La Trinité (Alpes-Maritimes)
La Trinité (en occitan niçois, La Ternita-Vitour (norme mistralienne) et La Ternitat Victor (norme classique)) est une commune française située dans le département des Alpes-Maritimes en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Ses habitants sont appelés les Trinitaires.
La Trinité | |
Vue de La Trinité. | |
Blason |
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Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Provence-Alpes-Côte d’Azur |
Département | Alpes-Maritimes |
Arrondissement | Nice |
Intercommunalité | Métropole Nice Côte d'Azur |
Maire Mandat |
Ladislas Polski 2020-En cours |
Code postal | 06340 |
Code commune | 06149 |
Démographie | |
Gentilé | Trinitaires |
Population municipale |
10 276 hab. (2021 ) |
Densité | 690 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 43° 44′ 30″ nord, 7° 18′ 53″ est |
Altitude | Min. 47 m Max. 700 m |
Superficie | 14,9 km2 |
Type | Grand centre urbain |
Unité urbaine | Nice (banlieue) |
Aire d'attraction | Nice (commune du pôle principal) |
Élections | |
Départementales | Canton de Nice-7 |
Législatives | Troisième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | http://www.ville-de-la-trinite.fr |
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Elle fut également appelée La Trinité-Victor en l'honneur de Victor-Emmanuel Ier (Albertville doit aussi son nom à la Maison de Savoie). Sous domination du Royaume de Piémont-Sardaigne jusqu'en 1860, le nom officiel en italien était Trinità Vittorio.
C'est une petite commune issue d'un démembrement d'Èze, bordée par les communes de Nice, Drap, Cantaron, La Turbie et Èze.
Historiquement, elle est un lieu de passage de plusieurs voies d'importance dont celle romaine de Via Julia Augusta ou encore le Train des Merveilles.
Elle a pour particularité d'avoir l'essentiel de son urbanisation concentrée à l'Ouest dans la plaine, d'être composée à plus de 80% d'espaces naturels et d'avoir des massifs offrant des panoramas variés.
Elle est réputée pour son patrimoine religieux architectural et scientifique pour partager avec la commune de Nice l'Observatoire de la Côte d'Azur sur le site du mont Gros et ainsi que pour son agriculture notamment par la production d'Olives de Nice qui sont labellisées "Appellation d'Origine Contrôlée" (AOC).
Toponymie
modifierLe nom de la Trinité provient du sanctuaire de la Trinité. A plusieurs moment de son histoire elle s'appela "Trinité-Victor" en l'honneur de Victor-Emmanuel Ier d'(Albertville qui doit aussi son nom à la Maison de Savoie). Pendant la domination du Royaume de Piémont-Sardaigne jusqu'en 1860, le nom officiel en italien était Trinità Vittorio.
La langue locale est l'occitan provençal parlé dans sa variante qu'est le niçois. Les deux graphies dominantes de la langue d'oc sont la norme mistralienne et la norme classique et le nom de la commune s'écrit respectivement La Ternita-Vitour et La Ternitat Victor pour une même prononciation.
Histoire
modifierAncien hameau de la commune d'Èze dont il fut détaché en 1818, appelée d'abord La Trinité-Victor en l'honneur de Victor-Emmanuel Ier, roi de Sardaigne, avant de devenir simplement La Trinité en 1951. La commune concentra le développement de son urbanisation dans la plaine bordant le Paillon de Nice localisée à l'Ouest de la commune avec des activités agricoles.
La Trinité possède une église de style néo-classique (qui serait une copie de l'église Gran Madre di Dio de Turin), d'une fontaine datée de 1654, de placettes tranquilles, de quelques façades colorées repeintes de couleurs pimpantes… et même des ruines d'un château médiéval. Il faut emprunter le vieux chemin de Laghet pour découvrir les restes d'une tour de garde et d'un pont-levis, tous deux datant du XIe siècle Enfin, une borne milliaire témoigne encore du passage de l'antique via Julia Augusta.
Le sanctuaire Notre-Dame de Laghet[1], qu'on atteint par une petite route qui serpente dans les oliviers, est un monastère qui fut construit au XVIIe siècle, à la suite de l'apparition de miracles en ce lieu. Une réputation « miraculeuse » qui ne fit que croître, jusqu'à devenir aujourd'hui le principal centre de pèlerinage de Provence orientale et d'Italie du nord[2].
Aujourd'hui, La Trinité est une commune de la banlieue niçoise, avec un habitat mêlant le traditionnel et le moderne. Autrefois lieu de passage, elle se caractérise aujourd'hui par un mouvement pendulaire important avec 77% des actifs ne travaillant pas sur la commune d'après l'INSEE.
Géographie
modifierLocalisation
modifierCommunes limitrophes
modifierLes communes limitrophes sont Cantaron, Drap, Èze, Nice, Peille, Peillon et La Turbie.
Géologie et relief
modifierLa Trinité se trouve dans la vallée des Paillons.
La commune est membre du parc de la Grande Corniche situé sur le territoire des communes de La Trinité, Villefranche-sur-Mer, Èze et La Turbie[3]
Les massifs longeant le Sud de la commune offrent un large panorama sur le Vallon du Laghet, la plaine du Paillon, les Alpes ainsi que la mer et le village ancien d'Èze.
Hydrographie et les eaux souterraines
modifierCours d'eau sur la commune ou à son aval :
Ces cours d'eau sont régulièrement et naturellement assecs notamment en été et en hiver. Celui du Paillon du Laghet a pour particularité d'être en canal souterrain lorsque l'on entre dans la partie Ouest urbanisée de la commune jusqu'au Paillon de Nice.
La Trinité dispose de la station d'épuration intercommunale de Nice d'une capacité de 650 000 équivalent-habitants[4].
Sismicité
modifierCommune située dans une zone de sismicité moyenne[5].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Var, Alpes-Maritimes, caractérisée par une pluviométrie abondante en automne et en hiver (250 à 300 mm en automne), un très bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 75 %), un hiver doux (8 °C) et peu de brouillards[7].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 15,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 801 mm, avec 5,9 jours de précipitations en janvier et 2,1 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nice », sur la commune de Nice à 6 km à vol d'oiseau[8], est de 16,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 791,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 37,7 °C, atteinte le ; la température minimale est de −7,2 °C, atteinte le [Note 1],[9],[10].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Température minimale moyenne (°C) | 5,8 | 6,1 | 8,3 | 10,8 | 14,5 | 18,1 | 20,8 | 21,1 | 17,7 | 14 | 9,7 | 6,6 | 12,8 |
Température moyenne (°C) | 9,5 | 9,8 | 11,8 | 14,1 | 17,7 | 21,4 | 24,1 | 24,5 | 21,2 | 17,5 | 13,3 | 10,3 | 16,3 |
Température maximale moyenne (°C) | 13,3 | 13,5 | 15,4 | 17,4 | 21 | 24,7 | 27,5 | 27,9 | 24,8 | 21 | 17 | 14,1 | 19,8 |
Record de froid (°C) date du record |
−7,2 09.01.1985 |
−5,8 10.02.1986 |
−5 06.03.1971 |
2,9 10.04.1970 |
3,7 02.05.1945 |
8,1 06.06.1969 |
11,7 10.07.1969 |
11,4 14.08.1948 |
7,6 27.09.1972 |
4,2 30.10.1950 |
0,1 22.11.1998 |
−2,7 03.12.1973 |
−7,2 1985 |
Record de chaleur (°C) date du record |
22,5 20.01.12 |
25,8 14.02.1990 |
26,1 02.03.07 |
26,1 08.04.22 |
31,4 27.05.22 |
36,8 29.06.1945 |
37 25.07.15 |
37,7 01.08.06 |
33,9 07.09.1962 |
29,9 11.10.1981 |
25,4 04.11.04 |
22 23.12.1954 |
37,7 2006 |
Ensoleillement (h) | 1 567 | 1 661 | 218 | 2 292 | 2 709 | 3 098 | 3 493 | 3 232 | 2 498 | 1 911 | 1 515 | 1 452 | 27 605 |
Précipitations (mm) | 73,5 | 53,6 | 51 | 68,8 | 40,3 | 35,7 | 13,6 | 17,2 | 81 | 127,9 | 138,4 | 90,3 | 791,3 |
Diagramme climatique | |||||||||||
J | F | M | A | M | J | J | A | S | O | N | D |
13,3 5,8 73,5 | 13,5 6,1 53,6 | 15,4 8,3 51 | 17,4 10,8 68,8 | 21 14,5 40,3 | 24,7 18,1 35,7 | 27,5 20,8 13,6 | 27,9 21,1 17,2 | 24,8 17,7 81 | 21 14 127,9 | 17 9,7 138,4 | 14,1 6,6 90,3 |
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm |
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[11]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , La Trinité est catégorisée grand centre urbain, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[13]. Elle appartient à l'unité urbaine de Nice, une agglomération intra-départementale dont elle est une commune de la banlieue[14],[15]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nice, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2],[15]. Cette aire, qui regroupe 100 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[16],[17].
Planification
modifierEn termes de planification, la commune est dotée d'un plan local d'urbanisme métropolitain approuvé le 25 octobre 2019 qui fait office de Plan Local d'Urbanisme et de Plan de mobilité[18].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (66,9 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (74,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (51,5 %), zones urbanisées (22,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (12,2 %), zones agricoles hétérogènes (5,3 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (3,2 %), cultures permanentes (2,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,3 %), mines, décharges et chantiers (0,2 %)[19].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communications et transports
modifierVoies routières
modifierCommune desservie par l'autoroute A8. Sortie Nice est, puis départementale 2204.
Transports en commun
modifierLignes de bus desservant La Trinité :
- ligne 14 : Les Chênes Verts - Centre-ville → Vauban ;
- ligne 85 : Les Chênes Verts - L'Oli - La Cité du Soleil ;
- ligne 86 : Bertagnia - Le Négron - L'Église - La Plana;
- ligne C11 : Le C11 assure la desserte à la demande de la Trinité et du Cimetière de l’Est.
Lignes SNCF
modifier- Gare de Nice-Ville,
- Ligne 05[20] Nice – Breil sur Roya – Cuneo[21].
Intercommunalité
modifierLa Trinité était située dans la communauté urbaine Nice Côte d'Azur dès sa création en 2002. Elle a rejoint la métropole Nice Côte d'Azur lorsque celle-ci a été créée le .
Politique et administration
modifierTendances politiques et résultats
modifierListe des maires
modifierBudget et fiscalité 2017
modifierEn 2017, le budget de la commune était constitué ainsi[22] :
- total des produits de fonctionnement : 12 052 000 €, soit 1 177 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 12 143 000 €, soit 1 186 € par habitant ;
- total des ressources d'investissement : 3 334 000 €, soit 326 € par habitant ;
- total des emplois d'investissement : 3 393 000 €, soit 331 € par habitant ;
- endettement : 20 536 000 €, soit 2 005 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d'habitation : 18,60 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 19,93 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 26,97 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2015 : médiane en 2015 du revenu disponible, par unité de consommation : 20 588 €[23].
Population et société
modifierDémographie
modifierÉvolution démographique
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1838. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[24],[Note 5].
En 2021, la commune comptait 10 276 habitants[Note 6], en évolution de +0,53 % par rapport à 2015 (Alpes-Maritimes : +1,99 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
La démographie se stabilise depuis les années 1990.
Sécurité
modifierLa commune possède un poste de police municipale et une caserne de la Gendarmerie Nationale. La commune est classée dans son ensemble depuis 2012 en zone de sécurité prioritaire, avec renforcement des effectifs de la Police nationale et de la Gendarmerie nationale. Cette classification catégorise, la commune « souffrant plus que d’autres d’une insécurité quotidienne et d’une délinquance enracinée »[27] et « connaît depuis quelques années une dégradation importante de ses conditions de sécurité »[27].
Enseignement
modifierÉtablissements d'enseignements[28] :
Santé
modifierProfessionnels et établissements de santé[31] :
- Médecins,
- Pharmacies,
- Hôpitaux à Cap-d'Ail, Nice.
Cultes
modifier- Culte catholique, Paroisse Amédée IX de Savoie[32], Diocèse de Nice.
Économie
modifierIl y a majoritairement plus d'employés et d'ouvriers que de professions intermédiaires ou cadres.
En 2017, 62 % des 10 242 Trinitaires sont propriétaires de leur logement.
Entreprises et commerces
modifierAgriculture
modifier- Activités agricoles et sylviculture[33]. On retrouve sur la commune des agriculteurs produisant des Olives de Nice qui sont labellisées « appellation d'origine contrôlée » (AOC).
Animations-Tourisme
modifierAnimations :
- Astrorama : animations autour de l'astronomie et du ciel.
- Manifestations culturelles : fête du livre, de la jeunesse, de la musique.
- Le jeudi de l'octave de la Fête-Dieu : procession aux limaces, coutume datant du XIVe siècle.
- À Noël, veillée et messe provençale avec procession de l'agneau.
Tourisme :
- Hôtels,
- Restaurants,
- Gites.
Commerces-artisanat
modifier- Expositions artisanales ;
- Centre commercial ;
- Commerces et services de proximité[34].
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- Église paroissiale de la Très-Sainte-Trinité[35], inscrite au titre des monuments historiques en 2004.
- Église Saint-Grat (1848, baroque italien)[36].
- Chapelle Sainte-Anne[37],[38].
- Sanctuaire Notre-Dame de Laghet (XVIIe siècle)[39], et son petit musée d'ex-voto, dont certains sont classés au titre des Monuments historiques, une des plus riches collections de Provence).
- Pèlerinages permanents à Laghet, de Pâques à la Toussaint, les trois principaux ayant lieu le dimanche de la Trinité, le et le .
- Parc naturel départemental de la Grande Corniche (598 ha) qui s'étend du Mont Vinaigrier jusqu'au Mont Bataille : sentier nature, sentier de promenade, gouffre près de la maison de la Nature (spéléologie), table d'orientation.
- Fort de La Drète[40],[41]. Avec son homologue le Fort de la Revère, il défendait les voies de pénétrations par les vallées[42].
- Reste d'une tour de garde en bordure du vieux chemin de Laghet[43].
- Tours à signaux[44].
- L'Astrorama, situé au fort de la Revère.
- Monuments commémoratifs :
- Monument aux morts[45].
- Monument du bicentenaire de la Révolution française[46].
- La statue « Oreste et Minerve ».
Personnalités liées à la commune
modifier- Orianne Amato, a contribué à développer le quartier Paillos avec sa famille au début des années 2000. Maintenant reconvertie dans les retraites spirituelles, elle fréquente le jeune Julien Moro originaire de Contes un village voisin.
- Antoine Arnaldi (1911-1992), coureur cycliste, y est décédé.
- Nekfeu, rappeur, est né dans la commune.
Héraldique
modifierBlason | Parti : au 1er de gueules au pin d'argent terrassé de sinople, surmonté d’une jumelle ondée d’argent et au chef de gueules à la croix d'argent, au 2e d’azur au monastère d’argent, essoré de gueules brochant sur une montagne de deux pics de sinople, le tout posé sur un pont d'argent de deux arches enjambant une rivière d'azur, les berges de sinople, et au chef tiercé en pal d’azur, d’argent et de gueules[47]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Notes et références
modifierNotes
modifier- Les records sont établis sur la période du au .
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Réélu en 1989 et 1995.
- Réélu en 2008.
- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
modifier- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes [archive] », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- « Sanctuaire de Laghet [archive] », notice no PA00080888, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Notre-Dame de Laghet (La Trinité) [archive]
- Parc de la Grande Corniche [archive]
- Description de la station NICE-HALIOTIS [archive]
- Didacticiel de la règlementation parasismique [archive]
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne [archive], consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. [archive] », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre La Trinité et Nice [archive] », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Nice », sur la commune de Nice - fiche climatologique - période 1991-2020. [archive] », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Nice », sur la commune de Nice - fiche de métadonnées. [archive] », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. [archive] », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. [archive] », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité [archive] », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Nice [archive] », sur insee.fr (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune [archive] ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Nice [archive] », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville [archive] », sur insee.fr, (consulté le ).
- Le plan local d’urbanisme métropolitain a été approuvé le 25 octobre 2019 par délibération du Conseil Métropolitain [archive]
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). [archive] », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- TER [archive]
- Ligne 05 Nice – Breil sur Roya – Cuneo [archive]
- Les comptes de la commune [archive]
- Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet [archive]
- L'organisation du recensement [archive], sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui [archive] sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006 [archive], 2007 [archive], 2008 [archive], 2009 [archive], 2010 [archive], 2011 [archive], 2012 [archive], 2013 [archive], 2014 [archive], 2015 [archive], 2016 [archive], 2017 [archive], 2018 [archive], 2019 [archive], 2020 [archive] et 2021 [archive].
- [PDF]« Création de 49 nouvelles Zones de Sécurité Prioritaires (ZSP) - dossier de presse [archive] », sur interieur.gouv.fr, Ministère de l'Intérieur, (consulté le ).
- Établissements d'enseignements [archive]
- École maternelle [archive]
- Écoles primaires [archive]
- Professionnels et établissements de santé [archive]
- Paroisse Bienheureux-Amédée-IX-de-Savoie [archive]
- Activités agricoles et sylviculture [archive]
- Commerces et services de proximité [archive]
- Église de la Sainte-Trinité [archive]
- Monuments chrétiens de La Trinité [archive]
- Chapelle Sainte Anne [archive]
- Chapelle Sainte-Anne [archive], Soutien de la Fondation du patrimoine à sa restauration
- Sanctuaire Notre-Dame de Laghet [archive]
- Le fort de La Drète ou fort Créqui [archive]
- Fort de la Drète, de la place forte de Nice [archive]
- Fort de La Drête [archive]
- Reste d'une tour de garde [archive]
- Tours à signaux. La Trinité [archive] : Tour du rocher de l'Abei à La Trinité - quartier Figour; Tour du Tercier; Tour de Sus Li Aiga
- Conflits commémorés [archive] : 1914-1918 - 1939-1945 - Indochine (1946-1954) - AFN-Algérie (1954-1962).
- Monument du bicentenaire de la Révolution française [archive]
- Dominique Cureau, « Nice Côte-d'Azur 1 : La Trinité [archive] », sur vexil.prov.free.fr (consulté le ).
Voir aussi
modifierBibliographie
modifier- Georges Delserre-Tabaraud, De l'Ariana d'Ysia à La Trinité. Une ville est née, Serre éditeur (collection les régionales), Nice, 1989 (ISBN 978-2-86410-126-0) ; p. 200
- Archives de La Trinité [archive]
- Collectif (dir.), Le patrimoine des communes des Alpes-Maritimes en deux volumes, vol. II : Cantons de Roquebillière à Canton de Villefranche-sur-Mer, Paris, Flohic Éditions, coll. « Le Patrimoine des Communes de France », , 574 p. (ISBN 2-84234-071-X)Canton de Nice : pp. 707 à 711 : La Trinité
- Philippe de Beauchamp, Photographies Loïc-Jahan, L'art religieux dans les Alpes-Maritimes, architecture religieuse, peintures murales et retables, Aix-en-Provence, Édisud, , 143 p. (ISBN 2-85744-485-0)Vallées de la Roya et de la Bévéra : Laghet, L'église du sanctuaire de Npotre-Dame-de-Laghet, pp. 29 à 34
- Coordination générale : René Dinkel, Élisabeth Decugnière, Hortensia Gauthier, Marie-Christine Oculi. Rédaction des notices : CRMH : Martine Audibert-Bringer, Odile de Pierrefeu, Sylvie Réol. Direction régionale des antiquités préhistoriques (DRAP) : Gérard Sauzade. Direction régionale des antiquités historiques (DRAH) : Jean-Paul Jacob directeur, Armelle Guilcher, Mireille Pagni, Anne Roth-Congés Institut de recherche sur l'architecture antique (Maison de l'Orient et de la Méditerranée - IRAA)-Centre national de la recherche scientifique (CNRS), Suivez le guide : Monuments Historiques Provence Alpes Côte d’Azur, Marseille, Direction régionale des affaires culturelles et Conseil régional de Provence – Alpes - Côte d’Azur (Office Régional de la Culture), 1er trimestre 1986, 198 p. (ISBN 978-2-906035-00-3 et 2-906035-00-9)Guide présentant l'histoire des monuments historiques ouverts au public en Provence – Alpes – Côte - d'Azur, avec cartes thématiques (traduit en allemand et anglais en septembre 1988). Trinité-Victor (La), pp. 77-78
- La Trinité [archive] Histoire, sur www.departement06.fr/patrimoine-par-commune/
- Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4ème trimestre 1979, 1287 p. (ISBN 978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)Trinité (La), p. 1186
- La Trinité [archive], sur le site Montagnes niçoises
- La Trinité (Sanctuaire Notre-Dame de lageth) [archive]
- Trinité (La) [archive] : abris sous roches; sites du 18ème; Via Julia la turbie Nice; chapelle Sainte Anne, sur www.archeo-alpi-maritimi.com/villages.php
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet [archive]
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune [archive]
Articles connexes
modifier- Liste des communes des Alpes-Maritimes
- Liste des anciennes communes des Alpes-Maritimes
- Laghet
- Astrorama
Liens externes
modifier- Site officiel [archive]
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Ressource relative à la musique :
- La Trinité sur le site de l'Institut géographique national [archive]
- Le patrimoine architectural et mobilier des communes [archive] sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA]
- Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) [archive] et Inventaire et protections réglementaires de l'environnement des communes [archive]