 2G - Sica2G, commerce de gros (commerce interentreprises) de viandes de boucherie (11 467 k€).
 
Le fromage de Roquefort.

La commune est principalement connue grâce au fromage du même nom, le roquefort. Le fromage est produit soit par des entreprises locales (la plus ancienne encore en activité étant la fromagerie Gabriel Coulet fondée dès 1872), soit par des groupes importants de l'agro-alimentaire.

Roquefort est une commune à l'activité agro-industrielle où près de mille personnes travaillent à l'affinage de ce fromage. L'économie de la commune est aussi caractérisée par une agriculture traditionnelle extensive basée sur l'élevage pour la production laitière de brebis destinée à l'élaboration des fromages roquefort, pérail, et pour la production de veaux et agneaux destinés à l'engraissement.

Agriculture

modifier
1988 2000 2010 2020
Exploitations 10 6 5 8
SAU[Note 9] (ha) 834 915 960 955

La commune est dans les Grands Causses, une petite région agricole occupant le sud-est du département de l'Aveyron[17]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 10] sur la commune est l'élevage d'ovins ou de caprins[Carte 2]. Huit exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 11] (dix en 1988). La superficie agricole utilisée est de 955 ha[19],[Carte 3],[Carte 4].

Culture locale et patrimoine

modifier

Patrimoine naturel

modifier
  • Caves de Roquefort.
  • Failles, monolithes verticaux dites quilles des Baragnaudes.
  • Table d'orientation du rocher Saint-Pierre (690 m) : vue sur le Larzac et le Lévézou.
  • Chaos rocheux du Sotch de Bayol.
  • Un menhir sur la commune, haut de 3,10 m, proche du village, au bord du Soulzon.
  • Le sentier des échelles.
  • Le rocher du Combalou.

Édifices religieux

modifier

Personnalités liées à la commune

modifier
  • Maurice Astruc (1938-2012), maître affineur de fromage roquefort, connu pour ses apparitions publicitaires.

Héraldique

modifier
  Blason
D'argent à la tour de sable ouverte et ajourée du champ, adextrée en chef d'une croix fleurdelisée au pied fiché aussi de sable.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Photothèque

modifier

Voir aussi

modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

modifier
  • (oc + fr) Christian-Pierre Bedel (préf. Jean-Luc Malet), Sent-Africa : La Bastida, Caumèls-e-Lo Vialar, Ròcafòrt, Sant-Faliç, Sent-Esèri, Sent-Jan, D'Aucàpias, Sent-Roma de Sarnon, Tornamira, Vabre, Verzòls-e-La Pèira / Christian-Pierre Bedel e los estatjants del canton de Sent-Africa, Rodez, Mission départementale de la culture, coll. « Al canton », , 429 p., ill., couv. ill. ; 28 cm (ISBN 2-907279-54-8, ISSN 1151-8375, BNF 38977452)

Articles connexes

modifier

Liens externes

modifier

Notes et références

modifier

Notes et cartes

modifier
  • Notes
  1. Décédé le .
  2. a et b Décédé en fonctions.
  3. Démissionnaire.
  4. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
  5. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  6. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  7. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  8. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  9. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  10. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  11. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[18].
  • Cartes
  1. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  2. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  3. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références

modifier

Site de l'Insee

modifier

Autres sources

modifier
  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Roquefort-sur-Soulzon et La Cavalerie », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Millau-Larzac_sapc » (commune de La Cavalerie) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Millau-Larzac_sapc » (commune de La Cavalerie) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  8. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  10. « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
  11. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  12. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  13. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  14. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  15. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
  16. « Entreprises à Roquefort-sur-Soulzon », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
  17. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  18. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
  19. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Roquefort-sur-Soulzon - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).