Pierre-Joseph-Olivier Chauveau
Pierre-Joseph-Olivier Chauveau, né le à Charlesbourg et mort le à Québec, est un homme politique, avocat, écrivain et professeur canadien-français.
Pierre-Joseph-Olivier Chauveau | ||
Pierre-Joseph-Olivier Chauveau, en 1862. | ||
Fonctions | ||
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Premier ministre du Québec | ||
– (5 ans, 7 mois et 12 jours) |
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Monarque | Victoria | |
Lieutenant-gouverneur | Narcisse-Fortunat Belleau René-Édouard Caron |
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Gouvernement | Chauveau | |
Législature | 1re | |
Prédécesseur | Premier titulaire | |
Successeur | Gédéon Ouimet | |
Président du Sénat du Canada | ||
– (10 mois et 18 jours) |
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Prédécesseur | Joseph-Édouard Cauchon | |
Successeur | David Christie | |
Député à l'Assemblée législative du Québec | ||
– (5 ans, 7 mois et 10 jours) |
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Élection | 1er septembre 1867 | |
Réélection | 16 juin au 14 juillet 1871 | |
Circonscription | Québec | |
Législature | 1re | |
Groupe politique | Conservateur | |
Prédécesseur | Premier titulaire | |
Successeur | Pierre Garneau | |
Député à la Chambre des communes | ||
– (5 ans, 4 mois et 30 jours) |
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Élection | 7 août 1867 | |
Réélection | 20 juillet 1872 | |
Circonscription | Québec | |
Législature | 1re | |
Groupe politique | Conservateur | |
Prédécesseur | Premier titulaire | |
Successeur | Adolphe-Philippe Caron | |
Biographie | ||
Date de naissance | ||
Lieu de naissance | Ville de Québec (Bas-Canada) | |
Date de décès | (à 69 ans) | |
Lieu de décès | Québec (Québec, Canada) | |
Parti politique | Parti conservateur du Québec Parti conservateur du Canada |
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Profession | Avocat Écrivain Enseignant |
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Premiers ministres du Québec | ||
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Après la Confédération du Canada en 1867, il devient le 1er premier ministre du Québec.
Biographie
modifierFamille et études
modifierIssu de la cinquième génération de la famille Chauveau depuis son établissement en Nouvelle-France[1], il est le fils de Pierre-Charles Chauveau et de Marie-Louise Roy. Son père, un marchand de Charlesbourg, décède alors qu'il n'a que quatre ans. Son grand-père maternel, Joseph Roy, un riche commerçant de Québec, accueille alors le jeune Chauveau et sa mère. Il grandit dans le Vieux-Québec, où il intègre le Petit Séminaire de Québec[2] (Collège-François-de-Laval) à l'âge de neuf ans (de 1829 à 1837)[3]. Dans ce milieu privilégié, il étudie aux côtés de Elzéar-Alexandre Taschereau[4] et Luc Letellier de Saint-Just. Doté d'un talent littéraire, il s'avère un élève brillant.
À dix-sept ans, il décide de choisir le droit plutôt que la prêtrise. Il fait son apprentissage auprès d'André-Rémi Hamel, avocat général du Bas-Canada, et de son oncle Louis-David Roy, avocat et ami de François-Xavier Garneau[5]. Durant la Rébellion des Patriotes[6], Chauveau suit avec intérêt le déroulement des événements. En 1838, Le Canadien publie son premier poème, L'Insurrection, à propos de l'héroïsme des patriotes canadiens. Il s'oppose plus tard à l'Acte d'Union et appuie les idées du Parti rouge. Il termine ses études en droit chez George Okill Stuart, avec qui il apprend à maîtriser l'anglais.
Le , il se marie à Marie-Louise-Flore Massé, avec qui il aura 7 enfants (Marie-Anne-Louise-Flore (1842-1871), Marie-Caroline-Olympe (1844-1855), Pierre Rémi-André-David (1845), Charles-Thomas-Xavier-Alexandre (1847-1916), Marie-Luce-Marguerite-Éliza (1849-1875), Marie-Catherine-Henriette-Adéline (1851-1870), Marie-Esprit-Honorine (1854-1938)). Il est admis au barreau du Bas-Canada le [3].
-
Son épouse Marie-Louise-Flore Massé, vers 1870.
Avocat et débuts en politique
modifierSon oncle l'invite alors à se joindre à son cabinet. Il exerce le droit avec lui jusqu'au . Il s'associe ensuite avec Philippe Baby Casgrain. Pendant ce temps, Chauveau s'intéresse surtout à la politique et à la littérature. Il côtoie l'élite intellectuelle francophone au sein des sociétés patriotiques de Québec. En 1842, il participe à la création de la Société Saint-Jean-Baptiste de Québec, et en 1843, de la Société canadienne d’études littéraires et scientifiques[3]. Il apprend à discourir en défendant des idées libérales et en s'opposant au colonialisme. Chauveau publie plusieurs lettres dans les journaux, dont Le Courrier des États-Unis[3]. Il dénonce l'état moyenâgeux dans lequel est plongée la colonie, à la fois dominée par le mercantilisme et l'influence grandissante du clergé.
Réformer la province du Canada
modifierDéputé de Québec
modifierEn 1844, dans une élection en pleine crise de la responsabilité ministérielle, Chauveau est approché par les partisans de La Fontaine pour remporter le comté de Québec, détenu par John Neilson. Le , il remporte l'élection avec 1 000 voix de majorité. À l'ouverture de la 2e législature de la province du Canada, il joint les rangs de l'opposition parlementaire formée par le Parti réformiste[2]. Parmi les idées qu'il défend en chambre : l'utilisation de la langue française au gouvernement, le gouvernement responsable, le rep by Pop et la réforme de la carte électorale, la vitalité économique de Québec (jusqu'à s'opposer parfois à des collègues montréalais) et l'hémorragie canadienne-française aux États-Unis. En marge de la politique, Chauveau publie également de façon anonyme, entre et , son roman Charles Guérin : roman de mœurs canadiennes. Il se réfugie à l'Islet durant l'épidémie de typhus de 1847. Il traitera d'ailleurs de ce sujet dans son roman : « À toutes les heures du jour, les chars funèbres se dirigeaient vers la nécropole (cimetière Saint-Louis) ; mais le soir c'était une procession tumultueuse, une véritable course aux tombeaux […]. Les Irlandais étaient à peu près les seuls à former des convois à la suite des dépouilles de leurs parents et ou de leurs amis. » Chauveau est réélu à l'élection de 1847. Dans ce deuxième mandat, il se trouve à mi-chemin entre les réformistes et les libéraux radicaux. Il continue à défendre les intérêts commerciaux de Québec et à dénoncer l'Union et le favoritisme britannique, se mettant parfois à dos des collègues. Chauveau est réélu sans opposition à l'élection de 1851[3]. Dans le gouvernement d'Augustin-Norbert Morin, il devient solliciteur général du Canada. Ministre, il doit dorénavant faire preuve de plus de docilité. Il supporte le programme du parti, qui souhaite l'abolition du régime seigneurial et rendre électif le Conseil législatif. Il est président de l'Institut canadien de Québec en 1851-1852.
En 1853, il devient secrétaire provincial[3].
Surintendant de l'Éducation
modifierEn 1855, il devient surintendant du bureau d'Éducation, ce qui l'amène à déménager avec sa famille à Montréal[2]. En 1857, il participe à la création des écoles normales ainsi qu'au lancement du Journal de l’Instruction publique, dont il assume la rédaction jusqu'en 1867[3]. En 1859, ses efforts mènent également à la création du conseil de l'Instruction publique. Durant cette période, malgré le succès qu'il a obtenu précédemment en tant qu'écrivain, Chauveau préfère commenter la politique et la littérature canadienne et entretenir ses correspondances sur ces sujets. Sa passion pour la bibliophilie l'amène à constituer une collection de plusieurs milliers de livres traitant de l'histoire, de l'art et de jurisprudence. Membre du Parti bleu de Georges-Étienne Cartier, Chauveau participe à l'alliance de son parti avec les conservateurs anglais de John A. Macdonald. En 1866, à l'aube de la Confédération canadienne, Chauveau s'embarque pour un voyage en Europe pour s'inspirer des façons de faire de différents pays en matière d'éducation[3],[9].
Premier ministre du Québec
modifierÀ son retour en , Chauveau se fait proposer de remplacer le juge Joseph-André Taschereau. Il décline, désirant poursuivre sa carrière politique dans le Canada fédéral. Au même moment, le parti conservateur veut faire de Joseph-Édouard Cauchon le premier chef de gouvernement du Québec. Cependant, les stratèges révèlent que son impopularité auprès des Protestants pourrait lui couter la victoire. Pierre-Joseph-Olivier Chauveau est alors propulsé sur le devant de la scène et est choisi pour représenter le parti[2]. Aux élections de 1867, il est élu député de Québec à la fois à l'Assemblée législative du Québec et à la Chambre des communes du Canada[3]. Il est assermenté en tant que 1er premier ministre du Québec[10],[2],[9]. Il se donne également les postes de ministre de l'Instruction publique et de secrétaire provincial[3]. Le jeu du double mandat — fédéral et provincial — qui caractérise la politique canadienne post-confédération rend difficile l'administration indépendante et efficace du Québec par Chauveau. Un des premiers dossiers de la province est le partage de la dette contractée par la province du Canada. Chauveau doit également bâtir l'appareil étatique en sanctionnant une série de lois. Il crée également la division du système scolaire au Québec entre catholiques et protestants. Son gouvernement est réélu à la suite des élections générales québécoises de 1871[3]. Cependant, Chauveau doit gérer des luttes intestines au sein du parti avec les Ultramontains et leur programme catholique. Le , il écrit : « Je vois moins clair devant moi que jamais dans mes affaires politiques et dans mes affaires personnelles. » Endetté, mal aimé, ennuyé par des problèmes personnels et surchargé par la quantité de travail à abattre, Chauveau demande conseil à Hector-Louis Langevin. Il lui suggère de démissionner, ce qu'il fait le . Le procureur général du Québec, Gédéon Ouimet, lui succède comme premier ministre.
Une fin de carrière difficile
modifierPrésident du Sénat du Canada et fin de la politique
modifierQuelques jours avant, sa sortie est assurée par une nomination comme sénateur de la division de Stadacona. Il est aussitôt nommé président du Sénat du Canada[11],[2]. Cependant, il est remplacé dès par David Christie en raison du changement de gouvernement au fédéral. Il abandonne alors son siège de sénateur. Aux élections fédérales canadiennes de 1874, il se présente comme candidat conservateur dans Charlevoix mais ne parvient pas à se faire élire[3]. Chauveau se retrouve sans emploi et doit encore s'endetter. Sa femme décède en . Il contacte Elzéar-Alexandre Taschereau, archevêque de Québec, afin que l'Église encourage son retour en politique. La lutte avec les Ultramontains l'empêche cependant de récolter les appuis nécessaires. Il songe à se présenter candidat dans Dorchester, mais abandonne le projet avec le décès de sa fille Éliza en décembre.
En 1876, il devient président de la Commission du havre de Québec[3]. Cependant, Chauveau espère un poste beaucoup plus prestigieux. En , Charles-Eugène Boucher de Boucherville lui offre celui de shérif de Montréal[12]. Il accepte, faute de mieux, et occupe le poste jusqu'en 1890. En 1878, il se joint à la faculté de droit de l'Université Laval à Montréal en tant que professeur. Là-aussi, Chauveau n'est pas aimé de tous et une pétition circule même pour exiger sa démission. Il reste cependant en poste et devient doyen de 1884 à 1890. Il est président de la Société royale du Canada de 1883 à 1884. Âgé dans la soixantaine, il continue d'être victime du harcèlement des ultramontains[13] alors qu'on lui reproche d'appuyer des idées maçonniques.
Atteint de paralysie, Chauveau se retire dans son domicile du Vieux-Québec, où il meurt le , quelques semaines avant ses soixante-dix ans. Il est inhumé dans la chapelle des Ursulines[14] où il repose toujours.
Œuvre et périodiques
modifierOrateur, poète, historien, biographe, romancier et essayiste, Chauveau a publié quelques ouvrages.
Roman
modifierAutres ouvrages
modifier- La Pléiade rouge : biographies humoristiques, 1854[16]
- L'Instruction publique au Canada : précis historique et statistique, Québec, Imprimerie Augustin Coté et cie, 1876[17]
- Souvenirs et légendes (conférence faite à l'Institut canadien de Québec), Québec, Imprimerie A. Coté et cie, 1877[18]
- François-Xavier Garneau : sa vie et ses œuvres, 1883[19]
Périodiques
modifier- Le Canadien[20]
- Le Courrier des États-Unis[21] :
- Journal of Education for Lower Canada[22]
Collection
modifierChauveau a commencé à collectionner des livres anciens et modernes à l'âge de 15 ans. Il s'adonnera à sa passion toute sa vie, jusqu'à constituer une des plus belles collections privées du pays. En 1892, la Bibliothèque de la Législature fait l'acquisition des milliers de documents du fonds Chauveau[23]. Bibliothèque et Archives Canada possède aussi une collection Pierre-Joseph-Olivier Chauveau qui contient de la correspondance et un registre de lettres[24].
Distinctions
modifierPierre-Joseph-Olivier Chauveau a reçu les distinctions suivantes[3] :
Ordres
modifier- Chevalier de l'ordre de Saint-Grégoire-le-Grand
- Commandeur de l'ordre de Saint-Sylvestre
- Commandeur de l'ordre de Pie IX
Doctorats honorifiques
modifier- Docteur honoris causa en lettres de l'Université Laval à Montréal
- Docteur honoris causa en droit de l'Université McGill
- Docteur honoris causa en droit de l'Université Bishop
Mandats
modifier- Conseiller de la Reine (1853)
- Membre de l'Académie royale de Belgique
- Officier de l'Instruction publique
- Président de l'Institut canadien-français de Montréal
- Président de la Société historique de Montréal
- Président de la Société d'archéologie et de numismatique de Montréal
- Président de la Société royale du Canada
Hommages
modifier- Québec : le parc Chauveau et la circonscription électorale provinciale de Chauveau. la rue Pierre-Joseph-Olivier Chauveau a été en son honneur de 1900
- Montréal : une rue
- Saint-Bruno-de-Montarville : une place
- Sherbrooke : une rue[25] et un parc[26]
- Gatineau : une rue
- Repentigny : une rue
- Drummondville : une rue
- Trois-Rivières : une rue
- Saguenay : une rue
- Sainte-Julie : une rue
- Laval : une rue
- Neufchâtel et Québec : La Commission scolaire régionale Chauveau qui était présente dans la région de la ville de Québec a été nommée à son honneur[27].
Résultats électoraux
modifierRésultats électoraux fédéraux
modifierRésultats électoraux provinciaux
modifier
Nom | Parti | Nombre de voix |
% | Maj. | |
---|---|---|---|---|---|
Pierre-Joseph-Olivier Chauveau | Conservateur | (sans opposition) | |||
Total | -
|
- |
Nom | Parti | Nombre de voix |
% | Maj. | |
---|---|---|---|---|---|
Pierre-Joseph-Olivier Chauveau (sortant) | Conservateur | 1 447 | 79,4 % | 1 071 | |
François Éventurel | Libéral | 376 | 20,6 % | - | |
Total | 1 823 | 100 % |
Résultats électoraux du Parti conservateur du Québec sous Chauveau
modifierPartis | Chef | Candidats | Sièges | Voix | ||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
[[Élections générales québécoises de #Résultats par parti politique|]] | Élus | Nb | % | +/- | ||||
Conservateur | Pierre-Joseph-Olivier Chauveau | 59 | -
|
51 | 40 474 | 53,5 % | - | |
Libéral | Henri-Gustave Joly de Lotbinière | 47 | -
|
13 | 26 842 | 35,5 % | - | |
Conservateur indépendant | 13 | -
|
-
|
7 144 | 9,4 % | - | ||
Libéral indépendant | 3 | -
|
-
|
1 245 | 1,6 % | - | ||
Total | 122 | 64 | 75 705 | 100 % | ||||
Le taux de participation lors de l'élection était de 46,8 % et 0 bulletins ont été rejetés. Il y avait 113 900 personnes inscrites sur la liste électorale pour l'élection, toutefois seules 161 800 personnes avaient plus d'un candidat dans leur district. |
Partis | Chef | Candidats | Sièges | Voix | ||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1867 | Élus | Nb | % | +/- | ||||
Conservateur | Pierre-Joseph-Olivier Chauveau | 59 | 51 | 46 | 31 168 | 51,7 % | -1,77 % | |
Libéral | Henri-Gustave Joly de Lotbinière | 37 | 13 | 19 | 23 760 | 39,4 % | +3,95 % | |
Conservateur indépendant | 11 | -
|
-
|
4 545 | 7,5 % | -1,9 % | ||
Indépendant | 2 | -
|
-
|
823 | 1,4 % | - | ||
Total | 109 | 64 | 65 | 60 296 | 100 % | |||
Le taux de participation lors de l'élection était de 58,9 % et 0 bulletins ont été rejetés. Il y avait 172 369 personnes inscrites sur la liste électorale pour l'élection, toutefois seules 102 380 personnes avaient plus d'un candidat dans leur district. |
Notes et références
modifier- « Nouvelle-France », dans L'Encyclopédie canadienne (lire en ligne)
- « Biographie – CHAUVEAU, PIERRE-JOSEPH-OLIVIER – Volume XI (1881-1890) – Dictionnaire biographique du Canada », sur Biographi.ca (consulté le ).
- « Pierre-Joseph-Olivier Chauveau », sur assnat.qc.ca (consulté le ).
- « Biographie – TASCHEREAU, ELZÉAR-ALEXANDRE – Volume XII (1891-1900) – Dictionnaire biographique du Canada », sur Biographi.ca (consulté le ).
- « Biographie – GARNEAU, FRANÇOIS-XAVIER – Volume IX (1861-1870) – Dictionnaire biographique du Canada », sur Biographi.ca (consulté le ).
- « Rébellions de 1837 », dans L'Encyclopédie canadienne (lire en ligne)
- Jocelyne Mathieu, « Journaux personnels des filles de Pierre-Joseph-Olivier Chauveau (1855-1876). Une première approche », Les Cahiers des dix, no 66, , p. 13 (ISSN 0575-089X et 1920-437X, DOI https://doi.org/10.7202/1015070ar, lire en ligne, consulté le )
- « Maison Charles-Berthelot », sur gouv.qc.ca (consulté le ).
- Pierre-Joseph-Olivier Chauveau sur L'Encyclopédie canadienne
- « Premiers ministres du Québec depuis 1867 », sur assnat.qc.ca (consulté le ).
- « The page has moved », sur parl.ca (consulté le ).
- « Être shérif en 2017 : l'art de constituer et d'encadrer un jury », ici.radio-canada.ca, (lire en ligne, consulté le ).
- « Ultramontanisme », dans L'Encyclopédie canadienne (lire en ligne)
- Lieu de sépulture de Pierre-Joseph-Olivier Chauveaupatrimoine-culturel.gouv.qc.ca
- Pierre Chauveau, Charles Guerin: Roman de Moeurs Canadiennes, Nabu Press, , 378 p. (ISBN 978-1272860158, lire en ligne).
- « Brochure (La Pléiade rouge) », sur gouv.qc.ca (consulté le ).
- « BAnQ numérique », sur Qc.ca (consulté le ).
- « Souvenirs et légendes by Pierre-Joseph-Olivier Chauveau » [livre], sur Open Library (consulté le ).
- (en) « Catalog Record : François-Xavier Garneau sa vie et ses oeuvres », sur hathitrust.org (consulté le ).
- « Le Canadien » dans L'Encyclopédie canadienne, Historica Canada, 1985–. (consulté le ).
- « Presentation », sur Le courrier des Etats-Unis, (consulté le ).
- (en) « The Journal of Education for Lower Canada, 1860, Vol. 4 (Classic Reprint) » [livre], sur indigo.ca (consulté le ).
- Alain Côté, Un patrimoine incontournable, numéro 1, Québec, Commission des biens culturels, , 69 p., p. 56
- « Bibliothèque et Archives Canada, Collection Pierre-Joseph-Olivier Chauveau »
- Portail Constructo, « Sherbrooke : projet de développement sur la rue Chauveau », sur portailconstructo.com (consulté le ).
- « calendrier.ville.sherbrooke.qc… »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
- Charles-Henri Paquin, 25 ans d'histoire : Commission scolaire régionale Chauveau, Québec, Commission scolaire régionale Chauveau, , 194 p., p. 9
- http://www.assnat.qc.ca/fr/patrimoine/resultatselec/q.html
- http://www.assnat.qc.ca/fr/patrimoine/resultatselec/q.html
- Pierre Drouilly, Statistiques électorales du Québec. 1867-1989, Québec,
Assemblée nationale du Québec, , 3e éd., 962 p. (ISBN 2-551-12466-2) - Pierre Drouilly, Statistiques électorales du Québec. 1867-1989, Québec,
Assemblée nationale du Québec, , 3e éd., 962 p. (ISBN 2-551-12466-2)
Voir aussi
modifierArticles connexes
modifierLiens externes
modifier
- Ressources relatives à la vie publique :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative à la littérature :
- Ressource relative à la recherche :
- Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :
- P.J.O. Chauveau, Discours prononcé le mercredi, […], Québec, E. R. Fréchette, 1855, 8 p. lire en ligne
- Biographie, site de l'Assemblée nationale du Québec
- Biographie de Pierre-Joseph-Olivier Chauveau dans le Répertoire du patrimoine culturel du Québec
- Pierre-Joseph Chauveau — Bibliothèque du Parlement du Canada
- « Pierre-Joseph Chauveau » dans L'Encyclopédie canadienne, Historica Canada, 1985–. (consulté le ).
- Pierre-Joseph Chauveau — Dictionnaire biographique du Canada
- Le Vécu des immigrants : Immigrer et s'installer en terre canadienne à Bibliothèque et Archives Canada
- Pierre-Joseph-Olivier Chauveau roman publié en 1852 : Charles Guérin : roman de mœurs canadiennes — Amazon
- Pierre-Joseph-Olivier Chauveau-Biographie — Ville de Québec
- Pierre-Joseph-Olivier Chauveau-Biographie — Sénat du Canada